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société, cadre de vie - Page 272

  • Bulletin n°3 du Casier Judiciaire (26 11 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 25 octobre 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12985?xtor=EPR-100.html

    Bulletin n°3 du casier judiciaire : on peut désormais l'obtenir en ligne !

    Publié le 25 octobre 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Vous avez peut-être besoin de demander un extrait de casier judiciaire national (bulletin n°3) ? Savez-vous que la procédure permettant son obtention a évolué récemment avec la possibilité de demander votre extrait de casier judiciaire (bulletin n°3) via internet et de le recevoir en ligne, en moins d'une heure, dès lors que vous êtes né en France. Auparavant, pour avoir la garantie de l'obtenir dans la journée, il fallait vous déplacer sur Nantes.

    Pour votre demande d'extrait de casier judiciaire (bulletin n°3), vous devez vous rendre sur le site officiel et gratuit www.casier-judiciaire.justice.gouv.fr et suivre la procédure en ligne :

    • pré-enregistrement de votre demande (état civil, adresse et mode de retour souhaité à renseigner) ;
    • confirmation de votre demande (envoi par le Casier judiciaire national d'un courriel avec lien de confirmation et code de référence à conserver) ;
    • réception de votre réponse (par courriel ou par voie postale).

      Rappel :

    Il existe 3 types d'extraits de casier judiciaire dont le contenu diffère en fonction de la gravité des sanctions :

    • bulletin n° 1 délivré aux autorités judiciaires et à l'administration pénitentiaire ;
    • bulletin n° 2 délivré à certaines administrations (par exemple pour accéder à un emploi en contact avec des mineurs) et organismes privés pour des motifs précis ;
    • bulletin n° 3 qui ne peut être délivré qu'à la personne concernée, ou à son représentant légal (s'il s'agit d'un mineur ou d'un majeur sous tutelle).

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de la justice

  • Livret A (23 11 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 15 novembre 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180906680.html

    Question écrite n° 06680 de M. Stéphane Ravier (sénateur des Bouches-du-Rhône)

    Stéphane Ravier attire l'attention de M. le ministre de l'économie et des finances sur le faible taux de rémunération du livret A causé par l'inflation galopante.

     
    Il rappelle qu'en octobre 2017 le Gouvernement décidait du gel du taux de rémunération du livret A pendant deux ans. Si le taux avait évolué normalement, il ne serait pas de 0,75 % mais aurait atteint 1,75 % le 1er août 2018. Or, l'inflation est aujourd'hui tellement forte, avec une augmentation des prix de 2,3 % en juillet, que les placements à faibles risques, comme le livret A, ne sont plus rentables. Selon des économistes, l'écart est tel qu'il pourrait faire perdre entre 0,8 % et 5 % aux souscripteurs. Conjugué à la hausse des prix de l'énergie et notamment du pétrole, le faible rendement du livret A constitue un danger majeur pour les petits épargnants français. 

    Il demande donc si le Gouvernement envisage de revenir sur sa décision de geler le taux du livret A.

     

    Réponse du Ministère de l'économie et des finances publiée dans le JO Sénat du 15/11/2018 - page 5801

     

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  • Voie publique : élagage (21 11 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 27 septembre 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180806540.html

    Question écrite n° 06540 de M. Jean-Pierre Sueur (sénateur du Loiret)

    Jean-Pierre Sueur appelle l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'intérieur sur la possibilité, pour une commune, d'obtenir l'élagage de branches d'arbres avançant sur la voie publique dans le cas où cette voie s'avère être une voie départementale située à l'intérieur d'une agglomération communale, lorsque les propriétaires de la parcelle concernée ne procèdent pas eux-mêmes à cet élagage. À la différence de ce qui est prévu pour les voies communales, les chemins ruraux et les voies départementales situées à l'extérieur d'une agglomération, le cas spécifique des voies départementales situées à l'intérieur de l'agglomération fait l'objet d'un vide juridique. Il n'existe pas, en effet, de procédure permettant à l'autorité compétente d'agir aux lieux et place d'un propriétaire négligent en cas de mise en demeure restée sans effet.

    Ainsi, si l'on doit faire référence au pouvoir spécifique que le maire tient de l'article L. 2212-2-2 du code général des collectivités territoriales, il convient de constater que ce texte ne vise expressément que les « voies communales » et ne vise pas les voies départementales. Il lui demande en conséquence quelles dispositions il compte prendre pour combler ce vide juridique.

     

    Réponse du Ministère de l'intérieur publiée dans le JO Sénat du 08/11/2018 p. 5740

     

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  • Professionnels de Sante : propositions (information et publicite) (20 11 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui des extraits d’un rapport du Conseil d’Etat publié en juin 2018 sur le site de la Documentation Française (cliquer ici pour accéder au site de la Documentation Française)

    http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/184000394-regles-applicables-aux-professionnels-de-sante-en-matiere-d-information-et-de/html

     

    SYNTHESE

    Par courrier en date du 18 décembre 2017, le Premier ministre a confié au Conseil d'Etat la réalisation d'une étude sur la règlementation applicable en matière d'information et de publicité aux professionnels de santé. En effet, cette réglementation complexe soulève de nombreuses questions au regard de sa compatibilité avec le droit de l'Union européenne, de son adéquation avec les attentes légitimes de la population et de son adaptation à l'économie numérique et à ses multiples vecteurs (sites internet, e-santé…).

    Un groupe d'étude a été constitué pour mener la réflexion sur ce thème. Il a rassemblé des membres du Conseil d'Etat, des représentants de l'administration et de l'université. Il a procédé à des auditions, notamment des ordres professionnels et des syndicats professionnels des professions de santé, de représentants des établissements de santé publics et privés, d'associations de patients, de l'Autorité de la concurrence et de la Caisse nationale d'assurance maladie. L'étude a enfin été adoptée par l'assemblée générale plénière du Conseil d'État le 3 mai 2018.

    Au terme de ces travaux, le Conseil d'Etat relève que la réglementation interdisant la publicité directe ou indirecte aux professions de santé est susceptible d'être affectée par l'évolution de la jurisprudence de la Cour de justice de l'Union européenne. De plus, l'encadrement strict des informations que les praticiens peuvent aujourd'hui rendre publiques ne paraît plus répondre totalement aux attentes d'un public demandeur de transparence sur l'offre de soins. Enfin, l'essor rapide de l'économie numérique a rendu obsolètes certaines des restrictions actuelles en matière d'information dans le domaine de la santé.

    Le Conseil d'Etat formule 15 propositions pour enrichir les informations susceptibles d'être communiquées au public par les professionnels de santé sur leurs compétences et pratiques professionnelles ainsi que sur les honoraires et les coûts des prestations.

    Synthèse des 15 propositions

     

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  • Limitation de vitesse ; expérimentations (19 11 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 25 octobre 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180203436.html

    Question écrite n° 03436 de Mme Nathalie Delattre (sénatrice de la Gironde)

    Mme Nathalie Delattre interroge M. le Premier ministre sur les résultats des expérimentations de limitation de vitesse à 80 km/h menées sur trois tronçons de routes secondaires de 2015 à 2017. Sur ces deux années, le nombre d'accidents aurait été cinq fois supérieur sur les tronçons d'expérimentation par rapport au réseau de référence. Si ces résultats ne sauraient constituer les conséquences d'une réglementation, ils remettent toutefois grandement en cause l'efficacité de la mesure gouvernementale pour lutter contre le nombre d'accidents sur nos routes.

     

    Elle réitère donc la demande du groupe du rassemblement démocratique social et européen (RDSE) du Sénat que soit rendue publique l'étude du Gouvernement, qui devait être livrée à l'automne 2017 et que, dans l'attente de la publication de cette dernière, la mesure soit reportée.

     

    Réponse du Ministère de l'intérieur publiée dans le JO Sénat du 25/10/2018 p. 5453

     

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  • Pacte entre Générations (16 11 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette synthèse d’un rapport sénatorial de Mesdames Fabienne Keller, Nadia Sollogoub et Monsieur Julien Bargeton publié en octobre 2018 sur le site de la Documentation Française (cliquer ici pour accéder au site de la Documentation Française)

    https://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/184000702-rapport-d-information-fait-au-nom-de-la-delegation-senatoriale-a-la-prospective-sur?xtor=EPR-526.html

    Rapport d'information fait au nom de la délégation sénatoriale à la prospective sur l'avenir du pacte entre les générations

    LES 29 PROPOSITIONS DE LA DÉLÉGATION À LA PROSPECTIVE

    A.POUR UN PACTE INTERGÉNÉRATIONNEL PLUS JUSTE ET PLUS EFFICACE

    • Intégrer les « nouveaux » âges de la vie dans le jeu des transferts intergénérationnels

    - Affirmer la place de la « séniorité active » dans la chaîne de la solidarité intergénérationnelle

    - Consolider le statut de fonction pivot des plus de 50 ans

    - Mobiliser les séniors dans le financement de la dépendance avec un système d'assurance dépendance obligatoire sur le principe « le 3eâge finance le 4e »

    - Valoriser l'appétence des générations montantes pour l'engagement citoyen concret au service de la solidarité entre les générations

    - Développer la cohabitation intergénérationnelle

    • Intégrer le patrimoine dans le jeu des solidarités intergénérationnelles avec le triple objectif de mobiliser le patrimoine des séniors, d'accélérer les transmissions et de réduire les inégalités de patrimoine

    - Rassurer les séniors sur la question de la dépendance, préalable à une réforme des transmissions

    - Multiplier les incitations juridiques et fiscales à transmettre le patrimoine de son vivant

    - Affecter les recettes de la taxation des transmissions à des programmes de soutien aux jeunes et à la solidarité intergénérationnelle

    - Moderniser et encourager les nouvelles formes de viager

     

    POUR UNE REMOBILISATION DES JEUNES CITOYENS

    - Lever les obstacles à la participation politique des jeunes, par exemple en utilisant le service civique comme levier de leur mobilisation

    - Entendre les attentes exprimées à « bas bruit »

    - Consulter les jeunes pour les décisions les concernant (panels de jeunes citoyens et études d'impact générationnelles)

    - Valoriser et mobiliser l'appétence des générations montantes pour les formes concrètes d'engagement citoyen

     

    CPOUR UNE ADAPTATION DU MONDE DU TRAVAIL ET DES POLITIQUES DE L'EMPLOI À LA NOUVELLE DONNE GÉNÉRATIONNELLE

    • Éviter un scénario noir de l'emploi des séniors

    - Activer les politiques de l'emploi en direction des séniors, notamment à travers la formation continue

    - Adapter les conditions de travail aux spécificités des séniors (ergonomie des postes, temps et rythmes de travail)

    • Réconcilier l'idéal et la réalité du travail dans les générations montantes

    - Répondre à la quête de reconnaissance des salariés

    - Encourager des formes de management et d'autorité plus horizontales et participatives

    - Mieux concilier vie professionnelle et extraprofessionnelle, notamment par une réflexion sur l'organisation du temps de travail tout au long de la vie.

     

    POUR UNE PRISE EN COMPTE DES MUTATIONS TOUCHANT LES MÉCANISMES DE TRANSMISSION DES SAVOIRS

    • Adapter l'école aux enjeux de ces mutations

    - Accompagner l'expérimentation et la diffusion de modèles pédagogiques plus horizontaux, coopératifs et inductifs

    - Encourager une organisation du système éducatif plus décentralisée et donnant plus d'autonomie aux acteurs

    • Immuniser le travail éducatif contre une emprise trop précoce de la compétition scolaire

    - Reconnaître aux jeunes le temps du choix

    - Reconnaître un droit à l'échec et au rebond, notamment en développant les écoles de la seconde chance

    - Valoriser d'autres voies de réussite et d'autres modes de transmission, en particulier l'apprentissage et les métiers manuels.