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  • Vieillir en forme (07 03 2013)

    Article paru dans le bulletin EQUILIBRES n°91 de mars 2013 de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

     

    http://www.inpes.fr/CFESBases/equilibre/numeros/91/prevention_vieillir_en_forme_c_est_possible.asp

    Vieillir en forme, c'est possible !

    Depuis janvier, l'Inpes diffuse des publi-rédactionnels à destination des jeunes et futurs retraités. Consacrés à l'activité physique, l'alimentation, la vie affective, la cognition, la prévention santé et les rythmes de vie, ils délivrent conseils et témoignages pour aider les personnes âgées de 55 à 65 ans à adopter des comportements favorables à un vieillissement "en santé et en autonomie".

    Ces publi-rédactionnels ont été élaborés dans le cadre du programme "Vieillir en bonne santé" de l'Inpes, dont l'une des priorités pour les années 2012 et 2013 est de démontrer qu'en adoptant certains comportements protecteurs, bien vieillir – en bonne santé et avec une qualité de vie réelle – est possible.

    En réponse aux attentes

     

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  • Phénoxyéthanol : dangerosité (06 03 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 21 février 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ121203500.html

    Question écrite n° 03500 de M. Philippe Paul (sénateur UMP du Finistère)

    M. Philippe Paul appelle l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé la dangerosité du phénoxyéthanol.

    L'Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (ANSM) a publié, le 1er juin 2012, un rapport qui recommande de « ne pas utiliser, pour les enfants de moins de trois ans, des produits destinés au siège contenant du phénoxyéthanol ». Seraient invoqués des risques pour le foie, le sang et la reproduction.

    Pourtant, cet éther de glycol intervient, en particulier, systématiquement ou presque dans la composition des lingettes pour enfants vendues à grand renfort de mentions destinées à rassurer les parents : « peaux délicates », « formulé sous contrôle médical », « testé sous contrôle pédiatrique », etc.

    Dans son rapport, l'ANSM recommande d' « interdire » son usage dans les produits destinés à laver le siège des très jeunes enfants et d'en « restreindre la concentration dans tous les autres types de produits destinés aux enfants de moins de trois ans ».

    Il lui demande donc de bien vouloir lui faire part des initiatives de prévention immédiate qu'elle compte prendre en la matière.

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 21/02/2013 – p. 590

     

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  • Enquête Retraités (05 03 2013)

    Nous relayons volontiers cet appel à participer à une enquête chez les retraités de plus de 60 ans publié dans le bulletin mensuel AU FIL DES JOURS n°77 du 1er mars 2013, bulletin interne d'informations commun à la Fédération Nationale des Associations de Retraités  FNAR  et à l'Union Française des Retraités UFR (cliquer ici pour accéder au site de la FNAR)

    http://www.fnar.info/.html

    Voici le lien pour accéder directement au questionnaire si vous le souhaitez :

    https://docs.google.com/spreadsheet/viewform?formkey=dGRKWlU4NnZVbkplalJOWkZQY3VlQnc6MQ

     

    AVEZ-VOUS CINQ MINUTES ?

    Dans le cadre de l’année Européenne sur le vieillissement actif et en bonne santé, ILC-France (International Longevity Centre- France) lance un projet de recherche sur la vie des retraités de plus de  60 ans en France. Les données recueillies seront comparées à celles de 14 pays dans le monde. Il est très important d’y participer nombreux. 1000 réponses, une utopie ? Participez tous à cette recherche. Il suffit de répondre à un questionnaire anonyme qui prend 5 minutes.  

    Le questionnaire est en ligne sur le site d’ILC-France (www.ilcfrance.org). Il vous suffira de cliquer sur le lien que vous trouverez en première page du site, rubrique « Actualités » sans avoir besoin de le recopier. Un grand merci de nous accompagner dans cette recherche qui peut nous apporter des arguments fabuleux pour faire de cette période une nouvelle aventure.

    Voici le lien pour accéder directement au questionnaire si vous le souhaitez :

    https://docs.google.com/spreadsheet/viewform?formkey=dGRKWlU4NnZVbkplalJOWkZQY3VlQnc6MQ

    Professeur Françoise Forette, Docteur Marie-Anne Brieu

    ILC-France, 49 rue Mirabeau 75016 Paris - info@ilcfrance.org  - tél : 01 55 74 67 09

  • Filière Viande (04 03 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 22 février 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13020107G.html

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0107G de M. Jean-Jacques Mirassou (sénateur socialiste de la Haute-Garonne)

    M. Jean-Jacques Mirassou. Ma question s'adresse à M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt et concerne le dossier de la fraude à la viande, qui inquiète à juste titre nos compatriotes dans le contexte d'un fort emballement médiatique. 

    Je tiens d'abord à souligner et à saluer le fait que le Gouvernement a agi, tout particulièrement les ministres concernés, MM. Le Foll, Hamon et Garot, dans le cadre de leurs prérogatives respectives, avec rapidité, fermeté, discernement et transparence. (Applaudissements sur les travées du groupe socialiste et du groupe écologiste.) C'était indispensable pour démontrer au consommateur que sa confiance dans les pouvoirs publics français est pleinement justifiée.

    Parallèlement, il faut constater que les méandres européens empruntés par les viandes transformées sont extrêmement complexes. Ce dossier démontre, parce qu'il y a eu manifestement rupture de traçabilité, que les dispositifs de contrôle sont à améliorer. Il est absolument indispensable que le consommateur, dernier maillon de la chaîne, sache ce qu'il y a dans son assiette.

    Plus localement, il était également impératif de rassurer les salariés de la société Spanghero, la population de Castelnaudary, les élus locaux concernés et les parlementaires de l'Aude, et de répondre à leurs interrogations sur la pérennité des emplois de la société visée. De ce point de vue, la suspension de l'agrément, qui n'a pas dépassé quatre jours, était pleinement justifiée et s'inscrivait dans cette logique.

    Les enquêtes sanitaires, administratives et vétérinaires permettront quant à elles de savoir ce qui s'est passé, d'en tirer les conséquences et de prendre des sanctions contre les auteurs de cette fraude.

    Plus généralement, cette affaire s'inscrit dans le cadre d'un commerce alimentaire qui s'est lancé dans une recherche frénétique du profit et où des produits de base de l'alimentation humaine sont désignés par le terme tristement révélateur de « minerai ». C'est ainsi que, en six mois, la vente de 750 tonnes de viande de cheval à la place de viande de bœuf aurait dégagé un surprofit de 550 000 euros !

    Beaucoup reste donc à faire pour parvenir à une solution satisfaisante permettant de garantir non seulement les intérêts des salariés de la filière, mais aussi et surtout ceux des consommateurs. 

    Monsieur le ministre, pouvez-vous faire le point sur l'actualité de ce dossier compliqué, dont l'évolution est très rapide ? Quelles sont les pistes de travail que vous entendez privilégier pour qu'une telle affaire ne se reproduise pas ?

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 22/02/2013 p. 1482

     

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  • Lois pour la vie courante (18/23) (03 03 2013)

    Nous vous proposons le dimanche depuis le 4 novembre 2012, des extraits choisis dans la vaste litanie des principes fondateurs des aléas rencontrés dans les scènes de notre vie courante. Ici la science confine à l’humour, à moins que ce ne soit l’inverse. Pour éviter la saturation et ménager votre esprit cartésien, nous ne publierons que de courtes vagues de 5 lois ou concepts.

    Suite ……

    * La logique est une méthode systématique d'aboutir avec certitude à une mauvaise conclusion.

    * Dites à quelqu'un qu'il y a 300 milliards d'étoiles dans l'univers et il vous croira. Dites lui que la peinture n'est pas sèche et il aura besoin de toucher pour en être sûr.

    * L'erreur est humaine, mais pour provoquer une vraie catastrophe, il faut un ordinateur.

    * Si vous ne comprenez pas quelque chose, dites que c'est évident.

    Autres lois

    LOI DE HADLEY SUR L’ACHAT D’UN VETEMENT

    * Si le vêtement te plaît, ils n’ont pas la bonne taille.

  • Permanence des soins : organisation en Meuse (02 03 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 17 janvier 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120623701.html

    Question écrite n° 23701 de M. Christian Namy (Meuse - UCR)

    M. Christian Namy attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la nouvelle organisation de la permanence des soins en Meuse, menée par l'agence régionale de santé (ARS) de Lorraine, qui suscite colère et indignation auprès des médecins.

    Ainsi, le 16 avril 2012 a été mise en place la nouvelle sectorisation dans le cadre de la loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires (HPST), l'ARS faisant fi des propositions du CDOM 55 (Conseil départemental de l'ordre des médecins) proposant de confier la nuit profonde aux services d'urgence comme dans 50 % des départements.

    Jusqu'alors divisée en dix-neuf secteurs géographiques de garde de nuit (de minuit à 7 h 30), la Meuse, département rural de 152 généralistes dont l'âge moyen est de 52 ans, n'en compte plus aujourd'hui que sept ; l'augmentation de la taille des secteurs conduit inévitablement à un accroissement de la distance d'accès aux soins et/ou des délais d'intervention (des déplacements pouvant aller au-delà de 100 km aller-retour avec un risque d'accidents sur les routes de campagne), à une efficience diminuée, sans coordination avec les pharmacies, à une qualité des soins dégradée.

    En outre, cette nouvelle organisation, provoquant l'explosion des demandes d'exemption de garde pour raison d'âge ou pour raisons médicales, aggrave la désertification médicale de notre département rural à la fois en décourageant d'éventuelles installations mais aussi en poussant les médecins installés à cesser leur activité de garde, et même libérale pour certains.

    Enfin, dans le cadre de cette nouvelle sectorisation, les praticiens déplorent le non-respect du « volontariat et du non-volontariat », base sur laquelle sont fondées la permanence des soins libérale et les réquisitions par le préfet. Par conséquent, il lui demande quelles sont ses intentions pour remédier à cette situation qui ne peut perdurer.

    Réponse du Ministère des Affaires Sociales et de la Santé publiée dans le JO du Sénat du 17 janvier 2013, p. 134

     

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