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prevention - Page 11

  • Economie circulaire, gaspillage (20 03 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 12 février 2020 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

     

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13849?xtor=EPR-100.html

     

    Contre le gaspillage et pour l'économie circulaire : ce que prévoit la loi

    Publié le 12 février 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Développement de la vente en vrac, fourniture de contenants réutilisables, possibilité d'apporter ses propres récipients, interdiction de l'impression et de la distribution systématique des tickets de caisse, interdiction de produits plastiques à usage unique, fin des étiquettes sur les fruits et légumes... La loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire est parue au Journal officiel du 11 février 2020.

    La loi prévoit notamment que :

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  • Maladie de Lyme : dispositif (26 12 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 19 décembre 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190711252.html

     

    Question écrite n° 11252 de Mme Colette Giudicelli (sénatrice des Alpes-Maritimes)

     

    Mme Colette Giudicelli attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur l'importance de l'errance médicale liée à la maladie de Lyme et sur la nécessité d'intensifier la recherche scientifique.


    La maladie de Lyme étant une maladie grave et les débats scientifiques à ce sujet faisant perdre un précieux temps au malade, les associations de lutte contre la maladie vectorielle de Lyme souhaiteraient l'amélioration des tests de dépistage.


    Le Sénat a d'ailleurs, dans un rapport d'information n° 453 (2018-2019) du 10 avril 2019, dédié à la maladie de Lyme, rappelé qu'il avait déjà eu l'occasion d'interpeller le Gouvernement sur les problèmes d'″absence de financement pérenne accordé à l'institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) pour conduire le volet ″recherche″ du plan national contre Lyme″.


    Une prise de conscience a eu lieu aux États-Unis et progresse en Europe, pour mettre fin à l'errance des malades. Il apparaît donc primordial de faire avancer la recherche, en laboratoire, comme sur le terrain.


    Elle souhaiterait donc savoir quelles mesures le Gouvernement envisage de mettre en place afin de favoriser la recherche concernant les tests de dépistage et les traitements de la maladie de Lyme.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 19/12/2019 p. 6287

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  • Loi EGalim (25 11 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui, à titre de rappel (un article détaillé sur ce thème a été publié le 30 août sur ce blog, à l’adresse suivante :

    http://retraiteshospitaliers64.blogspirit.com/archive/2019/08/30/loi-agriculture-alimentation-loi-egalim-30-08-2019-3141035.html )

    cette note publiée le 8 novembre 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13013.html

    Alimentation, plastiques, produits phytosanitaires, bien-être animal..., ce que dit la loi EGalim

    Publié le 08 novembre 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Favoriser une alimentation plus saine, réduire l'utilisation du plastique dans le domaine alimentaire, améliorer les conditions sanitaires et environnementales de la production agricole, renforcer le bien-être animal... C'est ce que prévoit notamment la loi pour l'équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine, durable et accessible à tous (dite « loi EGalim ») publiée au Journal officiel du 1er novembre 2018.

    Parmi les mesures contenues dans cette loi, il faut retenir en particulier :

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  • Déchets : les bons gestes au quotidien (20 11 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 13 novembre 2019 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13676?xtor=EPR-100.html

    Déchets : les bons gestes au quotidien 

    Publié le 13 novembre 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Qu'est-ce qu'un déchet ? Comment peut-on éviter d'en produire autant ? Alors que la semaine européenne de la réduction des déchets (SERD) se déroule du 16 au 24 novembre 2019, retrouvez quelques conseils pratiques pour essayer de diminuer vos déchets au quotidien.

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  • Téléphone mobile : exposition (31 10 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 21 octobre 2019 sur le site de l’Agence Nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail (cliquer ici pour accéder au site de l’ANSES)

     

    https://www.anses.fr/fr/content/expositions-aux-téléphones-mobiles-portés-près-du-corps.html

     

    Le contrôle de l’exposition aux ondes émises par les téléphones mobiles a été modifié en 2016, afin de tenir compte de l’évolution des modèles et des usages. Depuis, les fabricants sont tenus d’évaluer l’exposition dans des conditions réalistes d’utilisation, à savoir lorsque le téléphone est placé très près du corps, au maximum à 5 mm de distance. Or, un nombre important de téléphones conformes à la précédente réglementation encore utilisés présentent des niveaux d’exposition élevés lorsqu’ils sont placés près du corps. L’Anses a ainsi été sollicitée afin d’évaluer les éventuels effets sur la santé liés à ces conditions d’expositions. Suite à son expertise, l’Anses recommande que des mesures soient prises afin que les utilisateurs ne soient plus exposés à des niveaux élevés lorsque les téléphones sont portés près du corps.

     

    Une nécessaire adaptation des normes aux évolutions des téléphones mobiles

     

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  • Diabète (11 10 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 19 septembre 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190510348.html

    Question écrite n° 10348 de M. Maurice Antiste (sénateur de la Martinique)

    Maurice Antiste appelle l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la progression de la maladie du diabète, notamment en France et dans ses territoires d'Outre-mer.


    Quatrième cause de mortalité en Europe, le diabète touche 415 millions de personnes dans le monde d'après la fédération internationale du diabète. Celle-ci qualifie le phénomène de véritable pandémie et la lutte contre cette pathologie constitue un véritable enjeu de société et de santé publique. Car sa progression est considérable, et l'OMS prévoit 622 millions de diabétiques d'ici 2040.


    Le diabète est également à l'origine du décès d'1,5 million de personnes dans le monde, dont 34 000 en France. Ce nombre ne cesse d'ailleurs d'augmenter chaque année : la progression de cette pathologie était de l'ordre de 2,8 % entre 2014 et 2015. Aujourd'hui, près de quatre millions de personnes en France sont touchées : si 5,4 % de la population sont traités pharmacologiquement pour un diabète, (ce qui équivaut à 3,7 millions de personnes), 500 000 à 800 000 diabétiques s'ignorent.

    À la Martinique le nombre de diabétiques est d'environ 40 000, et chaque année les services de santé enregistrent 1 200 nouveaux cas. La prévalence du diabète traité, de l'ordre de 7,4 % en population générale, est deux fois plus élevée que la moyenne nationale. La Martinique est par conséquent, avec la Guadeloupe, le département français où le problème du surpoids et de l'obésité est le plus aigu. Ils ne sont pas à considérer seulement sur le plan esthétique, mais ils peuvent aussi être source de sérieuses répercussions sur la santé et sur l'avenir des personnes.


    Ainsi, Santé publique France, agence nationale de santé publique, a démontré dans « un bulletin épidémiologique hebdomadaire, consacré principalement au diabète de type 1 de l'enfant », que dans les Antilles françaises, les enfants sont particulièrement atteints. C'est notamment le cas de la Réunion et de la Martinique. Même si ces deux régions ne dépassent pas le taux national (de 18 % pour 100 000 habitants), elles s'en rapprochent dangereusement. Ainsi, la Martinique compte 17,8 % d'enfants diabétiques pour 100 000 habitants et La Réunion 14 % pour 100 000 habitants. En Guadeloupe et en Guyane, les chiffres sont moins élevés (respectivement 12,2 et 3,6 %) mais la situation n'en demeure pas moins préoccupante, Santé Publique France jugeant que le nombre de cas de diabètes (aussi bien nouveau qu'ancien) est « toujours plus élevé ».


    Enfin, le diabète entraîne bien souvent de graves complications : en France, 11 737 diabétiques ont été hospitalisés pour un infarctus du myocarde (soit 2,2 fois plus que chez les non-diabétiques), plus de 20 493 personnes ont été hospitalisées pour une plaie du pied (soit cinq fois plus que chez les non-diabétiques), dont 9 000 pour une amputation d'un membre inférieur (neuf fois plus que chez les non-diabétiques). D'ailleurs, l'agence régionale de santé relève que les complications (liées à cette pathologie) sont particulièrement graves et fréquentes en Martinique (insuffisance rénale, amputation des membres inférieurs, cécité, etc.) et la mortalité prématurée par diabète touche plus souvent les hommes. Le diabète constitue à ce titre la première cause d'amputation. En outre, le risque d'accident vasculaire cérébral imposant une hospitalisation est 1,6 fois plus élevé pour les diabétiques que pour les non-diabétiques.


    Aussi, il lui demande de bien vouloir lui préciser les mesures envisagées par le Gouvernement afin de lutter efficacement contre le diabète, et plus spécifiquement les actions qui seront menées pour endiguer ce fléau en outre-mer.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 19/09/2019 p. 4805

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