Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 31 janvier 2024 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)
https://www.insee.fr/fr/statistiques/7760027.html
En janvier 2024, les prix à la consommation augmentent de 3,1 % sur un an
Indice des prix à la consommation - résultats provisoires (IPC) - janvier 2024
INFORMATIONS RAPIDES No 25 Paru le : 31/01/2024
Avertissement
Cette publication s’appuie sur des données provisoires. Les indices qui y figurent sont calculés sur un champ restreint d’observations de prix et à partir d’estimations des évolutions de certains tarifs non encore disponibles. Les résultats définitifs seront publiés le 16 février 2024. En conséquence, les indices provisoires ne doivent pas être utilisés pour des revalorisations contractuelles.
Sur un an, selon l’estimation provisoire réalisée en fin de mois, les prix à la consommation augmenteraient de 3,1 % en janvier 2024, après +3,7 % en décembre.
Cette baisse de l’inflation serait due au ralentissement sur un an des prix de l’énergie, de l’alimentation et des produits manufacturés. À l’inverse, les prix des services et du tabac accéléreraient.
Sur un mois, les prix à la consommation se replieraient légèrement en janvier 2024 (‑0,2 % après +0,1 % en décembre). Cette baisse serait due à celle des prix des produits manufacturés, notamment ceux de l’habillement et des chaussures. Les prix du tabac seraient en forte hausse, tandis que ceux de l’alimentation, des services et de l’énergie augmenteraient légèrement sur un mois.
Sur un an, l’indice des prix à la consommation harmonisé augmenterait de 3,4 % en janvier 2024, après +4,1 % en décembre. Sur un mois, il diminuerait légèrement (‑0,2 % après +0,1 % le mois précédent).
Pour en savoir plus
Définition : l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH) est utilisé pour les comparaisons entre membres de l’Union européenne. Il est calculé pour tous les ménages, en France. La principale différence entre l’IPCH et l’IPC porte sur les dépenses de santé : l’IPCH suit des prix nets des remboursements de la sécurité sociale tandis que l’IPC suit des prix bruts.