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prévention - Page 40

  • Virus de l’Hiver (12 11 2011)

    Note publiée le 24 octobre 2011 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/.html

     Les bons gestes pour limiter la transmission des virus de l’hiver

    Ils s’invitent chaque année aux premiers frimas et envahissent notre système respiratoire ou digestif… Ce sont les virus saisonniers de l’hiver, responsables de rhumes, rhinopharyngites, grippes, bronchites, bronchiolites et gastro-entérites. Comment se propagent-ils, comment s’en protéger ? Cet automne, l’Inpes met l’accent sur les « gestes barrières » comme le lavage des mains. L’Institut rediffusera du 2 au 29 novembre à la télévision et au cinéma « Avec ou sans les mains ? », un spot humoristique mettant en scène des activités de la vie quotidienne comme faire ses courses, lire une carte de restaurant, retirer de l’argent à un distributeur automatique ou porter ses enfants avec… les coudes.

    Chaque année la grippe touche environ 2,5 millions de personnes et la gastro-entérite une personne sur douze. Les virus respiratoires se transmettent par :

    ·    les postillons, les éternuements, la toux, la salive et les mains des personnes infectées

    ·    le contact d’objets (jouets, doudous, tétines, boutons d’ascenseur, couverts, etc.) contaminés

    ·    ou simplement par l’air confiné, lorsque le malade occupe une pièce fermée (chambre, salle d’attente, etc.).

    La gastro-entérite peut-être d’origine bactérienne ou virale. Dans le cas des gastro-entérites aiguës inflammatoires, ce sont des bactéries qui pénètrent dans la muqueuse de l'intestin. Les gastro-entérites non inflammatoires sont dues à des bactéries type staphylocoque doré ou à des virus comme le rotavirus ou l'adénovirus. Ces derniers sont ingérés avec des aliments contaminés ou par contact avec des surfaces ou des objets contaminés. Une fois dans l'organisme, les germes se multiplient et perturbent le fonctionnement de l'intestin. Généralement anodins chez l'adulte, ces virus sont très courants chez l'enfant, spécialement les enfants âgés de 4 mois à 3 ans qui fréquentent des garderies ou des crèches. Chez le nourrisson, les diarrhées peuvent entraîner une déshydratation sévère pouvant nécessiter une hospitalisation.

    Adopter les « gestes barrières »

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  • Téléphone portable : bon usage (03 11 2011)

    Après notre article du 3 juin 2011 sur le téléphone mobile à partir d’un rapport publié par l’INPES

    http://www.inpes.fr/

    http://www.inpes.fr/10000/themes/sante_environnement/pdf/perception-risques-telephonie-mobile.pdf

    nous vous proposons des Informations détaillées sur le bon usage du téléphone portable présentées sur le site lesondesmobiles.fr proposé par l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES) et le site Radiofréquences du Gouvernement (cliquer ci-dessous pour accéder aux sites)

    http://www.lesondesmobiles.fr/html

    http://www.radiofrequences.gouv.fr/spip.php?article25

    Le Site lesondesmobiles où notamment 8 thèmes donnent lieu à des explications préventives :

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  • Rougeole : mobilisation (22 09 2011)

    Note extraite de la lettre Equilibres n° 74 de septembre 2011 publiée sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/

     

    Vaccination : Mobilisation contre la rougeole  (voir aussi dans ce blog la note du 4 avril 2011)

    Une épidémie de rougeole sévit en France. Plus de 20 000 cas ont ainsi été déclarés entre 2008 et juin 2011, contre 44 en 2007. Dans ce contexte, la Direction générale de la santé (DGS), en lien avec la Direction générale de l'enseignement scolaire (DGESCO) et la Direction générale de l’enseignement et de la recherche (DGER), lance avec le concours de l’Inpes et pour la deuxième année consécutive, une opération de sensibilisation à la rougeole avec la vérification du statut vaccinal des élèves de sixième et de terminale. Parallèlement, un site d’information dédié – www.info-rougeole.fr – a été créé.

     

    L’épidémie de rougeole est en constante progression depuis 2008 : plus de 14 000 cas ont déjà été notifiés au cours du premier semestre 2011 suivant les données de l’Institut de veille sanitaire (InVS). Des chiffres d’autant plus inquiétants que cette maladie infectieuse, contagieuse et parfois mortelle, n’est plus seulement une maladie infantile. Aujourd’hui, elle touche principalement les nourrissons de moins d’un an, les adolescents et les jeunes adultes, tranches d’âge chez qui les complications (pneumopathies et encéphalites notamment) sont plus fréquentes et qui nécessitent le plus souvent une hospitalisation.

    L’enjeu est donc de taille : il s’agit de mobiliser les professionnels de santé et de sensibiliser les parents, les élèves et les jeunes adultes. En effet, si plus de 95 % de la population née depuis 1980 était correctement vaccinée (deux doses de vaccin recommandées), la rougeole pourrait être éliminée. C’est pourquoi, elle était, pour la troisième année consécutive, la priorité nationale de la Semaine de la vaccination.

    Le milieu scolaire se mobilise

    En août 2011, pour accompagner l'opération de sensibilisation à la rougeole par la vérification des antécédents de vaccination ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) des élèves de sixième et de terminale, l’Inpes a mis en place un plan de diffusion de supports d’information dans les collèges et lycées. Ainsi, dès la mi-septembre, près de 12 000 établissements recevront des exemplaires des affiches Épidémie de rougeole en France - Êtes-vous protégé ? et Calendrier vaccinal 2011 simplifié, ainsi que le dépliant Vaccination... Le point sur la rougeole – trois documents édités par l’Institut et destinés au personnel éducatif et aux infirmières scolaires. Par ailleurs, 2,5 millions d’exemplaires du dépliant Vaccination. Rougeole-Oreillons-Rubéole. 5 bonnes raisons pour se faire vacciner seront adressés aux établissements pour remise aux élèves et à leurs parents.

     Objectif de cette opération : informer sur la forte recrudescence de la rougeole en France, rappeler l’importance de la vaccination ROR et, en vérifiant le carnet de vaccination, inciter les parents à protéger leurs enfants s’ils ne le sont pas encore correctement.

    Internet et les réseaux sociaux au service de la vaccination

    Pour sensibiliser le plus grand nombre, l’Inpes a conçu le site dédié www.info-rougeole.fr, en partenariat avec la DGS, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) et l'InVS. Opérationnel depuis août, ce site a pour vocation d’informer sur les modes de transmission de la rougeole, les symptômes, les complications ou encore la vaccination. Fonctionnel et accessible, il propose un contenu fiable, scientifiquement validé. Il comprend également une rubrique « Questions/Réponses » et renvoie vers des documents utiles. Enfin, il permet un partage de l’information via les réseaux sociaux ou par messagerie électronique.

  • Prévention et généralistes (11 08 2011)

    Synthèse d’une enquête publiée dans la revue Equilibre n° 73 de juillet-aout 2011 de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/

    Prévention : L’implication des médecins généralistes

    L’Inpes vient de publier le Baromètre santé médecins généralistes 2009, un ouvrage présenté à l’occasion du cinquième Congrès de la médecine générale, qui s’est tenu du 23 au 25 juin 2011, à Nice. Retour sur les principaux enseignements de l’enquête.

     Outre le diagnostic, la prise en charge thérapeutique et l’organisation des soins, la pratique quotidienne des généralistes intègre une mission de prévention. Depuis 1992, les Baromètres santé médecins généralistes de l’Inpes décrivent les perceptions et les comportements des praticiens dans ce domaine. Cette sixième édition propose une analyse des données issues de l’enquête menée en 2008 et 2009 auprès de 2 083 professionnels. Elle se penche par ailleurs sur leur évolution récente en s’appuyant sur les chiffres du Baromètre 2003.

    Une mission à part entière

    Dans un premier temps, l’ouvrage souligne l’engagement des généralistes en matière de prévention. Ainsi, 95,7 % d’entre eux estiment qu’elle fait partie de leur mission. Ils reconnaissent également le rôle des professionnels paramédicaux (81,6 %), des médecins spécialistes ou hospitaliers (66,4 %), des médias (61,0 %) ou encore des professionnels de l’enseignement et du secteur social (59,8 %).

    Parmi les thématiques de prévention les plus faciles à aborder avec les patients, les praticiens citent le risque cardiovasculaire et le dépistage des cancers, suivis par l’activité physique, le tabagisme et la nutrition. En revanche, la consommation d’alcool, la vie affective et sexuelle ou l’usage de drogues leur semblent plus délicats à évoquer.

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  • Téléphonie mobile : perception des risques (03 06 2011)

    Téléphonie mobile : perception des risques

    Synthèse d’un rapport de MM. Nguyen-Thanh V., et Richard J.-B. intitulé « Les connaissances, perceptions et comportements des Français vis-à-vis des risques liés à la téléphonie mobile ». (Saint-Denis : INPES, Novembre 2009 : 77 p) publié le 07 avril 2010 sur le site de l’INPES (cliquer ici pour accéder au site de l ‘INPES et au texte intégral pdf du rapport)

    http://www.inpes.fr/

    http://www.inpes.fr/10000/themes/sante_environnement/pdf/perception-risques-telephonie-mobile.pdf

    Les connaissances, perceptions et comportements des Français vis-à-vis des risques liés à la téléphonie mobile

    La question des éventuels risques sanitaires liés à la téléphonie mobile fait l’objet d’une vive controverse largement relayée dans les médias. Qu’en retiennent les Français et comment leur perception de ces potentiels risques se traduit-elle dans leur comportement vis-à-vis de la téléphonie mobile ?

    Le public est le témoin de controverses entre experts sur l’impact sanitaire potentiel des ondes électromagnétiques, en particulier celles provenant des téléphones mobiles et de leurs antennes relais. Le caractère invisible et impalpable de ces ondes ajoute probablement à l’inquiétude et favorise les fantasmes. Pour faire face à cette inquiétude, et aider le public à s’y retrouver dans les débats scientifiques, les pouvoirs publics ont décidé d’amplifier l’information du public. Dans le cadre de la préparation de cette campagne d’information, l’INPES a réalisé entre avril et  novembre 2009 une étude sur les connaissances, perceptions et comportements des Français vis-à-vis des risques liés à la téléphonie mobile. Une enquête quantitative auprès d’un échantillon représentatif de 1 505 personnes construit selon la méthode des quotas, une étude qualitative et une analyse du traitement du sujet par les médias (presse et Internet) ont été réalisées.

    Un très fort attachement au téléphone portable, une perception des risques qui s’accroît

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  • Personnes âgées, sécurité (17 02 2011)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 18 janvier 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-83303QE.htm

    Question n° 83303 de M. Éric Ciotti (député UMP des Alpes-Maritimes)

    M. Éric Ciotti attire l'attention de Mme la ministre d'État, garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, sur le rapport intitulé « Vieillir partout en sécurité, l'affaire de tous » remis par M. Édouard Courtial, député de l'Oise, en mai 2010 sur les besoins de sécurité liés au vieillissement de la population sur la recommandation visant à veiller au bon déploiement territorial des brigades de protection des familles qui se mettent en place au niveau départemental, avec l'affectation d'un personnel dédié et formé à la prise en charge de cette population spécifique, la désignation d'un référent « personnes vulnérables » au sein des services locaux.

    Il lui demande de bien vouloir lui indiquer sa position sur cette proposition.

    Réponse du Ministère de l’Intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration publiée au JO le 18/01/2011 page 528

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