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société, cadre de vie - Page 316

  • Nouveau billet de 50 euros (21 03 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 14 mars 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public) 

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A10715?xtor=EPR-100.html

    Le nouveau billet de 50 € : dans votre porte-monnaie à partir du 4 avril 2017

    Publié le 14 mars 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Le nouveau billet de 50 € va entrer en circulation dans la zone euro à partir du 4 avril 2017 dans le cadre du renouvellement progressif des coupures de la monnaie européenne. Il avait été présenté par la Banque centrale européenne (BCE) le 5 juillet 2016.

    Ce nouveau billet fait partie d'une série baptisée « Europe » car deux des signes de sécurité utilisés comportent un portrait de la princesse Europe, personnage de la mythologie grecque qui a donné son nom au continent. Les billets de 5 €, 10 € et 20 € font déjà partie de cette série.

    Les signes de sécurité des coupures de cette série sont perfectionnés afin de permettre une meilleure protection contre la contrefaçon.

    Le nouveau billet de 50 € conserve le brun comme couleur dominante et s'inspire aussi du thème « Époques et styles architecturaux ».

    Le billet de 50 € est le plus largement utilisé de la zone euro : il représente environ 45 % du total de billets en circulation selon la BCE, soit plus de 8 milliards de coupures.

    La mise en place de la série « Europe » va se poursuivre sur plusieurs années pour les billets de 100 € et 200 €, la coupure de 500 € ayant en revanche vocation à disparaître.

  • Heure d’été (20 03 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 16 mars 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160421388.html

     

    Question écrite n° 21388 de sénateur des Pyrénées-Atlantiques)

     Jean-Jacques Lasserre attire l'attention de Mme la ministre de l'environnement, de l'énergie et de la mer, chargée des relations internationales sur le climat sur l'heure d'été. En effet, de nombreuses associations de défense de l'environnement s'inquiètent de ce changement d'heure qui aurait des conséquences fort néfastes pour la planète et pour l'homme

    L'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) a indiqué, dans un rapport de 2009, que les gains sur la consommation totale en éclairage étaient quasi nuls.

    Plusieurs études attestent que le corps humain a besoin d'un jour pour s'adapter à chaque fuseau horaire traversé, le changement d'heure étant ainsi lourd à supporter, notamment pour les plus fragiles. 

    Surtout, l'heure d'été aggraverait les deux polluants que sont l'ozone et le dioxyde d'azote, avec une augmentation de l'acide nitreux et un renforcement des pluies acides. Les conséquences climatiques et sanitaires du changement d'heure seraient ainsi loin d'être négligeables. 
    Plusieurs fois, le Sénat s'est penché sur cette question de l'heure d'été, notamment à travers une proposition de résolution en 2000, ceci témoignant d'une véritable problématique. 

    Il lui demande donc si le Gouvernement compte se pencher sur cette question aux impacts loin d'être futiles. 

     

    Réponse du Ministère de l'environnement, de l'énergie et de la mer, chargé des relations internationales sur le climat publiée dans le JO Sénat du 16/03/2017 - page 1096

     

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  • Situation des petits retraités (17 03 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 2 février 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ161123801.html

    Question écrite n° 23801 de M. Daniel Chasseing (sénateur de Corrèze)

    Daniel Chasseing attire l'attention de M. le Premier ministre sur la situation des retraités et, plus particulièrement des petits retraités, qui sont majoritaires en France. Ces derniers, en effet, ont été dernièrement blessés par les propos d'un de ses ministres qui, sur une antenne de télévision, a déclaré que les retraités n'ont pas perdu de pouvoir d'achat et que les petites retraites n'ont pas besoin d'être revalorisées. Au-delà, cependant, de la polémique, il lui rappelle qu'il est de plus en plus difficile de vivre avec moins de 900 euros par mois et qu'il semble temps de se préoccuper des retraités modestes qui semblent les oubliés de la politique sociale. C'est pourquoi il lui demande ce que le Gouvernement entend mettre en œuvre pour améliorer leur situation.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 09/02/2017 p. 509

     

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  • Prix à la consommation (février 2017) (16 03 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 15 mars 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

     

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2660641.html

     

    En février 2017, les prix à la consommation augmentent de 0,1 % sur un mois et de 1,2 % sur un an

     

    En février 2017, l'indice des prix à la consommation (IPC) se redresse un peu, à +0,1 % sur un mois après une baisse de 0,2 % en janvier. Corrigé des variations saisonnières, il se replie de 0,2 %, après avoir augmenté de 0,7 % en janvier. Sur un an, les prix à la consommation ralentissent légèrement (+1,2 % après +1,3 %).

    En février 2017, l’indice des prix à la consommation (IPC) se redresse un peu, à +0,1 % sur un mois après une baisse de 0,2 % en janvier. Corrigé des variations saisonnières, il se replie de 0,2 %, après avoir augmenté de 0,7 % en janvier. Sur un an, les prix à la consommation ralentissent légèrement (+1,2 % après +1,3 %).

     

    Sur le mois, la légère hausse résulte d’un rebond du prix des services et d’une hausse du prix du tabac. Les prix de l’alimentation freinent légèrement du fait des produits frais. Les soldes d’hiver ayant perduré en février, les prix des produits manufacturés baissent encore, atténuant ainsi le rebond global. Enfin, les prix de l’énergie sont stables après cinq mois de hausse soutenue.

     

    Léger rebond des prix des services

     

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  • France : démographie (projection à l’horizon 2070) (14 03 2017)

    Extraits d’un rapport publié le 3 novembre 2016 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228.html

    Projections de population à l’horizon 2070

    Deux fois plus de personnes de 75 ans ou plus qu’en 2013

    Nathalie Blanpain et Guillemette Buisson, division Enquêtes et études démographiques, Insee

    Si les tendances démographiques récentes se poursuivaient, la France compterait 76,5 millions d’habitants au 1er janvier 2070. Par rapport à 2013, la population augmenterait donc de 10,7 millions d’habitants, essentiellement des personnes de 65 ans ou plus (+ 10,4 millions). En particulier, la population âgée de 75 ans ou plus serait deux fois plus nombreuse en 2070 qu’en 2013 (+ 7,8 millions).

    Jusqu’en 2040, la proportion de personnes âgées de 65 ans ou plus progressera fortement, quelles que soient les hypothèses retenues sur l’évolution de la fécondité, des migrations ou de l’espérance de vie : à cette date, environ un habitant sur quatre aura 65 ans ou plus (contre 18 % en 2013). Cette forte hausse correspond à l’arrivée dans cette classe d’âge de toutes les générations du baby-boom. L’évolution serait ensuite plus modérée : selon les hypothèses, 25 % à 34 % de la population dépasserait cet âge en 2070.

    Le nombre d’habitants à l’horizon 2070 dépend des hypothèses, surtout celles retenues sur la fécondité et les migrations. En revanche, la structure de la population par âge à cette date dépend peu des hypothèses. En 2070, la France compterait plus d’une personne âgée de 65 ans ou plus pour deux personnes âgées de 20 à 64 ans.

     

    Jusqu’en 2040, hausse inéluctable du nombre de personnes de 65 ans ou plus

    Même si l’on fait l’hypothèse, improbable compte tenu des évolutions passées, que l’espérance de vie ne s’améliorera pas et restera à son niveau actuel, la hausse du nombre de personnes âgées de 65 ans ou plus serait quand même forte d’ici 2040. Ainsi, ce nombre augmenterait de 5,7 millions entre 2013 et 2040 si l’espérance de vie restait à son niveau actuel et de 7,4 millions si elle progressait comme par le passé. De plus, quelle que soit la variante retenue, la proportion de personnes de 65 ans ou plus dans la population serait quasiment identique en 2040 : 25 % sous les hypothèses les plus défavorables à l’accroissement de cette part et 28 % sous les hypothèses les plus favorables à sa progression. En effet, l’augmentation de la part des personnes de 65 ans ou plus est inéluctable : elle est inscrite dans l’actuelle pyramide des âges. En particulier, les générations nombreuses du baby-boom auront toutes plus de 65 ans en 2040. Cela explique la forte croissance du rapport entre le nombre des 65 ans ou plus et celui des personnes âgées de 20 à 64 ans entre 2013 et 2040, quelles que soient les hypothèses retenues : il passerait de 30 % en 2013 à 48 % en 2040 dans le scénario le plus défavorable à sa progression et à 55 % dans le plus favorable 

  • Locations diverses : obligations sociales et fiscales (13 03 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 9 mars 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ150616650.html

    Question écrite n° 16650 de M. Robert Navarro (sénateur de l’Hérault)

    Robert Navarro attire l'attention de M. le secrétaire d'État, auprès du Premier ministre, chargé de la réforme de l'État et de la simplification sur les obstacles administratifs auxquels font face les millions de Français qui participent à l'économie du partage. Chaque jour, de plus en plus de citoyens diffusent leur création sur des sites comme « my little market », décident de louer une chambre inutilisée de leur résidence principale via des sites comme « Airbnb », ou louent leur voiture via « Drivy » ou « Ouicar », ou bien encore louent leur perceuse et autre bétonnière via « Zilok ».

     
    De tels sites permettent une meilleure allocation des ressources : ils évitent la production démesurée de biens dont les citoyens n'ont que très ponctuellement l'usage, renforcent le lien social, offrent une alternative au tourisme standardisé, tout en permettant aux Français de mieux affronter la crise. S'il y a souvent un aspect marchand, ce dernier ne constitue pas le fondement de la démarche, profondément citoyenne, dans laquelle la rencontre trouve une place prépondérante. 

    Si la loi n° 2014-366 du 24 mars 2014 pour l'accès au logement et un urbanisme rénové a permis de mieux sécuriser les usagers de sites comme Airbnb, les obligations fiscales et sociales mettent, sans qu'ils le sachent, des millions de Français adeptes de l'économie du partage dans l'illégalité. 

    Dans le cadre de la simplification administrative et du développement de l'économie du numérique, il lui demande quelles mesures il entend prendre afin de simplifier et de faciliter ces activités complémentaires. Il lui demande si la retenue à la source, que le Gouvernement entend relancer, ne pourrait pas se faire pour ces activités, en passant par une taxation effectuée directement par les plateformes servant d'intermédiaire.

     

    Réponse du Ministère de l'économie et des finances publiée dans le JO Sénat du 09/03/2017 p. 1004

     

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