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protection - Page 9

  • Assurance : tondeuse à gazon autoportée (27 01 2015)

    Assurance : tondeuse à gazon autoportée

    Note d’analyse juridique publiée le 15.01.2015 par la Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre) (cliquer ici pour accéder au site Légifrance)

    http://www.service-public.fr/actualites/007333.html?xtor=EPR-140.html

    Une tondeuse à gazon autoportée doit être assurée comme un véhicule

    Une tondeuse à gazon autoportée équipée d’un siège pour le conducteur et d’un volant constitue un véhicule terrestre à moteur soumis à l’assurance automobile obligatoire. L’incendie provoqué par ce véhicule en stationnement dans un garage privé individuel constitue un accident de la circulation au sens de l’article 1er de la loi du 5 juillet 1985 (dite loi Badinter).

    C’est ce qu’a rappelé la Cour de cassation dans une affaire au cours de laquelle un incendie avait entrainé la mort de deux personnes. Il avait été provoqué par une explosion dans le garage d’une maison individuelle où était garée une tondeuse autoportée dont le réservoir d’essence fuyait.

    La tondeuse impliquée dans l’accident n’ayant pas d’assurance de responsabilité civile obligatoire pour un véhicule à moteur, les héritiers des victimes demandaient réparation au Fonds de garantie des assurances obligatoires de dommages (FGAO). Celui-ci refusait sa garantie, contestant qu’il s’agisse d’un accident de la circulation du fait que le véhicule se trouvait dans un garage privé individuel.

    Pour la Cour de cassation il s’agit bien d’un accident de la circulation concernant un véhicule terrestre à moteur, la loi n’exigeant pas que l’accident se soit produit dans un lieu ouvert à la circulation publique.

    L’intervention du Fonds de garantie afin d’indemniser le préjudice des victimes ou des héritiers va être suivie d’un recours du fonds pour récupérer l’argent versé auprès du responsable des dommages. Il est donc prudent de vérifier si certains matériels (tondeuses autoportées, voitures, scooters, motos, etc.) qui ne sont pas ou plus appelés à circuler sur la voie publique et que l’on détient chez soi sont bien couverts par une assurance au titre de la responsabilité civile

    ·         Texte de l’arrêt de la Cour de cassation, Chambre civile 2, 22 mai 2014, pourvoi n° 13-10.561

     

    Légifrance, le service public de la diffusion du droit

  • EHPAD : protection des personnes âgées (22 01 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 1er janvier 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140612061.html

     

    Question écrite n° 12061 de M. Jean Germain (sénateur de l’Indre-et-Loire)

     

    M. Jean Germain appelle l'attention de Mme la secrétaire d'État, auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée de la famille, des personnes âgées et de l'autonomie sur les pratiques tarifaires d'un certain nombre de maisons de retraite. Selon les constats établis dans son enquête sur l'année 2013 par la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), 48 % des maisons de retraite contrôlées sont en infraction en matière d'information sur les prix et de facturation. Si ce chiffre traduit une amélioration par rapport à l'enquête portant sur l'année 2011 qui relevait alors un taux d'infractions de 59 %, la situation demeure préoccupante. La DGCCRF relève à l'encontre des familles : des pratiques très diverses en matière de frais de dossiers et de frais de réservation, des manquements en matière d'affichage des prix, des augmentations de prix parfois non conformes, des contrats quelquefois trop flous. En ne respectant pas les limitations de hausse de prix mises en place par l'État, les établissements incriminés trompent à la fois les personnes âgées, mais aussi les familles sur les prestations effectivement délivrées : clauses abusives fréquentes, comme les forfaits pour la remise en état des lieux, celles relatives au décès et à la libération de la chambre ou encore la rupture des contrats de séjour à l'initiative des seuls directeurs d'établissements. Il lui demande quelles mesures sont envisagées par le Gouvernement pour mieux protéger les personnes âgées et leurs familles.

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes, chargé de la famille, des personnes âgées et de l'autonomie

    publiée dans le JO Sénat du 15/01/2015 p. 114

     

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  • Harcèlement téléphonique : sanctions (12 01 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 27 novembre 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140712661.html

    Pour accéder au site PACITEL (inscription pour non démarchage) cliquer ici pour accéder au site :

    http://www.pacitel.fr/particuliers.html

    Question écrite n° 12661 de M. Hervé Maurey (sénateur de l’Eure)

     

    M. Hervé Maurey attire l'attention de Mme la secrétaire d'État, auprès du ministre de l'économie, du redressement productif et du numérique, chargée du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire sur l'absence de mesures pour lutter efficacement contre le harcèlement téléphonique en matière commerciale.

     
    L'article 222-16 du code pénal dispose que « les appels téléphoniques malveillants réitérés ou les agressions sonores en vue de troubler la tranquillité d'autrui, sont punis d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende ».

     

    Toutefois, la téléprospection à outrance (appels réitérés plusieurs fois par heure, volonté de tromper lors de la vente, utilisation non autorisée des numéros de téléphone) pouvant « altérer la santé physique ou mentale » d'une personne, n'est pas punie avec la même sévérité que le harcèlement moral.

     
    Aussi, il l'interroge sur l'opportunité de renforcer les sanctions en cas de harcèlement téléphonique de nature commerciale et d'encadrer les centres d'appels de téléprospection.

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère de l'économie, de l'industrie et du numérique, chargé du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire publiée dans le JO Sénat du 27/11/2014 p. 2641

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  • Abeilles : insecticide néonicotinoïde (08 09 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 31 juillet 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140310777.html

    Question écrite n° 10777 de M. François-Noël Buffet (sénateur du Rhône)

     

    M. François-Noël Buffet attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt sur les préoccupations du syndicat d'apiculture du Rhône, concernant les conséquences sur les abeilles de l'utilisation des insecticides «néonicotinoïdes».

     
    En effet, une étude menée par le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) a démontré la présence en grande quantité de néonicotinoïdes sur les arbres fruitiers butinés par les abeilles, qui ont entraîné leur disparition en quelques mois.

     
    L'apiculture n'est plus possible dès lors qu'un insecticide néonicotinoïde est utilisé avant ou pendant la floraison des arbres fruitiers. Pourtant, ces insecticides sont toujours largement utilisés dans les cultures à travers tout le territoire, et causent inévitablement le déclin des abeilles. 

    Malgré la décision de la Commission européenne du 24 mai 2013 de restreindre l'utilisation de ces insecticides, le syndicat d'apiculture du Rhône reste très inquiet, et souhaite une interdiction totale et à long terme de ces insecticides néonicotinoïdes.


    Aussi, il lui demande quelles sont les mesures que le Gouvernement entend mettre en œuvre pour pallier cette situation qui entraîne inéluctablement le déclin des abeilles. 

     

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 31/07/2014 - page 1814

     

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  • Consommation : précisions sur la loi du 17 mars 2014 (03 07 2014)

    Nous proposons sur 2 jours des informations sur la loi Consommation du 17 03 2014, publiées le 18 mars 2014 sur le site Service Public (cliquer ci-dessous pour accéder au site Service Public) et le 21 février 2014 sur le site du Ministère de l’Economie (cliquer ci-dessous pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.service-public.fr/actualites/002730.htm

    http://www.economie.gouv.fr/dix-benefices-loi-consommation.html

    …/…

    http://www.economie.gouv.fr/files/files/ACTUS/2013/pr/pointilles.png

    3 : Diminuer le coût de son assurance emprunteur

    Aujourd’hui, la commercialisation de l’assurance emprunteur est très largement assurée par les banques. Lors de l’octroi d’un crédit immobilier, la banque propose à son client de souscrire son contrat d’assurance auprès d’elle, en même temps qu’il souscrit son prêt. Faute de temps et de peur d’entrer dans une négociation qui pourrait avoir un impact sur le taux du crédit préalablement négocié, les consommateurs acceptent généralement l’offre d’assurance proposée par leur banque. Dans les conditions actuelles de taux, l’assurance emprunteur représente près d’1/3 du coût total du crédit.

    Pour changer la donne, la loi Consommation renforce la possibilité pour le consommateur, une fois dégagé du stress lié à l’acquisition d’un logement, de pratiquer un réel tour de marché des assureurs pour, le cas échéant, changer d’assurance et optimiser son budget.

    Bénéfice pour le consommateur

    Pour un emprunt de 300 000 euros sur 20 ans : le gain de pouvoir d’achat s’élève à 9 000 euros. Au total, avec cette mesure, 200 millions d'euros de pouvoir d'achat seront rendus aux consommateurs.

    http://www.economie.gouv.fr/files/files/ACTUS/2013/pr/pointilles.png

    4 : Payer ses lunettes moins cher

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  • Consommation : précisions sur la loi du 17 mars 2014 (1/2) (02 07 2014)

    Nous proposons sur 2 jours des informations sur la loi Consommation du 17 03 2014, publiées le 18 mars 2014 sur le site Service Public (cliquer ci-dessous pour accéder au site Service Public) et le 21 février 2014 sur le site du Ministère de l’Economie (cliquer ci-dessous pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.service-public.fr/actualites/002730.htm

    http://www.economie.gouv.fr/dix-benefices-loi-consommation.html

    Action de groupe, contrats d’assurance, prêts immobiliers, garanties, achats sur internet, démarchage téléphonique... La loi relative à la consommation a été publiée au Journal officiel du mardi 18 mars 2014.

    Cette loi prévoit un certain nombre de mesures (dont l’application effective s’étale jusqu’en 2016) :


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