Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vie pratique - Page 252

  • Rentrée scolaire 2017 : nouveautés (28 03 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 15 mars 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11477?xtor=EPR-100.html

    Écoles, collèges, lycées : quelles nouveautés pour la rentrée 2017 ?

    Publié le 15 mars 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Écoles, collèges, lycées : quels sont les grands axes prévus pour la rentrée 2017 ? Alors que la circulaire de rentrée 2017 vient d'être publiée au Bulletin officiel de l'Éducation nationale du 9 mars 2017, le ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche met en avant les principales mesures entrant en vigueur à la prochaine rentrée.

    Les priorités à retenir :

    • l'égalité des territoires (efforts de scolarisation des enfants de moins de 3 ans dans certains quartiers, affectation dans plus de 5 000 écoles d'un maître supplémentaire en CP et CE1 en particulier...) ;
    • le plan numérique pour l'éducation (équipement des élèves...) ;
    • l'apprentissage des langues vivantes (langue vivante 1 à partir du CP, langue vivante 2 à partir de la 5e, passage des enseignements de langue et culture d'origine dans le cadre des enseignements internationaux de langues étrangères...) ;
    • les parcours éducatifs « avenir », « éducation artistique et culturelle », « éducatif de santé », « citoyen » (mis en place progressivement afin de suivre le travail des élèves tout au long de leur scolarité) ;
    • l'enseignement professionnel (nouvelles formations professionnelles, places supplémentaires en BTS, orientation réversible, meilleure connaissance de l'alternance...) ;
    • les élèves en situation de handicap (développement de dispositifs spécifiques) ;
    • le décrochage scolaire (droit de repréparer un examen dans l'établissement d'origine en conservant les notes obtenues au-dessus de la moyenne, utilisation du compte personnel d'activité...) ;
    • la transmission des valeurs de la République (charte de la laïcité, enseignement moral et civique, semaine de la presse et des médias dans l'école, semaine d'éducation et d'actions contre le racisme et l'antisémitisme...) ;
    • la sécurité des écoles, des collèges et des lycées (réalisation d'exercices, formation aux premiers secours...) ;
    • le statut du parent délégué (participation aux instances et à la vie des écoles et des établissements scolaires...) ;
    • la lutte contre le harcèlement et les violences à l'école (augmentation du nombre de référents harcèlements pour une meilleure prise en charge des victimes...).
  • Aides à domicile : situation (27 03 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 10 février 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ17021145G.html

    Question d'actualité au gouvernement n° 1145G de M. Christian Manable (sénateur de la Somme)

     

    1. Christian Manable. Ma question s'adresse à Pascale Boistard, secrétaire d'État chargée des personnes âgées et de l'autonomie, et porte sur le cadre professionnel et les perspectives des métiers d'aide à domicile.

     
    Récemment, au mois de décembre 2016, le Défenseur des droits, M. Jacques Toubon, s'inquiétait des conditions d'intervention des aides à domicile dans mon département, la Somme. Dans un courrier adressé au président du conseil départemental, il s'interrogeait en effet sur les conséquences des décisions du département dans ses modalités de déploiement des aides à domicile en direction des bénéficiaires de l'allocation personnalisée d'autonomie, l'APA.

     
    En privilégiant le mode mandataire et en réduisant les heures prises en charge dans les plans d'aide, le département de la Somme menace, selon le Défenseur des droits, les « intérêts des personnes âgées ». De plus, un élément nouveau et tout récent est à verser au dossier. En effet, le tribunal d'Amiens, en statuant sur plusieurs dossiers et recours faits par des personnes âgées, vient d'ordonner, ce matin même, au conseil départemental de la Somme de respecter la loi et de redonner le libre choix aux personnes âgées.


    Face à de telles décisions, il faut également évoquer la situation des professionnels – 90 % sont des femmes, qui exercent ces métiers d'aide à domicile. En affaiblissant le mode prestataire qui permet de salarier ces intervenants dans des associations ou des services, on précarise fortement une profession déjà très difficile : multiplication des employeurs, diversité des contrats de travail, convention collective différente, organisation du temps de travail morcelée, indemnités de transport ou droit à la formation diminués… Ces auxiliaires de vie, qui gagnent en moyenne de 800 à 1 000 euros par mois, ont besoin, au contraire, d'accompagnement et de cadre professionnel stable.


    Nous le savons, dans les années futures, le nombre de personnes âgées va fortement augmenter. Le soutien professionnel aux aînés constitue donc un enjeu social et économique de taille. 

    Les métiers du secteur de l'aide à domicile doivent bénéficier d'une attention particulière. Voici ma question : pouvez-vous, madame la secrétaire d'État, nous éclairer sur la situation et les perspectives de ces métiers de l'aide à domicile ?

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère des affaires sociales et de la santé, chargé des personnes âgées et de l'autonomie publiée dans le JO Sénat du 10/02/2017 p. 1399

     

    Lire la suite

  • Rappel de produits (mise à jour du 24 mars 2017)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    22/03/2017 - Avis de rappel d’une poussette jouet de marque Peppa Pig
    La présence de petits éléments détachables (morceaux de la roue) sur ce jouet destiné aux enfants de moins de trois ans présente un risque d’ingestion pouvant entrainer la suffocation du jeune enfant.

    MARQUE : Peppa Pig – vendue dans les magasins à enseigne GIFI

    DESIGNATION OU MODELE :

    • Référence : 9164
    • Code : 366384

     

    20/03/2017 - Avis de rappel d'une pâte à tartiner Lotus au speculoos crunchy
    Risque que certains pots de Lotus Pâte à Tartiner au Speculoos Crunchy contiennent des particules métalliques.

    MARQUE : Lotus

    DESIGNATION OU MODELE : les DLUO des 23/02/2018, 28/02/2018, 15/03/2018

    Liste des rappels des 30 jours précédents

     

    Lire la suite

  • Pollution : produits interdits (23 03 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 9 mars 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/professionnels-entreprises/actualites/A11448?xtor=EPR-100.html

    Interdiction des cotons-tiges et cosmétiques à microbilles plastiques

    Publié le 09 mars 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    À partir du 1er janvier 2018, les produits cosmétiques contenant des particules en plastique (gommages, shampoings, gels douche par exemple) seront interdits.

    Après l'interdiction des sacs plastiques depuis juillet 2016, le décret du 6 mars 2017 encadre également la suppression :

    • de la vaisselle jetable (gobelets, verres et assiettes) ;
    • des cotons-tiges à usage domestique.

    Ces 2 produits ne devront plus être vendus à partir de 2020.

    La vaisselle composée d'un plastique apte au compostage ou en matière biosourcée est autorisée.

    Des arrêtés à venir préciseront les critères de composition et d'impact sur l'environnement des produits de gommage et des cotons-tiges pouvant être mis sur le marché.

    Pour en savoir plus

  • Nouveau billet de 50 euros (21 03 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 14 mars 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public) 

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A10715?xtor=EPR-100.html

    Le nouveau billet de 50 € : dans votre porte-monnaie à partir du 4 avril 2017

    Publié le 14 mars 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Le nouveau billet de 50 € va entrer en circulation dans la zone euro à partir du 4 avril 2017 dans le cadre du renouvellement progressif des coupures de la monnaie européenne. Il avait été présenté par la Banque centrale européenne (BCE) le 5 juillet 2016.

    Ce nouveau billet fait partie d'une série baptisée « Europe » car deux des signes de sécurité utilisés comportent un portrait de la princesse Europe, personnage de la mythologie grecque qui a donné son nom au continent. Les billets de 5 €, 10 € et 20 € font déjà partie de cette série.

    Les signes de sécurité des coupures de cette série sont perfectionnés afin de permettre une meilleure protection contre la contrefaçon.

    Le nouveau billet de 50 € conserve le brun comme couleur dominante et s'inspire aussi du thème « Époques et styles architecturaux ».

    Le billet de 50 € est le plus largement utilisé de la zone euro : il représente environ 45 % du total de billets en circulation selon la BCE, soit plus de 8 milliards de coupures.

    La mise en place de la série « Europe » va se poursuivre sur plusieurs années pour les billets de 100 € et 200 €, la coupure de 500 € ayant en revanche vocation à disparaître.

  • Heure d’été (20 03 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 16 mars 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160421388.html

     

    Question écrite n° 21388 de sénateur des Pyrénées-Atlantiques)

     Jean-Jacques Lasserre attire l'attention de Mme la ministre de l'environnement, de l'énergie et de la mer, chargée des relations internationales sur le climat sur l'heure d'été. En effet, de nombreuses associations de défense de l'environnement s'inquiètent de ce changement d'heure qui aurait des conséquences fort néfastes pour la planète et pour l'homme

    L'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) a indiqué, dans un rapport de 2009, que les gains sur la consommation totale en éclairage étaient quasi nuls.

    Plusieurs études attestent que le corps humain a besoin d'un jour pour s'adapter à chaque fuseau horaire traversé, le changement d'heure étant ainsi lourd à supporter, notamment pour les plus fragiles. 

    Surtout, l'heure d'été aggraverait les deux polluants que sont l'ozone et le dioxyde d'azote, avec une augmentation de l'acide nitreux et un renforcement des pluies acides. Les conséquences climatiques et sanitaires du changement d'heure seraient ainsi loin d'être négligeables. 
    Plusieurs fois, le Sénat s'est penché sur cette question de l'heure d'été, notamment à travers une proposition de résolution en 2000, ceci témoignant d'une véritable problématique. 

    Il lui demande donc si le Gouvernement compte se pencher sur cette question aux impacts loin d'être futiles. 

     

    Réponse du Ministère de l'environnement, de l'énergie et de la mer, chargé des relations internationales sur le climat publiée dans le JO Sénat du 16/03/2017 - page 1096

     

    Lire la suite