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50 ans de consommation
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50 ans de consommation
Sommaire
Évolution mensuelle : −0,4 % en janvier ; Variation sur un an : +1,2 %
En janvier 2019, l’indice des prix à la consommation (IPC) se replie de 0,4 % sur un mois, après une stabilité en décembre 2018. Les prix des produits manufacturés reculent fortement en lien avec le début des soldes d’hiver (−2,1 % après −0,2 %) et ceux des services ralentissent (+0,2 % après +0,4 %). Les prix alimentaires sont eux aussi un peu moins dynamiques que le mois précédent (+0,5 % après +0,6 %). En revanche, les prix de l’énergie baissent moins fortement qu’en décembre (−1,2 % après −2,4 %), dans le sillage des cours du pétrole. Enfin, les prix du tabac augmentent de 0,8 % après une stabilité en décembre.
Corrigés des variations saisonnières, les prix à la consommation rebondissent de 0,2 % sur un mois, après une baisse de 0,1 % en décembre.
Sur un an, les prix à la consommation ralentissent pour le troisième mois consécutif : +1,2 % en janvier après +1,6 % en décembre. La baisse de l’inflation résulte d’un ralentissement des prix de l’énergie. En revanche, les prix des services, de l’alimentation et du tabac accélèrent. Enfin, ceux des produits manufacturés baissent légèrement moins que le mois précédent.
Stabilité de l’inflation sous-jacente sur un an
https://www.insee.fr/fr/statistiques/3648456?pk_campaign=avis-parution.html
La consommation des ménages en biens se replie légèrement en novembre (−0,3 %) Dépenses de consommation des ménages en biens - novembre 2018
En novembre 2018, les dépenses de consommation des ménages en biens se replient de 0,3 % en volume, après une hausse en octobre (+0,9 %). Ce repli s'explique notamment par la baisse de la consommation alimentaire (−0,5 %) et celle de biens fabriqués (−0,6 %). La consommation des ménages en énergie ralentit (+0,7 % après +1,5 % en octobre).
Sommaire
En novembre 2018, les dépenses de consommation des ménages en biens se replient de 0,3 % en volume, après une hausse en octobre (+0,9 %). Ce repli s'explique notamment par la baisse de la consommation alimentaire (−0,5 %) et celle de biens fabriqués (−0,6 %). La consommation des ménages en énergie ralentit (+0,7 % après +1,5 % en octobre).
Biens fabriqués : baisse en novembre
En novembre, les dépenses en biens fabriqués diminuent (−0,6 %), après un mois d'octobre relativement dynamique (+0,8 %). En particulier, les achats de biens durables se replient nettement, tandis que les achats relatifs à l'habillement et ceux d'autres biens fabriqués sont en légère baisse.
Biens durables : net repli en novembre
La consommation de biens durables se replie nettement en novembre (−1,1 %, après +1,0 %). Ce repli s'explique principalement par la baisse des achats de matériels de transport (−1,4 % après + 1,0 %). En particulier, les ventes de véhicules de démonstration se replient fortement.
Habillement-textile : légère baisse en novembre
Les dépenses en habillement-textile baissent légèrement en novembre (−0,1 % après +1,2 %). Les achats de tissus et de vêtements baissent fortement, tandis que les ventes de chaussures et de maroquinerie sont en hausse.
Autres biens fabriqués : quasi stabilité
En novembre, la consommation d'« autres biens fabriqués » est quasi stable (−0,1 % après +0,2 % en octobre et −0,2 % en septembre).
Alimentaire : repli en novembre
En novembre, la consommation alimentaire diminue (−0,5 % après +0,9 % en octobre). Cette diminution provient de la baisse de la consommation de produits issus de l'industrie agroalimentaire, malgré une légère hausse de la consommation de fruits et légumes frais.
Énergie : ralentissement en novembre
En novembre, la consommation d'énergie ralentit (+0,7 % après +1,5 % en octobre). En effet, la consommation de carburants est en repli (−1,0 % après +4,4 % en octobre), mais la consommation de gaz et d'électricité rebondit (+2,1 % après −0,9 %).
L'évolution d'octobre 2018 est revue à la hausse
Par rapport à l'estimation précédente, l'évolution des dépenses de consommation des ménages en biens d'octobre 2018 est révisée à la hausse : +0,9 % au lieu de +0,8 %. En effet, de nouvelles informations ont été intégrées et les coefficients de correction des variations saisonnières (CVS) ont été actualisés.
http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/publications/p/2764/1415/bilan-physique-monetaire-charbon-2011-2015.html
La consommation de charbon s’élève à 9,2 Mtep (TEP = tonne équivalent pétrole) en 2015, en baisse de 11 % par rapport à 2011 et représente 3,7 % de la consommation d’énergie primaire de la France. La filière fonte (cokeries et hauts-fourneaux) et la production d’électricité et de chaleur sont les deux principaux secteurs consommateurs.
Totalement importé depuis l’arrêt de la production en France fin 2014, le charbon pèse 1,3 Md€ dans le déficit extérieur en 2015. Cette facture a toutefois été presque divisée par deux depuis 2011. Cette diminution s’explique, au-delà de la baisse de la consommation, par la chute des prix du charbon sur le marché international, liée elle-même au ralentissement de la croissance chinoise et à la concurrence accrue du gaz.
La dépense totale en charbon, qui, outre la valeur des importations, inclut certaines marges de transformation et d’intermédiation, s’élève à 1,7 Md€ en 2015. Les hauts-fourneaux, qui consomment majoritairement du coke, en concentrent à eux seuls 60 %
Pour mieux répondre aux attentes des consommateurs et identifier les secteurs de la consommation les plus sensibles, la DGCCRF recense et analyse chaque année les plaintes de ses publics. En 2016, près de 70 000 réclamations ont été enregistrées, en hausse de 2,7 % par rapport à 2015.
Dans le cadre de sa mission de protection économique du consommateur, la DGCCRF attache une attention particulière au recueil des demandes d’informations et des réclamations des consommateurs et des professionnels.
Ces données sont, pour les unités déconcentrées comme pour l’administration centrale, une source précieuse d’informations. Elles permettent tout à la fois de détecter les préoccupations des publics, de réfléchir aux éventuelles évolutions réglementaires et d’alimenter les réflexions menées pour la programmation et le ciblage des enquêtes.
Principal enseignement de cette édition : les plaintes relatives à l’information donnée aux consommateurs avant la signature d’un contrat sont en forte hausse (+ 52 %).
En tête des secteurs les plus touchés, la téléphonie mobile, avec 656 plaintes contre 173 en 2015, suivie par l’installation et l’entretien de panneaux solaires (214 plaintes contre 28 en 2015), la billetterie (178 plaintes contre 7 en 2015), la plomberie (123 plaintes contre 39 en 2015) et la serrurerie (104 plaintes contre 29 en 2015).
A noter également, la hausse des plaintes pour pratiques commerciales trompeuses dans le secteur du gaz naturel (90 plaintes contre 36 en 2015).
Fait notable : le nombre de plaintes générées par la vente à distance (hors Internet) progresse de plus de 10 % (il diminue en revanche de 8 % pour le démarchage traditionnel et de 2 % pour le commerce électronique).
Autre tendance lourde : la recrudescence des plaintes contre les opérateurs de téléphonie (+ 31 %), les grandes et moyennes surface de l’alimentaire (+ 26 %), les fournisseurs d’accès Internet (+ 29 %) et les intermédiaires aux achat-vente-location et couponing (+ 41 %).
S’agissant de la localisation des plaignants, on constate une forte augmentation des réclamations enregistrées par certains services déconcentrés : Seine-Saint-Denis (+ 32 %), en Essonne (+ 43 %), dans le Val d’Oise (+ 30 %), en Isère (+ 29 %), en Ille-et-Vilaine (+ 28 %) et sur l’Ile de la Réunion (+ 57 %).
A l’inverse, le nombre de plaintes enregistrées par le Centre national d’appel de Montpellier (qui reçoit et traite les appels adressés au 39 39) a chuté de près d’un tiers par rapport à 2015.
Les courriers reçus déclenchent, dans 27 % des cas, une enquête ou sont rattachés à une enquête déjà existante. Dans 58 % des cas, un complément d’information est demandé pour enrichir le dossier.
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2908290.html
La consommation des ménages en biens se replie en juin 2017 (−0,8 %) mais rebondit sur l'ensemble du 2e trimestre (+0,4 %).
En juin 2017, les dépenses de consommation des ménages en biens diminuent de 0,8 % en volume*, après deux mois consécutifs de hausse. Cependant, elles rebondissent sur l'ensemble du 2e trimestre (+0,4 % après −0,4 %).
(*Les volumes sont mesurés aux prix de l'année précédente chaînés (en milliards d'euros 2010) et corrigés des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables (CVS-CJO).
Sommaire
1.Biens fabriqués : net repli en juin, légère hausse sur le trimestre
2.Biens durables : repli en juin, accélération sur le trimestre
3.Habillement-textile : baisse en juin et sur le trimestre
4.Autres biens fabriqués : légère hausse en juin, repli sur le trimestre
5.Alimentaire : nouvelle baisse en juin, légère accélération sur le trimestre
6.Énergie : légère baisse en juin, léger rebond sur le trimestre
7.L'évolution de mai 2017 est légèrement abaissée
1.Biens fabriqués : net repli en juin, légère hausse sur le trimestre.
En juin 2017, les achats de biens fabriqués se contractent (−1,0 % après +1,2 %). Sur l'ensemble du trimestre, ils augmentent très légèrement (+0,2 %) : le recul des dépenses en textile-habillement atténue le rebond des achats de véhicules et le dynamisme des achats de biens d'équipement du logement.
2.Biens durables : repli en juin, accélération sur le trimestre
En juin, la consommation en biens d'équipement du logement, notamment en produits électroniques grand public, baisse pour le troisième mois consécutif. Elle ralentit sur l'ensemble du trimestre (+0,9 % après +1,8 %).
Les achats d'automobiles sont quasi stables en juin : le repli en véhicules neufs est compensé par une accélération des achats de véhicules d'occasion et de deux-roues. Sur l'ensemble du trimestre, les achats d'automobiles rebondissent (+1,0 % après −0,9 %).
3.Habillement-textile : baisse en juin et sur le trimestre
En juin, les dépenses en habillement-textile se replient fortement (−4,7 %). La baisse est moins marquée sur l'ensemble du trimestre (−0,4 %).
4.Autres biens fabriqués : légère hausse en juin, repli sur le trimestre
En juin, les achats en « autres biens fabriqués » se redressent légèrement (+0,3 % après −0,1 %), principalement grâce au rebond des dépenses en quincaillerie-bricolage. Sur l'ensemble du trimestre, ces achats se replient (−0,4 % après une stabilité au premier trimestre).
5.Alimentaire : nouvelle baisse en juin, légère accélération sur le trimestre
En juin 2017, la consommation totale de produits alimentaires diminue nettement (−0,8 % après −0,1 % en mai). Toutefois, la consommation de tabac est en hausse. Sur l'ensemble du deuxième trimestre, les dépenses alimentaires accélèrent légèrement (+0,6 % après +0,4 %).
6.Énergie : légère baisse en juin, léger rebond sur le trimestre
En juin 2017, la consommation d'énergie se replie légèrement (−0,2 %), après deux mois de hausse soutenue. Les dépenses en gaz et électricité diminuent ; celles en produits raffinés augmentent (+0,7 %) du fait de la très forte hausse des achats de fioul tandis que la consommation de tous les autres carburants recule. Sur l'ensemble du trimestre, les dépenses d'énergie rebondissent légèrement (+0,5 %), après une forte baisse au premier trimestre (−3,2 %).
7.L'évolution de mai 2017 est légèrement abaissée
Par rapport à l'estimation précédente, l'évolution des dépenses de consommation des ménages en biens en mai 2017 est abaissée de 0,1 point, à +0,9 %. Depuis la précédente publication, de nouvelles informations ont été intégrées et les coefficients de correction des variations saisonnières ont été actualisés.