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épidémie - Page 14

  • Rougeole : vaccination (20 février 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 13 février 2018 sur le site Santé publique (cliquer ici pour accéder au site Santé publique)

    http://www.santepubliquefrance.fr/Accueil-Presse/Tous-les-communiques/Recrudescence-des-cas-de-rougeole-la-vaccination-est-la-meilleure-protection.html

    Recrudescence des cas de rougeole : la vaccination est la meilleure protection

    Depuis le 1er novembre 2017, 387 cas de rougeole ayant entraîné 1 décès et 83 hospitalisations, dont 6 en services de réanimation, ont été déclarés en France. En effet, plusieurs foyers épidémiques ont été identifiés sur l’ensemble du territoire, principalement en Nouvelle-Aquitaine, chez des personnes non immunisées contre cette maladie. Afin de limiter le risque de propagation de l’épidémie, la Direction générale de la Santé et Santé publique France rappellent que la vaccination est le moyen le plus efficace de se protéger contre la rougeole.

    La rougeole est une maladie infectieuse très contagieuse. Une personne contaminée peut infecter 15 à 20 personnes en cas de couverture vaccinale insuffisante dans l’entourage. Or, cette maladie peut présenter des formes sévères (insuffisance respiratoire, complications neurologiques parfois irréversibles) nécessitant une hospitalisation et pouvant conduire au décès du patient dans les cas les plus graves. Entre 2008 et 2017, 33 cas d’encéphalite et 20 décès suite à une rougeole ont été recensés en France par Santé publique France.

    Lorsqu’un foyer épidémique de rougeole est identifié, les investigations épidémiologiques mettent en évidence une absence de vaccination, ou une vaccination incomplète, chez la grande majorité des personnes infectées.

    Tous les enfants et jeunes adultes devraient être vaccinés contre la rougeole. C’est une vaccination très efficace qui protège de la maladie dans près de 100% des cas après 2 doses de vaccin. C’est pourquoi, depuis le 1er janvier 2018, la vaccination contre la rougeole fait partie des 11 vaccinations obligatoires chez les enfants.

    La Direction générale de la Santé invite toutes les personnes non vaccinées ou qui auraient des doutes concernant leur statut vaccinal à consulter dès à présent leur médecin traitant pour une éventuelle mise à jour de leurs vaccinations.

    En milieu de soins, les professionnels de santé dont les antécédents de vaccination ou de rougeole sont incertains, sont également invités à mettre à jour leur vaccination pour éviter la propagation de cette maladie et protéger les patients les plus fragiles.

    La commission technique des vaccinations de la Haute Autorité de Santé recommande par ailleurs de vacciner les personnes de plus de 6 mois, ayant été en contact avec un malade atteint de la rougeole, dans les 72 heures qui suivent le contact afin de prévenir le risque de contagion.

    Plus d'information sur la vaccination et la maladie : http://www.vaccination-info-service.fr/

  • Epidémie de grippe : surveillance (11 12 2017)

    Nous vous proposons cette fiche pratique publiée le 5 décembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12231?xtor=EPR-100.html

    Grippenet.fr : pour participer à la surveillance de la propagation de la grippe

    Publié le 05 décembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Que vous ayez déjà eu la grippe ou jamais, en cette période où les cas de grippe se multiplient, vous voulez peut-être participer à grippenet.fr, le dispositif de surveillance de la grippe saisonnière organisé par les équipes du réseau Sentinelles et Santé Publique France ?

    Le projet grippenet.fr a pour ambition de mieux connaître la propagation de la grippe en temps réel, en sollicitant l'action volontaire de chacun pour la durée qu'il souhaite, les deux conditions préalables pour participer à cette étude étant de résider en France et de disposer d'un accès internet.

    Cette participation à la surveillance de l'épidémie se fait de façon anonyme et bénévole sur le site internet de grippenet.fr, par le biais d'une simple adresse électronique. Une fois le volontaire inscrit, il doit répondre à un questionnaire préliminaire (âge, lieu d'habitation, composition du foyer, mode de déplacement, activité principale, statut vaccinal, allergies...). Ensuite, le volontaire aura à prendre environ 5 minutes chaque semaine sur son temps pour répondre à un questionnaire sur d'éventuels symptômes (nez qui coule, toux, fièvre...) depuis sa précédente connexion.

      À savoir :

    Les virus de la grippe qui appartiennent au genre des Influenzavirus sont classifiés en trois groupes : A, B et C. Au cours des 30 dernières années, les épidémies de grippe chez l'homme ont été causées par des virus de type A (H1N1 et H3N2) et de type B.

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Grippenet.fr

    Sentiweb

  • Sida : chiffres France 2015 (08 12 2016)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 1er décembre 2016 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/sida-chiffres-2015-france.html?xtor=EPR-56.html

    Dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) thématique publié le 29 novembre 2016, à l’approche de la journée mondiale de lutte contre le sida du 1er décembre, Santé publique France rappelle que chaque année plus de 6 000 personnes découvrent leur séropositivité et que l’épidémie de VIH ne ralentit pas en France.

    L’année 2015 se caractérise par un recours élevé aux sérologies en laboratoire de biologie médicale, en progression de 3% depuis 2013, avec 5,25 millions de sérologies VIH réalisées. 10 600 tests de dépistage ont donné lieu à un verdict de séropositivité. 6% ont été réalisés dans un cadre anonyme et gratuit. 76% des tests sont réalisés en ville. Comme les années précédentes, la proportion de sérologies positives était plus élevée dans le cadre d’un dépistage anonyme (3,3 pour 1 000) que dans celui d’un dépistage nominatif confidentiel (1,9 pour 1 000). Aux tests en laboratoire s’ajoutent les tests rapides à orientation diagnostique (TROD) réalisés par des structures associatives ou de prévention habilitées par les agences régionales de santé. Les TROD présentent l’intérêt de toucher des populations particulièrement exposées ou qui ne recourent pas au dépistage classique. Stables par rapport à 2014, les TROD représentent environ 62 200 tests en 2015, mais avec un taux de positivité plus élevé (7,7 positifs pour 1 000 tests). Les autotests sont quant à eux en progression, avec de 1 500 à 2 000 vendus autotests par semaine.

    Parmi les personnes ayant appris leur séropositivité en 2015, 74% ont été contaminées par rapports sexuels avec des hommes (83% des hommes), 25% par rapports hétérosexuels (94% de femmes et 17% des hommes) et 0,7% par usage de drogues injectables. 12% des découvertes de séropositivité concernent des jeunes de moins de 25 ans et, parmi les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes dans cette tranche d’âge, le nombre de diagnostics positifs a triplé depuis 2003.

    La répartition géographique des infections VIH très récentes montre qu’entre 2012 et 2014, les patients étaient domiciliés plus fréquemment en Île-de-France (40%), en région Provence-Alpes-Côte d’Azur (14%) et en Rhône-Alpes (10%). Au niveau départemental, Paris concentrait le plus grand nombre d’infections très récentes, suivi des Alpes-Maritimes puis du Rhône.

    Sur la toile publique

  • Grippe aviaire (25 01 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 8 juillet 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ16070932G.html

     

    Question écrite n° 0932G de Mme Françoise Laborde (sénateur de Haute-Garonne)

     

    Mme Françoise Laborde. Ma question s'adresse à M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt, porte-parole du Gouvernement.

     
    Monsieur le ministre, la filière de l'élevage de palmipèdes et de volailles a été frappée par la grippe aviaire, ce qui a conduit à la mise en œuvre d'un vide sanitaire. 

    Depuis le 16 mai, les éleveurs peuvent réintroduire des animaux sur leurs exploitations. Cependant, en prévention d'une nouvelle épizootie, ils doivent suivre de nouvelles recommandations sanitaires qui, sans doute adaptées aux élevages industriels, sont, en revanche, pour la plupart inapplicables aux petites structures.

     
    En outre, la multiplication de ces mesures stigmatise les fermes d'élevage de canards comme des sites à fort risque sanitaire. Pourtant, on sait que les souches d'influenza ont émergé dans des couvoirs et en raison d'un confinement d'animaux, comme on en observe dans les élevages à forte concentration, très favorable aux mutations et recombinaisons du virus.

     
    La production fermière, par sa qualité et sa valeur ajoutée, pèse dans l'économie agroalimentaire, particulièrement dans le Sud-Ouest, qui me tient à cœur.

     
    J'ajouterai que l'activité de ces petites exploitations contribue au développement du tourisme rural et suscite des projets pédagogiques mis en œuvre par des enseignants. Or, eu égard à la lourdeur actuelle du dispositif de prévention, l'accueil à la ferme est devenu pratiquement impossible. 

    Il s'agit non pas de remettre en question la gravité de l'épizootie d'influenza aviaire, mais de demander la mise en place de mesures proportionnées au risque.

     
    Lors de votre déplacement dans le Gers, le 13 mai, vous avez promis qu'aucun éleveur ne serait laissé pour compte. Cette filière attend toujours la transcription officielle de mesures d'assouplissement pour les petits producteurs.

     
    Êtes-vous en mesure, monsieur le ministre, de déclarer un moratoire sur l'arrêté de biosécurité applicable depuis le 1er juillet et de lancer dès à présent une réflexion sur l'élaboration de nouvelles fiches techniques adaptées aux exploitations fermières de petite taille ?

     

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 08/07/2016 p. 12445

     

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  • SIDA : 6000 nouveaux séro-positifs en 2014

    SIDA : 6600 nouveaux séro-positifs en 2014

    Nous proposons aujourd’hui une note d’information publiée le 1er avril 2016 sur le site Vie Publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/sida-6-600-personnes-ont-appris-leur-seropositivite-2014.html?xtor=EPR-56.html

    Le 1er avril 2016, à la veille du lancement du "Sidaction", l’Institut national de veille sanitaire (InVS) publie un point épidémiologique sur les découvertes de séropositivité au virus de l’immunodéficience humaine (VIH) et de sida en 2014.

    En 2014, près de 6 600 personnes ont découvert leur séropositivité VIH. Ce nombre est stable depuis 2007. Parmi les personnes qui ont découvert leur séropositivité, plus de 60% sont des hommes. L’âge médian au diagnostic est de 38 ans. Les rapports hétérosexuels restent le mode de contamination prépondérant des personnes diagnostiquées en 2014 (56%). Viennent ensuite les contaminations par rapports sexuels entre hommes (42%). L’usage de drogues injectables ne représente qu’un pour cent des contaminations. Les hommes homosexuels et les hétérosexuels nés à l’étranger restent les deux groupes les plus touchés. Les découvertes de séropositivité VIH semblent stables dans tous les groupes sauf chez les hommes homosexuels. Chez ces derniers, le nombre de personnes diagnostiquées augmente de façon significative entre 2011 et 2014. En 2014, près de 2 800 hommes homosexuels ont ainsi découvert leur séropositivité.

    Les estimations d’incidence laissent penser que le nombre annuel de contaminations est toujours très élevé et supérieur à celui des découvertes de séropositivité. Le recours au dépistage reste donc insuffisant. Pour l’InVS, ces données tendent aussi à montrer que les comportements à risque augmentent dans cette population. Il convient donc de mobiliser tous les outils de prévention.

    En 2014, 1 200 personnes ont développé une pathologie indicatrice de sida. Depuis 2010, plus de la moitié des nouveaux cas de sida (55%) sont diagnostiqués chez des personnes qui ignoraient leur infection VIH. Près de 80% des cas n’avaient pas reçu de traitement antirétroviral avant le diagnostic de sida.

  • Ebola : informations (11 11 2014)

     

    Extrait de la revue « Equilibre » n° 109 de novembre 2014 paru et disponible sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/CFESBases/equilibre/numeros/109/en-bref.asp#ancre2.html

    Ebola : si vous cherchez de l’information

    Le ministère en charge de la santé a ouvert un site d’informations ebola.sante.gouv.fr, à destination du grand public et des professionnels de santé. Il présente notamment ce qu’est le virus Ebola, les symptômes et les modes de transmission de la maladie. Il rappelle que toute personne revenant d’un pays où circule le virus doit surveiller sa fièvre pendant 21 jours et appeler le 15 si sa température dépasse les 38°. Il comporte, par ailleurs, un « question-réponse », des fiches d’information à télécharger, les communiqués de presse, etc. 

    Le ministère a également mis en place un numéro vert, disponible 7j/7, de 09h00 à 21h00 : 0 800 13 00 00.

     

    Site : ebola.sante.gouv.fr