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sida

  • Sida et IST : dépistage en hausse en 2022 (08 01 2024)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 1er décembre 2023 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/292068-sida-et-ist-des-taux-de-depistage-en-hausse-en-2022.html

    Sida et infections sexuellement transmissibles : des taux de dépistage en hausse en 2022

    Publié le 1er décembre 2023

    Tous les ans, la date du 1er décembre marque la Journée mondiale de lutte contre le sida. Cet événement est le cadre de manifestations de soutien aux personnes vivant avec et touchées par le virus. Cette journée dédiée à la mobilisation contre le sida est également l'occasion de rappeler que l'effort de prévention doit être pérennisé et renforcé.

    En France, le nombre de personnes ayant découvert leur séropositivité VIH en 2022 est estimé entre 4 200 et 5 700. À l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, Santé publique France a actualisé et publié les indicateurs de la surveillance du VIH et des infections sexuellement transmissibles (IST) bactériennes pour l’année 2022.  

    VIH, de quoi s'agit-il ?

     

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  • SIDA : journée mondiale (06 01 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 2 décembre 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ16121065G.html

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 1065G de Mme Dominique Gillot (sénatrice du Val-d'Oise)


    Ce 1er décembre, journée mondiale de lutte contre le sida, est une journée de mobilisation pour et avec ceux qui sont encore menacés par cette infection, qui véhicule tant de souffrances et d'idées reçues. Il faut mesurer que 30 000 de nos concitoyens vivraient encore avec le VIH sans le savoir et que 6 000 nouveaux cas sont recensés chaque année.

     
    Depuis les années quatre-vingt, c'est l'ensemble de la communauté composée des malades et de leurs représentants, des médecins, des scientifiques, des associations et des pouvoirs publics qui se mobilise pour faire reculer l'épidémie, faciliter l'accès aux soins, développer le dépistage et la prévention, améliorer l'accompagnement et, surtout, réduire les risques. 


    Or la réduction des risques repose sur une bonne connaissance des pratiques et des personnes exposées au risque. Souvent, les pouvoirs publics ont été accusés de frilosité par les associations. Cette année, ce n'est pas le cas.

     
    Sous prétexte que la campagne nationale montrant deux hommes enlacés serait choquante, des maires se voulant bien-pensants ont dressé procès-verbaux et arrêtés d'interdiction. Ces affiches seraient une propagande idéologique du Gouvernement, libérant des flots de sous-entendus graveleux et d'insultes sur les réseaux sociaux.

     
    Pourquoi donc les mêmes restent-ils silencieux face aux publicités montrant des femmes dénudées pour exciter l'achat d'une voiture ?


    Comment interpréter leur opposition et celle de l'Église à l'instauration du délit d'entrave numérique au droit à l'interruption volontaire de grossesse ?

     
    Face à cette censure, madame la ministre, vous avez, à juste titre, saisi la justice. En effet, cette campagne est amplement justifiée : les hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes restent parmi les plus fragiles face à la contamination. Elle s'inscrit dans les mesures mises en œuvre pour lutter contre ces fléaux.


    Aussi, je voudrais que vous rappeliez en quoi ce sujet de santé publique majeur est aussi un sujet de société qui ne peut être occulté par une vision de la santé sexuelle rétrograde, déconnectée de la réalité et fondée sur un ordre moral hérité d'une culture traditionnelle que nous avions su mettre à distance.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 02/12/2016 p. 18478

     

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  • Sida : chiffres France 2015 (08 12 2016)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 1er décembre 2016 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/sida-chiffres-2015-france.html?xtor=EPR-56.html

    Dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) thématique publié le 29 novembre 2016, à l’approche de la journée mondiale de lutte contre le sida du 1er décembre, Santé publique France rappelle que chaque année plus de 6 000 personnes découvrent leur séropositivité et que l’épidémie de VIH ne ralentit pas en France.

    L’année 2015 se caractérise par un recours élevé aux sérologies en laboratoire de biologie médicale, en progression de 3% depuis 2013, avec 5,25 millions de sérologies VIH réalisées. 10 600 tests de dépistage ont donné lieu à un verdict de séropositivité. 6% ont été réalisés dans un cadre anonyme et gratuit. 76% des tests sont réalisés en ville. Comme les années précédentes, la proportion de sérologies positives était plus élevée dans le cadre d’un dépistage anonyme (3,3 pour 1 000) que dans celui d’un dépistage nominatif confidentiel (1,9 pour 1 000). Aux tests en laboratoire s’ajoutent les tests rapides à orientation diagnostique (TROD) réalisés par des structures associatives ou de prévention habilitées par les agences régionales de santé. Les TROD présentent l’intérêt de toucher des populations particulièrement exposées ou qui ne recourent pas au dépistage classique. Stables par rapport à 2014, les TROD représentent environ 62 200 tests en 2015, mais avec un taux de positivité plus élevé (7,7 positifs pour 1 000 tests). Les autotests sont quant à eux en progression, avec de 1 500 à 2 000 vendus autotests par semaine.

    Parmi les personnes ayant appris leur séropositivité en 2015, 74% ont été contaminées par rapports sexuels avec des hommes (83% des hommes), 25% par rapports hétérosexuels (94% de femmes et 17% des hommes) et 0,7% par usage de drogues injectables. 12% des découvertes de séropositivité concernent des jeunes de moins de 25 ans et, parmi les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes dans cette tranche d’âge, le nombre de diagnostics positifs a triplé depuis 2003.

    La répartition géographique des infections VIH très récentes montre qu’entre 2012 et 2014, les patients étaient domiciliés plus fréquemment en Île-de-France (40%), en région Provence-Alpes-Côte d’Azur (14%) et en Rhône-Alpes (10%). Au niveau départemental, Paris concentrait le plus grand nombre d’infections très récentes, suivi des Alpes-Maritimes puis du Rhône.

    Sur la toile publique

  • SIDA : 6000 nouveaux séro-positifs en 2014

    SIDA : 6600 nouveaux séro-positifs en 2014

    Nous proposons aujourd’hui une note d’information publiée le 1er avril 2016 sur le site Vie Publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/sida-6-600-personnes-ont-appris-leur-seropositivite-2014.html?xtor=EPR-56.html

    Le 1er avril 2016, à la veille du lancement du "Sidaction", l’Institut national de veille sanitaire (InVS) publie un point épidémiologique sur les découvertes de séropositivité au virus de l’immunodéficience humaine (VIH) et de sida en 2014.

    En 2014, près de 6 600 personnes ont découvert leur séropositivité VIH. Ce nombre est stable depuis 2007. Parmi les personnes qui ont découvert leur séropositivité, plus de 60% sont des hommes. L’âge médian au diagnostic est de 38 ans. Les rapports hétérosexuels restent le mode de contamination prépondérant des personnes diagnostiquées en 2014 (56%). Viennent ensuite les contaminations par rapports sexuels entre hommes (42%). L’usage de drogues injectables ne représente qu’un pour cent des contaminations. Les hommes homosexuels et les hétérosexuels nés à l’étranger restent les deux groupes les plus touchés. Les découvertes de séropositivité VIH semblent stables dans tous les groupes sauf chez les hommes homosexuels. Chez ces derniers, le nombre de personnes diagnostiquées augmente de façon significative entre 2011 et 2014. En 2014, près de 2 800 hommes homosexuels ont ainsi découvert leur séropositivité.

    Les estimations d’incidence laissent penser que le nombre annuel de contaminations est toujours très élevé et supérieur à celui des découvertes de séropositivité. Le recours au dépistage reste donc insuffisant. Pour l’InVS, ces données tendent aussi à montrer que les comportements à risque augmentent dans cette population. Il convient donc de mobiliser tous les outils de prévention.

    En 2014, 1 200 personnes ont développé une pathologie indicatrice de sida. Depuis 2010, plus de la moitié des nouveaux cas de sida (55%) sont diagnostiqués chez des personnes qui ignoraient leur infection VIH. Près de 80% des cas n’avaient pas reçu de traitement antirétroviral avant le diagnostic de sida.

  • SIDA : autotest de dépistage (15 10 2015)

    Note d’information publiée le 14 septembre 2015 sur le site Service-Public (cliquer ici pour accéder au site Service-Public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/008458

    Sida : vente en pharmacie des autotests de dépistage à partir du 15 septembre 2015

    Publié le 14 septembre 2015 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

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    Les autotests de dépistage du Sida sont en vente en pharmacie à partir 15 septembre 2015.

    Les autotests de dépistage du Sida vont commencer à être progressivement mis en vente en pharmacie à compter du 15 septembre 2015. La vente de ces autotests en pharmacie avait été initialement prévue au 1er juillet 2015.

    À partir d’une goutte de sang, ces autotests doivent permettre de savoir en quelques minutes si une personne est positive ou non au VIH. Pour accompagner dans leurs démarches les utilisateurs de ces autotests, la plateforme téléphonique Sida info service est accessible au 0800 840 800 (appel anonyme et gratuit) 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24.

    En France, 150 000 personnes vivent avec le VIH, dont 30 000 sans le savoir.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

     

  • SIDA : prévention pour les 15-24 ans (19 06 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 28 mai 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ150415815.html

     

    Question écrite n° 15815 de Mme Marie-Françoise Perol-Dumont (sénateur de Haute-Vienne)

     

    Mme Marie-Françoise Perol-Dumont alerte Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur le manque d'informations dont témoignent les 15-24 ans face au sida. Maladie encore mortelle malgré l'arrivée des tri-thérapies, elle reste largement victime des idées reçues. Le préservatif masculin est de moins en moins utilisé chez les jeunes et, d'une façon générale, ils n'ont qu'une connaissance très partielle des risques liées à la maladie, des lourdeurs des traitements actuels et parfois même des possibilités de contamination ou de protection. 

    Certes, les associations de prévention ont révisé leur stratégie de communication afin de mieux sensibiliser les jeunes, mais des campagnes de plus grande ampleur, plus régulières et diffusées dans les lieux d'enseignement devraient être mises en place, sans considération pour les tabous, qu'ils soient religieux ou culturels. Elle lui demande donc son opinion sur ces questions et quelles réflexions elle entend lancer pour y apporter des solutions.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 28/05/2015 p. 1243

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