Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

statistiques, démographie - Page 58

  • Personnes âgées en établissement (12 10 2017)

    Nous proposons cette fiche de synthèse publiée le 27 septembre 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/personnes-agees-etablissement-derniers-chiffres-enquete-ehpad.html?xtor=EPR-56.html

    Personnes âgées en établissement : les derniers chiffres de l’enquête EHPAD

    L’enquête quadriennale du ministère de la santé sur la situation des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) a été publiée en septembre 2017.

    Des capacités d’accueil des personnes âgées accrues

    Au 31 décembre 2015, l’offre médico-sociale d’accueil des personnes âgées est de 752 000 places réparties dans 10 600 établissements, en augmentation de 4,5% entre 2011 et 2015. Les EHPAD représentent 80% des places en établissements d’hébergement pour personnes âgées, soit environ 600 000 places. La moitié des EHPAD comptent plus de 78 places. L’hébergement permanent reste le mode d’accueil principal, même si l’hébergement temporaire et l’accueil de jour tendent à se développer.

    L’offre en établissement s’est diversifiée : un EHPAD sur cinq dispose d’un pôle d’accueil et de soins adaptés (PASA). Fin 2015, 47% des EHPAD déclarent disposer d’une unité spécifique pour personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou de maladies apparentées. Les trois quarts des EHPAD incluent un volet de soins palliatifs dans leur projet d’établissement contre 62% en 2011.

    Depuis 2011, les tarifs d’hébergement ont augmenté de 7,6%, pour s’établir à 59,30 euros par jour en moyenne. Ils varient sensiblement - de 53 à 80 euros par jour - selon le statut juridique de l’établissement. Les tarifs dépendance moyens sont compris entre 5,50 et 20,50 euros par jour, en fonction de l’autonomie de la personne prise en charge.

    Près de 35% des EHPAD déclarent rencontrer des difficultés de recrutement

    Fin 2015, plus de 500 000 personnes travaillent dans les établissements pour personnes âgées, pour un volume de travail équivalent à 429 800 personnes à temps plein. Les structures comptent ainsi, en moyenne, 57 équivalents temps plein (ETP) pour 100 places installées, soit trois de plus qu’en 2011. Le personnel paramédical représente 45% des ETP en EHPAD mais atteint 70% dans les unités de soins de longue durée. Les femmes composent 87% du personnel mais les hommes représentent 37% des emplois de directeurs et 42% des emplois de médecins-directeurs.

    Un établissement sur deux emploie du personnel libéral (médecins en libéral, masseurs-kinésithérapeutes, etc.) ou du personnel intérimaire (75% embauchent des aides-soignantes en intérim et 70% des infirmiers). Les difficultés de recrutement concernent 35% des établissements, notamment pour les postes d’aide-soignantes dans le secteur privé.

    Sur la toile publique

  • Retraités : répartition et revenus en France (10 10 2017)

    Nous proposons cette fiche de synthèse publiée le 20 septembre 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/retraites-leur-repartition-leurs-revenus-par-regions.html

    Retraités : leur répartition et leurs revenus par régions

    Une étude de la Drees, publiée le 13 septembre 2017, dresse une cartographie des retraités en France. Quelle est leur répartition géographique ? Existe-t-il des différences dans le montant des pensions suivant les régions ?

    Des retraités plus nombreux dans l’Ouest et dans le Sud de la France

    Lire la suite

  • Automobile : statistiques (03 10 2017)

    Nous proposons 3 fiches statistiques brèves publiées le 23 septembre 2017 sur le site du Commissariat général au Développement durable (cliquer ici pour accéder au site du Commissariat général au Développement durable)

    http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/publications/p/2668/1700/transports-routiers-marchandises-sous-pavillon-francais-7.html

    http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/publications/p/2723/877/immatriculations-voitures-particulieres-neuves-juillet-2017.html

    http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/publications/p/2723/877/motorisations-vehicules-legers-neufs-emissions-co2-bonus-6.html

    Les transports routiers de marchandises sous pavillon français en 2016

    Datalab essentiel n° 115 - Juillet 2017 (Mis à jour le 27/07/2017)

    Le volume d’activité (exprimé en tonnes-kilomètres) réalisé par les véhicules de transport routier de marchandises immatriculés en France se redresse de 1,5 % en 2016, après un recul de 7,0 % en 2015. Le transport national progresse de 2,1 %. Le transport pour compte d’autrui recule de 0,6 %, alors que l’activité pour compte propre augmente de 9,1 %. Au total, le nombre de kilomètres parcourus s’accroît de 3,1 %. La part du trafic à vide, qui représente 19,8 % de la distance parcourue, poursuit sa baisse en 2016.

    Immatriculations de voitures particulières neuves en juillet 2017

    St@tinfo n° 34 - Août 2017 (Mis à jour le 02/08/2017)

     

    En juillet 2017, les immatriculations de voitures particulières neuves, hors véhicules des domaines et transit temporaire, augmentent de 3,1 % par rapport au mois précédent en données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables (172 018 véhicules contre 166 875 en juin 2017).

     

    Motorisations des véhicules légers neufs. Émissions de CO2 et bonus écologique - Juillet 2017

    St@tinfo n° 35 - Août 2017 (Mis à jour le 08/08/2017)

    En juillet 2017, la part des voitures diesel dans les immatriculations totales recule de 1,1 point à 46,7 % alors que celle des voitures essence progresse de 0,3 point à 47,8 %. Dans le même temps, la part des voitures à motorisations alternatives progresse de 0,8 point à 5,5 % (7 747 immatriculations) en raison de la hausse de 1,0 point de la part des hybrides à 4,4 % alors que celle des électriques baisse de 0,2 point à 1,1 %.
    Les émissions moyennes de CO2 des voitures sont en hausse de 0,7 g/km à 111,6 g/km. La hausse de la part des voitures affectées d’un malus se poursuit (+ 0,8 point à 18,5 %).

  • Etat actionnaire et libéralisation de l’Economie (2/2) (30 08 2017)

    Nous proposons sur 2 jours cette note d’analyse publiée le 9 août 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11869?xtor=EPR-100.html

    L’État actionnaire : son adaptation à la libéralisation de l’économie

    (Bercy, Ministère de l’économie et des finances © hassan bensliman - Fotolia.com)

    Le débat sur l’État actionnaire est relancé à l’été 2017 par la nationalisation des chantiers navals de Saint-Nazaire. Quel périmètre couvre réellement l’action l’État actionnaire ? Quelle est la stratégie affichée des pouvoirs publics ? Quelles sont les points faibles et les atouts de l’État actionnaire en France ?

    Sommaire

    1. Contexte et état des lieux

    2. L’ordonnance de 2014

    3. Les critiques contre l’État actionnaire

    4. L’État actionnaire, protecteur des entreprises en difficulté

     

    …/…

    Les critiques contre l’État actionnaire

    En tant que régulateur, il est reproché à l’État actionnaire d’agir en défaveur d’entreprises concurrentes aux entreprises dans lesquelles il détient des participations. De lois ou des règlements peuvent défavoriser certaines entreprises. Dans le secteur de l’électricité par exemple, certaines entreprises à capitaux privés ont récemment dénoncé la fixation des tarifs réglementés, favorables à l’opérateur historique (EDF).

     

    Lire la suite

  • Etat actionnaire et libéralisation de l’économie (1/2) (29 08 2017)

    Nous proposons sur 2 jours cette note d’analyse publiée le 9 août 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/dossier/economie/etat-actionnaire-son-adaptation-liberalisation-economie.html

    L’État actionnaire : son adaptation à la libéralisation de l’économie

    (Bercy, Ministère de l’économie et des finances © hassan bensliman - Fotolia.com)

    Le débat sur l’État actionnaire est relancé à l’été 2017 par la nationalisation des chantiers navals de Saint-Nazaire. Quel périmètre couvre réellement l’action l’État actionnaire ? Quelle est la stratégie affichée des pouvoirs publics ? Quelles sont les points faibles et les atouts de l’État actionnaire en France ?

    Sommaire

    1. Contexte et état des lieux

    2. L’ordonnance de 2014

    3. Les critiques contre l’État actionnaire

    4. L’État actionnaire, protecteur des entreprises en difficulté

    Contexte et état des lieux

    En France, l’État joue un rôle important dans un certain nombre de grandes entreprises. Cette situation résulte de l’histoire économique française au cours du XXe siècle qui a vu se succéder trois vagues de nationalisations.

    Une nationalisation est une opération juridique consistant à transférer à la collectivité la propriété d’une entreprise. La première série de nationalisations a eu lieu en 1936, après la victoire du Front populaire (SNCF, entreprises d’armement, aéronautique), la deuxième à la Libération, en 1945 (EDF, Renault, Banque de France, les grandes banques de dépôts) et la dernière, en 1982, au début du premier septennat de François Mitterrand (Saint-Gobain, Suez et Paribas, Rhône-Poulenc, Thomson, etc.).

    A partir des années 1986-1988, un mouvement inverse s’est déroulé et les entreprises publiques, qui ne remplissaient pas de missions de service public, ont toutes été privatisées. L’État a parfois gardé une partie du capital.

     

    Lire la suite

  • Produit intérieur Brut : 2e trimestre (28 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui (hors tableaux et graphiques) cette note d’analyse publiée le 28 juillet 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/29086900.html

    Le PIB progresse de 0,5 % au 2e trimestre 2017

    Comptes nationaux trimestriels - première estimation (PIB) - deuxième trimestre 2017

    Au 2e trimestre 2017, le produit intérieur brut (PIB) en volume* continue de progresser : +0,5 %, pour le 3e trimestre consécutif. Les dépenses de consommation des ménages accélèrent légèrement (+0,3 % après +0,1 %) tandis que la formation brute de capital fixe (FBCF) ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %). Au total, la demande intérieure finale hors stocks contribue à la croissance du PIB pour +0,4 point, comme au trimestre précédent.

    Les exportations rebondissent (+3,1 % après −0,7 %) tandis que les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). Au total, le solde extérieur contribue positivement à la croissance du PIB : +0,8 point après −0,6 point au trimestre précédent. À l'inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (−0,6 point après +0,7 point).

    Sommaire

    La production totale croît un peu plus vite

    La consommation des ménages accélère légèrement

    L'investissement des entreprises ralentit nettement

    Le commerce extérieur contribue positivement à la croissance du PIB

    Les variations de stocks ralentissent

    Révisions

    Au 2e trimestre 2017, le produit intérieur brut (PIB) en volume* continue de progresser : +0,5 %, pour le 3e trimestre consécutif. Les dépenses de consommation des ménages accélèrent légèrement (+0,3 % après +0,1 %) tandis que la formation brute de capital fixe (FBCF) ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %). Au total, la demande intérieure finale hors stocks contribue à la croissance du PIB pour +0,4 point, comme au trimestre précédent.

    Les exportations rebondissent (+3,1 % après −0,7 %) tandis que les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). Au total, le solde extérieur contribue positivement à la croissance du PIB : +0,8 point après −0,6 point au trimestre précédent. À l'inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (−0,6 point après +0,7 point).

    * Les volumes sont mesurés aux prix de l'année précédente chaînés et corrigés des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables (CVS−CJO).

    La production totale croît un peu plus vite

    La production totale de biens et services accélère un peu au 2e trimestre 2017 (+0,8 % après +0,6 %). Elle augmente à nouveau dans les biens (+1,0 % après 0,0 %) tandis qu'elle est à peine moins dynamique qu'au trimestre précédent dans les services (+0,7 % après +0,8 %).

    La production manufacturière se redresse (+0,9 % après 0,0 %), principalement du fait du rebond dans la cokéfaction-raffinage. La production de gaz et d'électricité progresse à nouveau. Dans la construction, la production accélère (+1,0 % après +0,6 %). À l'inverse, elle ralentit très légèrement dans les services marchands (+0,8 % après +0,9 %).

    La consommation des ménages accélère légèrement

    La consommation des ménages accélère légèrement au 2e trimestre 2017 (+0,3 % après +0,1 %). Les dépenses en biens rebondissent (+0,4 % après −0,4 %), tandis qu'elles ralentissent en services (+0,2 % après +0,6 %).

    La consommation d'énergie se redresse (+0,5 % après −3,2 %). Les achats de biens fabriqués accélèrent légèrement (+0,2 % après +0,1 %), de même que la consommation alimentaire (+0,6 % après +0,4 %). Dans les services, le ralentissement de la consommation provient notamment de l'hébergement-restauration.

    L'investissement des entreprises ralentit nettement

    Au 2e trimestre 2017, la FBCF totale ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %) avec l'investissement des entreprises (+0,5 % après +2,1 %). L'investissement des ménages demeure soutenu (+1,0 % après +1,2 %). La FBCF en construction accélère légèrement (+0,8 % après +0,6 %), grâce à un regain de vigueur dans le génie civil. En revanche, l'investissement en biens manufacturés se replie nettement (−0,8 % après +2,0 %), surtout du fait d'un recul en biens d'équipement et, dans une moindre mesure, d'une baisse accentuée en matériels de transport. La FBCF en services marchands ralentit de façon notable (+1,0 % après +2,0 %) en raison notamment d'un repli en services aux entreprises.

    Le commerce extérieur contribue positivement à la croissance du PIB

    Les exportations rebondissent au 2e trimestre 2017 (+3,1 % après −0,7 %), notamment en matériels de transport et en autres produits industriels. Dans le même temps, les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). En particulier, les achats de produits pétroliers raffinés et de matériels de transport sont en repli. Au total, les échanges extérieurs contribuent à la croissance à hauteur de +0,8 point (après −0,6 point).

    Les variations de stocks ralentissent

    Au 2e trimestre 2017, les variations de stocks contribuent négativement à la croissance du PIB, pour −0,6 point (après +0,7 point début 2017). En particulier, elles diminuent fortement dans les matériels de transport (automobile et aéronautique).

    Révisions

    L'estimation de la croissance du PIB au 1er trimestre 2017 est confirmée à +0,5 %. De légères révisions des différents agrégats se compensent ; elles tiennent principalement à la révision des indicateurs et à l'actualisation des coefficients de correction des variations saisonnières.