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  • Qualité de l’air, pollens : informations (10 07 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 30 juin 2021 sur le site Service-public / (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15019?xtor=EPR-100.html

    Recosanté : une lettre d'information sur la qualité de l'air et les risques liés aux pollens

    Publié le 30 juin 2021 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Vous êtes sensible à la pollution de l'air ? Vous êtes allergique aux pollens ? Vous pouvez vous inscrire à « Recosanté », une lettre d'information numérique. Chaque jour, vous recevez une recommandation pour vous aider à réduire les impacts des polluants atmosphériques et des pollens sur votre santé. Vous êtes informé quotidiennement de la qualité de l'air et du risque d'allergie aux pollens dans votre localité.

    Qu'est-ce que Recosanté ?

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  • Covid 19 : épidémie et eaux usées (11 02 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 3 février 2021 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

     

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/278364-covid-19-dans-les-eaux-usees-le-reseau-obepine-publie-ses-resultats.html

    Covid-19 dans les eaux usées : quelles traces du virus ?

    Le réseau de l'Observatoire épidémiologique dans les eaux usées (Obépine) a publié le 25 janvier 2021 les données sur la circulation du Covid-19 dans une trentaine de stations d’épuration. Variable selon les régions, la présence du virus est élevée en Occitanie et en particulier à Toulouse :

    https://www.reseau-obepine.fr/donnees-ouvertes/

    Le réseau de l’Observatoire épidémiologique dans les eaux usées (Obépineanalyse les traces du Covid-19 dans les stations d'épuration françaises. Créé au printemps 2020, le groupement d'intérêt scientifique (GIS) réunit des laboratoires et des groupes de recherche. Son objectif : surveiller la circulation du virus dans les eaux de 150 stations sur les 20 000 qui existent sur le territoire national.

    Le 25 janvier, le réseau Obépine a, pour la première fois, mis en ligne les résultats des derniers prélèvements réalisés dans une trentaine de stations d'épuration. En Occitanie et à Toulouse, “le niveau de circulation du virus est haut”, selon les scientifiques.

    Une circulation virale différente selon les régions

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  • Epidémie : indicateurs locaux (12 11 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 3 novembre 2020 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

     

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14414?xtor=EPR-100.html

     

    Où trouver les indicateurs épidémiques de sa commune ou de son département ?

    Publié le 03 novembre 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Taux de dépistage, taux de positivité, taux d'incidence pour les personnes âgées de plus de 65 ans... Comment s'informer sur les indicateurs du monde et du pays mais aussi de sa région, de son département ou de sa commune ? Depuis le 21 octobre 2020, Santé publique France propose des outils pour suivre l'évolution de l'épidémie à une échelle locale. Service-Public.fr vous présente le portail « Géodes ».

    Les indicateurs épidémiologiques du Covid-19 sont mis à jour quotidiennement et disponibles à partir de 19h sur le portail Géodes qui permet de visualiser les données sanitaires sur une carte de France . En plus de la carte, il est possible d'accéder à un tableau des indicateurs sélectionnés et à leur synthèse (chiffres clés, graphiques). Pour cela, choisir l'onglet « Tableau » dans la barre supérieure de couleur rose.

     

    Quels sont les indicateurs disponibles à une échelle inférieure à celle d'un département ?

     

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  • Electricite : tarifs (24 06 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 7 juin 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ19060821G.html

    Question d'actualité au gouvernement n° 0821G de M. Henri Cabanel (sénateur de l’Hérault)


    Le 1er juin, les prix de l'électricité ont augmenté de près de 6 %. Cette augmentation considérable devrait encore être amplifiée en août prochain. Pour un foyer qui se chauffe à l'électricité et dépense annuellement en moyenne 1 500 euros, cette hausse représentera un surcoût de près de 90 euros.

     
    Vous avez annoncé que la formule de fixation du prix de l'électricité serait revue à l'occasion de l'examen du projet de loi sur l'énergie, qui doit intervenir dans les prochaines semaines. Mais derrière la révision d'une formule technique, il y a d'abord une volonté politique. Elle consiste à donner des instructions pour aller dans un sens ou dans un autre afin de protéger certains plutôt que d'autres.

     
    Plusieurs associations de consommateurs ont mis en évidence que cette hausse est deux fois supérieure à l'augmentation des coûts d'EDF, qui s'élève à 3 %, le surplus de hausse servant à favoriser la bonne santé des concurrents d'EDF. L'Autorité de la concurrence avait d'ailleurs rendu un avis défavorable à la proposition de la Commission de régulation de l'énergie en soulignant les fragilités juridiques.

     
    Lors de l'examen du projet de loi que j'évoquais, nous discuterons pour savoir ce qui doit justifier le coût de l'électricité. Nous trancherons sur ce qui doit être consacré à la transition énergétique, laquelle suscite beaucoup d'attentes chez nos concitoyens. Nous discuterons aussi du coût du nucléaire, sachant que l'entretien et la sécurité des centrales ne sont pas négociables. 

    Alors que, dans quelques jours, nous débattrons d'une proposition de loi sur la question de la précarité énergétique, je crois pouvoir dire que nous serons attentifs à ce que ce ne soient pas que les plus modestes qui paient. Or ceux-ci sont particulièrement exposés. En effet, leurs logements sont mal isolés et les taxes qui pèsent pour un tiers sur le prix de l'électricité sont également soumises à la TVA, impôt particulièrement injuste, car il frappe sans distinction toutes les classes de la société.

     
    Le Gouvernement va-t-il donner pour instruction de modifier la formule du prix de l'électricité afin de protéger les ménages des hausses intempestives ?

     

    Réponse du Ministère de la transition écologique et solidaire publiée dans le JO Sénat du 07/06/2019 p. 8064

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  • Réseau surveillance sur la Grippe (31 01 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 17 janvier 2019 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13167?xtor=EPR-100.html

    Grippenet.fr : pour participer à la surveillance de la propagation de la grippe

    Publié le 17 janvier 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Vous voulez être acteur de la veille sur la grippe en France et ainsi participer aux activités de recherche sur cette maladie ? Inscrivez-vous sur Grippenet.fr !

    Qu'est-ce que Grippenet.fr ?

    Grippenet.fr est un projet de surveillance et de recherche sur la grippe mis en place en 2012 par le réseau Sentinelles (Inserm – Sorbonne Université) et Santé publique France dans le but de connaître en temps réel l'évolution de la situation de la grippe dans le pays.

    Pour cela, Grippenet.fr demande à des volontaires de participer sur internet à la collecte de données épidémiologiques en France métropolitaine, par le biais d'une simple adresse électronique, de façon anonyme et bénévole, quel que soit l'âge, la nationalité et l'état de santé. Cette collecte se fait directement auprès de la population, car de nombreuses personnes malades ne consultent pas de médecin et ne sont donc pas comptabilisées par les méthodes de surveillance traditionnelles.

    Comment participer ?

    Le volontaire doit s'inscrire sur le site et répondre à un questionnaire préliminaire (âge, lieu d'habitation, composition du foyer, mode de déplacement, activité principale, statut vaccinal, allergies...). Puis, il devra répondre chaque semaine à un questionnaire de 5 minutes sur d'éventuels symptômes (nez qui coule, toux, fièvre...) constatés depuis sa précédente connexion.

    Vous n'avez pas besoin d'être malade pour participer. En effet, les participants sains sont particulièrement importants pour pouvoir estimer le plus justement possible la proportion de personnes avec des syndromes grippaux.

    Si vous avez des interrogations, le site vous propose une foire aux questions.

    Et après ?

    Cette campagne permet aux chercheurs de mieux comprendre la maladie : facteurs de risque, rôle de l'âge, impact de la vaccination, études chez les populations à risque de complications (comme les femmes enceintes), recours aux soins de santé en cas de syndrome grippal... Elle fait progresser les connaissances sur cette maladie souvent bénigne, mais potentiellement responsable de complications graves chez les personnes fragiles.

    La campagne 2018-2019 se terminera à la mi-avril.

      À savoir :

    Les virus de la grippe, qui appartiennent au genre des Influenzavirus, sont classifiés en trois groupes : A, B et C. Au cours des 30 dernières années, les épidémies de grippe chez l'homme ont été causées par des virus de type A (H1N1 et H3N2) et de type B.

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Santé publique France

    Santé publique France

  • Compteurs Linky : collecte des données (13 09 2018)

    Nous proposons aujourd’hui cette question de sénateur et la réponse ministérielle publiée le 28 juin 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180404542.html

    Question écrite n° 04542 de Mme Marta de Cidrac (sénatrice des Yvelines)

    Mme Marta de Cidrac attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, sur les compteurs Linky en France et, plus précisément, sur certaines problématiques relatives à la collecte d'informations.

     
    Les compteurs Linky collectent à distance des données quant à la consommation d'énergie des foyers. Plusieurs types de collecte existent. Dans tous les cas, ces données sont transmises par le gestionnaire de réseau au fournisseur d'énergie.

     
    À l'aune des nouvelles réglementations, la commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) a récemment demandé au fournisseur d'électricité et de gaz Direct énergie de modifier la manière dont elle collectait les données issues des compteurs Linky.

     
    En effet, Direct énergie a sollicité de manière simultanée, dans un même document, l'accord de ses clients pour l'installation d'un compteur Linky et pour la collecte des données. Selon la CNIL, le consentement à la collecte des données n'a pas été obtenu dans les conditions nécessaires pour être « libre, éclairé et spécifique », comme l'exige la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés.  On ne peut que saluer la vigilance et la célérité avec laquelle la CNIL a pris ce problème à bras le corps.

     
    Néanmoins, il semble que de nombreux particuliers n'ont pas bénéficié de l'information nécessaire à laquelle ils ont droit afin de faire de Linky un véritable outil de maîtrise de leur consommation. Des élus du département des Yvelines lui ont fait part d'un mécontentement chez certains de leurs administrés.

     
    Comme le mentionnent pourtant les magistrats de la Cour des comptes dans le rapport public annuel du 8 février 2018, « la connaissance par l'usager de sa consommation d'électricité à un laps de temps suffisamment court constitue un prérequis à la mise en place de toute action de maîtrise de la consommation d'énergie à un niveau individuel ».

     
    Par ailleurs, dès 2010, le directeur des énergies renouvelables de l'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME) demandait déjà que le compteur dispose d'un afficheur déporté, solution d'information en temps réel en kWh et en euros, comme cela a pu se faire ailleurs en Europe, notamment au Royaume-Uni. Le médiateur national de l'énergie a également plaidé pour la généralisation d'un tel dispositif.

     
    Elle lui demande de bien vouloir indiquer les intentions du Gouvernement afin de mieux répondre aux besoins des utilisateurs et les améliorations au dispositif qu'il entend apporter.

     

    Réponse du Ministère de la transition écologique et solidaire publiée dans le JO Sénat du 28/06/2018 – p. 3253

     

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