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  • maladies rares (point 30 04 2008)

    Devenir du Plan Maladies Rares Lu sur le site du Sénat le 25 avril 2008 http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ080303821
    Question écrite n° 03821 de M. Dominique Leclerc (Indre-et-Loire – UMP) M. Dominique Leclerc attire l'attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative sur les vives inquiétudes manifestées par les quatre millions de personnes touchées par quelque 8 000 maladies orphelines.
    Mis en place en 2005, le Plan maladies rares malgré ses lacunes, a permis d'améliorer la formation des personnels de santé dans le domaine des maladies orphelines. Celles-ci sont désormais mieux diagnostiquées.

     


    Ce plan, mis en place en 2005, témoignait une reconnaissance officielle des maladies rares, ouvrant ainsi un espoir aux malades et à leurs familles souvent confrontés à la méconnaissance des diverses administrations et exclus de l'accès aux prestations sociales pour les malades et leurs proches.

     


    Ce plan arrivera à échéance au 31 décembre 2008, il apparaît indispensable de poursuivre et renforcer la prise en charge des maladies orphelines. Il lui demande donc quelles mesures le Gouvernement entend prendre pour les années à venir.

     

     

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  • franchises médicales (suivi 29 04 2008)

    L'attribution des recettes des franchises médicales reste floue

    Article de Mme Cécile Prieur lue sur le site du Monde, le 23 avril 2008 http://www.lemonde.fr/politique/article/2008/04/23/l-attribution-des-recettes-des-franchises-medicales-reste-floue_1037417_823448.html#ens_id=628859

    Entrées en vigueur le 1er janvier 2008, les franchises ont été créées pour financer les nouveaux besoins de santé, comme la lutte contre Alzheimer. Or, les crédits qu'elles engendrent (850 millions d'euros d'économie pour l'assurance-maladie) ne sont nullement sanctuarisés pour financer des programmes de santé publique. "En aucun cas, les franchises ne financent spécifiquement le plan Alzheimer, déplore Florence Arnaiz-Maumé, déléguée générale du Syndicat national des établissements et résidences privées pour personnes âgées (Synerpa). En réalité, l'économie engendrée par les franchises reste dans les caisses de la Sécurité sociale, elle est là pour combler le déficit."  

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  • agriculture familiale : avenir ? (28 04 2008)

    Le rempart de l'agriculture familiale

     

    Chronique de MM Stéphane Hessel et Robert Lion (AgriSud International) lue le 22 avril sur le site du Monde

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/04/22/le-rempart-de-l-agriculture-familiale-par-stephane-hessel-et-robert-lion_1036969_3232.html

     

     

    La crise alimentaire qui affecte de nombreux pays pauvres n'est que l'aggravation d'une situation depuis longtemps dramatique : plus de 1 milliard de personnes en Afrique, en Amérique latine, en Asie du Sud souffrent de malnutrition aiguë. Pouvoir faire un ou deux repas quotidiens qui apportent quelques centaines de calories est, jour après jour, leur première préoccupation.

     

    Les causes de cette aggravation ont été expliquées. Une raison importante a été généralement oubliée : le dépérissement, notamment en Afrique, de la petite exploitation vivrière, celle qui approvisionne les marchés locaux en produits alimentaires : céréales, manioc, fruits et légumes, volaille, etc.

     

    L'agriculture traditionnelle a en effet largement fait place à des cultures à vocation industrielle (arachide, café, cacao, coton, caoutchouc...) destinées à l'exportation. Notons que l'on n'exporte en général que des produits bruts, sans valeur ajoutée sur place. Cette orientation productiviste, poussée parfois jusqu'à la monoculture pour un même pays, a été appuyée par les bailleurs de fonds, par des politiques de coopération à courte vue, aussi bien que par les gouvernements locaux, toujours friands de grands projets ; à l'origine, et pour sa mise en oeuvre, on trouve de grandes entreprises du Nord, qui en ont tiré de formidables profits. Ce processus est en train de se répéter avec les biocarburants.

     

    Or tout cela a tourné au désastre. Sur les marchés des matières premières, ces nouvelles cultures ont été concurrencées par celles de pays asiatiques, où la main-d'oeuvre est très bon marché et la productivité élevée, et par celles des Etats-Unis et de l'Europe, qui subventionnent leurs producteurs. Cela concerne par exemple le coton, le café, le riz, le maïs.

     

     

     

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  • agrocarburants : perspectives (27 04 2008)

    Les agrocarburants de deuxième génération ne seront pas prêts avant une décennie

     

    Article de Mme Laurence Caramel lu le 22 avril 2008 sur le site du Monde

     

    http://www.lemonde.fr/sciences-et-environnement/article/2008/04/22/les-agrocarburants-de-deuxieme-generation-ne-seront-pas-prets-avant-une-decennie_1036911_3244.html#ens_id=628865

     

    Les agrocarburants n'ont plus la cote. Lundi 21 avril, le président péruvien, Alan Garcia, les a accusés d'être à l'origine de la crise alimentaire actuelle. La ministre allemande de la coopération et du développement a appelé à suspendre la production de carburants à base de céréales jusqu'à la fin de cette crise. Et ils ont essuyé un feu nourri de critiques lors d'une réunion du Forum international de l'énergie, à Rome.

     

    Les industriels du secteur se sont d'ores et déjà attelés à mettre au point la seconde génération d'agrocarburants, fondée sur la biomasse (l'ensemble des matières organiques) et, promettent-ils, beaucoup plus vertueuse que la première. Le propos relève pour l'instant du pari. Si, partout dans le monde, des chercheurs planchent pour trouver la ressource et la technologie idéales, il faudra attendre une dizaine d'années avant de passer à la production en quantité industrielle de ce carburant du futur.

     

     

     

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  • auto-partage (point 26 04 2008)

    L'auto-partage avec abonnement gratuit

     

     

    Article de M. Olivier Rasemon lu le 20 avril 2008 sur le site du Monde

     

    http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2008/04/16/l-auto-partage-avec-abonnement-gratuit_1035145_3238.html#ens_id=628868

     

     

    Pouvoir utiliser une voiture quelques heures, le temps d'une course ou d'une livraison, est le rêve de tous les citadins qui ont fait le calcul du coût d'un véhicule à soi. La location pour quelques heures - dite auto-partage - grignote peu à peu des parts de marché, d'autant que des loueurs traditionnels, tels que Hertz, viennent, après d'autres, proposer des formules pour quatre ou huit heures, sans abonnement.

     

     

    Toutefois, les progrès sont lents. Dans toute la France, seules "7 000 personnes ont choisi ce mode de transport. La marge de progression est conséquente", relève Jean-Baptiste Schmider, gérant du réseau France Autopartage, qui regroupe une dizaine d'opérateurs dans les grandes villes de France, hors Paris. Dans la capitale, Caisse commune revendique 3 500 abonnés et Mobizen, la dernière-née, en compte 900.

     

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  • étalement urbain (25 04 2008)

    Environnement : ces villes qui étouffent la campagne

    Article de M. Hervé Kempf lu le 20 avril 2008 sur le site du Monde

    http://www.lemonde.fr/sciences-et-environnement/article/2008/04/18/environnement-ces-villes-qui-etouffent-la-campagne_1035693_3244.html#ens_id=628865

    L'étalement urbain se produit quand l'urbanisation s'étend à une vitesse plus rapide que la croissance de la population. Observé dans tous les pays développés, ce phénomène se traduit par une augmentation de l'espace "consommé" par habitant. Terres agricoles et bois sont transformés en habitat, en zones commerciales ou industrielles et en infrastructures de transport.

    En France, l'extension de ces surfaces a ainsi atteint 6 900 km2 entre 1992 et 2004, soit une augmentation de 20 %, alors que la population ne croissait, dans le même temps, que de 6 %. Ces 6 900 km2 représentent une superficie supérieure à celle d'un département français.

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