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  • Permanence des soins : numéro d’appel (07 10 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 15 septembre 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140712654.html

    Question écrite n° 12654 de M. Daniel Reiner (sénateur de Meurthe-et-Moselle)

    Daniel Reiner attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la mise en œuvre d'un numéro d'appel unique pour la permanence des soins.

     
    Le 19 juin 2014, lors de la présentation des orientations du projet de loi de santé aux professionnels du secteur, neuf mois après le lancement de la stratégie nationale de santé, elle a présenté plusieurs dispositions garantissant l'accès de tous aux soins.

     
    Parmi ces dispositions figure la mise en place d'un numéro d'appel unique, dans chaque département pour la garde en ville, notamment les week-ends ou les nuits.

     
    Si les objectifs à la fois d'une meilleure compréhension par nos concitoyens du système de permanence des soins et de désengorgement des services d'urgence des hôpitaux pour des soins pouvant être pris en charge par des médecins de ville sont partagés, cette annonce a suscité de l'inquiétude dans les associations, au premier rang desquelles SOS Médecins France, qui agissent en application de l'article L. 6314-1 du code de santé publique.

     
    Cette association, qui regroupe nationalement plus de 1 000 médecins, dans plus de soixante départements, assure une présence essentielle. Dans le département de la Meurthe-et-Moselle, celle-ci couvre tous les jours, de minuit à 8 heures, 95 % de la population, les samedis, de midi à 20 heures et les dimanches, de 8 heures à minuit, 70 % de la population. Ce réseau vient par ailleurs en soutien aux médecins de secteurs ruraux et aux centres hospitaliers de Lunéville et Toul, afin d'harmoniser la réponse médicale en permanence de soins ambulatoires.

     
    Il souhaiterait connaître les intentions du Gouvernement pour que les objectifs de la loi de santé prennent en compte le fonctionnement de ces associations, particulièrement identifiées par nos concitoyens, dans l'objectif d'un système de soins accessible à tous.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 15/09/2016 p. 3910

     

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  • Société : écarts d’âge des couples (06 10 2016)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 5 septembre 2016 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

     http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/societe-evolution-ecarts-age-au-sein-couples-20160905.html?xtor=EPR-56.html

    Société : évolution des écarts d’âge au sein des couples

    L’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) publie, le 1er septembre 2016, une étude sur les écarts d’âge au sein des couples.

    En moyenne, parmi les couples cohabitants formés d’un homme et d’une femme, l’homme a 2,5 ans de plus que sa conjointe. L’homme est plus âgé que la femme dans 56% des couples et, dans 30% des cas, les deux conjoints ont le même âge. Dans 14% des couples seulement, l’homme est plus jeune que la femme mais l’Insee note que cette configuration devient plus fréquente (10% des couples formés dans les années 1960 contre 16% de ceux formés dans les années 2000).

    L’Insee montre que l’écart d’âge dans les couples est différent selon :

    • l’âge des conjoints : plus les hommes et les femmes sont âgés, plus il est fréquent qu’ils aient un conjoint plus jeune ;
    • la génération des conjoints ;
    • le niveau de diplôme : plus les hommes sont diplômés, plus il est fréquent qu’ils aient une conjointe de leur âge et moins il est fréquent qu’ils aient une conjointe plus jeune qu’eux, de même, plus les femmes sont diplômées, plus il est fréquent qu’elles aient un conjoint de leur âge et moins il est fréquent qu’elles aient un conjoint plus âgé qu’elles ;
    • la catégorie socioprofessionnelle dans le prolongement des différences selon le niveau de diplôme.

    L’Insee relève par ailleurs que l’homme est beaucoup plus souvent l’aîné dans les couples comportant au moins un conjoint immigré. Dans les couples formés de deux immigrés, l’homme a en moyenne 4,9 ans de plus que la femme.

    Mots clés Société

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    Sur la toile publique

  • Aidants familiaux (05 10 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 22 septembre 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141214150.html

    Question écrite n° 14150 de M. Michel Raison (sénateur de Haute-Saône)

    Michel Raison interroge Mme la secrétaire d'État, auprès de la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes, chargée de la famille, des personnes âgées et de l'autonomie sur la situation des huit millions de personnes qui aident un proche, à titre non professionnel et de façon régulière, pour des raisons de santé ou de handicap, que le code de l'action sociale et des familles qualifie d'aidants familiaux.

     
    Jouant un rôle essentiel et reconnu dans le soutien à l'autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées, leur situation professionnelle s'avère préoccupante s'agissant notamment des possibilités de prise en compte d'acquis professionnels et d'aménagement des droits à la retraite.

     
    En outre, dans une réponse formulée le 19 juin 2013 (Journal officiel du 19 juin 2013, p. 5895), Mme Dominique Bertinotti, alors ministre déléguée à la famille, annonçait la constitution d'un groupe de travail sous l'égide de la direction générale de la cohésion sociale. Concernant les aidants familiaux auprès de personnes âgées, elle indiquait également l'existence d'un groupe de travail mis en place sur l'initiative de Mme Michèle Delaunay, alors ministre déléguée chargée des personnes âgées et de l'autonomie, qui avait vocation à traduire les orientations fixées par le président de la République.

     
    Aussi, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les conclusions de ces groupes de travail et quelles mesures le Gouvernement entend désormais mettre en œuvre pour faire progresser le statut des aidants familiaux en matière d'acquis professionnels et d'aménagement des droits à la retraite.

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère des affaires sociales et de la santé, chargé des personnes âgées et de l'autonomie publiée dans le JO Sénat du 22/09/2016 p. 4101

     

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  • Obésité : coût social (4 octobre 2016)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 7 septembre 2016 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

     

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/obesite-cout-social-equivalent-celui-du-tabac-ou-alcool-20160907.html

     

    Obésité : un coût social équivalent à celui du tabac ou de l’alcool

    Dans sa lettre « Trésor- Éco » du 1er septembre 2016, la direction générale du Trésor analyse les conséquences de l’obésité et du surpoids sur l’économie et propose de nouvelles mesures afin de lutter contre ce phénomène.

    D’après une enquête épidémiologique sur le surpoids et l’obésité réalisée en 2012 par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), 15% de la population était obèse et 32,3% en surpoids. Près d’une personne sur deux aurait donc des problèmes de surcharge pondérale. Différents facteurs peuvent expliquer ces chiffres comme des causes génétiques ou la modification des comportements alimentaires et une plus grande sédentarité ou encore l’environnement familial. La prévalence de l’obésité est moindre en France que dans les autres pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Néanmoins, le Trésor évalue le coût social de l’obésité et du surpoids (dépenses de santé, absentéisme, etc.) à 20,4 milliards d’euros en 2012, soit un montant comparable à celui du tabac et de l’alcool.

    Si différentes actions ont déjà été conduites pour lutter contre l’obésité, la direction générale du Trésor les considère insuffisantes compte tenu de l’augmentation prévisionnelle de l’obésité et du surpoids qui toucheraient 33 millions de personnes en 2030 (contre 24,6 en 2012). Elle propose de nouvelles pistes, notamment :

    • recourir à une nouvelle taxe sur les produits au-delà d’un certain niveau de calories ou en fonction de leur qualité nutritionnelle ou augmenter le taux de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) pour les produits jugés néfastes pour la santé ;
    • donner aux médecins les moyens de se consacrer davantage à la prévention de l’obésité ;
    • réaliser des campagnes de prévention plus ciblées ;
    • limiter voir interdire les publicités destinées aux enfants vantant des aliments trop sucrés, trop salés ou trop gras en sanctionnant financièrement les industriels ;
    • renforcer l’étiquetage nutritionnel.

    Le 2 septembre 2016, le ministre en charge de l’économie et des finances et le secrétaire d’État chargé du budget ont, tous deux, écarté la proposition d’une nouvelle taxe.

  • Adultes handicapés : ressources (03 10 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 15 septembre 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160521934.html

    Question écrite n° 21934 de M. François Marc (sénateur du Finistère)

    François Marc attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le mode de calcul de l'allocation aux adultes handicapés (AAH) s'agissant des personnes en situation de handicap vivant en couple. Minimum social financé par la solidarité nationale, l'AAH est soumise à une condition de ressources.

     
    Les situations observées sur le terrain révèlent que l'AAH versée à la personne handicapée décroît proportionnellement à l'augmentation du revenu du conjoint ; ceci créant une dépendance des plus mal ressenties par les allocataires.

     
    Le mode de calcul dans l'attribution de cette allocation aboutit en définitive à pénaliser toute personne en situation de handicap vivant avec quelqu'un d'autre puisque cela impacte à la baisse les montants alloués. Dans certains cas, ce mode de calcul finit par se solder par un renoncement à la vie en couple. Dans d'autres, par des comportements de fraude.

     
    Dans le cadre de la refonte globale des minima sociaux annoncée pour 2018, l'association des paralysés de France (APF) rappelle le changement auquel aspirent les personnes en situation de handicap, à savoir la création d'un revenu personnel d'existence décent, dont le calcul serait déconnecté des ressources du conjoint, l'attribution sécurisée et l'octroi des droits connexes simplifié et automatisé.

     
    Afin de pouvoir renseigner les intéressés sur les changements possibles dans le cadre de cette refonte des minima sociaux, il souhaiterait savoir si une modification du mode de calcul de l'AAH peut être envisagée.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 15/09/2016 p. 3914

     

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  • Prix anti-Nobel (IG Nobel) 1991-2014 (02 10 2016)

    Nous soumettons à la curiosité amusée de nos lecteurs des extraits (un nouveau, cumulé chaque dimanche) du palmarès remarquable des Prix IG Nobel (ou anti-Nobel) décernés chaque année depuis 1991 sous le patronage de la revue Annals of Improbable Research (cliquer ici pour accéder au site Improbable Research), et également classés sur le site Wikipedia

    http://improbable.com/

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Prix_Ig_Nobel

     

    Prix décernés en 2003

    Multidiscipline : Stefano Ghirlanda, Liselotte Jansson, et Magnus Enquist de l'université de Stockholm, pour leur rapport « Les poulets préfèrent les beaux humains ».

     

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