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  • Vacances scolaires 2020-2021 (31 08 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 18 juin 2020 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13859?xtor=EPR-100.html

    Vacances scolaires : le calendrier pour 2020-2021

    Publié le 18 juin 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

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  • Grand Prix du Maire de Champignac (palmarès annuel 2013 à 2019) (69/80) (30 08 2020)

    Après les séries précédentes (2005 à 2012), nous reprenons avec humilité et gourmandise, la publication (2 à 5 par dimanche, pour ne pas dépasser la dose prescrite) d’extraits d’articles ou de déclarations en politique, sports, loisirs ou société dont l’humour involontaire fleurit grâce à l’académie suisse du Grand Prix de Champignac dans sa collecte et son palmarès de 2013 à 2019 (cliquer ici pour accéder au site du Grand Prix de Champignac)

    http://www.distinction.ch/LD.Champignac/LD.Champignac.html

    Grand prix du maire de Champignac (2019)

    .../...

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  • Rappel de produits (mise à jour du 28 08 2020) (29 08 2020)

    Comme chaque samedi, nous proposons ici la liste des avis de rappel  publiés récemment (semaines n et n-1) sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site de la DGCCRF)

    https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/securite/avis-rappels-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent une fiche (photo, produit, société, nature du risque) de l’article concerné

    • Avis de rappel de barres Natural bar fruit & nut de marque HEMA 28 août 2020
    • Nom du produit: Natural bar fruit & nut
    • Marque: HEMA
    • Référence : numéro d'article 10.41.0001
    • Risque: En raison de la présence possible de la bactérie salmonelle dans l’article HEMA Natural bar fruit & nut article numéro 10.41.0001, HEMA invite les clients à ne pas consommer ce produit et à le rapporter au magasin. La contamination à cette bactérie présente un risque pour la santé. Ce risque est surtout présent chez les jeunes enfants, les personnes âgées, les personnes immunodéprimées et les femmes enceintes. Consultez directement un médecin en cas de troubles. Toutes les personnes qui sont en possession de cet article, sont priées de ne pas l’utiliser et de le rapporter à un magasin HEMA. Le montant de votre achat vous sera alors remboursé avec ou sans ticket de caisse.
    • Affichette du professionnel- PDF, 150 Ko

     

    • Avis de rappel d'une prise électrique 2p +T Série Mara de marque ZEIGER 27 août 2020
    • Nom du produit: Prise électrique 2p +T Série Mara
    • Marque: Zeiger
    • Référence: 1255030 - Prise 2 p +T Mara Blanc - Code barres : 3276000704966
    • Référence : 1255086 – Lot de 5 prises 2p+T Mara Blanc – Code barres : 3276000704737
    • Risque: Ces produits sont susceptibles d’avoir une défaillance au niveau de la fiche de terre exposant ainsi à un risque d’électrisation.
    • Commentaire: Merci de ne plus utiliser ces produits et de contacter le professionnel chez lequel ils ont été achetés.

     

    • Avis de rappel de légumes à ratatouille 25 août 2020
    • Nom du produit: Légumes à ratatouille
    • Agent: Flandrileg France
    • Fournisseur: HOOGSTRATEN
    • Lots : 3205/884.00 et 3301/919.00
    • Origine : Pays-Bas
    • Date de commercialisation : du 11/08/2020 au 16/08/2020
    • Risque: La société Flandrileg France procède par mesure de précaution au retrait et au rappel des Légumes à ratatouille suite à un dépassement de la limite maximale de résidus sur la molécule «flonicamide» sur le poivron vert contenu dans le mélange. Il est donc recommandé aux personnes qui détiendraient ces produits de ne pas les consommer et de les rapporter au point de vente où ils vous seront remboursés même sans présentation du ticket de caisse. Les personnes qui auraient consommé ce produit et qui présenteraient des symptômes de maladie sont invitées à contacter leur médecin.
    • Affichette du professionnel- PDF, 155 Ko

     

    Nom du produit : Barre aux fruits secs – Noix du Brésil & raisin sec

    Marque : EAT NATURAL

    Référence :

    • Présentation :

    - barre de 50g en sachet individuel violet, code-barres 50676262

    - lot de 3 barres dans une boîte carton, 3x50g, code-barres 5013803666149

    • Tous les produits ayant une des DDM suivantes (à consommer de préférence avant fin) : 08/2020, 09/2020, 10/2020, 11/2020, 12/2020, 04/2021

    Risque : En raison de la détection de salmonelles dans les produits mentionnés ci-dessus, il est demandé aux personnes qui détiendraient ces produits de ne pas les consommer et de les détruire, ou de se les faire rembourser. Les toxi-infections alimentaires causées par les salmonelles se traduisent par des troubles gastro-intestinaux souvent accompagnés de fièvre dans les quarante-huit heures qui suivent la consommation des produits contaminés. Ces symptômes peuvent être aggravés chez les jeunes enfants, les sujets immunodéprimés et les personnes âgées. Les personnes qui auraient consommé les « produits » mentionnés ci-dessus et qui présenteraient ces symptômes, sont invitées à consulter leur médecin traitant en lui signalant cette consommation.

    Affichette du professionnel - PDF, 630 Ko

    Liste des Rappels de la semaine précédente

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  • Convention citoyenne pour le climat : SE NOURRIR (5/5) (28 08 2020)

    Nous vous proposons cette semaine, lundi puis les quatre jours suivants, cinq extraits thématiques du rapport final de la Convention citoyenne pour le climat adopté le 21 juin 2020 (Se déplacer/Consommer/Se Loger/Produire Travailler/Se nourrir)

    https://propositions.conventioncitoyennepourleclimat.fr/se-nourrir-2/.html

    Le constat

    Les émissions de gaz à effet de serre issues de l’alimentation des ménages en France s’élèvent à 163 Mt d’eqCO2, soit 24 % de l’empreinte carbone des ménages en France. Les émissions du secteur agricole et alimentaire doivent être divisées par deux pour atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050. À plus court terme, pour atteindre l’objectif de réduction d’au moins 40% des gaz à effet de serre en 2030, les émissions gaz à effet de serre de l’agriculture et de l’alimentation doivent être réduites de 20% par rapport à 2015. Des mesures, programmes et actions sont déjà en cours aujourd’hui mais n’ont pas réussi à entamer un changement assez profond de l’assiette du consommateur pour réduire les émissions.

    Nous entendons mobiliser des leviers d’action pour réduire les émissions, qui agissent comme un ensemble. Il nous semble important d’agir sur l’ensemble de la chaîne de production alimentaire en partant du consommateur jusqu’à l’agriculteur. Cette modification profonde de notre système passe par un changement de nos habitudes et l’adoption progressive d’une nouvelle assiette. D’ici 2030, notre assiette devra comprendre 20% de viande et de produits laitiers en moins mais plus de fruits et légumes, de légumes secs et de céréales.

    Par chance, ces évolutions souhaitables pour le climat vont dans le même sens que celles qui sont souhaitables pour la santé si l’on en croit les derniers repères nutritionnels publiés en 2018 par le Haut conseil de santé publique qui ajoute qu’il serait bon qu’au moins 20% des fruits et légumes, céréales, légumineuses soient issus de produits biologiques.

    Nous ne voulons pas dicter aux gens ce qu’ils doivent consommer. Nous voulons plutôt nous assurer que tout le monde ait accès aux bonnes informations concernant les impacts sur le climat et la santé, de son choix d’achat ou de consommation ; que le choix de produits adaptés soit facilité et accessible à tous ; que les producteurs soient aidés et accompagnés pour adapter leurs pratiques, organiser une offre adaptée aux nouveaux besoins. Nous avons conscience de la connexion à l’extérieur de notre système alimentaire : notre volonté est d’agir dans un contexte globalisé avec efficacité.

    L'ambition

    • Se nourrir est un besoin vital, cependant il génère de nombreuses émissions de gaz à effet de serre. Il est urgent de faire évoluer notre façon de manger et de réinventer un système alimentaire durable d’ici à 2030 ;
    • Chacun devrait pouvoir accéder à une alimentation saine, durable et de qualité, grâce à une agriculture, une pêche, une industrie agroalimentaire, respectueuses du climat, des écosystèmes et de la biodiversité ;

    Pour réduire d’au moins 40% les émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030 et dans un esprit de justice sociale, nous devons développer de nouvelles pratiques agricoles, de pêche et environnementales, ainsi que transformer l’industrie agroalimentaire et la distribution dans un souci éthique, tout en portant une ambition de changement du modèle économique du système agricole.

    Les objectifs

     

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  • Convention citoyenne pour le climat : PRODUIRE TRAVAILLER (4/5) (27 08 2020)

    Nous vous proposons cette semaine, lundi puis les quatre jours suivants, cinq extraits thématiques du rapport final de la Convention citoyenne pour le climat adopté le 21 juin 2020 (Se déplacer/Consommer/Se Loger/Produire Travailler/Se nourrir)

    https://propositions.conventioncitoyennepourleclimat.fr/produire-et-travailler/.html

    Le constat

    Les solutions existent pour réaliser la transition vers une disparition progressive des émissions de gaz à effet de serre. Cependant, le cadre actuel, que ce soit l’orientation des investissements, les règles des marchés publics, ou encore l’accompagnement des entreprises et la formation, ne permet pas de répondre pleinement à cet enjeu.

    Le passage à une société décarbonée implique de transformer pleinement l’appareil de production ou encore les métiers. De nombreuses entreprises et personnes vont voir leur activité disparaître ou au moins être fortement impactée. Cette transition peut constituer une opportunité pour l’économie et l’emploi mais sans accompagnement, sans dispositifs adaptés, beaucoup pourraient en souffrir.

    Enfin, le problème climatique et les émissions de gaz à effets de serre sont globaux. La France comme l’Europe doivent être moteurs, mais nous devons envisager les liens de notre économie avec le reste du monde, les impacts de nos importations et prévenir des effets négatifs, indésirables, de nos mesures de transition en dehors de nos frontières.

    L'ambition

    Nous souhaitons contribuer à une société décarbonée durable, éthique et juste, respectueuse de la vie et de notre planète. Nous voulons arrêter la destruction de la planète et donner à nos enfants un cadre vivable, débarrassé de toute pollution.

    Les propositions du groupe « Produire et travailler » s’inscrivent dans cette logique. Nous voulons produire pour vivre et non pas vivre pour produire.

    Nos propositions visent à produire et travailler mieux, de manière responsable en concevant des produits durables et en privilégiant une production locale. Nous demandons l’abandon progressif de toute énergie carbonée.

    Tous nos outils de production doivent être transformés et adaptés aux exigences de la transition écologique. Cela demande de l’anticipation pour transformer les comportements de toutes les parties prenantes : citoyens, entreprises et encore acteurs publics.

    Dans une économie globalisée, nous devons nous assurer de prendre en compte cette exigence dans nos importations.

    Les objectifs

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  • Convention citoyenne pour le climat : SE LOGER (3/5) (26 08 2020)

    Nous vous proposons cette semaine, lundi puis les quatre jours suivants, cinq extraits thématiques du rapport final de la Convention citoyenne pour le climat adopté le 21 juin 2020 (Se déplacer/Consommer/Se Loger/Produire Travailler/Se nourrir)

    https://propositions.conventioncitoyennepourleclimat.fr/se-loger-2/.html

    Le constat

    L’organisation de l’habitat et de toutes les constructions (dont le logement, les bâtiments et les infrastructures) participent ensemble directement ou indirectement aux 2/3 des émissions de gaz à effet de serre de la France. Les formes urbaines ainsi que l’état de nos bâtiments ont en effet un impact sur nos consommations d’énergie, sur les déplacements, sur la production de déchets, les habitudes de consommation … Le parc immobilier français (résidentiel-tertiaire) à lui seul représente 16% des émissions de gaz à effet de serre de la France et nécessite une réduction par 10 des émissions pour atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050.

    A plus court terme, pour atteindre l’objectif de réduction d’au moins 40% des gaz à effet de serre en 2030, les émissions gaz à effet de serre des bâtiments doivent être divisées par 2 (-49% par rapport à 2015 pour respecter la trajectoire de la Stratégie nationale bas carbone-SNBC). Beaucoup de choses sont faites aujourd’hui mais principalement via des leviers incitatifs qui n’ont pas suffi pour réduire les émissions. En effet, celles-ci ont vu leur progression ralentir, mais cette légère amélioration a été en grande partie effacée par l’augmentation du nombre de bâtiments (constructions neuves) et de la hausse de la surface moyenne des logements. Il faut donc agir massivement et globalement.

    Parmi les leviers d’action pour réduire les émissions du bâtiment que nous entendons comme un ensemble (logements des particuliers et logements collectifs, bâtiments tertiaires et industriels, bâtiments publics et grandes infrastructures), nous avons identifié que la rénovation, la décarbonation de l’énergie et la réduction des surfaces urbanisées au profit de la densification étaient importants. Les changements d’habitudes pour limiter la consommation d’énergie par personne et le développement de la maison individuelle au profit d’habitats collectifs sont aussi incontournables.

    L’usage de l’énergie dans les bâtiments doit être raisonné, notamment pour les bâtiments publics et tertiaires.

    L’ensemble de ces actions présentent des potentiels pour limiter les émissions de gaz à effet de serre. Nous sommes aussi conscients que toucher au logement et aux constructions en général peut avoir des impacts importants pour les Français. Il faut donc accompagner l’ensemble de nos concitoyens avec des politiques exigeantes et ambitieuses qui rendent supportable le reste à charge des travaux et les dépenses mensuelles pour les classes moyennes et les plus démunis. Mais aussi pour que l’ensemble des acteurs du bâtiment et des particuliers soient capables d’effectuer ce grand chantier national en étant gagnant.

    L'ambition

    Dans nos territoires nous souhaitons que la rénovation des logements permette à tous, même les plus démunis, de vivre dans des logements bien isolés et confortables. Nous voulons que la consommation d’énergie fossile dans la ville et les bâtiments soit réduite significativement. Nous appelons à des mesures fortes contre l’étalement urbain, pour protéger durablement nos espaces naturels, agricoles et forestiers qui stockent le carbone, et pour réduire les mobilités contraintes et les déplacements non consentis. Nous voulons sensibiliser les Français à l’intérêt de la ville plus compacte et au besoin de mettre un terme au modèle de la maison individuelle.

    Nous sommes convaincus que la ville peut être agréable quand elle est végétalisée, rénovée, construite avec des matériaux biosourcés et que les politiques publiques accompagnent les villes et villages. Enfin, nous pensons que la transition vers la ville rénovée aura des effets positifs pour l’économie et l’emploi et la réduction de la facture pétrolière et gazière.

    Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030, c’est l’ensemble des bâtiments qu’il faut aborder. Nous souhaitons qu’en 2030, la France ait :

    • Amorcé la transformation de l’ensemble du parc immobilier incluant le logement collectif et celui des particuliers, les bâtiments tertiaires et industriels, les bâtiments publics et les grandes infrastructures, en généralisant la rénovation, la construction bas carbone et à énergie positive :
    • Tout le monde aura contribué à améliorer la performance énergétique et thermique des bâtiments grâce à la rénovation globale obligatoire mise en place par étapes d’ici à 2040. Un vaste dispositif d’accompagnement rendra cette rénovation accessible à tous : des moyens financiers publics et privés largement augmentés ainsi que des guichets uniques de proximité pour aider chacun à mettre en place et financer sa rénovation aideront la rénovation globale ;
    • La rénovation et la construction bas carbone seront largement développées grâce à la formation de l’ensemble des acteurs du bâtiment et des travaux publics (BTP). La formation permettant à tous les professionnels de comprendre les métiers des autres afin d’assurer la rénovation globale, et l’expérience sur chantier, sont incontournables pour parvenir à atteindre les objectifs de transformation des modes de rénovation.
    • Diminué sa consommation d’énergie et réduit l’utilisation des énergies fossiles dans les lieux publics et les entreprises. Grâce notamment à la pédagogie et à la sensibilisation pour changer les comportements, mais aussi grâce à des mesures fortes pour restreindre la consommation et changer les installations existantes dans les espaces publics, notamment concernant le chauffage.

    Maitrisé l’étalement urbain et encouragé la construction de la ville sur la ville pour préserver les espaces naturels, agricoles et forestiers nécessaires à la transition écologique. Le végétal et la forêt seront beaucoup plus présents dans les villes, seront préservés et bien gérés dans l’ensemble des territoires. La ville et les déplacements seront plus vivables pour tous et adaptés aux changements climatiques. La mixité sociale sera assurée.

    Les objectifs

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