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Rechercher : ete sans souci

  • Canicule : précautions (27 08 2011)

    ·    Selon l’âge, le corps ne réagit pas de la même façon aux fortes chaleurs. Lorsque l’on est âgé, le corps transpire peu et il a donc du mal à se maintenir à 37°C. C’est pourquoi la température du corps peut alors augmenter : on risque le coup de chaleur (hyperthermie – température supérieure à 40° avec altération de la conscience).

    ·    En ce qui concerne l’enfant et l’adulte, le corps transpire beaucoup pour se maintenir à la bonne température. Mais, en conséquence, on perd de l’eau et on risque la déshydratation.

    ·    Chez les travailleurs manuels, travaillant notamment à l’extérieur, et lorsqu’on fait du sport, le corps exposé à la chaleur transpire beaucoup pour se maintenir à la bonne température. Il y a un risque de déshydratation.

    Quelles sont les personnes à risque ?

    ·    les personnes âgées de plus de 65 ans ;

    ·    les nourrissons et les enfants, notamment les enfants de moins de 4 ans ;

    ·    les travailleurs manuels, travaillant notamment à l’extérieur et les personnes pratiquant une activité sportive en plein air.

    D’autres personnes sont également susceptibles d’être plus à risque en période de canicule :

    ·    les personnes confinées au lit ou au fauteuil ;

    ·    les personnes souffrant de troubles mentaux (démences), de troubles du comportement, de difficultés de compréhension et d’orientation ou de pertes d’autonomie pour les actes de la vie quotidienne ;

    ·    les personnes ayant une méconnaissance du danger ;

    ·    les personnes sous traitement médicamenteux au long cours ou prenant certains médicaments pouvant interférer avec l’adaptation de l’organisme à la chaleur ;

    ·    les personnes souffrant de maladies chroniques ou de pathologies aiguës au moment de la vague de chaleur ;

    ·    les personnes en situation de grande précarité, les personnes non conscientes du danger.

    Ressources utiles

    Etes-vous concerné par ce risque ?

    Consulter la carte de vigilance de Météo France (mise à jour à 06h00 et à 16h00) et les conseils de Météo France selon les niveaux de vigilance

    Canicule info service

    Plateforme téléphonique "canicule info service" 0 800 06 66 66 (appel gratuit) ; ouvert en juin-juillet-août du lundi au samedi hors jours fériés de 8 heures à 20 heures.

    Repérée avec quelque retard, voici une Note publiée le 22 juin 2011 sur le site de l’Institut National de Prévention et d'Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/

    Canicule et fortes chaleurs : comprendre les risques

    La santé de chacun peut être en danger quand ces 3 conditions sont réunies :

    ·    il fait très chaud ;

    ·    la nuit, la température ne descend pas, ou très peu ;

    ·    cela dure plusieurs jours.

    Quels sont les risques liés aux fortes chaleurs ?

  • Economie France : poids de l’industrie (26 05 2016)

     

    • Un recul relatif de l’industrie manufacturière en raison des prix. L’ensemble des biens et services produits ont vu leurs tarifs progresser plus fortement (+4,4%) que ceux des biens de l’industrie manufacturière (+3,2%).
    • L’industrie manufacturière a externalisé de plus en plus ses activités vers les services.
    • Les importations de produits manufacturés ont progressé plus vite que la production nationale en valeur et en volume. Ces importations incluent les biens fabriqués à l’étranger par des entreprises françaises et vendus en France. Ainsi la production industrielle s’est-elle accrue de 5,2% entre 1970 et 2014 quand, dans le même temps, les importations, moins chères, ont crû de 8,2%.
    • La “structure de la demande” a changé, les ménages ayant tendance à affecter les hausses du revenu à des consommations de services plutôt qu’à des biens manufacturés.

    C’est entre 2000 et 2007 que la désindustrialisation a été la plus marquée, passant de 15,7 à 12,7%, essentiellement en raison d’une baisse des prix liée aux gains de productivité. Depuis 2007, la baisse résulte davantage d’une contraction de la production dans le contexte de crise. Depuis 2000, les cinq branches industrielles qui ont le mieux résisté sont la pharmacie, les matériels de transport, les industries agroalimentaires, la réparation-installation et la chimie.

    Note d’information publiée le 3 mai 2016 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/industrie-quarante-ans-son-poids-economie-ete-divise-par-deux-20160503.html?xtor=EPR-56.html

    Industrie : en quarante ans, son poids dans l’économie a été divisé par deux

    Le poids de l’industrie dans l’économie française a été divisé par deux entre 1970 et 2014, selon une étude l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), publiée le 26 avril 2016.

    Depuis 1970, le poids de l’industrie manufacturière dans la valeur ajoutée totale dégagée par l’économie française est passé de 22,3% à 11,2%. A l’inverse, les services marchands hors commerce ont vu leur part augmenter de 50%, passant de 31,7% à 45,4%. Celle du commerce a légèrement décru, passant de 12,5% à 10,3%. La valeur ajoutée de la branche a été multipliée par 8,6 entre 1970 et 2014 pour atteindre 213,8 milliards d’euros, mais la valeur ajoutée de l’ensemble de l’économie a été multipliée par 17,2.

    Plusieurs phénomènes ont joué depuis 1970 :

  • communiqué de presse CFR (01 04 2009)

    COMMUNIQUĖ DE PRESSE de la CONFEDERATION FRANCAISE des RETRAITĖS (CFR)

    LES RETRAITĖS DU PRIVĖ ONT  DES SOUCIS A SE FAIRE

    Les régimes de retraites du secteur privé sont à la dérive :

    • Le rendez-vous 2008 prévu pour rééquilibrer les régimes de retraites est manqué.
    • Les partenaires sociaux ont parachevé cet échec en renonçant à prendre les décisions courageuses nécessaires.
    • Les maigres réserves ARRCO-AGIRC vont diminuer dangereusement.
    • Les rendements continueront à baisser, au détriment des futurs retraités.
    • Les dernières mesures prises en matière d’indexation (1% au 1er avril pour le régime général et 1,3% pour les régimes complémentaires) sont insuffisantes pour rattraper la baisse de pouvoir d’achat subie en 2008.

    La CFR se mobilise pour demander un nouveau rendez-vous urgent sur les retraites pour corriger cette désastreuse situation.

    Paris, le 31 mars 2009 N° 103

  • retraites : de la méthode ! (12 04 2010)

    Retraites : de la méthode !

    Extraits de l’éditorial de M. Dominique SEUX, publié le 9 avril 2010 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/info/france/020466335039-retraites-de-la-methode-.htm

    .../… Hier, une voix de l'Elysée très haut placée a indiqué à l'AFP, au cours d'un déplacement de Nicolas Sarkozy sur le plateau des Glières, qu'il devrait y avoir « un prélèvement spécifique sur une catégorie de la population » dans le cadre de la réforme des retraites…./…

    Ce souci de lancer un ballon d'essai, comme on dit, est compréhensible. Mais il est difficile, dans le même temps, de ne pas juger brouillonne cette façon de procéder…/… Tester des hypothèses par petits bouts sans aucune vision du projet d'ensemble est prématuré.

    Le problème concerne aussi le fond. Transformer le débat sur les retraites en un débat sur la hausse des prélèvements est contre-productif…/… Or la réalité est qu'il est impossible d'échapper au relèvement de l'âge légal de départ à la retraite. L'impôt, une solution pour boucler la réforme, non pour l'ouvrir.

  • produit d'épargne retraite supplémentaire en déshérence -08 03 2024)

    Êtes-vous bénéficiaire d'un produit d'épargne retraite supplémentaire en déshérence ?

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 23 février 2024 sur le site du ministère de l’économie (cliquer ici pour accéder au site du ministère de l’économie)

    https://www.economie.gouv.fr/particuliers/etes-vous-beneficiaire-contrat-epargne-retraite-supplementaire-desherence?eml-publisher=hubscore&eml-name=Emailing-es-29-[BI_357_20240305]-20240305&eml-mediaplan=[https://www.economie.gouv.fr/particuliers/etes-vous-beneficiaire-contrat-epargne-retraite-supplementaire-desherence].html

    Êtes-vous bénéficiaire d'un produit d'épargne retraite supplémentaire en déshérence ?

    Par Bercy Infos, le 23/02/2024 - Epargne et investissements mobiliers 

    Et si vous étiez bénéficiaire d'un contrat d'épargne retraite supplémentaire sans le savoir ? Pour éviter d’oublier de faire valoir vos droits en fin de carrière, un service en ligne gratuit permet de consulter les produits d’épargne retraite supplémentaire et les coordonnées des organismes qui les gèrent.

    Qu'est-ce qu'un contrat d'assurance retraite supplémentaire ?

     

    Plus précisément, il s'agit d’un ensemble de dispositifs :

    • qui constitue un troisième niveau de retraite (en plus des retraites de base et complémentaire obligatoires),
    • qui est facultatif : pour en bénéficier, il faut souscrire volontairement un produit individuel ou que l’employeur souscrive pour son salarié un produit collectif,
    • qui fonctionne par capitalisation (épargne équivalente aux cotisations versées augmentées des intérêts, constituée pendant la période d’activité du salarié, en vue de sa propre retraite).

    Généralement, les contrats dits en déshérence concernent les contrats souscrits par les entreprises au profit de leurs salariés (voir le détail ci-dessous).

    Pourquoi un certain nombre de ces contrats sont-ils en déshérence ?

    Un contrat en déshérence est un contrat qui n'est pas utilisé par son bénéficiaire, ce dernier n'étant pas au courant de son existence.

    La plupart des contrats en déshérence sont des contrats souscrits par les entreprises au profit de leurs salariés. Le risque de déshérence est plus élevé pour ce type de contrat ou l'adhésion n'a pas été directement réalisée à l'initiative du bénéficiaire.

    En effet, le salarié peut ignorer ou avoir oublié qu’il est bénéficiaire d’un contrat de ce type. Par ailleurs, lorsque le salarié a déménagé ou effectué une mobilité professionnelle, l'assureur peut alors avoir des difficultés à retrouver le bénéficiaire.

    Comment trouver un contrat d'assurance retraite dont vous seriez le bénéficiaire ?

    Afin de retrouver tous leurs produits d’épargne retraite supplémentaire, tous les salariés, à la retraite ou encore en activité, peuvent désormais vérifier, de façon simple (et gratuite), s’ils sont bénéficiaires d’un ou plusieurs contrats d’épargne retraite supplémentaire.

    Pour cela :

    1. connectez-vous à votre compte info-retraite.fr,
    2. cliquez par la suite sur Mon épargne retraite.

    J’accède à mon service en ligne

    https://www.info-retraite.fr/portail-services/

     

    Qu’est-ce qu’Info Retraite ?

    Info Retraite est géré par l’Union Retraite, le groupement d’intérêt public (GIP) qui réunit les régimes de retraite obligatoires, de base et complémentaires. Ce groupement met en œuvre le « droit à l’information » des assurés sur leur future retraite, prévue par les lois de 2003 et 2010. Les services qu’il propose sont disponibles sur le site internet commun à tous les régimes de retraite info-retraite.fr.

    Pour lutter contre la déshérence de certains produits de retraite supplémentaire, le comité consultatif du secteur financier (CCSF) a missionné l’Union Retraite pour informer les Français sur leur épargne retraite. La loi Labaronne a été adoptée le 26 février 2021.

    Comment utiliser le service « Mon épargne retraite » ?

    Ce service en ligne est gratuit et propose de consulter la liste des produits d'épargne retraite individuels ou collectifs pour lesquels vous êtes identifié comme titulaire depuis un ordinateur ou une tablette, mais également via l'application mobile « Mon compte retraite ».

    Pour utiliser ce service, connectez-vous tout d'abord avec votre numéro de sécurité sociale ou utilisez FranceConnect (ce service permet une connexion aux services publics en ligne simplifiée et sécurisée).

    Dès que votre connexion est réalisée, l'écran d'accueil vous permet instantanément de voir si vous êtes bénéficiaire d'un ou plusieurs contrats. En effet, si un produit s’affiche, cela signifie que vous, ou peut-être l’un de vos employeurs, avez cotisé auprès d’un ou plusieurs organismes privés pour bénéficier d’une retraite supplémentaire.

    A contrario, si aucun produit ne s'affiche, cela signifie que vous n'êtes titulaire d'aucun produit d'épargne retraite supplémentaire (ou bien que celui-ci e a été soldé ou que le capital a déjà été perçu).

    Comment bénéficier de vos droits ?

    Pour faire valoir ses droits, le titulaire doit contacter l’organisme en charge de son ou ses produits.

    Pour chaque produit, selon ce qui aura été communiqué par l’organisme gestionnaire, le titulaire disposera d'un certain nombre d'informations (numéro client, type de produit, nom et coordonnées de l’organisme de gestion, date d’effet du contrat, date prévisionnelle de fin du contrat, etc.).

  • vacances 2008 ? (03 08 2008)

     

    Ces moindres départs pèsent certainement sur le début de saison touristique, en demi-teinte selon les données recueillies par l'AFP. En juin, les réservations ont baissé de 7 %, et de 21 % pour les séjours dans l'Hexagone, selon l'Association des tour-opérateurs français. L'activité des hôteliers s'est stabilisée en juillet, voire a légèrement reculé par rapport au même mois de 2007, qui a été une bonne année. Même la Côte d'Azur, pourtant prise d'assaut l'été dernier par les touristes en quête de soleil, n'échappe pas à la morosité ambiante : le syndicat hôtelier Nice-Côte d'Azur a noté un recul de l'ordre de 3 à 4 % en juillet. En Midi-Pyrénées, les prévisions de l'Observatoire du tourisme étaient plutôt pessimistes pour ce premier mois d'été, avec "une stabilité ou légère baisse de la fréquentation des hôtels et campings". Les Pyrénées-Orientales, qui avaient bénéficié l'an dernier d'un report de touristes de l'Atlantique vers la Méditerranée, n'ont pas connu cette fois le même phénomène, déplore Jean-Paul Richaud, président de l'office du tourisme d'Argelès-sur-Mer. A Paris, "les terrasses des cafés sont bien remplies", mais le chiffre d'affaires des restaurateurs est en berne, "car les touristes consomment davantage de sandwiches et de salades", selon Christian Navet, président de l'Union des métiers et de l'industrie de l'hôtellerie d'Ile-de-France.

     

    L'OPTIMISME PRÉVAUT POUR AOÛT

     

    "Malgré les nuages noirs, comme le pétrole cher et l'euro fort, la tendance reste bonne à Paris", qui a fait le plein le week-end du 14 juillet, nuance Paul Roll, directeur général de l'office de tourisme. Autre gagnant de l'été, le Nord-Pas-de-Calais qui profite à plein de l'effet Bienvenue chez les Ch'tis : "L'année 2008 est un très bon cru", assure Bernard Sandras, directeur du comité de tourisme. Les "prévisions de remplissage" sont en hausse de dix points. En Lorraine, les restaurants de Gérardmer, plus grande station touristique des Vosges, sont désertés et les locations en juillet ont "frisé la catastrophe", selon les professionnels, mais les réservations pour août sont plus "prometteuses". En Bretagne, Bruno Bodard, directeur de l'office de tourisme du pays de Vannes, constate que "le mois de juillet est presque creux", mais le secteur "s'attend à un raz de marée début août"42 % des Français ne partent pas en vacances cet été

     

    Article lu le 31 juillet 2008 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au texte original)

     

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/07/31/42-des-francais-ne-partent-pas-en-vacances-cet-ete_1078885_3224.html#xtor=EPR-32280123

     

     

    D'après une étude IFOP publiée jeudi 31 juillet dans L'Humanité, 42 % des Français ne partiront pas en vacances d'été, soit 10 % de plus qu'en 2005. Les ouvriers et les employés sont les plus nombreux à avoir renoncé à prendre des congès d'été. 41 % des ouvriers et 47 % des employés ne sont pas partis en juillet et ne partiront pas en août. En 2005, seul 20 % des ouvriers et 34 % des employés y avaient renoncé. Principale raison invoquée : la hausse des prix et la baisse du pouvoir d'achat, le problème "le plus important aujourd'hui pour la France" pour 45 % des personnes interrogées par l'IFOP.