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statistiques, démographie - Page 58

  • Industrie du bâtiment : conjoncture janvier 2016 (26 01 2016)

    Extraits (hors tableaux et graphiques d’une note d’analyse publiée le 21 janvier 2016 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=56&date=20160121.html

    En janvier 2016, le climat conjoncturel continue de s'améliorer légèrement dans l'industrie du bâtiment

    Selon les chefs d'entreprise du bâtiment interrogés en janvier 2016, le climat des affaires s'améliore légèrement. L'indicateur qui le synthétise gagne de nouveau un point mais demeure nettement au-dessous (93) de sa moyenne de long terme (100). L'indicateur de retournement reste dans la zone indiquant une incertitude conjoncturelle.

    Des entrepreneurs un peu moins pessimistes sur les perspectives générales d'activité du secteur

    En janvier 2016, les soldes d'opinion sur l'activité récente et prévue se replient, après s'être redressés. Le solde correspondant à l'activité prévue repasse au-dessous de sa moyenne de long terme. Cependant, s'agissant de l'évolution globale du secteur pour les prochains mois, l'opinion des entrepreneurs s'améliore légèrement : le solde sur les perspectives générales d'activité se rapproche de sa moyenne de longue période.

    Un peu moins de pessimisme sur l'emploi

    En janvier 2016, les entrepreneurs sont légèrement moins nombreux qu'en décembre à signaler que leurs effectifs ont baissé au cours des trois derniers mois. Pour les effectifs prévus, le solde d'opinion est stable à un niveau très inférieur à sa moyenne de long terme.

    Des carnets de commandes jugés encore très bas

    Les entrepreneurs continuent de juger leurs carnets de commandes très peu garnis, même s'ils sont moins nombreux qu'en décembre à signaler qu'il est inférieur à la normale. Le solde correspondant s'améliore peu à peu depuis un an. Compte tenu de leurs effectifs, les entrepreneurs estiment toutefois que les commandes assurent 6,4 mois de travail, un niveau stable et supérieur à sa moyenne de long terme (5,4 mois).

    Des capacités de production restant peu sollicitées

    Depuis 2008, le taux d'utilisation des capacités de production est inférieur à sa moyenne de long termeEn janvier 2016, il est quasi stable, à 84,7 %. Les goulots de production concernent environ un entrepreneur sur cinq, contre un sur trois en moyenne depuis 1993. Par ailleurs, seules 43 % des entreprises éprouvent des difficultés de recrutement contre 58 % en moyenne sur longue période. Toutefois, cette part s'est accrue de trois points par rapport à octobre 2015 et atteint son plus haut niveau depuis juillet 2014.

    Dégradation de la situation de trésorerie

    En janvier 2016, les chefs d'entreprise sont légèrement moins nombreux qu'en décembre à annoncer des baisses de prix. Le solde d'opinion correspondant reste très inférieur à sa moyenne de longue période. Plus de chefs d'entreprise qu'au trimestre précédent signalent que leur situation de trésorerie est plus dégradée et que les délais de paiements ont tendance à s'allonger.

  • Retraités : niveau de vie (19 01 2016)

    Nous proposons cette note d’information publiée le 22 décembre 2015 sur le site Vie Publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/retraites-leur-niveau-vie-pourrait-degrader-avenir-20151222.html?xtor=EPR-56.html

    Retraités : leur niveau de vie pourrait se dégrader à l’avenir 2015

    Le Conseil d’orientation des retraites (Cor) présente les données les plus récentes sur les pensions et le niveau de vie des retraités résidant en France dans un rapport publié le 16 décembre 2015. Fin 2013, on compte 14,5 millions de retraités percevant une pension de droit direct d’un régime de retraite français et résidant en France (pour moitié âgés de moins de 70 ans et à 54% des femmes), auxquels s’ajoutent environ 600 000 bénéficiaires d’une pension de réversion sans pension de droit direct (pour la plupart des femmes).

    Pour les retraités de droit direct, le montant mensuel brut moyen de la pension totale (y compris réversion) est estimé à 1 578 euros au 31 décembre 2013 (1 884 euros pour les hommes et 1 314 euros pour les femmes). Le taux de remplacement (rapport entre la pension versée à la liquidation et le dernier revenu d’activité perçu) net médian de la génération 1946 – l’une des générations les plus jeunes presque entièrement parties à la retraite – est estimé à 73,3% (74,8% si l’on se restreint aux seules carrières complètes), dont 72,1% et 73,8% pour les personnes finissant leur carrière respectivement dans le secteur public et dans le secteur privé.

    A législation future inchangée, le rapport entre la pension nette moyenne des retraités de droits directs et le salaire net moyen en euros constants, estimé à 66% en 2015, devrait se situer entre 45 et 58% en 2060. Cette baisse relative proviendrait de la baisse au fil des générations des taux de remplacement et du mode d’indexation des pensions (sur les prix et non sur les salaires). Parallèlement, le niveau de vie moyen des retraités (prenant en compte tous les revenus, dont les pensions et les revenus du patrimoine), devrait rester supérieur ou égal au niveau de vie de l’ensemble de la population jusqu’en 2025 pour ensuite diminuer et être inférieur jusqu’en 2060. Cette baisse relative serait d’autant plus accentuée que la croissance serait forte.

  • Consommation des ménages : novembre 2015 (05 01 2016)

    Nous proposons des extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’information publiée le 23 décembre 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=19&date=20151223.html

    En novembre 2015, la consommation des ménages en biens diminue de nouveau (–1,1 %)

    En novembre 2015, les dépenses de consommation des ménages en biens diminuent de nouveau : elles baissent de 1,1 % en volume*, soit leur plus forte contraction depuis janvier 2014, après un léger recul en octobre (–0,2 %). Cette nouvelle baisse provient principalement de la chute de la consommation d'énergie (–5,6 %) et du net recul des dépenses d'habillement (–4,7 %).

    * Les volumes sont mesurés aux prix de l'année précédente chaînés de 2010 et corrigés des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables (CVS-CJO).

    Énergie : forte baisse

     

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  • Situation de l’emploi (04 01 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 24 décembre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ15120678G.html

    Question d'actualité au gouvernement n° 0678G de Mme Sophie Primas (sénateur des Yvelines)

    Madame la ministre, le 9 septembre 2012, le Président de la République annonçait l'inversion de la courbe du chômage à l'échéance d'un an et Pierre Moscovici, à la même époque, déclarait : « L'inversion est possible et elle va arriver à la fin de l'année, j'en ai la conviction, une conviction informée. »

     

    À la fin de l'année 2013, le nombre de demandeurs d'emploi avait augmenté de 6,5 %. Fin mars 2014, notre pays comptait plus de 5 millions de chômeurs. Trois ans après l'élection du Président de la République, en 2015, la France a atteint le niveau historique de 5,7 millions de demandeurs d'emploi. Les derniers chiffres publiés du chômage, ceux du mois d'octobre, révèlent un bond sans précédent : on enregistre 42 000 chômeurs de plus en un seul mois.

    Ces très mauvais résultats interviennent alors que l'euro est faible, que le cours du pétrole l'est également et que les taux d'intérêt sont au plus bas.

    Tous les pays européens profitent de cette situation pour réformer et créer des emplois : l'Allemagne, la Grande-Bretagne, qui est quasiment en situation de plein emploi, l'Italie, dirigée par un gouvernement de gauche, l'Espagne, et même la Grèce. Tous, sauf la France !

    Madame la ministre, combien faudra-t-il de chômeurs de plus pour que le Gouvernement prenne enfin conscience que les politiques qu'il mène sont plus destructrices que créatrices d'emplois, dans un pays qui a pourtant tant d'atouts, tant de créativité, tant de chefs d'entreprise audacieux ?

    Le Président de la République a dit hier, en conseil des ministres, que l'important était de définir un cap. Madame la ministre, quel est ce cap ?

    Réponse du Ministère du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social publiée dans le JO Sénat du 11/12/2015 p. 12714

     

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  • Industrie automobile : redressement 2014 (17 12 2015)

    L’industrie automobile : redressement de la production en 2014

    Extraits  (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse de Mme Elisabeth Rignols, division Industrie et Agriculture, publiée le 14 décembre 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=if48.html

    Résumé

    En 2014, la production en volume de l’industrie automobile se redresse (+ 3 %) grâce à l’amélioration de la demande. Le commerce extérieur est également plus dynamique mais le déficit extérieur s’alourdit légèrement et atteint - 2,9 milliards d’euros en valeur. L’emploi salarié continue de diminuer. En 2013, l’industrie automobile réalise un chiffre d’affaires de 102 milliards d’euros et emploie 226 000 salariés. Il contribue pour 7 % à la valeur ajoutée de l’industrie manufacturière. Le taux de marge, bien qu’encore dégradé, s’améliore.

    En 2014, redressement de la production…

     

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  • Prix agricoles (octobre 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’information publiée le 30 novembre 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=80&date=20151130.html

    En octobre 2015, les prix agricoles à la production augmentent de 0,5 %

    Indices des prix agricoles – Octobre 2015

    En octobre 2015, les prix agricoles à la production augmentent de 0,5 % par rapport au mois précédent et de 1,3 % sur un an.

    Rebond des prix des céréales et des oléagineux

    Les prix des céréales remontent en octobre (+5,4 %, après –14,7 % entre juillet et septembre), en dépit d'une offre abondante confortée par la nouvelle récolte dans l'hémisphère Nord. Les marchés ont notamment réagi aux conséquences potentielles sur les futures récoltes qu'entraîneraient la sécheresse en Australie et les inondations aux États-Unis.

    Les prix des oléagineux remontent de 3,4 % en octobre en raison de la baisse de la production de colza, principale graine produite en France. En outre, le renchérissement de l'huile de palme se transmet au colza, ces deux produits étant en partie substituables.

    Rebond du prix des pommes de terre

    Par rapport à octobre 2014, le prix des pommes de terre s'accroît de plus de 60 %. La récolte 2015 est au niveau de sa moyenne de longue période alors que la récolte l'an dernier avait été exceptionnelle. En revanche, le prix de la betterave industrielle chute de près de 20 % en glissement annuel, suivant la baisse du prix à la production du sucre en France.

    Hausse des prix des fruits et légumes sur un an

    Les prix des fruits frais augmentent fortement sur douze mois (+18,4 %), notamment celui des pommes (+27,0 %). Le prix bas de l'an dernier reflétait l'engorgement de l'offre lié à une récolte européenne abondante et à l'embargo russe depuis août 2014. Le prix des poires augmente lui aussi sur un an sous l'effet d'un repli de l'offre européenne.

    Les prix des légumes frais augmentent de plus de 13 % en glissement annuel. La hausse des prix des endives (+22 %), salades (+45 %) et poireaux (+14 %) résulterait de la diminution des volumes récoltés. En ce début d'automne, les consommateurs ont continué de se tourner vers la tomate dont le prix s'élève aussi (+7 %).

    Quasi-stabilité du prix des animaux, chute des prix des œufs et du lait

    En données corrigées des variations saisonnières, le prix des animaux est quasi stable (+0,1 %) en octobre, la hausse des prix des veaux et des volailles compensant la baisse du prix des gros bovins et des porcins.

    Le prix des œufs perd 8,8 % après la forte hausse des mois précédents liée à la chute de l'offre américaine, alors affectée par un épisode de grippe aviaire. Le prix du lait chute de 16 % sur un an sous les effets conjugués de la surproduction et du ralentissement de la demande chinoise.

    Le prix d'achat des moyens de production fléchit légèrement en octobre

    Les prix des consommations intermédiaires baissent légèrement par rapport à septembre (–0,2 %). Sur un an, ils diminuent de près de 2 % essentiellement en raison de la chute des prix de l'énergie (–15,9 %). Les prix des biens d'investissement sont globalement inchangés en octobre.