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société, cadre de vie - Page 316

  • Lutte contre le gaspillage alimentaire (06 11 2016)

    Nous vous proposons cette fiche pratique publiée le 17 octobre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12109?xtor=EPR-100.html

    Lutte contre le gaspillage alimentaire : comment jeter moins ?

    Publié le 17 octobre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Date limite de consommation (DLC), date de durabilité minimale (DDM), rangement du réfrigérateur, conservation des légumes... Alors que la journée nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire s'est déroulée le 16 octobre 2017, le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation revient sur certaines bonnes pratiques à adopter afin d'essayer de jeter moins.

    Parmi ces bonnes pratiques destinées à éviter le gaspillage alimentaire, il est question notamment de :

    • vérifier avant d'acheter la date limite de consommation (DLC) des produits qui indique qu'au delà de cette date le produit est périmé et non consommable ;
    • ne pas confondre cette DLC avec la date de durabilité minimale (DDM) qui indique qu'au-delà de cette date, le produit n'est pas périmé même s'il peut avoir perdu certaines de ses qualités ;
    • acheter les produits réfrigérés en dernier ;
    • respecter la chaîne du froid  ;
    • ranger de façon optimale le réfrigérateur (0 à 4°C pour les viandes, les charcuteries, les poissons, 4 à 6°C pour les œufs, le beurre, les yaourts, les fromages, de 6 à 10°C pour les boissons, les fruits et les légumes) et penser à le nettoyer et le dégivrer de façon régulière ;
    • congeler pour mieux conserver les aliments en s'assurant que la température est réglée à -18°C pour le congélateur ;
    • cuisiner des quantités adaptées au nombre de personnes à table ;
    • accommoder les restes ;
    • réduire les gaspillages à la cantine.

      Rappel :

    Le gaspillage alimentaire représente environ 20 kg de déchet par an et par personne dont 7 kg de déchets alimentaires non consommés et encore emballés.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de l'agriculture

    Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe)

  • Personnes âgées : hospitalisation, prévention dépendance (04 11 2017)

    Nous vous proposons cette fiche de synthèse publiée le 27 octobre 2017 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2801190/fr/prevenir-la-dependance-iatrogene-liee-a-l-hospitalisation-chez-les-personnes-agees.html

    Prévenir la dépendance iatrogène liée à l'hospitalisation chez les personnes âgées

    Fiche points clés organisation des parcours

    En France, près de 3 millions de personnes âgées de 70 ans et plus sont hospitalisées une ou plusieurs fois en services de soins aigus chaque année. Ces personnes âgées représentent près de 5,4 millions de séjours hospitaliers par an.

    Lors de ces hospitalisations, ces personnes peuvent perdre leur autonomie dans les activités de base de la vie quotidienne, on parle alors de dépendance liée à l’hospitalisation. Cette perte d’autonomie peut être due à plusieurs facteurs intriqués : certains sont liés au patient (sa pathologie et son état de santé avant l’hospitalisation) ; d’autres sont liés aux modalités de soins et à l’environnement hospitaliers. Dans ce dernier cas, on parle de dépendance iatrogène liée à l’hospitalisation, un phénomène en grande partie évitable qui concerne près de 10 % des personnes hospitalisées.

    Ce travail décrit les modalités de soins, les environnements et les organisations nécessaires pour répondre aux besoins spécifiques des patients âgés hospitalisés et lutter efficacement contre cette dépendance iatrogène liée à l’hospitalisation.

    Il a été réalisé en coproduction par la Haute Autorité de Santé et le Collège national professionnel de gériatrie (CNPG).

    Points clés

    • Mettre en place dans l’ensemble des services hospitaliers recevant des personnes âgées de 70 ans et plus : le dépistage, la prévention, le suivi et le traitement des 6 causes principales de dépendance iatrogène liée à l’hospitalisation : le syndrome d’immobilisation, la confusion aiguë, la dénutrition, les chutes, l’incontinence urinaire de novoet les effets indésirables des médicaments.
    • Organiser dans l’établissement le recours à une expertise gériatrique pour les services hospitaliers recevant des personnes âgées, en particulier par le développement des équipes mobiles gériatriques hospitalières.
    • Adapter l’environnement et les équipements du service aux besoins spécifiques des personnes âgées.
    • Améliorer l’interface ville/ hôpital, à l’admission et en sortie d’hospitalisation.
    • Adapter l’organisation du service pour répondre à ces enjeux.

     

    • Ces mesures doivent s’inscrire dans le projet d’établissement et supposent une organisation ad hoc du fonctionnement des services, une démarche d’amélioration continue de la qualité, et la formation et l’accompagnement des personnels à tous les niveaux de l’organisation hospitalière (administrative, médicale et paramédicale), afin de mettre en place et de soutenir le changement des pratiques sur le long terme.

    Documents

     

  • Contrats aidés : secteur social et sanitaire (03 11 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 12 octobre 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ171001467.html

     

    Question écrite n° 01467 de M. François Bonhomme (sénateur du Tarn-et-Garonne)

    François Bonhomme attire l'attention de Mme la ministre du travail sur la nécessité, suite à la baisse massive annoncée dès 2017, d'effectuer un arbitrage favorable pour les contrats aidés à destination des publics prioritaires.

     
    Un grand nombre d'associations exerçant dans le champ de l'action sociale et sanitaire effectuent des missions reconnues d'intérêt général auprès de publics fragilisés par l'âge, le handicap ou les difficultés sociales.

     
    Ainsi, alors que ce secteur fait face à une problématique forte en matière de recrutement, le recours aux contrats aidés permet d'augmenter les capacités d'emploi de ces structures. 
    Outre que ce dispositif permet de former et de construire un parcours professionnel pour des personnes éloignées de l'emploi, le recours aux contrats aidés a permis de diminuer la masse salariale de ces associations et par là même de baisser le tarif horaire d'intervention pour les bénéficiaires.

     
    Aussi, il lui demande de lui indiquer si elle entend prendre en compte la situation particulière de ce secteur d'activité et tout au moins mettre en place un lissage au moment de la sortie de ce dispositif ainsi que des mesures d'accompagnement pour ne pas déstabiliser ces structures relevant de l'urgence sanitaire et sociale.

     

    Réponse du Ministère du travail publiée dans le JO Sénat du 12/10/2017 - page 3163

     

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  • Télévision et tout-petits (30 10 2017)

    Nous vous proposons cette fiche pratique publiée le 18 octobre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12105?xtor=EPR-100.html

    La télévision est-elle adaptée aux tout-petits ?

    Publié le 18 octobre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    À l'heure où les nouvelles technologies ne cessent d'évoluer, votre enfant regarde souvent la télévision ou réclame régulièrement la tablette pour visionner ses programmes favoris ? Quelle attitude adopter en tant que parents ? Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) vous répond.

    Selon le CSA, la télévision n'est pas adaptée aux enfants de moins de 3 ans qui doivent se construire en agissant sur le monde. En effet, le développement d'un jeune enfant passe par la motricité et la capacité à interagir avec les objets (jouets, par exemple) qu'il rencontre et les adultes qui l'entourent (parents, frères et sœurs par exemple). Il doit donc utiliser activement ses 5 sens. Or, la télévision risque d'enfermer l'enfant de moins de 3 ans dans un statut de spectateur à un moment où il doit apprendre à devenir acteur du monde qui l'entoure.

    Le CSA précise également que lorsque l'enfant de moins de 3 ans regarde la télévision, il reçoit plusieurs informations (image et son) qu'il ne comprend pas et qui peuvent nuire à son développement et contribuer à son agitation.

    Pour en savoir plus

    Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA)

    Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA)

  • Diabète type 2 (27 10 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 7 septembre 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ170700144.html

    Question écrite n° 00144 de Mme Marie-France de Rose (sénateur des Hauts-de-Seine)

    Mme Marie-France de Rose attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé concernant l'épidémie de diabète de type 2.

     
    Aujourd'hui, quatre millions de personnes sont atteintes de diabète de types 1 et 2 en France, demain elles seront dix millions. Il faut s'interroger sur les moyens d'arrêter cette épidémie. 
    La prévalence mondiale du diabète chez les adultes de plus de 18 ans est passée de 4,7 % en 1980 à 8,5 % en 2014, faisant passer de 108 à 422 millions le nombre de personnes atteintes de diabète dans le monde.

     
    Cette épidémie n'épargne malheureusement pas la France puisqu'aujourd'hui 3,5 millions de personnes sont traitées pour un diabète et près de 700 000 s'ignorent. 
    Le diabète de type 2, forme la plus fréquente, résulte de mauvaise utilisation de l'insuline par les cellules de l'organisme. Deux anomalies sont responsables de l'hyperglycémie, à savoir l'insulinorésistance et l'insulinopénie. Il n'existe pas une cause mais un ensemble de facteurs à la fois génétiques et environnementaux.

     
    Afin de progresser et de mettre un terme à la recrudescence du diabète, une meilleure communication doit être mise en place valorisant la vie quotidienne avec une alimentation saine, le fait d'être actif et d'éviter une prise de poids excessive. Les pouvoirs publics doivent ainsi veiller à ce que les populations puissent faire ces choix sains.

     
    Si au sein de l'organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) la France est bon élève, il n'en reste pas moins qu'une personne sur huit est obèse et que 40 % des adultes sont en surpoids.

     
    Elle lui demande de bien vouloir étudier la mise en place d'actions simples de prévention primaire permettant de catalyser cette épidémie et de bien vouloir lui communiquer des informations sur, entre autres, le financement de cette prévention, l'action des acteurs sur le territoire, la construction des politiques de prévention à partir des territoires, la façon de passer de la prévention à la promotion de la santé et la mise en place du numérique comme opportunité pour la prévention de demain.

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 07/09/2017 p. 2817

     

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  • Harcèlement sexuel au travail : recours (26 10 2017)

    Nous vous proposons cette fiche pratique publiée le 17 octobre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12107?xtor=EPR-100.html

    Harcèlement sexuel au travail : quels recours pour les victimes ?

    Publié le 17 octobre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Vous avez entendu parler récemment de cas de harcèlement sexuel dans certains milieux professionnels. Mais qu'en est-il d'un point de vue juridique ? Quels sont les recours pour les victimes ? Et quelles sanctions s'appliquent pour les auteurs de ce type d'agissements ? Service-public.fr vous répond.

    Le harcèlement sexuel se caractérise par le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos ou comportements à connotation sexuelle qui portent atteinte à sa dignité ou créent à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante.

    Est assimilée également au harcèlement sexuel toute forme de pression grave (même non répétée) dans le but réel ou apparent d'obtenir un acte sexuel, au profit de l'auteur des faits ou d'un tiers.

     À savoir :

    Dans le milieu professionnel, il y a harcèlement sexuel même s'il n'y a aucune relation hiérarchique entre vous et l'auteur des faits (entre collègues de même niveau, de services différents...).

     Attention :

    Si l'auteur des faits a eu un contact physique avec vous, il peut s'agir d'une agression sexuelle , plus gravement punie.

    Recours

    La victime peut se retourner contre l'auteur des faits en portant plainte dans un délai de 6 ans après le dernier fait (geste, propos...) lié à ce type de harcèlement. La victime peut également saisir le conseil des prud'hommes (secteur privé) ou le tribunal administratif (agents publics).

    Sanctions

    Le harcèlement sexuel est un délit pouvant être puni jusqu'à 2 ans de prison et 30 000 € d'amende. En cas d'abus d'autorité (de la part d'un supérieur hiérarchique par exemple), les peines peuvent être plus lourdes.

    L'auteur du harcèlement peut par ailleurs devoir verser des dommages-intérêts à sa victime.

    Enfin, l'auteur de ces agissements peut être soumis à des sanctions disciplinaires à son travail.

    Et aussi sur service-public.fr