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assurances - Page 2

  • Catastrophes naturelles (11 06 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 23 mai 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190409935.html

    Question écrite n° 09935 de Mme Nadia Sollogoub  (sénatrice de la Nièvre) 

    Mme Nadia Sollogoub attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur le problème de non-éligibilité de certains phénomènes climatiques récurrents en France métropolitaine à la procédure de catastrophe naturelle.

     

    Les tornades, les orages de forte intensité, agrémentés de grêle, ne sont plus des phénomènes rares dans notre pays. Il s'en produit désormais plusieurs dizaines par an. Les dégâts sont conséquents : arbres déracinés, voiries fracturées, mobilier d'extérieur et matériaux de construction projetés. Cependant, les effets des catastrophes naturelles susceptibles d'être couverts sont ceux qui ne sont pas garantis par les règles classiques d'assurance. Les vents cycloniques sont ainsi écartés du champ d'application de la loi n° 82-600 du 13 juillet 1982 relative à l'indemnisation des victimes de catastrophes naturelles. Les effets du vent relèvent donc de la garantie tempête, garantie qui fait partie de tout contrat d'assurance multirisques habitation que l'assuré doit souscrire.

     

    L'intérêt de la reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle est qu'il permet d'indemniser les risques non pris en compte par les contrats d'assurance. Parfois, il peut en effet être constaté des dégâts qui ne sont pas uniquement le fait du vent mais aussi de la grêle, de la foudre ou du poids de la neige. Dans ces cas précis, les dégâts ne sont pas pris en compte par les assureurs et les personnes victimes sont lésées.

     

    C'est pourquoi face aux bouleversements climatiques de plus en plus fréquents, elle souhaite que le Gouvernement veuille bien lui indiquer s'il entend revoir les critères de classement en catastrophe naturelle d'épisodes anormaux sur l'ensemble du territoire national, et l'interroge plus généralement sur les actions qu'il entend mettre en œuvre en la matière.

     

    Réponse du Ministère de l'intérieur publiée dans le JO Sénat du 23/05/2019 p. 2775

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  • Orages et pluies violentes : assurances (18 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 10 juillet 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11863?xtor=EPR-100.html

    Orages et pluies violentes : en cas de dégâts, quelles démarches auprès de votre assureur ?

    Publié le 10 juillet 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Suite aux derniers orages et pluies violentes qui ont traversé la France ces jours derniers, vous avez subi certains dégâts dans votre logement ? Que devez-vous faire auprès de votre assureur en vue d'une indemnisation ?

    La Fédération française de l'assurance (FFA) revient sur les trois points principaux à suivre :

    • contacter sans attendre votre assureur qui vous indiquera la garantie d'assurance à laquelle vous pouvez prétendre et les modalités de déclaration de vos dommages ;
    • prendre des mesures nécessaires pour éviter l'aggravation des dommages (mise à l'abri des biens endommagés, nettoyage, rassemblement des factures, photos des dégâts...) ;
    • comprendre les garanties de votre contrat multirisques habitation (dégâts des eaux, événements climatiques, incendie, dégâts électriques...).

      À noter :

    Un assureur ne prendra en charge le règlement d'un sinistre dû à une catastrophe naturelle qu'à la double condition que vous soyez assuré effectivement contre ce type de sinistre et que l'état de catastrophe naturelle soit confirmé par un arrêté interministériel.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Fédération française de l'assurance (FFA)

  • Activités périscolaires : bénévoles (03 04 2017)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 2 mars 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ151018087.html

    Question écrite n° 18087 de Mme Chantal Deseyne (sénatrice d’Eure-et-Loir)

    Mme Chantal Deseyne attire l'attention de Mme la ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche sur le statut des bénévoles organisant des activités périscolaires dans le cadre des temps d'activités périscolaires (TAP). En effet, les collectivités font souvent appel aux associations locales ou à des particuliers volontaires susceptibles de proposer des activités pendant les TAP.

     

    Or, encadrer un groupe d'enfants ne s'improvise pas ; des compétences semblent indispensables. De plus, dans le cas de bénévoles, se pose le problème des responsabilités. Elle lui demande si un particulier doit avoir une assurance spécifique pour ces activités ou si l'assurance de la collectivité suffit. Elle souhaiterait donc connaître précisément, d'une part les qualifications nécessaires requises pour organiser ces activités et, d'autre part, les limites des responsabilités de chacun lors de ces activités.

     

    Réponse du Ministère de la ville, de la jeunesse et des sports publiée dans le JO Sénat du 02/03/2017 p. 926

     

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  • Assurances et Cancer : anciens malades, droit à l’oubli (09 04 2015)

    Nous proposons cette note d’information publiée le 26 mars 2015 sur le site SERVICE PUBLIC (cliquer ici pour accéder au site Service Public)

    http://www.service-public.fr/actualites/007690.html?xtor=EPR-140.html

    Convention Aeras* : Anciens malades du cancer et « droit à l’oubli » : bientôt un accès plus facile au crédit

    Publié le 26.03.2015 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Les représentants des sociétés et mutuelles d’assurance ont cosigné, mardi 24 mars 2015, un protocole d’accord concernant le droit à l’oubli pour les anciens malades du cancer qui souhaiteraient contracter un crédit.

    Les dispositions contenues dans cet accord impliquent :

    ·         un droit à l’oubli pour les cancers survenus avant l’âge de 15 ans, 5 ans après la date de fin du traitement (sans déclaration spécifique à effectuer auprès de l’assureur),

    ·         un droit à l’oubli pour toutes les pathologies cancéreuses 15 ans après la date de fin du traitement (sans déclaration spécifique à effectuer auprès de l’assureur),

    ·         une grille de référence permettant d’assurer au tarif normal des personnes ayant contracté certains cancers dès lors que la date de fin du protocole thérapeutique a cessé depuis un certain nombre d’années inférieur à 15 ans.

    Ces dispositions doivent être intégrées dans un délai de trois mois à la convention Aeras (Assurer et emprunter avec un risque aggravé de santé) signée par les pouvoirs publics, les fédérations professionnelles de la banque, de l’assurance et de la mutualité et les associations de malades et de consommateurs. Cette convention a pour objet de faciliter l’accès à l’assurance et à l’emprunt des personnes ayant ou ayant eu un problème grave de santé.

    * convention Aeras (Assurer et emprunter avec un risque aggravé de santé)

     

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  • Assurance : tondeuse à gazon autoportée (27 01 2015)

    Assurance : tondeuse à gazon autoportée

    Note d’analyse juridique publiée le 15.01.2015 par la Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre) (cliquer ici pour accéder au site Légifrance)

    http://www.service-public.fr/actualites/007333.html?xtor=EPR-140.html

    Une tondeuse à gazon autoportée doit être assurée comme un véhicule

    Une tondeuse à gazon autoportée équipée d’un siège pour le conducteur et d’un volant constitue un véhicule terrestre à moteur soumis à l’assurance automobile obligatoire. L’incendie provoqué par ce véhicule en stationnement dans un garage privé individuel constitue un accident de la circulation au sens de l’article 1er de la loi du 5 juillet 1985 (dite loi Badinter).

    C’est ce qu’a rappelé la Cour de cassation dans une affaire au cours de laquelle un incendie avait entrainé la mort de deux personnes. Il avait été provoqué par une explosion dans le garage d’une maison individuelle où était garée une tondeuse autoportée dont le réservoir d’essence fuyait.

    La tondeuse impliquée dans l’accident n’ayant pas d’assurance de responsabilité civile obligatoire pour un véhicule à moteur, les héritiers des victimes demandaient réparation au Fonds de garantie des assurances obligatoires de dommages (FGAO). Celui-ci refusait sa garantie, contestant qu’il s’agisse d’un accident de la circulation du fait que le véhicule se trouvait dans un garage privé individuel.

    Pour la Cour de cassation il s’agit bien d’un accident de la circulation concernant un véhicule terrestre à moteur, la loi n’exigeant pas que l’accident se soit produit dans un lieu ouvert à la circulation publique.

    L’intervention du Fonds de garantie afin d’indemniser le préjudice des victimes ou des héritiers va être suivie d’un recours du fonds pour récupérer l’argent versé auprès du responsable des dommages. Il est donc prudent de vérifier si certains matériels (tondeuses autoportées, voitures, scooters, motos, etc.) qui ne sont pas ou plus appelés à circuler sur la voie publique et que l’on détient chez soi sont bien couverts par une assurance au titre de la responsabilité civile

    ·         Texte de l’arrêt de la Cour de cassation, Chambre civile 2, 22 mai 2014, pourvoi n° 13-10.561

     

    Légifrance, le service public de la diffusion du droit

  • Consommation : loi 17 mars 2014 (22 03 2014)

    Article publié le 18 mars 2014 sur le site Vie Publique (cliquer ici pour accéder au site Vie Publique)

     

    http://www.vie-publique.fr/actualite/panorama/texte-discussion/projet-loi-relatif-consommation.html

     

     

    Loi du 17 mars 2014 relative à la consommation

    La loi a été promulguée le 17 mars 2014. Elle a été publiée au Journal officiel du 18 mars 2014.

    Saisi d’un recours déposé par au moins 60 députés et 60 sénateurs le 17 février 2014, le Conseil constitutionnel avait, dans sa décision du 13 mars 2014, censuré l’article sur la création du registre national des crédits aux particuliers jugeant qu’il porte une atteinte au droit au respect de la vie privée.

    Le texte définitif mis au point par la Commission mixte paritaire avait été adopté par le Sénat le 12 février 2014 et par l’Assemblée nationale le 13 février 2014.

    Présenté en Conseil des ministres le 2 mai 2013 par M. Benoît Hamon, ministre de l’économie sociale et solidaire et de la consommation et M. Pierre Moscovici, ministre de l’économie et des finances, il avait été adopté en 1e lecture, avec modifications, par l’Assemblée nationale, le 3 juillet 2013 et en 1e lecture avec modifications par le Sénat le 13 septembre 2013. Il avait ensuite été adopté en 2e lecture, avec modifications, par le Sénat le 29 janvier 2014 et, avec modifications, par l’Assemblée nationale le 16 décembre 2013.

     

    De quoi s'agit-il ?

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