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vie pratique - Page 251

  • Déclaration des revenus : calendrier 2017 (06 04 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 28 mars 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11514?xtor=EPR-100

    Publié le 28 mars 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Dates d'ouverture et de fermeture du service de déclaration en ligne... Quelles sont les dates à retenir pour votre prochaine déclaration des revenus ? Rendez-vous sur le site impots.gouv.fr.

    Le service de déclaration en ligne ouvre à partir du mercredi 12 avril 2017. Les dates limites de déclaration en ligne varient en fonction du département de résidence des contribuables :

    • départements  01 à 19, date fixée au mardi 23 mai (minuit) ;
    • départements 20 à 49, date fixée au mardi 30 mai (minuit) ;
    • départements 50 à 974/976, date fixée au mardi 6 juin (minuit).

    Attention, en 2017, les contribuables dont le revenu fiscal de référence en 2015 est supérieur à 28 000 € doivent effectuer leur déclaration de revenus par voie électronique sur le site www.impots.gouv.fr (sauf s'ils ne disposent pas d'un accès à internet ou s'ils sont domiciliés dans un territoire avec une desserte numérique insuffisante).

      À noter :

    Pour les déclarations au format papier, la date limite de déclaration est fixée au mercredi 17 mai dans tous les départements.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

  • Prestations sociales : revalorisation au 1er avril 2017 (04 04 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 20 mars 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11437?xtor=EPR-100.html

    Des prestations sociales revalorisées au 1er avril 2017

    Publié le 20 mars 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    À partir du 1er avril 2017, les prestations familiales et sociales (sauf les pensions de retraite) seront revalorisées de 0,3 %, les prestations sociales étant revalorisées une fois par an (en avril) en fonction de l'évolution moyenne de l'indice des prix hors tabac sur les 12 derniers mois.

    Il s'agit des prestations suivantes :

    • base de calcul des allocations familiales et prestations familiales ;
    • plafonds de ressources prévus pour le bénéfice de la CMU complémentaire et de l'aide à l'acquisition d'une complémentaire santé (ACS) ;
    • indemnités en capital et rentes d'accident du travail ;
    • prime d'activité ;
    • RSA (Revenu de solidarité active) ;
    • AAH (Allocation adulte handicapé) ;
    • ASS (Allocation de solidarité spécifique) ;
    • pensions d'invalidité ;
    • ASI (Allocation supplémentaire d'invalidité) ;
    • Aspa (Allocation de solidarité aux personnes âgées) ;
    • Ata (Allocation temporaire d'attente).

     

    À savoir : Pour les pensions de retraites, la revalorisation devrait intervenir le 1er octobre 2017.

  • Activités périscolaires : bénévoles (03 04 2017)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 2 mars 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ151018087.html

    Question écrite n° 18087 de Mme Chantal Deseyne (sénatrice d’Eure-et-Loir)

    Mme Chantal Deseyne attire l'attention de Mme la ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche sur le statut des bénévoles organisant des activités périscolaires dans le cadre des temps d'activités périscolaires (TAP). En effet, les collectivités font souvent appel aux associations locales ou à des particuliers volontaires susceptibles de proposer des activités pendant les TAP.

     

    Or, encadrer un groupe d'enfants ne s'improvise pas ; des compétences semblent indispensables. De plus, dans le cas de bénévoles, se pose le problème des responsabilités. Elle lui demande si un particulier doit avoir une assurance spécifique pour ces activités ou si l'assurance de la collectivité suffit. Elle souhaiterait donc connaître précisément, d'une part les qualifications nécessaires requises pour organiser ces activités et, d'autre part, les limites des responsabilités de chacun lors de ces activités.

     

    Réponse du Ministère de la ville, de la jeunesse et des sports publiée dans le JO Sénat du 02/03/2017 p. 926

     

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  • Blog : liste articles mars 2017 (01 04 2017)

     

    Liste des articles du blog (mars 2017)

    date

    titres

    1 er

    Blog : liste des articles (février 2017)

    02

    CIAPA : calendrier actions de formation-information mars

    03

    Permis de conduire et sécurité routière

    04

    Rénovation énergétique : arnaques

    05

    Prix Anti-Nobel

    06

    Disponibilité des vaccins obligatoires

    07

    Infos arnaques

    08

    Particules fines : risques

    09

    Etablissements pour personnes âgées : comparaison tarifs

    10

    Prothèses auditives

    11

    Antibiorésistance et environnement

    12

    Prix Anti-Nobel

    13

    Locations diverses : obligations fiscales et sociales

    14

    France : démographie (projection à l’horizon 2070)

    15

    Déodorants et sels d’aluminium

    16

    Prix à la consommation (février 2017)

    17

    Situation des petits retraités

    18

    Rappel de produits (mise à jour du 17 03 2017)

    19

    Prix Anti-Nobel

    20

    Heure d’été

    21

    Nouveau billet de 50 euros

    22

    Métro, train : harcèlement

    23

    Pollution : produits interdits

    24

    Perte d’autonomie et aides

    25

    Rappel de produits

    26

    Prix Anti-Nobel

    27

    Aides à domicile : situation

    28

    Rentrée scolaire 2017 : nouveautés

    29

    Insectes comestibles : réglementation

    30

    Justice : loi de modernisation

    31

    Chèque énergie

  • Chèque énergie (31 03 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 9 février 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ161224210.html

    Question écrite n° 24210 de M. Jean-Noël Guérini (sénateur des Bouches-du-Rhône)

    Jean-Noël Guérini appelle l'attention de Mme la ministre de l'environnement, de l'énergie et de la mer, chargée des relations internationales sur le climat sur les conséquences de la généralisation du chèque énergie.

     
    La deuxième édition des chiffres-clés de la précarité énergétique, publiée en novembre 2016 par l'Observatoire national de la précarité énergétique, indique qu'en 2013 près de six millions de ménages (20,4 %) éprouvaient des difficultés à s'acquitter de factures énergétiques pesant lourd dans leur budget. C'est pourquoi le chèque énergie a été conçu pour se substituer aux tarifs sociaux et permettre aux ménages modestes de régler tout ou partie de leurs dépenses d'énergie. Instauré par l'article 201 de la loi n° 2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte, ses conditions d'application sont définies par le décret n° 2016-555 du 6 mai 2016 relatif au chèque énergie, qui prévoit son expérimentation dans les départements de l'Ardèche, de l'Aveyron, des Côtes-d'Armor et du Pas-de-Calais, avant sa généralisation prévue au 1er janvier 2018.

     

    Or des voix convergent pour affirmer que ce déploiement sur l'ensemble du territoire pourrait pénaliser de nombreux Français. En effet, ceux qui bénéficiaient jusqu'alors du tarif de première nécessité (TPN) pour l'électricité et du tarif spécial de solidarité (TSS) pour se chauffer au gaz touchaient chaque année plus de 200€ par an (montant moyen du TSS de 110€ et du TPN de 95€ selon les chiffres du rapport d'activité 2015 du Médiateur national de l'énergie), quand le montant du chèque énergie ne sera que de 150€.

     
    Sachant que, depuis 2008, les prix de l'énergie en France ont augmenté de 35 % et que cette hausse devrait se poursuivre, il souhaiterait s'assurer que la généralisation du chèque énergie ne va pas s'effectuer au détriment de populations déjà vulnérables. 

     

    Réponse du Ministère de l'environnement, de l'énergie et de la mer, chargé des relations internationales sur le climat publiée dans le JO Sénat du 09/02/2017 p. 529

     

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  • Insectes comestibles : réglementation (29 03 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 2 mars 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160521626.html

    Question écrite n° 21626 de M. Rachel Mazuir (sénateur de l’Ain)

     

    1. Rachel Mazuir appelle l'attention de Mme la secrétaire d'État, auprès du ministre de l'économie, de l'industrie et du numérique, chargée du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire sur la réglementation applicable en France à l'élevage et à la vente d'insectes comestibles.

     
    Aujourd'hui, 2,5 milliards de personnes consomment régulièrement des insectes dans le monde. Leur qualité nutritionnelle mais aussi les faibles incidences environnementales de leur élevage ont régulièrement été soulignées par des études scientifiques.

     
    De nombreuses sociétés françaises se sont investies dans ce marché prometteur. Or la commercialisation d'insectes en France reste délicate car aucun cadre juridique n'a jusqu'ici clairement été défini.

     
    L'administration française interdit donc parfois cette vente. Elle se fonde sur le règlement (CE) n° 258/97 du Parlement européen et du Conseil du 27 janvier 1997 relatif aux nouveaux aliments et aux nouveaux ingrédients alimentaires, entré en vigueur le 15 mai 1997. En l'espèce, ce texte est inapplicable car l'insecte en lui-même n'est pas nommément désigné comme pouvant constituer une nouvelle denrée alimentaire.

     
    Or, depuis lors, un nouveau règlement (UE) 2015/2283 du Parlement européen et du Conseil du 25 novembre 2015 relatif aux nouveaux aliments reconnaît explicitement les insectes (qu'ils soient entiers ou non) et permet aux entreprises de les commercialiser plus facilement. Toutefois, sa mise en application ne serait prévue que fin 2017.

     
    Il aimerait par conséquent connaître la position du Gouvernement sur cette problématique ainsi que les mesures qu'il envisage pour permettre aux entreprises françaises de poursuivre leur activité dans ce secteur en plein essor.

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère de l'économie et des finances, chargé du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire publiée dans le JO Sénat du 02/03/2017 p. 846

     

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