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répartition

  • Vie en communauté : 1,6 million de personnes (07 07 2022)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note longue mais précise, publiée le 27juin 2022 sur le site de l’INSEE, (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/6462842.html

    En 2019, 1,6 million de personnes vivent en communauté : Ehpad, internat, foyer de travailleurs...

    INSEE PREMIÈRE  n° 1906  Paru le : 27/06/2022

     

    Au 1er janvier 2019, 1,6 million de personnes, autant de femmes que d'hommes, vivent en communauté, soit 2,4 % de la population française. Les communautés sont de types très variés comme les Ehpad (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes), les établissements sanitaires ou sociaux, les internats et cités universitaires, les prisons ou encore les communautés religieuses. Les communautés et, par conséquent, leurs résidents sont concentrés dans les villes. Plus du tiers des personnes en communauté sont âgées de 75 ans ou plus et autant ont entre 14 et 24 ans. Neuf résidents sur dix habitent dans un Ehpad, un autre établissement sanitaire ou social de moyen ou long séjour, un internat ou une cité universitaire. Entre 2009 et 2019, le nombre de personnes vivant en communauté est resté stable. Le développement du maintien à domicile des plus âgés a notamment atténué l’impact du vieillissement de la population sur le nombre de résidents en Ehpad.

     

    Sommaire

     

    Certaines communautés se sont transformées en logements ordinaires. C’est le cas des cités universitaires, gendarmeries ou foyers de travailleurs qui ont développé des logements indépendants alors que ces structures étaient majoritairement composées de chambres auparavant. Les personnes âgées résidant dans des logements foyers, qui se sont développés depuis dix ans, ne font pas partie des communautés.

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  • Régularisation des charges locatives (27 04 2022)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 31 mars 2022 sur le site du ministère de l’économie (cliquer ici pour accéder au site du ministère de l’économie)

    https://www.economie.gouv.fr/particuliers/proprietaire-bailleur-charges-recuperables-locataire?xtor=ES-39-[BI_264_20220419]-20220419-[https://www.economie.gouv.fr/particuliers/proprietaire-bailleur-charges-recuperables-locataire].html

    Régularisation de charges : quelles charges locatives peuvent être récupérées auprès du locataire ?

    Par Bercy Infos, le 31/03/2022 - Investissements immobiliers

    En tant que bailleur, le propriétaire d’un logement peut récupérer une partie des charges qu’il règle sur le bien qu’il loue auprès de son locataire. Quelles sont les dépenses concernées ? On fait le point sur les charges locatives.

    Quelles sont les charges que le propriétaire peut récupérer auprès du locataire ?

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  • Délinquance en France (19 03 2022)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 11 mars 2022 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/284320-la-geographie-de-la-delinquance-lechelle-communale.html

    Délinquance : une répartition inégale sur le territoire français

    La délinquance se répartit inégalement sur le territoire français. La majorité des crimes et délits sont commis sur seulement 1% des communes métropolitaines, en général des villes de plus de 100 000 habitants. La délinquance frappe beaucoup moins les zones rurales.

    Publié le 11 mars 2022

    Le nombre de crimes et délits pour 1 000 habitants est plus élevé au sein des grandes unités urbaines. Le niveau d’exposition à la délinquance croît avec la densité de population.

    En mars 2022, le ministère de l’intérieur a publié une étude sur la géographie de la délinquance qui analyse la délinquance à l’échelle communale pour dix indicateurs correspondant à des grandes catégories de crimes et délits : coups et blessures volontaires sur personnes de 15 ans ou plus (en distinguant les violences intrafamiliales des autres), violences sexuelles, vols avec armes, vols violents sans arme, vols sans violence contre des personnes, cambriolages de logement, vols de véhicules, vols dans les véhicules, vols d’accessoires sur véhicules.

     

    Une répartition inégale

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  • Fermeture de trésoreries (23 01 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 décembre 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190711748.html

    Question écrite n° 11748 de M. Guillaume Gontard (sénateur de l’Isère)

    Guillaume Gontard attire l'attention de M. le ministre de l'action et des comptes publics sur les conséquences de la réforme engagée dans le cadre du projet du comité action publique 2022 relative à la réorganisation des réseaux territoriaux du ministère de l'action et des comptes publics.

     

    Cette réforme fait l'objet de vives inquiétudes de la part des élus locaux aussi bien en milieu urbain que dans les territoires ruraux.


    En Isère, le nombre de trésoreries de pleine compétence passerait de trente-sept à onze et celles-ci seraient en grande majorité remplacées par des points d'accueil de proximité. Or les services envisagés dans ces points d'accueil seront très éloignés des missions de service public remplies aujourd'hui par les trésoreries. De plus, des interrogations subsistent sur la formation et le statut des agents qui seront présents dans ces points d'accueil de proximité : s'il s'agira d'agents relevant de la fonction publique d'État, quelles seront dans le détail les missions qui leur seront confiées et avec quels moyens, quelles garanties d'emplois seront apportées pour maintenir un service public pérenne et de qualité sans transfert de charges vers les collectivités... Bref autant de questions qui se posent et demeurent cruciales pour tenir les engagements fixés par le Gouvernement d'un service de finances publiques de plus grande qualité et de proximité.


    Actuellement le fonctionnement des trésoreries en Isère s'inscrit dans un contexte de service public déjà très dégradé par des fermetures qui ont eu lieu pour certaines il y a moins de deux ans. En Isère, 500 emplois ont été supprimés en dix ans et 300 pourraient être concernés dans les années à venir.


    Depuis la dernière réorganisation, les collectivités ont pu mesurer les conséquences très directes du manque de personnel sur des retards de paiement de plus en plus fréquents auprès de leurs fournisseurs ou de prestataires dans le cadre de marchés publics. Le recul en matière de conseil et de disponibilité des agents dans les trésoreries pour accompagner les élus dans leurs démarches font également partie des constats quotidiens observés depuis la dernière réforme, conséquence directe de la réduction de personnel. La proposition d'implantation demain d'un cadre des finances publiques dans les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) apparaît comme une idée séduisante mais interroge sur l'exercice de la nécessaire séparation des fonctions d'ordonnateur et de comptable et n'apporte aucune garantie sur les moyens qui seront accordés.


    Dans ce contexte, cette réorganisation qui s'accompagne d'un recul net en matière d'emploi n'ira pas dans le sens d'un service public de meilleure qualité, plus humain, plus proche des citoyens. Au contraire, elle contribuera à éloigner les usagers et augmentera le risque d'externalisation des services publics vers des organismes privés sans garantie de confidentialité ni d'équité.
    Au regard de l'importance de la réforme engagée et de son impact dans les territoires, le calendrier de concertation envisagé aujourd'hui est intenable et ne saurait représenter un gage de réussite.


    Il lui demande de revoir en profondeur le projet de réorganisation des nouveaux services de finances publiques envisagés aujourd'hui en Isère en associant de manière beaucoup plus étroite les élus locaux et les parlementaires et en apportant des garanties sur les moyens qui seront accordés, particulièrement en matière d'emplois.

     

    Réponse du Ministère de l'action et des comptes publics publiée dans le JO Sénat du 26/12/2019 p. 6368

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  • Charges d’ascenseur (18 10 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 19 août 2019 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13545?xtor=EPR-100.html

    Doit-on payer les mêmes charges d'ascenseur au rez-de-chaussée et dans les étages ?

    Publié le 19 août 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    La répartition des charges d'entretien et de réparation de l'ascenseur de votre immeuble doit tenir compte, en plus de la superficie des lots, de leur situation dans l'immeuble et de l'utilité théorique du service rendu à chaque lot. En effet, l'usage et l'utilité d'un ascenseur ne sont pas les mêmes si l'on habite au 1er ou au 12e étage.

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  • Distributeurs automatiques de billets : zones rurales (07 08 2018)

    Nous proposons aujourd’hui cette question de sénateur et la réponse ministérielle publiée le 2 août 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180504924.html

    Question écrite n° 04924 de M. Hervé Maurey (sénateur de l’Eure)

    Hervé Maurey attire l'attention de M. le ministre de la cohésion des territoires sur la disparition des distributeurs de billets dans les communes rurales. Si dans les années 2000 le nombre de distributeurs de billets a augmenté fortement, cette tendance s'est inversée ces dernières années.

     
    Ainsi, en 2016, la France comptait 1 200 distributeurs en moins par rapport à 2015, soit 2 % du parc total (à hauteur de 57 000). Cette diminution s'explique par différentes raisons : baisse du nombre de retraits, changement des comportements de paiement, fermeture des agences sous l'effet de l'essor des services numériques, etc.

     
    Les communes rurales sont les premières concernées par la suppression des distributeurs de billets. Ce phénomène accélère la désertification des centres-bourgs de ces communes puisque ces équipements participent de l'attractivité de la commune et sont favorables aux commerces. 
    Avec la suppression progressive des distributeurs, les habitants de ces territoires sont contraints de parcourir davantage de kilomètres, le paiement en liquide y étant encore très courant. En effet, les petits commerces ont tendance à fixer des seuils élevés de paiement en carte bancaire, en raison des coûts à supporter (coût du matériel et commissions) rapportés au nombre d'utilisateurs.


    Au-delà de l'impact économique, la disparition de ces services bancaires de proximité soulève un enjeu d'inclusion sociale. Les populations les plus vulnérables, peu enclines aux nouveaux modes de paiement et aux usages numériques, et les moins mobiles sont les plus affectées par ce phénomène.

     
    Nombre de collectivités territoriales, notamment les intercommunalités, sont prêtes à participer au financement de ces équipements dans le cas où leur rentabilité ne serait pas suffisante. Or, dans de nombreux cas, les banques sollicitées déclinent par principe ces propositions. 
    Aussi, il souhaite savoir s'il compte prendre des mesures afin de pallier cette situation.

     

    Réponse du Ministère de la cohésion des territoires publiée dans le JO Sénat du 02/08/2018 - page 4018

     

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