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aide alimentaire

  • Aide alimentaire  (26 09 2023)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 14 septembre 2023 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/290956-aide-alimentaire-un-taux-de-non-recours-important-parmi-les-precaires.html

    Aide alimentaire : une personne sur deux en précarité alimentaire n'y a pas recours

    Publié le 14 septembre 2023

    Dans un contexte de forte inflation, 16% des Français déclarent ne pas avoir toujours à manger selon les résultats d'une étude du Crédoc menée en novembre 2022. Pourtant, parmi les personnes en précarité alimentaire, seule une sur deux a recours à l'aide alimentaire à la fois par méconnaissance de ces dispositifs mais aussi par honte d'y recourir.

    S'appuyant sur une enquête sur les conditions de vie et les aspirations des Français, menée en novembre 2022, le Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc) observe plus spécifiquement, dans une note publiée en septembre 2023, la situation des personnes en précarité alimentaire et les différentes stratégies déployées, notamment par celles n'ayant pas recours à l'aide alimentaire.

    Un sacrifice sur la qualité et la quantité des aliments

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  • Invendus alimentaires (14 01 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 décembre 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ191113014.html

    Question écrite n° 13014 de M. Hervé Maurey (sénateur de l’Eure)

    Hervé Maurey attire l'attention de Mme la ministre de la transition écologique et solidaire sur la collecte des invendus alimentaires des moyennes et grandes surfaces.


    La loi n° 2016-138 du 11 février 2016 relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire interdit de rendre impropres à la consommation ou à la valorisation les denrées alimentaires encore consommables qu'ils n'ont pas vendues et contraint les distributeurs dont la surface est supérieure à 400 m² à établir une convention encadrant les dons alimentaires, avec une association habilitée pour recevoir des dons.


    Une enquête menée début 2019 auprès d'un certain nombre de moyennes et grandes surfaces établit que si la très grande majorité d'entre elles travailleraient avec des associations, moins de la moitié auraient leurs invendus collectés quotidiennement.


    Ce constat laisse présager que de nombreux magasins procéderaient encore à la destruction d'invendus alimentaires.


    Selon une étude de l'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME), le volume des pertes et gaspillages alimentaires pourrait atteindre plus de 10 millions de tonnes.


    Aussi, il lui demande les mesures qu'elle compte mettre en œuvre afin de renforcer le cadre en matière de dons des invendus alimentaires et empêcher leur destruction par les moyennes et grandes surfaces.

     

    Réponse du Ministère de la transition écologique et solidaire publiée dans le JO Sénat du 26/12/2019 p. 6412

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  • Aide alimentaire : épiceries sociales et solidaires (28 02 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 5 février 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13120667S.html

    Question orale sans débat n° 0667S de M. Luc Carvounas (sénateur du Val-de-Marne - SOC) publiée dans le JO Sénat du 19/12/2013 - page 3604

    Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, je souhaite attirer votre attention sur l'avenir des épiceries sociales et solidaires.

    Le 27 juin 2013, les présidents du Conseil européen, du Parlement européen et de la Commission européenne ont trouvé un accord pour la création d'un fonds européen d'aide aux plus démunis doté de 3,5 milliards d'euros sur sept ans.

    Je tiens tout d'abord à saluer le rôle déterminant du Gouvernement français dans cette décision, qui a permis de maintenir la totalité des crédits alloués aux associations françaises d'aide alimentaire, alors qu'il était question de supprimer leurs subsides européens.

    Cependant, les épiceries sociales et solidaires ont été exclues de fait de ce fonds eu égard à l'obligation faite aux associations de délivrer gratuitement des denrées alimentaires.

    Or le modèle des épiceries sociales et solidaires repose précisément sur une participation symbolique de leurs bénéficiaires qui permet aux personnes en difficulté de voir leur dignité respectée et d'alléger leur sensation de dépendance à l'autre, sentiment qui s'ajoute très souvent à celui de déclassement qu'elles éprouvent. De plus, cette participation permet de financer diverses actions d'insertion sociale en matière d'aide au logement, de soutien à l'insertion professionnelle, ou encore d'accès aux soins.

    Madame la ministre, pour toutes ces raisons et parce que ces épiceries sont un maillon essentiel de notre modèle de solidarité nationale, je souhaiterais savoir ce que le Gouvernement entend faire pour protéger et pérenniser les épiceries sociales et solidaires.

     

    Réponse du Ministère chargé des personnes handicapées et de la lutte contre l'exclusion publiée dans le JO Sénat du 05/02/2014 p. 1270

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  • Démunis : programme d'aide européen (22 03 2013)

    Programme européen d’aide aux plus démunis

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiée le 28 février 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130204681.html

    Question écrite n° 04681 de M. Michel Doublet (Charente-Maritime - UMP)

    M. Michel Doublet attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt sur le programme européen d'aide aux plus démunis. Le projet de budget européen pour 2014-2020 fait apparaître une baisse de 30 % alors que la demande due à la crise économique est en constante augmentation.

    Depuis plusieurs années la France œuvre auprès de ses partenaires européens pour le maintien de ce dispositif qui permet de distribuer des repas à plus de 19 millions de personnes en Europe dont quatre en France. Si le maintien du dispositif est une satisfaction, il n'en demeure pas moins que les associations vont être confrontées à de réelles difficultés pour faire face à la demande de nos concitoyens les plus fragiles.

    En conséquence, il lui demande quelles mesures le Gouvernement compte mettre en œuvre pour accompagner les associations caritatives.

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 28/02/2013 – p. 692

     

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