commerce - Page 2
-
Soldes d’hiver 2022 (11 01 2022)
-
Grande distribution : gaspillage (12 01 2021)
https://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-35116QE.htm
Question n° 35116 de M. Éric Pauget (député des Alpes-Maritimes)
Éric Pauget attire l'attention de Mme la ministre de la transition écologique sur le besoin impérieux d'une mesure effective du gaspillage alimentaire. Depuis ces dernières années, des évolutions législatives ont permis de fixer des objectifs quantifiés notables puisqu'il est question de diviser de moitié le gaspillage alimentaire d'ici à 2025 dans la distribution et la restauration collective, et d'ici à 2030 dans la consommation, la production, la transformation et la restauration commerciale.
Depuis 2016, les lois successives en la matière ont instauré puis élargi l'obligation de don des invendus à des associations humanitaires habilitées pour les commerces de détail de plus de 400 m2, aux opérateurs de la restauration collective préparant plus de 3 000 repas par jour, aux opérateurs de l'industrie agroalimentaire dont le chiffre d'affaires annuel est supérieur à 50 millions d'euros et aux commerces de gros alimentaires. L'objectif est certes louable, mais encore faut-il pouvoir mesurer les véritables progrès réalisés ou les manquements persistants.
L'évaluation de l'efficacité d'une politique publique, sans données à son appui, prend le risque de rester vaine. Pour parvenir à cette indispensable mesure, il importe que tous les acteurs concernés soient au rendez-vous de la transparence et que les producteurs, les distributeurs, les opérateurs agroalimentaires, acceptent de rendre compte de leurs engagements à moins gaspiller, par la publication de données officielles. À ce titre, la création de l'obligation d'inscription de l'inventaire des invendus, donnés et jetés dans les rapports de responsabilité sociale des entreprises de la grande distribution permettrait de gagner en transparence et en efficacité.
Sans compromettre le secret commercial, l'activation de ce levier de communication aurait pour avantage de vérifier si les engagements collectifs pris pour la quantification des pertes et pour l'amélioration de la gestion des invendus sont bien respectés, tout en offrant la possibilité aux partenaires de valoriser leur engagement dans cette lutte essentielle. Alors qu'on traverse une crise sanitaire et économique sans précédent qui plonge un grand nombre de citoyens dans une dramatique spirale de précarité, la demande d'aide alimentaire explose.
Face aux enjeux sociaux, économiques et environnementaux que pose la lutte contre le gaspillage alimentaire et parce qu'il est urgent de soutenir l'aide alimentaire, il lui demande quelle stratégie elle compte mettre en place afin de renforcer les dispositifs d'évaluation et de contrôle des dons des acteurs de la chaîne alimentaire et de la grande distribution en particulier.
Réponse du ministère de la Transition Ecologique publiée au JO le 05/01/2021 p. 109
-
Les chiffres du Commerce Extérieur (juillet 2019) (04 octobre 2019)
https://lekiosque.finances.gouv.fr.html
Analyse mensuelle - juillet 2019
Le solde du commerce extérieur de marchandises de la France s'établit à
-4,607 milliards d'eurosEn tendance, le solde du commerce extérieur se dégrade en juillet, après avoir connu trois mois de stabilité. C’est le résultat d’un repli des exportations, alors que les importations restent stables.
Cette dégradation du solde concerne les biens d’investissement et de consommation, la tendance restant stable pour les produits énergétiques et les biens intermédiaires.SOLDE COMMERCIAL DE LA France (Biens)
LE SOLDE FLÉCHIT EN MOYENNE SUR TROIS MOIS
-
Voyages tout compris : suppléments frauduleux (28 03 2019)
http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ181107525.html
Question écrite n° 07525 de M. René Danesi (sénateur du Haut-Rhin)
René Danesi attire l'attention de M. le ministre de l'économie et des finances sur les conditions dans lesquelles sont vendus des séjours dits « tout compris » par les tours opérateurs aussi bien dans le cadre d'agences de voyage appartenant à des réseaux réputés que sur des sites internet spécialisés.
En effet, il apparaît que dans le descriptif de ces séjours, les tours opérateurs n'hésitent pas à proposer à leurs clients potentiels des suppléments d'un montant non négligeable, correspondant à des prestations bien définies. Il peut s'agir, par exemple, d'une chambre avec vue sur la mer, de la réservation de transats sur la plage qui correspond à l'hôtel, etc.
Il n'y aurait rien à y redire si ces prestations étaient effectives. Malheureusement, la plupart du temps, il s'agit purement et simplement d'une tromperie : l'hôtel ne dispose d'aucune chambre donnant sur la mer, la plage de l'hôtel est publique et ne dispose d'aucun service de réservation de transats et encore moins d'un espace réservé…
Le client ainsi abusé ne dispose d'aucun recours, le prestataire et le tour opérateur faisant la sourde oreille. De guerre lasse, il renonce à se défendre et ne porte pas plainte. Ainsi, de telles pratiques peuvent perdurer en toute impunité et piéger indéfiniment les futurs clients non avertis.
Il lui demande, par conséquent, de lui indiquer si des contrôles existent déjà ou, dans le cas contraire, ce qui pourrait être envisagé afin de mettre un terme à ces pratiques malhonnêtes.Réponse du Ministère de l'économie et des finances publiée dans le JO Sénat du 14/03/2019 p. 1424
-
E-commerce : faux avis (20 11 2017)
E-commerce : les faux avis de consommateurs, une pratique récurrente
La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) met en évidence les pratiques déloyales de certaines entreprises qui se font passer pour des consommateurs pour promouvoir leurs produits.
De faux avis issus de pratiques déloyales qui nuisent à la fois aux consommateurs et aux professionnels
Depuis 2010, la DGCCRF observe un taux très élevé de faux avis sur les sites de vente de biens ou de services en ligne qui s’explique en grande partie par des pratiques commerciales trompeuses. Certains professionnels se font passer pour des consommateurs afin de valoriser, de manière déloyale, leur entreprise. Trois secteurs ou types de services sont en particulier concernés : l’hôtellerie, certains organismes de formation et les services entre particuliers.
D’autres professionnels font abusivement référence à une certification. C’est le cas de la certification NF Z 74-501. Cette norme Afnor garantit aux internautes que les avis qu’ils consultent sont ceux de consommateurs identifiés et qu’ils ne peuvent être modifiés. Elle permet de certifier le processus de collecte, de modération et de restitution des avis et non les avis eux-mêmes. Or certains professionnels communiquent sur la notion "d’avis certifiés".
Ces pratiques frauduleuses sont préjudiciables pour les professionnels honnêtes. Elles le sont aussi pour les consommateurs dont le choix est souvent influencé par les commentaires en ligne. D’après une étude de 2014 citée par la DGCCRF, 74% des internautes ont déjà renoncé à un achat à cause de commentaires négatifs et 41% ont déjà réalisé un achat spontané à la suite d’un avis positif.
Un meilleur encadrement des avis en ligne à compter de 2018
Un décret du 29 septembre 2017 pris en application de la loi pour une République numérique du 7 octobre 2016 encadre davantage les avis en ligne à partir du 1er janvier 2018. Toute personne dont l’activité consiste à collecter, modérer ou diffuser des avis en ligne de consommateurs devra assurer une information loyale, claire et transparente sur les modalités de publication et de traitement de ces avis.
Les sites de vente en ligne devront notamment préciser la date de publication et les critères de classement des avis ainsi que l’existence ou non d’une procédure de contrôle de ces avis. Ils devront également indiquer si les auteurs des avis ont été rémunérés. Le consommateur dont l’avis n’aura pas été publié devra connaître les motifs du refus de cette publication.
Sur la toile publique
Lien permanent Catégories : société, cadre de vie, vie pratique -
Commerce de détail et automobile : climat des affaires (juillet) (26 07 2017)
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2907086.html
En juillet 2017, le climat des affaires demeure très favorable dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles
Enquête mensuelle de conjoncture dans le commerce de détail et le commerce et la réparation automobiles - juillet 2017
Selon les chefs d'entreprise du commerce de détail et du commerce et de la réparation automobiles, le climat des affaires demeure très favorable en juillet 2017. L'indicateur qui le synthétise gagne un point par rapport à juin et se situe à 112, plus haut niveau depuis fin 2007. Il reste supérieur ou égal à sa moyenne de longue période (100) depuis février 2015.
Sommaire
Des activités passée et prévue jugées en hausse
Des soldes sur l'emploi proches de leur moyenne
Dans le commerce de détail, le climat des affaires reste favorable
Dans le commerce et la réparation automobiles, le climat des affaires est au plus haut depuis 2007
Avertissement : les coefficients saisonniers ont été actualisés en juillet 2017, ainsi que les paramètres des trois indicateurs synthétiques, d'où de légères révisions. Ils sont ainsi mis à jour une fois par an.
Selon les chefs d'entreprise du commerce de détail et du commerce et de la réparation automobiles, le climat des affaires demeure très favorable en juillet 2017. L'indicateur qui le synthétise gagne un point par rapport à juin et se situe à 112, plus haut niveau depuis fin 2007. Il reste supérieur ou égal à sa moyenne de longue période (100) depuis février 2015.
Des activités passée et prévue jugées en hausse
Lien permanent Catégories : société, cadre de vie, statistiques, démographie