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consommation - Page 7

  • Grand froid et électricité (22 11 2016)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 15 novembre 2016 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11115?xtor=EPR-100.html

    Électricité : ce qui se passera chez vous en cas de grand froid

    En cas de vagues de froid importantes et durables en dessous des normales de saison durant cet hiver, le gestionnaire du Réseau de transport d'électricité (RTE) pourrait prendre des mesures exceptionnelles pour préserver l'alimentation électrique durant les heures de tension en semaine : le matin (8 heures-13 heures) et/ou le soir (18 heures-20 heures).

    Si une situation de déséquilibre extrême perdurait entre consommation d'électricité et production électrique, RTE pourrait ainsi avoir recours à des délestages programmés, momentanés et tournants afin de maintenir l'accès électrique pour le plus grand nombre de clients possibles (le délestage électrique consiste à supprimer l'alimentation d'un groupe de clients afin d'éviter la saturation de l'alimentation électrique).

    RTE a veillé également à mettre en place un dispositif de sécurisation électrique adéquat pour la Bretagne et la Provence-Alpes-Côtes d'Azur, deux régions historiquement fragiles sur la question. Pour rester informé sur l'état du système électrique de ces deux régions et sur les niveaux d'alerte éventuels, RTE propose aux consommateurs ;

     

    À noter : À partir du 5 décembre 2016, RTE va lancer également un nouveau dispositif d'alerte par le biais de l'application « éCO2mix » accessible sur smartphones, tablettes et site web. En cas de situation tendue sur la production et de températures froides persistantes, cette application diffusera des alertes incitant les consommateurs à réduire leur consommation (utiliser les appareils de lavage en heures creuses, baisser la température des pièces entre un et deux degrés avant de quitter le domicile, éteindre la lumière dans les pièces inoccupées ou encore éteindre les appareils en veille).

    Pour en savoir plus

     

  • Prix à la consommation (octobre 2016) (05 11 2016)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 28 octobre 2016 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=122&date=20161028.html

    En octobre 2016, les prix à la consommation augmentent de 0,4 % sur un an (Indice des prix à la consommation – résultats provisoires octobre 2016)

    Sur un an, les prix à la consommation augmenteraient de 0,4 % en octobre 2016, comme le mois précédent, selon l'estimation provisoire réalisée en fin de mois. La stabilité de l'inflation résulterait d'un rebond des prix de l'énergie, atténué par un repli des prix de l'alimentation et un ralentissement des prix des services. En outre, les prix des produits manufacturés continueraient de baisser sur un an, au même rythme que le mois précédent.

    Sur un mois, l'indice des prix à la consommation serait stable en octobre 2016, après un repli de 0,2 % en septembre. En octobre 2015, les prix avaient augmenté de 0,1 % en un mois. Les prix de l'énergie accéléreraient. À l'inverse, les prix des produits manufacturés ralentiraient nettement, du fait de l'habillement-chaussures. En outre, les prix des produits alimentaires et des services baisseraient encore, mais moins que le mois précédent.

    Sur un an, l'indice des prix à la consommation harmonisé augmenterait de 0,5 % en octobre 2016, comme le mois précédent. Sur un mois, il serait stable après une baisse de 0,2 % en septembre.

    Avertissement : Cette publication s'appuie sur des données provisoires. Les indices qui y figurent sont calculés sur un champ restreint d'observations de prix et à partir d'estimations des évolutions de certains tarifs non encore disponibles. Les résultats définitifs seront publiés le 15 novembre 2016. En conséquence, les indices provisoires ne doivent pas être utilisés pour des revalorisations contractuelles.

  • Facture d’eau anormale (16 06 2016)

    Note de synthèse d’un jugement de la Cour de Cassation publiée le 26 mai sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A10635?xtor=EPR-100.html

    Consommation d'eau anormale : l'usager doit être alerté

    En présence d'une consommation d'eau anormalement élevée, la commune ou le service des eaux doivent alerter l'abonné sur ce montant anormal. C'est ce que rappelle la Cour de cassation dans une décision du 12 mai 2016.

    Un abonné contestait la facture d'eau que lui avait adressée la commune pour un montant de plus de 8 000 € pour une consommation de 5 600m3. Il en refusait le règlement et reprochait au service des eaux de ne pas l'avoir alerté immédiatement dès lors qu'il avait constaté une augmentation anormale du volume d'eau consommé.

    La justice lui a donné raison. En effet, dès que le service d'eau potable constate une augmentation anormale du volume d'eau consommé par l'occupant d'un local d'habitation susceptible d'être causée par la fuite d'une canalisation, il doit en informer sans délai l'abonné. Les juges ont fixé le montant à régler à la part de la consommation n'excédant pas le double de la consommation moyenne de l'abonné.

    Selon la loi, une augmentation du volume d'eau consommé est considérée comme anormale si le volume d'eau consommé depuis le dernier relevé excède le double du volume d'eau moyen consommé par l'abonné.

    Et aussi sur service-public.fr

  • Ménages : consommation en février 2016 (05 04 2016)

    Nous proposons aujourd’hui une note d’analyse économique publiée le 31 mars 2016 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=19&date=20160331.html

    En février 2016, la consommation des ménages en biens continue de progresser (+0,6 %)

    En février 2016, les dépenses de consommation des ménages en biens augmentent de 0,6 % en volume* (après +1,0 % en janvier et +1,1 % en décembre 2015). Elles dépassent leur précédent plus haut niveau atteint début 2011. Les achats de produits alimentaires rebondissent. Les dépenses en biens d'équipement du logement accélèrent. Les dépenses en énergie s'accroissent encore, même si elles ralentissent. La hausse totale est atténuée par un net repli des dépenses d'habillement après la période des soldes d'hiver.

    Alimentaire : net rebond

     

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  • Consommation des ménages : novembre 2015 (05 01 2016)

    Nous proposons des extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’information publiée le 23 décembre 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=19&date=20151223.html

    En novembre 2015, la consommation des ménages en biens diminue de nouveau (–1,1 %)

    En novembre 2015, les dépenses de consommation des ménages en biens diminuent de nouveau : elles baissent de 1,1 % en volume*, soit leur plus forte contraction depuis janvier 2014, après un léger recul en octobre (–0,2 %). Cette nouvelle baisse provient principalement de la chute de la consommation d'énergie (–5,6 %) et du net recul des dépenses d'habillement (–4,7 %).

    * Les volumes sont mesurés aux prix de l'année précédente chaînés de 2010 et corrigés des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables (CVS-CJO).

    Énergie : forte baisse

     

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  • Consommation des ménages : 2e trimestre 2015 (06 08 2015)

    Nous proposons des extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 31 juillet 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=19&date=20150731.html

    En hausse en juin (+0,4 %), la consommation des ménages en biens est quasiment stable au deuxième trimestre 2015 (–0,1 %)

    En juin 2015, les dépenses de consommation des ménages en biens accélèrent : +0,4 % en volume, après +0,1 % en mai. Cette accélération résulte principalement du dynamisme de la consommation alimentaire (+0,6 % en juin après 0,0 %). Cependant, sur l’ensemble du deuxième trimestre, les dépenses de consommation des ménages en biens sont quasi stables (–0,1 %), après une vive augmentation au premier trimestre (+1,5 %) : le recul de la consommation en énergie (–2,2 %) compense le dynamisme de la consommation alimentaire (+0,8 %).

     

    Biens fabriqués : hausse en juin, stabilité sur le trimestre

    Biens durables : ralentissement en juin et sur le trimestre

    Les dépenses en biens durables ralentissent légèrement en juin (+0,4 % après +0,7 % en mai). Les achats en équipement du logement augmentent (+0,4 %) après deux mois atones et les achats d’automobiles accélèrent légèrement (+0,7 % après +0,5 % en mai). En revanche, les achats d’autres biens durables se replient nettement (-0,7 % après +2,9 %), notamment du fait de l’horlogerie-bijouterie. Sur l’ensemble du deuxième trimestre 2015, les dépenses en biens durables ralentissent (+1,0 % après +1,9 %), notamment les dépenses d’équipement du logement (–0,1 % après +1,6 %). Les achats d’automobiles restent dynamiques (+2,0 % après +2,3 %).

    Habillement : hausse en juin, baisse sur le trimestre

    Les achats en textile, habillement et cuir augmentent en juin (+0,4 % après –0,1 %). Néanmoins, ils se replient sur l’ensemble du deuxième trimestre (–2,0 % après +1,6 %).

    Autres biens fabriqués : légère hausse en juin

    Les dépenses en autres biens fabriqués augmentent légèrement en juin (+0,2 % après –0,1 %), notamment en quincaillerie-bricolage. Elles sont quasiment stables sur l’ensemble du deuxième trimestre (–0,1 % après +1,4 %).

    Alimentaire : accélération en juin et sur le trimestre

    En juin, la consommation en produits alimentaires se redresse (+0,6 % après une stabilité en mai). Sur l’ensemble du deuxième trimestre, elle accélère (+0,8 % après +0,2 % au trimestre précédent).

    Énergie : repli sur le trimestre

    En juin, la consommation des ménages en énergie est quasi stable (–0,1 %).

    Sur l’ensemble du deuxième trimestre, la consommation d’énergie se replie (–2,2 % après +3,7 %), principalement en gaz et électricité.

    L’évolution de mai est inchangée

     

    Depuis la précédente publication, de nouvelles informations ont été intégrées, et les coefficients de correction des variations saisonnière ont été actualisés. Toutefois, l’évolution des dépenses de consommation des ménages en biens est inchangée en mai (+0,1 %).

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