http://www.distinction.ch/LD.Champignac/LD.Champignac.html
Grand prix du maire de Champignac (2018)
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Grand prix du maire de Champignac (2018)
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https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/securite/avis-rappels-produits.html
NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent une fiche (photo, produit, société, nature du risque) de l’article concerné
Nom du produit : Gloop noise putty
Fournisseur : RMS / Référence RMS 05-0207
Marque indiquée sur le produit : TOY HUB
Référence La Foirfouille : 10000210561
Lot : 224424-1
Risque : Migration de l'élément bore supérieure à la limite normative entraînant un risque d'intoxication pour l'utilisateur.
Commentaire : L'utilisateur est invité à cesser d'utiliser ce produit et à le rapporter en magasin (avec la preuve d'achat) pour obtenir son remboursement.
Nom du produit : Brioche bio Bonneterre 500g et Brioche tressée bio Bonneterre 300g
Marque : BONNETERRE
Référence :
Risque : La société Bonneterre&Cie procède au rappel des produits "Brioche bio Bonneterre 500g" et" Brioche tressée bio Bonneterre 300g" suite à l'absence d'indication de l'ingrédient beurre contenant l'allergène LAIT dans la liste des ingrédients.
Commentaire : Il est demandé aux personnes allergiques au LAIT qui détiendraient ce produit de ne pas le consommer et de le rapporter sur le lieu d'achat
Liste des Rappels de la semaine précédente
https://cnnumerique.fr/
Le Conseil national du numérique remet son rapport relatif à la transformation numérique du système de santé
Paris, le 11 juin 2020
Au pied du mur.
La transformation numérique du système de santé, promise depuis des années - d’aucuns diraient des décennies ? -, n’est plus un lointain horizon, un mirage insaisissable dont on se rapprocherait chaque année de quelques mètres paresseux, nous permettant de contempler, satisfaits, le chemin qu’il reste à parcourir.
La crise sanitaire que nous traversons nous a mis face aux réalités : nous avons trop tardé ! “Nous sommes en guerre” nous annonçait le 16 mars le Président de la République. Comment pouvait-on espérer, sans portage politique du numérique en santé, sans vision stratégique de l’Etat depuis des décennies, aborder cette épreuve suffisamment armés ? De la difficulté à fournir des outils interopérables et souverains à la trop légère formation au numérique en santé, en passant par la fragile confiance des usagers et des professionnels dans ce domaine, la situation de stress à laquelle fait face le numérique en santé français est apparue de façon indéniable.
Le tableau n’est naturellement pas si sombre, et ces temps troublés ont aussi permis de mettre en lumière les forces profondes de notre pays : un usage croissant de certains outils mis à la disposition des citoyens et des professionnels dont la télémédecine est la meilleure illustration : plafonnant à 10.000 consultations par semaine en février 2020, son utilisation a été multipliée par 100 en à peine 1 mois ! Ce sursaut numérique citoyen, nous le devons aussi à un écosystème innovant qui a su apporter des réponses en un temps record, débarrassé des lenteurs administratives ; autant de preuves que, même au pied du mur, nous ne sommes pas rentré dedans.
Question écrite n° 11327 de Mme Colette Mélot (sénatrice de Seine-et-Marne)
Mme Colette Mélot attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie et des finances et du ministre de l'action et des comptes publics, chargé du numérique sur les conséquences produites par un nouveau phénomène : les ″deepfakes″.
On les appelle deepfakes, et ce sont, non plus des détournements, mais des fausses vidéos forgées de toutes pièces à l'aide de l'intelligence artificielle, à partir de simples images et d'échantillons de voix, qui ont toutes les apparences du vrai. Avec un effet potentiellement dévastateur, à tel point que les agences de renseignement américaines redoutent que ces fausses vidéos plus vraies que nature, ne perturbent l'élection présidentielle de 2020.
En France, contrairement aux États-Unis où le problème est déjà sur le bureau des membres de la commission de renseignement de la Chambre des représentants, le Gouvernement ne semble pas se positionner sur ce nouveau type de désinformation et la loi sur la manipulation de l'information dite ″anti-fake news″ votée en décembre 2018 ne l'évoque pas directement.
Le sujet est particulièrement inquiétant si l'on imagine les conséquences que ce nouveau phénomène peut produire dans l'esprit de nos concitoyens. Cette arme de manipulation peut nuire à la réputation de quelqu'un, berner l'opinion publique, leurrer des assurances et même des banques et l'on peut craindre des opérations de chantage ou des campagnes de ″désinformation″ pouvant menacer la sécurité nationale.
Elle lui demande donc quelles mesures le Gouvernement compte prendre pour empêcher la propagation de ce type de contenus, et si des échanges sont déjà intervenus auprès des instances de Facebook afin d'influer sur la politique de la plateforme en matière de modération des deepfakes.
(Voici la récapitulation mensuelle des articles publiés chaque jour
à partir de nos lectures sur internet)
http://www.senat.fr/questions/base/2020/qSEQ200314870.html