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retraiteshospitaliers64 - Page 729

  • Rappel de produits (mise à jour du 21 05 2013)

    Nous proposons ici chaque 20, 21, 22 ou 23 du mois depuis le 21 octobre 2011, une liste d’avis publiés les 30 jours précédents sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/securite/alertes/Rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappel de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée.

    Liste des rappels de la période du 20/04 au 20/05/2013

    16/05/13 Avis de rappel d’un tapis chauffant pour chats et chiens par la société ROYAL CANIN
    Présence de Di-éthylène Glycol dans le gel contenu dans ce tapis, pouvant entraîner un risque d’intoxication dans les cas où ce gel serait ingéré par l’animal

    07/05/13 Avis de rappel d’un dispositif mécanique pour l’élagage par la société PETZL
    Risque de rupture du trou de connexion supérieur droit dans certaines configurations entrainant un risque de chute de l’utilisateur

    03/05/13 Avis de appel de vélos Rockrider 9.9 XL de marque B’Twin  de la société Décathlon 
    Dysfonctionnement du triangle arrière pouvant altérer le bon fonctionnement du vélo et entrainant un risque de chute pour l’utilisateur
    26/04/13 Avis de rappel de luminaires de salle de bains de marque INSPIRE
    Risques de choc électrique et de brûlure en cas de contact

     

     

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  • Hôpitaux : gestion de proximité (20 05 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 18 avril 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13040096C.html

     

    Question thématique n° 0096C de M. René-Paul Savary (Marne - UMP)

    M. René-Paul Savary. Madame la ministre, ma question portera également sur la notion de proximité, plus précisément sur les hôpitaux ruraux.

    Le rapport de M. Couty, publié en février dernier, tend à proposer une refondation de la gouvernance de l'hôpital public pour les années qui viennent, selon des principes adaptés aux temps. Il s'agit de répondre aux attentes des patients et de centrer l'hôpital sur ses missions, à savoir les soins, le médicosocial, la santé publique, l'enseignement et la recherche. 

    Dans ce cadre, je consacrerai mon propos aux conseils de surveillance des groupements hospitaliers. 

    Il n'y a qu'un conseil de surveillance par groupement. Cette instance remplace les conseils d'administration de chaque établissement.

    Prenons l'exemple des départements de la Marne et de l'Aube. Nous avons constitué le groupement hospitalier Aube-Marne, qui réunit trois établissements : celui de Sézanne, dans la Marne, et ceux de Romilly-sur-Seine et de Nogent-sur-Seine, dans l'Aube. Cette organisation permet de rationaliser les coûts et les services, qu'il s'agisse de la médecine générale, de l'accueil des urgences, de l'antenne du SMUR, des services de soins de suite et de rééducation ou de l'hébergement des personnes âgées.

    Cependant, un inconvénient se dessine : l'éloignement de la structure décisionnelle.

    En tant que membre du conseil de surveillance, j'ai proposé d'installer dans chaque établissement un conseil informel chargé de décliner la stratégie commune tout en prenant en compte la vie sociale, la dimension humaine et l'inclusion dans la vie locale. Aujourd'hui, la loi ne le permet pas ! 

    Madame la ministre, pensez-vous ouvrir à l'avenir la possibilité de créer une telle structure représentative, informelle ou non, réunissant les élus locaux, les associations, les représentants des secteurs sanitaire, médicosocial et social ? Il s'agit non pas d'alourdir le dispositif existant, mais de le rendre un peu plus efficace dans la vie de tous les jours, aussi bien pour les malades que pour le personnel soignant. 

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 18/04/2013 – p. 3489

     

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  • Grand Prix de Champignac 2012 (6/8) (19 05 2013)

    Nous proposons ces prochains dimanches, avec humilité et gourmandise, la publication annuelle du palmarès (décembre 2012) de l’humour involontaire (articles ou déclarations en politique, sports, loisirs ou société) détecté par l’académie suisse du Grand Prix de Champignac (cliquer ici pour accéder au site du Grand Prix de Champignac)

    http://www.distinction.ch/LD.Champignac/LD.Champignac2012.html

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    Candidate n° 26

    «Vous avez compris que le monde avance et vous ne voulez pas rater la marche d’un courant inéluctable.»

    Micheline Spoerri, candidate genevoise à l’Assemblée nationale française,
    in «Message aux électeurs français de Suisse», avril 2012

    Candidat n° 28

    «Au bord du précipice, le club de la Praille sait qu'il possède une épée de Dermoclès au-dessus de sa tête.»

    Dépêche ATS (SportInformation),
    2 mars 2012, 16h24

    Candidate n° 29

    «Déjà lors du débat au National, le 1er mars dernier, de nombreux orateurs, pressentant peut-être la possibilité d’un oui dimanche [à l’initiative Weber sur les résidences secondaires], ont souligné l’intérêt de bétonner le contre-projet.»

    Chrystel Domenjoz, journaliste,
    supra RTS-La Première, 12 mars 2012, vers 12h35

    Candidat n° 31

    «Il nous faut un rite de rassemblement pour qu'on sorte du choc du coup de massue de domination que vous venez de nous asséner.»

    Bernard Crettaz, sonné,
    supra RTS-La Première, 12 mars 2012, vers 19h50

    Candidat n° 32

    «Il reste que de si jeunes enfants n'ont pas les outils psychiques pour comprendre ou décoder ce qui se passe. Ils n'arriveront pas forcément à verbaliser, surtout ceux qui ne parlent pas encore.»

    Alain Herzog, pédopsychiatre,
    in Tribune de Genève, 22 mars 2012

    A suivre

  • Prix consommation : prix avril 2013 (18 05 2013)

    Note publiée le 15 mai 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=103&date=20130515.html

    En avril 2013, les prix des produits de grande consommation sont stables dans la grande distribution

    Indice des prix dans la grande distribution – Avril 2013

    Dans la grande distribution, les prix des produits de grande consommation sont stables en avril après une hausse de 0,1 % en mars.

    Sur un an, les prix augmentent de 0,6 % dans la grande distribution

     

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  • Hôpitaux : situation des urgences (17 05 2013)

    Question orale de sénateur et réponse ministérielle publiées le 18 avril 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13040097C.html

    Question crible thématique n° 0097C de M. René Teulade (député socialiste de la Corrèze)

    Malgré la mise en œuvre du plan « urgences » entre 2004 et 2008, nous constatons que la situation des services des urgences dans les hôpitaux publics demeure particulièrement inquiétante. 


    Les raisons de cette situation sont amplement connues. Le manque de moyens humains contraste avec la hausse constante du nombre de passages aux urgences, qui a doublé entre 1990 et 2004, passant de 7 millions à 14 millions. Parallèlement, les urgentistes ressentent de plus en plus un sentiment d'impuissance, dans la mesure où ils ne peuvent exercer leur métier dans des conditions propices aux soins et à l'accueil des patients, notamment des publics vulnérables, telles les personnes âgées, malgré la mise en place de filières gériatriques. 

    La dégradation visible et pernicieuse des services des urgences est d'autant plus préjudiciable qu'ils constituent une vitrine pour l'hôpital public. Ils jouissent en effet d'une excellente image auprès de la population, offrant vingt-quatre heures sur vingt-quatre à tout un chacun la possibilité d'être soigné par des professionnels qualifiés disposant d'un plateau technique parfois étendu.

    Afin de remédier aux difficultés auxquelles doivent faire face les services des urgences, ne devrait-on pas se focaliser avant tout sur l'organisation du système de soins ? Il conviendrait d'améliorer l'articulation entre médecine de ville et hôpital : une telle évolution, esquissée par le Gouvernement dans le cadre du précédent projet de loi de financement de la sécurité sociale, est préconisée dans le rapport de 2007 de la Cour des comptes.

    Dans cette même optique, il serait opportun de renforcer la permanence des soins en vue de désengorger les urgences. Dans son enquête sur l'état des lieux de la permanence des soins en médecine générale, le Conseil national de l'Ordre des médecins s'alarme de « la pénurie de médecins volontaires », de leur « vieillissement » et de « l'érosion du volontariat ». Il en résulte un affaiblissement notable de la permanence des soins, qui, aujourd'hui, n'est plus assurée à partir de minuit dans dix-neuf départements.

    L'égalité d'accès aux soins, droit constitutionnel qui découle du onzième alinéa du Préambule de la Constitution de 1946, n'est donc pas garantie. Pour lui redonner corps, il est fondamental d'envisager l'instauration d'une participation obligatoire des médecins libéraux à la permanence des soins, fondée sur un système de rotation.

    Par ailleurs, les maisons de garde ont contribué à décharger les services des urgences. Il apparaît donc nécessaire d'assurer leur déploiement et leur pérennisation sur le territoire. 

    En outre, il semble acquis qu'il faille rééquilibrer le financement, afin qu'il ne constitue pas une incitation à augmenter le nombre de passages aux urgences pour des raisons purement pécuniaires. 

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 18/04/2013 – p. 3490

     

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  • Situation des hôpitaux (16 05 2013)

    Question orale de sénateur et réponse ministérielle publiées sur le site du Sénat le 18 avril 2013 (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13040092C.html

    Question thématique n° 0092C de Mme Laurence Cohen (Val-de-Marne - CRC)

    Mme Laurence Cohen. Nombre des difficultés rencontrées par les hôpitaux sont liées à la restriction des moyens décidée par le précédent Gouvernement, conformément à la sacro-sainte loi de la diminution des dépenses publiques.

    Les effets négatifs de l'application de la loi HPST, dite loi Bachelot, et de la T2A ne cessent de se faire sentir, aussi bien du côté des patients que de celui des praticiens, d'où l'importance de se fixer des objectifs ambitieux et de rompre avec les logiques suivies jusqu'à présent.

    L'hôpital est en souffrance, et l'onde de choc est considérable : manque flagrant de lits, nombre de médecins plus qu'insuffisant, délais d'attente inacceptables pour obtenir un rendez-vous avec un spécialiste.

    Il est impossible de parler ici de tous les hôpitaux au bord de l'explosion. Je vous invite à vous rendre sur le site internet de la coordination des hôpitaux et maternités de proximité : ce qu'on y découvre est édifiant ! Je veux une nouvelle fois, madame la ministre, attirer votre attention sur ce qui se passe à l'Hôtel-Dieu, dont la situation mérite une vaste mobilisation des pouvoirs publics et rend urgente l'adoption, proposée par le groupe CRC, d'un moratoire sur toutes les restructurations et fermetures en cours.

    Le désarroi des personnels hospitaliers est profond. Vous avez fait mention du rapport Couty : il comporte effectivement des pistes intéressantes, mais je ne suis pas persuadée qu'elles répondent aux inquiétudes des professionnels et des patients.

    Ma question est simple : comptez-vous, madame la ministre, proposer la suppression de la taxe sur les salaires, ce qui permettrait de résoudre en partie les difficultés financières des hôpitaux et ne serait que justice, dans la mesure où le secteur privé en bénéficie déjà ? 

    Réponse de la Ministre des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 18/04/2013 – p. 3486

     

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