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alcool - Page 2

  • Alcool à emporter : éthylotests en vente (27 05 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 15 avril 2021 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14829?xtor=EPR-100.html

    La vente d'éthylotests devient obligatoire dans les grandes surfaces et chez les cavistes

    Publié le 15 avril 2021 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    À compter du 1er juillet, les grandes surfaces, épiceries, cavistes et les sites internet ou tout autre magasin qui vend de l'alcool à emporter devront également vendre des éthylotests. C'est ce qu'indique un décret paru au Journal officiel du 7 avril 2021. Jusqu'ici seuls les établissements de nuit étaient soumis à cette règle. Le point avec Service-Public.fr.

     

    Dans un délai de 3 mois, les commerces concernés devront proposer à la vente des éthylotests chimiques homologués ou des éthylotests électroniques, à proximité du rayon présentant le plus grand volume de boissons alcoolisées ou près de la caisse. Ils devront disposer d'un stock minimal de 10 ou 25 éthylotests, en fonction de la taille des rayons alcool.

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  • Alcool : modes de consommation (14 02 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 24 janvier 2020 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/272830-alcool-les-modes-de-consommation-changent#xtor=EPR-696.html

     

    Alcool : les modes de consommation changent

    La consommation régulière d’alcool continue de baisser en France. Cette indication générale doit être nuancée par une étude selon les régions, les modes de consommation, les types d’alcools consommés.

    Des données inédites sur la consommation d'alcool en France ont été publiées par Santé Publique France le 14 janvier 2020.

    Moins de consommation régulière, plus de consommation ponctuelle

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  • Voyages en Europe : douanes pour tabac et alcool (09 07 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 28 juin 2019 sur le site du Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

     

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13475?xtor=EPR-100.html

    Voyage en Europe : quelles franchises sur le tabac et l'alcool ?

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  • Alcool : impact sur la santé (26 04 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 26 mars 2019 sur le site du Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire (cliquer ici pour accéder au site du BEH n° 10-11)

    http://invs.santepubliquefrance.fr/beh/2019/10-11/2019_10-11_0.html

    Alcool : un impact sur la santé, même à faibles doses

    Pr Mickaël Naassila
    Président de la Société française d’alcoologie et directeur de l’Unité INSERM UMR 1247 Groupe de recherche sur l’alcool & les pharmacodépendances de l’Université de Picardie Jules Verne

    Si la consommation d’alcool procure du plaisir et permet de se conformer à la norme sociale qui fait de l’alcool un vrai ″lubrifiant social″ et un acteur essentiel de notre culture et de notre économie, les dommages engendrés pour notre santé et in fine notre société sont considérables. Les travaux les plus récents ont ouvert une nouvelle ère dans la compréhension et l’estimation de l’impact de l’alcool sur la santé humaine, notamment les maladies cardiovasculaires, les démences, les hépatopathies et les cancers. Par ailleurs, les dernières données scientifiques ont mis en lumière un impact sur la santé dès les faibles niveaux de consommation.

    Les études les plus récentes, même si elles aussi ne sont pas exemptes de biais méthodologiques, ne rapportent globalement pas de bénéfices à consommer des faibles quantités d’alcool et révèlent qu’au-delà de 10 verres d’alcool par semaine (100 g d’éthanol pur) la mortalité attribuable à l’alcool devient significative et augmente de manière exponentielle. Plus de 50% de la mortalité liée à une maladie touchant le foie est attribuable à l’alcool et ce dernier est un contributeur important du fardeau du virus de l’hépatite C. Soixante maladies et deux cents items de la classification internationale des maladies sont liés à la consommation d’alcool, ce qui explique sûrement pourquoi l’alcool a été identifié comme une des toutes premières causes d’hospitalisation grâce aux données PMSI (Programme de médicalisation des systèmes d’information) de 2012 en France. Les dommages attribuables à l’alcool sont sans commune mesure avec les éventuels effets ″bénéfiques ou protecteurs″ de l’alcool. Lorsque l’on regarde dans les détails les derniers chiffres de mortalité attribuable à l’alcool, la mortalité ″évitable″ (si la consommation d’alcool avait des effets protecteurs) est plus de 210 fois inférieure à la mortalité attribuable à l’alcool (la mortalité ″évitable″ est inférieure à 5 pour mille).

     

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  • Consommations nocives d’alcool : plan de lutte (30 11 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 10 novembre 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160722655.html

    Question écrite n° 22655 de M. Alain Dufaut (sénateur du Vaucluse)

    Alain Dufaut attire l'attention de M. le Premier ministre sur le rapport que vient de publier la Cour des comptes sur les politiques de lutte contre les consommations nocives d'alcool.

    Ce rapport semble remettre en cause les fondements des politiques de santé publique qui reposent jusqu'à maintenant sur la lutte contre les consommations excessives. Le rapport recommande de mettre en œuvre des actions ciblant l'ensemble de la population en souhaitant non plus lutter contre les excès de consommation d'alcool mais en faisant baisser la consommation moyenne. Une telle approche remet ainsi en cause toute idée de consommation modérée. La disparition annoncée des repères de consommation soulève par ailleurs des interrogations quant à la diffusion d'une information utile et efficace pour les consommateurs. L'éventail des mesures proposées par la Cour des comptes, sans priorisation ni ciblage des populations à risque, est source de profondes préoccupations, notamment en termes de fiscalité et d'encadrement de la publicité.

     
    Les seules politiques publiques en matière de lutte contre l'alcoolisme qui sont efficaces sont celles qui sont basées sur la lutte contre les excès et dont les moyens sont orientés vers la prévention et la protection des publics à risque dont les jeunes. 


    À la différence, les politiques qui visent à faire diminuer la consommation globale, y compris des consommateurs modérés, ont démontré leur inefficacité. Il souligne d'ailleurs que la consommation de vin a baissé de 66 % en cinquante ans et de 20 % ces dix dernières années. 

    Il souhaite connaitre la vision du Premier ministre sur les fondements des politiques publiques en matière de lutte contre l'alcoolisme et savoir quelles suites le Gouvernement entend donner à ce rapport et aux propositions qui sont faites.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 10/11/2016 p. 4932

     

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  • Alcool : lutte contre consommations nocives (11 11 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 6 octobre 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160722706.html

     

    Question écrite n° 22706 de M. Alain Milon (sénateur du Vaucluse)

    Alain Milon attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le rapport publié en juin 2016 par la Cour des comptes sur les politiques de lutte contre les consommations nocives d'alcool. Ce rapport semble remettre en cause les fondements des politiques de santé publique qui reposent jusqu'à maintenant sur la lutte contre les consommations excessives. Le rapport recommande de mettre en œuvre des actions ciblant l'ensemble de la population en souhaitant non plus lutter contre les excès de consommation d'alcool mais en faisant baisser la consommation moyenne. Une telle approche remet ainsi en cause toute idée de consommation modérée. La disparition annoncée des repères de consommation soulève par ailleurs des interrogations quant à la diffusion d'une information utile et efficace pour les consommateurs. L'éventail des mesures proposées par la Cour des comptes, sans priorisation ni ciblage des populations à risque, est source de profondes préoccupations notamment en termes de fiscalité et d'encadrement de la publicité.

     
    Il soutient que les seules politiques publiques en matière de lutte contre l'alcoolisme qui sont efficaces sont celles qui sont basées sur la lutte contre les excès et dont les moyens sont orientés vers la prévention et la protection des publics à risque dont les jeunes. En revanche, les politiques qui visent à faire diminuer la consommation globale, y compris des consommateurs modérés, ont démontré leur inefficacité.

     
    Il souligne d'ailleurs que la consommation de vin a baissé de 66 % en 50 ans et de 20 % ces dix dernières années.

     
    Il souhaite connaitre sa vision sur les fondements des politiques publiques en matière de lutte contre l'alcoolisme et savoir quelles suites le Gouvernement entend donner à ce rapport et aux propositions qui sont faites.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 06/10/2016 p. 4280

     

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