https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13859?xtor=EPR-100.html
Vacances scolaires : le calendrier pour 2020-2021
Publié le 18 juin 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
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https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13859?xtor=EPR-100.html
Vacances scolaires : le calendrier pour 2020-2021
Publié le 18 juin 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
http://www.distinction.ch/LD.Champignac/LD.Champignac.html
Grand prix du maire de Champignac (2019)
.../...
https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/securite/avis-rappels-produits.html
NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent une fiche (photo, produit, société, nature du risque) de l’article concerné
Nom du produit : Barre aux fruits secs – Noix du Brésil & raisin sec
Marque : EAT NATURAL
Référence :
- barre de 50g en sachet individuel violet, code-barres 50676262
- lot de 3 barres dans une boîte carton, 3x50g, code-barres 5013803666149
Risque : En raison de la détection de salmonelles dans les produits mentionnés ci-dessus, il est demandé aux personnes qui détiendraient ces produits de ne pas les consommer et de les détruire, ou de se les faire rembourser. Les toxi-infections alimentaires causées par les salmonelles se traduisent par des troubles gastro-intestinaux souvent accompagnés de fièvre dans les quarante-huit heures qui suivent la consommation des produits contaminés. Ces symptômes peuvent être aggravés chez les jeunes enfants, les sujets immunodéprimés et les personnes âgées. Les personnes qui auraient consommé les « produits » mentionnés ci-dessus et qui présenteraient ces symptômes, sont invitées à consulter leur médecin traitant en lui signalant cette consommation.
Affichette du professionnel - PDF, 630 Ko
Liste des Rappels de la semaine précédente
https://propositions.conventioncitoyennepourleclimat.fr/se-nourrir-2/.html
Le constat
Les émissions de gaz à effet de serre issues de l’alimentation des ménages en France s’élèvent à 163 Mt d’eqCO2, soit 24 % de l’empreinte carbone des ménages en France. Les émissions du secteur agricole et alimentaire doivent être divisées par deux pour atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050. À plus court terme, pour atteindre l’objectif de réduction d’au moins 40% des gaz à effet de serre en 2030, les émissions gaz à effet de serre de l’agriculture et de l’alimentation doivent être réduites de 20% par rapport à 2015. Des mesures, programmes et actions sont déjà en cours aujourd’hui mais n’ont pas réussi à entamer un changement assez profond de l’assiette du consommateur pour réduire les émissions.
Nous entendons mobiliser des leviers d’action pour réduire les émissions, qui agissent comme un ensemble. Il nous semble important d’agir sur l’ensemble de la chaîne de production alimentaire en partant du consommateur jusqu’à l’agriculteur. Cette modification profonde de notre système passe par un changement de nos habitudes et l’adoption progressive d’une nouvelle assiette. D’ici 2030, notre assiette devra comprendre 20% de viande et de produits laitiers en moins mais plus de fruits et légumes, de légumes secs et de céréales.
Par chance, ces évolutions souhaitables pour le climat vont dans le même sens que celles qui sont souhaitables pour la santé si l’on en croit les derniers repères nutritionnels publiés en 2018 par le Haut conseil de santé publique qui ajoute qu’il serait bon qu’au moins 20% des fruits et légumes, céréales, légumineuses soient issus de produits biologiques.
Nous ne voulons pas dicter aux gens ce qu’ils doivent consommer. Nous voulons plutôt nous assurer que tout le monde ait accès aux bonnes informations concernant les impacts sur le climat et la santé, de son choix d’achat ou de consommation ; que le choix de produits adaptés soit facilité et accessible à tous ; que les producteurs soient aidés et accompagnés pour adapter leurs pratiques, organiser une offre adaptée aux nouveaux besoins. Nous avons conscience de la connexion à l’extérieur de notre système alimentaire : notre volonté est d’agir dans un contexte globalisé avec efficacité.
Pour réduire d’au moins 40% les émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030 et dans un esprit de justice sociale, nous devons développer de nouvelles pratiques agricoles, de pêche et environnementales, ainsi que transformer l’industrie agroalimentaire et la distribution dans un souci éthique, tout en portant une ambition de changement du modèle économique du système agricole.
https://propositions.conventioncitoyennepourleclimat.fr/produire-et-travailler/.html
Le constat
Les solutions existent pour réaliser la transition vers une disparition progressive des émissions de gaz à effet de serre. Cependant, le cadre actuel, que ce soit l’orientation des investissements, les règles des marchés publics, ou encore l’accompagnement des entreprises et la formation, ne permet pas de répondre pleinement à cet enjeu.
Le passage à une société décarbonée implique de transformer pleinement l’appareil de production ou encore les métiers. De nombreuses entreprises et personnes vont voir leur activité disparaître ou au moins être fortement impactée. Cette transition peut constituer une opportunité pour l’économie et l’emploi mais sans accompagnement, sans dispositifs adaptés, beaucoup pourraient en souffrir.
Enfin, le problème climatique et les émissions de gaz à effets de serre sont globaux. La France comme l’Europe doivent être moteurs, mais nous devons envisager les liens de notre économie avec le reste du monde, les impacts de nos importations et prévenir des effets négatifs, indésirables, de nos mesures de transition en dehors de nos frontières.
L'ambition
Nous souhaitons contribuer à une société décarbonée durable, éthique et juste, respectueuse de la vie et de notre planète. Nous voulons arrêter la destruction de la planète et donner à nos enfants un cadre vivable, débarrassé de toute pollution.
Les propositions du groupe « Produire et travailler » s’inscrivent dans cette logique. Nous voulons produire pour vivre et non pas vivre pour produire.
Nos propositions visent à produire et travailler mieux, de manière responsable en concevant des produits durables et en privilégiant une production locale. Nous demandons l’abandon progressif de toute énergie carbonée.
Tous nos outils de production doivent être transformés et adaptés aux exigences de la transition écologique. Cela demande de l’anticipation pour transformer les comportements de toutes les parties prenantes : citoyens, entreprises et encore acteurs publics.
Dans une économie globalisée, nous devons nous assurer de prendre en compte cette exigence dans nos importations.
Les objectifs
https://propositions.conventioncitoyennepourleclimat.fr/se-loger-2/.html
Le constat
L’organisation de l’habitat et de toutes les constructions (dont le logement, les bâtiments et les infrastructures) participent ensemble directement ou indirectement aux 2/3 des émissions de gaz à effet de serre de la France. Les formes urbaines ainsi que l’état de nos bâtiments ont en effet un impact sur nos consommations d’énergie, sur les déplacements, sur la production de déchets, les habitudes de consommation … Le parc immobilier français (résidentiel-tertiaire) à lui seul représente 16% des émissions de gaz à effet de serre de la France et nécessite une réduction par 10 des émissions pour atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050.
A plus court terme, pour atteindre l’objectif de réduction d’au moins 40% des gaz à effet de serre en 2030, les émissions gaz à effet de serre des bâtiments doivent être divisées par 2 (-49% par rapport à 2015 pour respecter la trajectoire de la Stratégie nationale bas carbone-SNBC). Beaucoup de choses sont faites aujourd’hui mais principalement via des leviers incitatifs qui n’ont pas suffi pour réduire les émissions. En effet, celles-ci ont vu leur progression ralentir, mais cette légère amélioration a été en grande partie effacée par l’augmentation du nombre de bâtiments (constructions neuves) et de la hausse de la surface moyenne des logements. Il faut donc agir massivement et globalement.
Parmi les leviers d’action pour réduire les émissions du bâtiment que nous entendons comme un ensemble (logements des particuliers et logements collectifs, bâtiments tertiaires et industriels, bâtiments publics et grandes infrastructures), nous avons identifié que la rénovation, la décarbonation de l’énergie et la réduction des surfaces urbanisées au profit de la densification étaient importants. Les changements d’habitudes pour limiter la consommation d’énergie par personne et le développement de la maison individuelle au profit d’habitats collectifs sont aussi incontournables.
L’usage de l’énergie dans les bâtiments doit être raisonné, notamment pour les bâtiments publics et tertiaires.
L’ensemble de ces actions présentent des potentiels pour limiter les émissions de gaz à effet de serre. Nous sommes aussi conscients que toucher au logement et aux constructions en général peut avoir des impacts importants pour les Français. Il faut donc accompagner l’ensemble de nos concitoyens avec des politiques exigeantes et ambitieuses qui rendent supportable le reste à charge des travaux et les dépenses mensuelles pour les classes moyennes et les plus démunis. Mais aussi pour que l’ensemble des acteurs du bâtiment et des particuliers soient capables d’effectuer ce grand chantier national en étant gagnant.
Dans nos territoires nous souhaitons que la rénovation des logements permette à tous, même les plus démunis, de vivre dans des logements bien isolés et confortables. Nous voulons que la consommation d’énergie fossile dans la ville et les bâtiments soit réduite significativement. Nous appelons à des mesures fortes contre l’étalement urbain, pour protéger durablement nos espaces naturels, agricoles et forestiers qui stockent le carbone, et pour réduire les mobilités contraintes et les déplacements non consentis. Nous voulons sensibiliser les Français à l’intérêt de la ville plus compacte et au besoin de mettre un terme au modèle de la maison individuelle.
Nous sommes convaincus que la ville peut être agréable quand elle est végétalisée, rénovée, construite avec des matériaux biosourcés et que les politiques publiques accompagnent les villes et villages. Enfin, nous pensons que la transition vers la ville rénovée aura des effets positifs pour l’économie et l’emploi et la réduction de la facture pétrolière et gazière.
Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030, c’est l’ensemble des bâtiments qu’il faut aborder. Nous souhaitons qu’en 2030, la France ait :
Maitrisé l’étalement urbain et encouragé la construction de la ville sur la ville pour préserver les espaces naturels, agricoles et forestiers nécessaires à la transition écologique. Le végétal et la forêt seront beaucoup plus présents dans les villes, seront préservés et bien gérés dans l’ensemble des territoires. La ville et les déplacements seront plus vivables pour tous et adaptés aux changements climatiques. La mixité sociale sera assurée.