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prévention - Page 43

  • prévention noyades (03 07 2010)

    Noyade : les bons réflexes

    Communiqué de presse publié le 28 juin 2010 sur les sites de l’Institut National de Veille Sanitaire et de l’Institut  National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder aux sites de l’INS ou de l’INPES)

    http://www.invs.sante.fr/display/?doc=presse/2010/communiques/noyades_reflexes/index.html

    www.inpes.sante.fr.

    1366 cas de noyades entre le 1er juin et le 30 septembre 2009 en France : Avez-vous les bons réflexes ?

    L’été approche et avec lui les vacances et les baignades à la mer, en rivière, en lac ou en piscine. Si vacances riment souvent avec insouciance, la baignade doit rester synonyme de vigilance. En 2009, entre le 1er juin et le 30 septembre, l’Institut de veille sanitaire (InVS) a recensé 1366 noyades accidentelles, dont 462 ont été suivies d’un décès, soit en moyenne près de 4 décès par jour. [Consultez ici le rapport final de l’enquête Noyades 2009]

    Parmi ces 1366 cas, 782 ont eu lieu en mer (dont 188 décès), 239 en piscine (tous types confondus) dont 54 décès, 143 en plan d’eau, 151 en cours d’eau et 51 dans d’autres lieux (baignoires, bassins…). Au total, 98 jeunes de moins de 20 ans sont décédés. On déplore 39 décès d’enfants de moins de 6 ans, dont 17 en piscine privée familiale.

    En piscine, les enfants de moins de 6 ans se sont noyés parce qu’ils ont échappé à la surveillance de l’adulte et qu’ils ne savaient pas nager. En cours d’eau ou plan d’eau, les adultes se sont noyés à la suite d’un malaise, ou d’une chute en relation avec la consommation d’alcool, ou d’une activité dangereuse et/ou solitaire. En mer, les victimes de noyades étaient souvent des touristes de plus de 45 ans ayant un problème de santé.

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  • risques solaires : prévention (04 0 2010)

    Note publiée dans le bulletin Equilibres n°61 de juin 2010 de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ci-après pour accéder au site de l’INPES ou au texte pdf du bulletin)

    http://www.inpes.fr/html

    http://www.inpes.sante.fr/CFESBases/equilibre/pdf/Lettre61.pdf#thema

     

    Synonyme de vie et d’énergie, le soleil - à petite dose - est bénéfique pour la santé. cependant, une exposition excessive et sans protection à ses rayons peut entraîner de graves dommages, parfois irréversibles. courant juin, l’INPES lance une campagne d’information sur les risques solaires.

     

    Les Français savent que l’exposition au soleil n’est pas sans conséquence. Mais s’ils sont conscients du risque de cancer de la peau, ils appréhendent beaucoup moins les autres dangers comme les risques pour les yeux ou le vieillissement prématuré de la peau.

     

    Les facteurs de risques sont également mal connus : type de peau, antécédents familiaux, heures et mois où le rayonnement ultraviolet (UV) est le plus intense, etc. Enfin, selon le Baromètre cancer 2005, les réflexes de prévention sont insuffisamment et inégalement adoptés.

     

    Dans ce contexte, informer le grand public et les personnes les plus vulnérables demeure indispensable. À l’approche de l’été, l’Inpes lance une campagne de prévention des risques solaires qui rappelle les gestes préventifs et lutte contre les idées reçues.

     

    Destiné au grand public, et notamment aux parents de jeunes enfants, le dispositif insiste sur trois règles d’or :

    - porter chapeau, lunettes de soleil et tee-shirt, et mettre de la crème solaire ;

    - éviter les heures les plus ensoleillées et préférer l’ombre ;

    - protéger encore plus les enfants.

     

    La campagne se compose d’un spot radio diffusé sur les stations nationales et de trois annonces presse. En complément, des chroniques sur les idées reçues seront programmées tout l’été sur les radios locales. Un dépliant sera également disponible dans les mairies, centres de loisirs, offices de tourisme, pharmacies, etc.

    Enfin, un Guide de l’été, conçu le Service d’information du Gouvernement, en partenariat avec l’Inpes, l’Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), le ministère chargé de l'écologie et la Sécurité routière, rappelle les conseils de prévention. Diffusé avec le Figaro et des quotidiens régionaux, il sera également distribué aux péages.

  • accidents domestiques enfants (09 02 2009)

    Accidents domestiques : attention aux enfants !

     

     Article lu le 8 février 2009 en page 3, sur la brochure Equilibres de l’INPES (Institut National de Prévention et d’Education Sanitaire) (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

     

    http://www.inpes.sante.fr/CFESBases/equilibre/pdf/Lettre46.pdf#page1

     

     

    Les parents sont conscients des dangers et savent qu’un grand nombre d’accidents peut être évité. Cependant, ils ne connaissent pas toujours les gestes de prévention. Par ailleurs, leur connaissance des risques est parfois en décalage avec la réalité : si 66 % d’entre eux craignent avant tout les chutes, effectivement à l’origine de la plupart des accidents, seuls 6 % citent les suffocations, pourtant première cause de décès chez les moins de 1 an.

     

     

     

     

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  • cancer du sein : nouvelle étude (03 05 2008)

    Cancer : savoir interpréter les études (03 05 2008)

     

     

    Entretien avec Mme Françoise Clavel-Chapelon, directrice de recherche à l'Inserm,mené par Mme Sandrine Blanchard, lu le 30 avril 2008 sur le site du Monde

     

    http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2008/04/29/cancer-savoir-interpreter-les-etudes_1039728_3238.html#ens_id=628868

     

    (NDLR : cette note nous a semblé intéressante, tant sur le fond de l’étude et sur les conseils à en tirer, que sur la méthode de lecture et la prudence nécessaires face à tout rapport).

     

    Le risque de cancer du sein est "presque doublé" chez les femmes qui consomment trop d'acides gras trans industriels. Que faut-il comprendre et retenir de cette nouvelle étude alarmante, rendue publique début avril ? Directrice de recherche à l'Inserm, le docteur Françoise Clavel-Chapelon – responsable de l'étude dont sont issues ces conclusions – explique le travail des épidémiologistes.

     

    L'étude que vous avez menée avec l'Institut Gustave Roussy fait apparaître un nouveau facteur de risque dans le développement du cancer du sein : la consommation d'acides gras trans d'origine industrielle. Comment êtes-vous parvenus à ce résultat ?

     

     

     

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