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santé - Page 159

  • Perturbateurs endocriniens (22 01 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 24 décembre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ150817614.html

    Question écrite n° 17614 de M. Roland Courteau (sénateur de l’Aude)

    Roland Courteau expose à Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes que plusieurs études scientifiques ont démontré l'impact néfaste des perturbateurs endocriniens et, notamment, du parabène et du triclosan, utilisés dans les produits cosmétiques.

     
    Ainsi, ces substances chimiques auraient un impact négatif sur le fonctionnement du système hormonal, et ne seraient pas sans lien avec les maladies comme le cancer, l'obésité, le diabète. De même, leur utilisation par les femmes enceintes ne serait pas sans risques graves.

     
    Il lui demande, face aux alertes lancées par les scientifiques, s'il est dans ses intentions de prendre toutes initiatives permettant de limiter l'utilisation de ces substances, notamment, dans les produits cosmétiques. 

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 24/12/2015 p. 3574

     

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  • Site Manger-Bouger : nutrition, conseils (21 01 2016)

    Note d’information parue dans le n° 121 (janvier 2016) d’Equilibres, la revue mensuelle de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES) : cliquer ici pour accéder au site de l’INPES

    http://www.inpes.sante.fr/CFESBases/equilibre/numeros/121/en-bref.asp

    Refonte du site mangerbouger.fr

    Le site mangerbouger.fr met les recommandations du Programme national nutrition-santé(PNNS) à portée de tous. Il donne accès aux repères nutritionnels, aux guides nutrition, à des recettes de cuisine. La Fabrique à menus suggère des exemples de menus de saison variés pour manger équilibré toute la semaine. À partir de la page d’accueil, on peut aussi rejoindre, le « coin des Mangeurs-Bougeurs », une communauté sur Facebook.

    Une nouvelle version de mangerbouger est en ligne depuis mi-janvier 2016. La refonte a été motivée par la volonté de simplifier la navigation et de permettre de mieux hiérarchiser les contenus afin que les internautes occasionnels puissent trouver plus facilement l’information recherchée. Les contenus qui permettent de renouveler l’intérêt pour le site et de fidéliser l’audience sont aussi mieux mis en avant et valorisés. La rubrique « Le mag’ » est à présent intégrée au site et les recettes rassemblées dans la partie « Manger mieux ».

    Cette nouvelle présentation offre la possibilité aux internautes de personnaliser leurs contenus en créant un compte. Cet espace personnel sera enrichi au printemps 2016 à l’occasion du dispositif de promotion de l’activité physique.

    Par ailleurs, d’un point de vue technique, le site adopte la solution « responsive design » qui permet d’optimiser la présentation selon la taille de l’écran afin d’adapter la navigation à tous les supports : ordinateurs, tablettes, mobiles. Au total, en 2015, 42 % des utilisateurs de mangerbouger.fr s’y connectent via une tablette ou un smartphone.

    Parallèlement à ces changements techniques et esthétiques, les contenus du site seront progressivement modifiés pour prendre en compte les futures recommandations de l'Anses(Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) sur les repères nutritionnels.

  • Rappel de produits (mise à jour du 15 janvier 2016) (16 01 2016)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    07/01/2016 - Avis de rappel de chaussures de tennis FILLES DPAM (4 références)
    Risque de décollement de la semelle entraînant la chute de l’enfant.

     

    07/01/2016 - Avis de rappel de chaussures de tennis GARCONS DPAM (4 références)
    Risque de décollement de la semelle entraînant la chute de l’enfant.

     

    Liste des rappels des 30 jours précédents 

     

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  • Sécurité Sociale : loi financement 2016 (14 01 2016)

    Nous proposons cette note d’information publiée le 24 décembre 2015 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A10260?xtor=EPR-100.html

    La loi de financement de la sécurité sociale pour 2016 publiée au Journal officiel

     La loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2016 a été publiée au Journal officiel du mardi 22 décembre 2015.

    Cette loi comporte un certain nombre de mesures concernant notamment :

    • la gratuité du dépistage du cancer du sein pour les femmes les plus à risque ;
    • l'expérimentation de programmes de prévention de l'obésité chez les jeunes enfants (3-8 ans) entre le 1er juillet 2016 et le 31 décembre 2019 ;
    • la garantie de la confidentialité et de la gratuité de la contraception pour les mineures ;
    • la prise en charge à 100 % des soins pour les victimes d'actes terroristes ;
    • la mise en place d'une protection universelle maladie (droit universel à la gratuité des frais de santé) ;
    • l'uniformisation en 2017 de la durée de versement des indemnités journalières en cas de temps partiel pour motif thérapeutique ;
    • la création, dans le cadre de la généralisation des complémentaires santé, d'un chèque santé (aide financière) pour les salariés précaires et, en 2017, d'un contrat complémentaire santé labellisé pour les 65 ans et plus ;
    • la mise en oeuvre d'un nouveau dispositif de plafonnement du cumul emploi-retraite ;
    • la généralisation, à partir du 1er avril 2016, de la garantie des impayés des pensions alimentaires avec le versement d'une allocation de soutien familial différentielle ;
    • le regroupement au 1er avril des revalorisations des prestations sociales sauf pour les retraites (1er octobre).

      Rappel :

    des décrets à paraître préciseront les modalités de mise en place d'un certain nombre de mesures inscrites dans cette loi.

    Pour en savoir plus

  • Cancer du col de l’utérus : prévention et dépistage (11 01 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 7 janvier 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140110244.html

    Question écrite n° 10244 de M. Michel Le Scouarnec (sénateur du Morbihan)

    Michel Le Scouarnec attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la prévention et le dépistage du cancer du col de l'utérus. En effet, 1 000 décès seraient malheureusement dus au cancer du col de l'utérus chaque année dans notre pays. Or, 90 % d'entre eux pourraient être évités par un meilleur dépistage des femmes âgées de vingt-cinq à soixante-cinq ans. Le frottis est le seul test à la fois simple, rapide et indolore qui permet de détecter des lésions précancéreuses et d'intervenir, le cas échéant, avant le développement d'un cancer.

     

    Pourtant les professionnels du secteur estiment que 40 % des femmes ne l'effectueraient pas, notamment les femmes âgées de cinquante à soixante-cinq ans. Plusieurs facteurs expliqueraient ce chiffre. Tout d'abord, pour certaines femmes en situation de précarité le coût de la consultation serait un frein. Ensuite, certains territoires sont dépourvus de gynécologues. Enfin, le manque d'information sur la nécessité de ce dépistage est aussi évoqué.

     

    L'Institut national du cancer (INCa) a lancé ces derniers jours une campagne pour inciter les femmes à se faire dépister au moins tous les trois ans. Ce type d'initiative est à encourager pour que le cancer du col de l'utérus ne soit plus une fatalité. Plus largement, la santé des femmes nécessite un suivi spécifique qui mérite d'être conforté, compte tenu notamment des inquiétudes sur la spécialité de gynécologie médicale.

     

    C'est pourquoi il lui demande les mesures envisagées pour développer et consolider la prévention et le dépistage du cancer du col de l'utérus. Par ailleurs, il aimerait connaître les dispositions à venir pour une défense accrue et renforcée de la spécialité gynécologie médicale, indispensable à la santé de toutes nos concitoyennes.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 07/01/2016 p. 30

     

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  • Prévention de l’Obésité (06 01 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 24 décembre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140712533.html

    Question écrite n° 12533 de M. Simon Sutour (sénateur du Gard)

    Simon Sutour attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur les problèmes de prévention de l'obésité.

     
    De plus en plus d'enfants sont touchés par l'obésité, 4 % de plus en Languedoc-Roussillon en 2014, L'obésité a été reconnue maladie chronique par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis 1995 au même titre que le cancer, le diabète, la maladie de Crohn…

     
    Cependant, des manques évidents au niveau de la prévention entraînent chez l'enfant et l'adolescent, souvent issu de milieux défavorisés, de mauvaises habitudes alimentaires et un manque d'activité physique qui auront des conséquences directes sur leur futur problème d'obésité.

     
    Malgré une campagne de la caisse d'assurance maladie (CPAM) demandant aux médecins traitants d'être impliqués dans le dépistage et la prise en charge de l'obésité, aucune action n'a été réellement mise en place, laissant les personnes en obésité face à leurs problèmes. 
    Ces dernières contactent ainsi les associations de patients adultes pour obtenir des renseignements concernant la manière de prendre en charge des enfants en problématique de surpoids, ce qui démontre une carence de prise en charge de ce problème par le service public de la santé.

     
    Ce constat est encore plus prononcé dans les campagnes où l'isolement et la difficulté à se déplacer sont omniprésents.

     
    En effet, les moyens de transports ne sont pas forcément existants dans les villages et les bons de transports pour des consultations sont de moins en moins prescrits par les médecins traitants qui craignent les contrôles de la CPAM.

     
    Face à ce constat démontrant que l'obésité et le surpoids continuent à augmenter chez les adultes et les enfants de milieux défavorisés, que les chiffres du diabète augmentent de 6 % chaque année, il est donc essentiel que la loi de santé publique, qui donnera les grandes orientations de santé pour les dix ans à venir, comporte un volet sur la prévention de l'obésité.

     
    Il lui demande donc quelles sont les intentions du Gouvernement afin de renforcer la sensibilisation sur cette problématique et si le plan obésité 2010/ 2013 sera reconduit sous une autre forme. 

     

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 24/12/2015 p. 3564

     

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