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prevention - Page 41

  • Pollution locaux habitation (11 02 2011)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 18 janvier 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-94373QE.htm

    Question n° 94373 de M. Rudy Salles (député Nouveau Centre des Alpes-Maritimes)

    M. Rudy Salles attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur le problème de la pollution de l'air intérieur.

    Une enquête conduite en 2009 dans plus de 500 logements par l'observatoire de la qualité de l'air intérieur aurait révélé que l'air intérieur de quasiment tous les logements examinés était pollué, notamment en raison d'émission de substances toxiques par les produits de construction, d'ameublement, de décoration et de grande consommation.

    La loi de programmation relative à la mise en oeuvre du Grenelle de l'environnement prévoit certes des mesures destinées à limiter cette pollution. Un simple étiquetage permettant aux consommateurs d'identifier les produits les moins polluants ne saurait suffire. Surtout si l'échelle de notation correspondante n'est pas suffisamment stricte.

    La campagne « Délogeons la pollution de l'air intérieur », organisée cette année par l'association UFC-Que choisir qui vient d'en publier les résultats, montre que la grande majorité des lieux de vie testés ont une qualité de l'air mauvaise et que la quasi-totalité des prélèvements présente du benzène et des formaldéhydes, substances cancérigènes.

    C'est pourquoi il souhaite connaître les mesures qui pourraient être prises rapidement pour lutter contre la pollution de l'air intérieur.

    Réponse du Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement publiée au JO le 18/01/2011 p. 501

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  • virus saisonniers de l'hiver (23 11 2010)

    Virus saisonniers de l’hiver : comprendre et agir

    Notice publiée le 29 octobre 2010 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/

    Quels sont les virus saisonniers de l’hiver, de retour chaque année ?

    ·    Les virus respiratoires : responsables de rhumes, rhinopharyngites, grippes saisonnières, bronchites et bronchiolites chez l’enfant.

    ·    Les virus responsables de gastro-entérites, avec pour risque principal la déshydratation des nourrissons et des jeunes enfants.


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  • Infections virales hivernales : prévention (07 11 2010)

    Note publiée en novembre 2010 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (brochure Equilibres n° 65 novembre 2010) (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/CFESBases/equilibre/pdf/Lettre65.pdf#thema

    http://www.inpes.fr/html

    AVEC L’ARRIVÉE DE L’HIVER, LES VIRUS SONT PLUS NOMBREUX À CIRCULER ET CONCERNENT TOUT LE MONDE. L’INPES LANCE UNE CAMPAGNE D’INFORMATION SUR LES GESTES « BARRIÈRE » DESTINÉS À LIMITER LEUR PROPAGATION ET LE DÉVELOPPEMENT DES GASTROENTÉRITES, BRONCHIOLITES, RHUMES, GRIPPES, BRONCHITES ET AUTRES INFECTIONS SAISONNIÈRES RESPIRATOIRES

    Grâce aux progrès de l’hygiène et de la médecine, la santé des Français s’est considérablement améliorée au cours du siècle dernier. Plus récemment, notamment avec l’usage des antibiotiques, cette évolution tend à reléguer au second plan les réflexes simples pour limiter la transmission de certaines maladies. Dans le même temps, l’évolution des modes de vie tend à favoriser la dissémination des infections respiratoires : vie en collectivité, atmosphère confinée, utilisation des transports en commun ou voyages plus fréquents, etc.

     

    LES VIRUS DE L’HIVER

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  • troubles de l'audition (10 10 2010)

    Troubles de l'audition

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 19 aout 2010 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ100212213.html

    Question écrite n° 12213 de Mme Patricia Schillinger (sénateur soc. du Haut-Rhin) publiée dans le JO Sénat du 25/02/2010 p. 427

    Mme Patricia Schillinger attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur les troubles de l'audition qui se développent de plus en plus dans notre pays. D'après le résultat d'un rapport du Comité scientifique des risques sanitaires émergents et nouveaux, commandé par l'Union européenne, près de 10 millions de jeunes risquent une perte partielle ou totale de l'ouïe.

    Cette étude, portant sur des individus ayant écouté leur baladeur à plein volume plus d'une demi-heure par jour pendant cinq ans, est alarmante. En Europe, près de 50 à 100 millions de personnes écoutent chaque jour un baladeur ou un MP3. En France, plus de 5 millions de personnes entendent mal.

    En conséquence, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures qu'elle entend prendre pour qu'une véritable politique de prévention soit mise en place en direction des jeunes face aux troubles auditifs.

    Réponse du Ministère de la santé et des sports publiée dans le JO Sénat du 19/08/2010 - page 2176

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  • Champignons, prévention des risques (03 10 2010)

    Communiqué de presse publié le 30 septembre 2010 sur le site de l’Institut National de Veille Sanitaire (cliquer ici pour accéder au site de l’INVS)

    http://www.invs.sante.fr/display/?doc=presse/2010/communiques/cp_intoxications_champignons_300910/index.html

    Risques d’intoxication liés à la consommation de champignons - Recommandations de cueillette et de consommation

    Chaque année, on déplore en France un millier d’intoxications dues aux champignons. Les conséquences sur la santé peuvent être graves : troubles digestifs sévères, complications rénales, atteintes du foie pouvant nécessiter une greffe. Ces intoxications peuvent nécessiter une hospitalisation et conduisent parfois au décès.

    En cette saison de cueillette des champignons, il est important de rappeler les recommandations suivantes :

    - ne pas ramasser un champignon si vous avez le moindre doute sur son état ou son identification, certains champignons vénéneux hautement toxiques ressemblent beaucoup aux espèces comestibles ;

    - cueillir uniquement les spécimens en bon état et prélever la totalité du champignon (pied et chapeau), afin de permettre l’identification ;

    - éviter les sites pollués (bords de routes, aires industrielles, décharges) car les champignons concentrent les polluants.au moindre doute, jeter le champignon ;

    - déposer les champignons séparément, dans une caisse ou un carton mais jamais dans un sac plastique qui accélère le pourrissement ;

    - séparer les champignons récoltés, par espèce. Un champignon vénéneux peut contaminer les autres ;
    - bien se laver les mains après la récolte ;

    - ne pas consommer sa récolte avant de l’avoir fait contrôler par un spécialiste en la matière. Les pharmaciens ou les associations et sociétés de mycologie de votre région peuvent être consultés;

    - les conserver dans de bonnes conditions au réfrigérateur et les consommer dans les 2 jours au maximum après la cueillette ;

    - les consommer en quantité raisonnable après une cuisson suffisante, ne jamais les consommer crus ;

    En cas d’apparition d’un ou plusieurs des symptômes associés à une consommation de champignons de cueillette (tremblements, vertiges, troubles de la vue, nausées, vomissements…), il faut appeler immédiatement un centre antipoison ou le Centre 15

    Les symptômes peuvent apparaître jusqu’à 12 heures après la consommation.

    Il est utile de noter les heures du ou des derniers repas, l’heure de survenue des premiers signes et de conserver les restes de la cueillette pour identification.

     

  • maltraitance des enfants : prévention ? (29 08 2010)

    Maltraitance des enfants : prévention ? (29 08 2010)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 17 août 2010 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-59379QE.htm

    notes complémentaires du rédacteur du blog anhr64 :

    (Allo Enfance en danger : faire le 119)

    Site du Service national d'accueil téléphonique de l'enfance en danger (SNATED) : http://www.allo119.gouv.fr/html

     

    Question n° 59379 dM. Sophie Delong (député UMP de Haute Marne) publiée au JO le 29/09/2009 p. 9163

    Mme Sophie Delong attire l'attention de Mme la secrétaire d'État chargée de la famille et de la solidarité sur la protection de l'enfance en danger. L'actualité récente a mis en exergue de nombreux cas de maltraitance à l'encontre d'enfants.

    Ainsi, dans l'affaire de la petite "Marina", un signalement pour maltraitance avait, semble-t-il été fait. Or, malgré cela et après examen de l'enfant par les médecins, les services sociaux avaient conclu que les enfants de cette famille n'étaient pas en danger. Pourtant certains témoignages (directeur d'école, maire) avaient fait état d'une petite fille venant à l'école avec des hématomes.

    Le 12 janvier 2008 a été créée l'ADRET, instance présidée par les présidents de conseils généraux dans le but de recueillir, de traiter et d'évaluer les informations préoccupantes relatives aux mineurs en danger. Elle lui demande de lui indiquer les mesures qu'elle entend prendre pour qu'il y ait une plus grande efficacité du dispositif.

    Réponse du ministère de la Famille et de la Solidarité publiée au JO le 17.08.2010 p.9117

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