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vie pratique - Page 218

  • Retraites : minima de pensions et plafonnements (06 07 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 4 juin 2018 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)  

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/reforme-retraites-cor-fait-point-minima-pension-plafonnements.html?xtor=EPR-56.html

    Réforme des retraites : le Cor fait le point sur les minima de pension et les plafonnements

    Dans le cadre de la préparation de son rapport annuel sur le système de retraite, le Conseil d’orientation des retraites (COR) a examiné, au cours de sa réunion du 24 mai 2018, les mécanismes de redistribution du système de retraite, en particulier les dispositifs de minima de pension et de minimum vieillesse, ainsi que le plafonnement des assiettes de cotisation.

    Minima de pension et de vieillesse : quelles évolutions sont possibles ?

    En 2016, 16% des retraités du régime général perçoivent un minimum de pension (soit 4,9 millions de retraités). Dans les régimes de la fonction publique, le minimum garanti en 2016 est versé à 5,4% des nouveaux retraités de la fonction publique de l’État et à 19,6% des nouveaux retraités de la Caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales (CNRACL). 15% des nouveaux retraités de la Mutualité sociale agricole (MSA) ont bénéficié de la pension minimale de référence.

    Le minimum vieillesse (ou allocation de solidarité aux personnes âgées) relève de l’aide sociale. Il est attribué à l’âge de 65 ans, sous condition de ressources en fonction de la situation conjugale, après prise en compte des droits à la retraite. Il a concerné 552 600 personnes en 2016.

    La France présente un taux de pauvreté des séniors (plus de 65 ans) parmi les plus faibles d’Europe (8,2% contre 14,6% dans l’Union européenne en 2016).

    Le Cor étudie deux scénarios d’évolution de ces deux mécanismes dans la perspective d’une réforme du mode de calcul des pensions (passage à un système unique à points) : conserver deux dispositifs distincts ou s’orienter vers un dispositif unique de minimum.

    Le plafonnement comme outil de redistribution

    Le système de retraite se caractérise par des plafonds multiples, divers selon les régimes. Les taux, assiettes et plafonds de cotisation diffèrent selon le statut de l’assuré (salarié du secteur privé ou de la fonction publique). Pour un certain nombre de régimes, les cotisations et/ou les prestations sont en outre plafonnées.

    La mise en place d’un système universel devrait nécessairement conduire à questionner cette situation. Toutefois, selon le Cor, l’application du principe “un euro cotisé ouvre les mêmes droits” n’implique pas une unification des plafonds pour l’ensemble des régimes.

    Le Cor s’interroge sur l’impact des mécanismes de plafonnement des assiettes de cotisations et de prestations sur les mécanismes redistributifs en faveur des assurés aux revenus les plus modestes.

    Sur la toile publique

  • Taxe d’habitation : suppression (03 07 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 7 juin 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ171001718.html

    Question écrite n° 01718 de Mme Nelly Tocqueville (sénatrice de Seine-Maritime)

    Mme Nelly Tocqueville attire l'attention de M. le ministre de l'action et des comptes publics concernant les choix du Gouvernement dans le cadre du projet de suppression de la taxe d'habitation. 

    À partir de 2018, les foyers dont le revenu fiscal de référence sera inférieur à 27 000 euros pour un célibataire, 43 000 euros pour un couple sans enfant et 49 000 euros pour un couple avec enfant verront leur taxe d'habitation diminuer de 30 %. Cette baisse se poursuivra au même rythme en 2019 et 2020.

     
    Cette mesure inquiète particulièrement les communes et les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) qui perçoivent cet impôt. Cela entraînera un coût de plus de 10 milliards d'euros pour le budget de la Nation, afin d'exonérer 80 % des ménages.

     
    Cette suppression vient contrevenir au principe de libre administration des collectivités, et notamment à leur autonomie fiscale. Aussi ces dernières s'interrogent sur la manière dont sera compensée cette recette dans les budgets locaux.

     
    Plusieurs choix sont possibles. Cela peut passer par la mise en place d'une dotation nouvelle qui se basera sur le produit de l'année précédente, produit indexé sur l'évolution des bases locatives. Cette solution est sans doute la plus défavorable. Cela peut aussi se faire via une allocation versée par l'État pour compenser les mesures d'exonération de la taxe d'habitation décidées par lui-même. Dans ce cas, ce dernier doit s'engager durablement à compenser le produit qu'auraient perçu les collectivités sans cette exonération.


    Quelle que soit la solution retenue, les élus s'inquiètent de la prise en compte des nouvelles bases créées suite aux nouvelles constructions. Ils sont aussi dans l'attente de savoir comment seront prises en compte les variations des taux votés localement d'ici à 2020.

     
    Enfin, de nombreuses communes ont mis en place des outils pour lutter contre les logements vacants en les assujettissant à la taxe d'habitation au-delà de 2 années sans locataire. Cela permet d'améliorer l'habitat vieillissant de certains centres-villes. Avec cette réforme, elle se demande siun propriétaire-bailleur avec de faibles revenus sera exonéré de cette taxe d'habitation sur les logements vacants. Cela donnerait un mauvais signal pour les politiques d'incitation à l'amélioration de l'habitat.

     
    Les élus locaux sont en attente de réponses claires pour envisager une élaboration plus sereine de leurs budgets 2018. Elle s'interroge sur les choix du Gouvernement en la matière tant sur le choix de la compensation que sur les mesures qui l'accompagneront. 

     

    Réponse du Ministère de l'action et des comptes publics publiée dans le JO Sénat du 07/06/2018 p. 2821

     

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  • Rappel de produits (mise à jour du 29 juin 2018) (30 06 2018)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    26/06/2018 - Avis de rappel des ballons grelot toudoux de marque WONDERKIDS.

    Nom du produit : Ballon grelot toudoux

    Marque : WONDERKIDS

    Référence : A1200040         Lot : WDK-PE2017-4

    Risque : Les enfants peuvent ingérer le matériau de rembourrage fibreux.

    Commentaire : Les détenteurs de ces ballons sont priés de les ramener dans leur magasin d’achat contre remboursement



    25/06/2018 - Avis de rappel des colliers ASOPERLE vendus par l’enseigne CAMAIEU

    Nom du produit : Collier modèle ASOPERLE

    Marque : Camaieu

    Référence : 514564-0480 ASOPERLE

    Risque : Libération de métaux.

    Commentaire : Les clients sont invités à rapporter leur article dans leur magasin Camaïeu pour en obtenir le remboursement

     

    Liste des rappels des 30 jours précédents

     

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  • Soldes été 2018 (26 06 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 14 juin 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12625?xtor=EPR-100.html

    Soldes d'été 2018, c'est pour bientôt ?

    Publié le 14 juin 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Les soldes d'été 2018 vont bientôt démarrer... Service-public.fr vous détaille toutes les dates à connaître.

    En 2018, les soldes d'été se déroulent du mercredi 27 juin au mardi 7 août 2018.

    Des dates dérogatoires sont appliquées à certains départements frontaliers et en outre-mer (sauf à Mayotte où les soldes ont lieu aux mêmes dates qu'en métropole).

    Dates dérogatoires dans les départements frontaliers et Outre-mer

    Département

    Soldes d’été

    Alpes-Maritimes (06) et Pyrénées-Orientales (66)

    du mercredi 4 juillet au mardi 14 août 2018

    Corse (2A et 2B)

    du mercredi 11 juillet au mardi 21 août 2018

    Guadeloupe (971)

    du samedi 29 septembre au vendredi 9 novembre

    Martinique (972) et Guyane (973)

    du mercredi 4 octobre au mardi 14 novembre 2018

    Saint-Pierre-et-Miquelon (975)

    du mercredi 18 juillet au mardi 28 août 2018

    Saint-Barthélemy (977) et Saint-Martin (978)

    du samedi 13 octobre au vendredi 23 novembre

      À noter :

    À la Réunion, les prochaines dates de soldes du samedi 1er septembre au vendredi 12 octobre 2018 correspondent non pas aux soldes d'été mais aux soldes d'hiver.

    La durée officielle des soldes nationaux est de 6 semaines.

    Les commerçants sont soumis à des obligations concernant les produits soldés et l'affichage des prix en promotion.

      À savoir :

    Les dates des soldes du commerce en ligne ou vente à distance (e-commerce) sont alignées sur les dates nationales du commerce traditionnel et doivent donc débuter le même jour, quel que soit le lieu du siège de l'entreprise.

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de l'économie

  • Rappel de produits (mise à jour du 22 juin 2018) (23 06 2018)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

     

    20/06/2018 - Avis de rappel des couvertures pour sofa de marque STARLYF

    Nom du produit : COUVERTURE REVERSIBLE / HYDROPHOBE - SOFA COVER

    Marque : STARLYF

    Référence : SOFA COVER et SOFA COVER GM

    Risque : Dans des circonstances particulières, ces produits sont inflammables et présentent un risque de brûlure ou de propagation d'un incendie.

    Commentaire : Les détenteurs de ces produits sont priés d’arrêter de les utiliser et de contacter leur revendeur pour convenir de la procédure de rappel du produit.

     

    20/06/2018 - Avis de rappel des sifflets FAVEURS de marque GAPPY PARTY

    Nom du produit : Lot de 4 sifflets (couleur verte, jaune, orange, rose)

    Marque : GAPPY PARTY

    Référence : 194162         Lot : CFN17001037

    Risque : Ingestion ou inhalation dû à la présence de petites pièces détachables.

    Commentaire : Les détenteurs de ces produits sont invités à ne plus les utiliser et à les ramener en magasin contre remboursement.

     

    Liste des rappels des 30 jours précédents

     

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  • Géomètre-expert, plan d’alignement : frais (22 06 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 17 mai 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180304125.html

    Question écrite n° 04125 de Mme Christine Herzog (sénateur de Moselle)

    Mme Christine Herzog demande à M. le ministre d'État, ministre de l'intérieur si une commune, saisie d'une demande de plan d'alignement présentée par un administré, peut décider, par arrêté municipal, que les frais d'intervention d'un géomètre expert correspondant à l'établissement du plan d'alignement, seront à la charge de l'intéressé.

    Réponse du Ministère de l'intérieur publiée dans le JO Sénat du 17/05/2018 p. 2391

    Le code de la voirie routière prévoit dans son article L. 112-1 que « l'alignement est la détermination par l'autorité administrative de la limite du domaine public routier au droit des propriétés riveraines. Il est fixé soit par un plan d'alignement, soit par un alignement individuel  ». Il prévoit également que « le plan d'alignement (…) détermine la limite entre voie publique et propriétés riveraines » et que « l'alignement individuel est délivré au propriétaire conformément au plan d'alignement s'il en existe un. En l'absence d'un tel plan, il constate la limite de la voie publique au droit de la propriété riveraine ».

     

    La procédure d'alignement, qui implique notamment, en pratique, l'intervention d'un géomètre expert, vise donc à permettre aux personnes publiques, gestionnaires de voirie, notamment les communes, de faire établir les limites de leur domaine public routier déterminées par un plan d'alignement. Il leur revient donc d'en assumer la charge financière. C'est pourquoi l'article L. 2321-2 du code général des collectivités territoriales pose le principe que les dépenses obligatoires des communes comprennent notamment « 18° Les frais d'établissement et de conservation des plans d'alignement et de nivellement ».

     

    Ainsi, la prise en charge des frais d'intervention d'un géomètre-expert dans ce cadre ne saurait être mise à la charge d'un administré