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vaccination - Page 5

  • Grippe : vaccination (30 10 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 8 octobre 2020 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

     

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14356?xtor=EPR-100.html

     

    Vaccination contre la grippe : c'est en ce moment !

    Publié le 08 octobre 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Selon l'avis de la Haute Autorité de santé, la campagne 2020-2021 de vaccination contre la grippe saisonnière débute le 13 octobre 2020 et se poursuit jusqu'au 31 janvier 2021 dans le contexte de crise sanitaire lié au Covid-19. L'Assurance maladie recommande de se faire vacciner au début de l'automne, avant la circulation active des virus grippaux.

     

    Qui est concerné ?

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  • Obligations vaccinales : évaluation (20 08 2020)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 4 août 2020 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-26991QE.htm

     

    Question n° 26991 de M. Grégory Besson-Moreau (député de l’Aube)

    Grégory Besson-Moreau attire l'attention de M. le ministre des solidarités et de la santé au sujet de la publication du rapport d'évaluation de l'impact de l'élargissement des obligations vaccinales.

     

    En 2017, face au constat d'une érosion inquiétante de la couverture vaccinale, le Gouvernement a fait le choix d'élargir la liste des vaccins obligatoires en rajoutant huit vaccins supplémentaires, faisant l'objet d'une simple recommandation dans la législation précédente, en complément des trois vaccins contre la diphtérie, la poliomyélite et le tétanos. Ainsi, l'article 49 de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2018 a rendu obligatoires les vaccins contre la coqueluche, les oreillons, la rougeole, la rubéole, le virus de l'hépatite B, les infections invasives à pneumocoque et à haemophilus influenzae de type B, ainsi que le méningocoque de sérogroupe C.

     

    Afin d'évaluer la portée de cette décision, l'article 49 prévoit également la publication annuelle d'une évaluation de l'impact de l'élargissement des obligations vaccinales par le Gouvernement, et ce à compter du dernier trimestre 2019. On est en 2020, cette évaluation n'a pas encore vu le jour et on ne dispose d'aucune information quant à sa publication. À l'heure où bon nombre de ces pathologies continue de sévir et la méfiance envers la vaccination continue de trouver un terreau fertile en France, il souhaiterait savoir combien de temps il faudra encore attendre pour la publication de ce rapport.

     

    Il lui demande si le Gouvernement entend présenter rapidement les résultats de cette mesure de santé publique.

     

    Réponse du Ministère des Solidarités et de la santé publiée au JO le 04/08/2020 p. 5336

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  • Vaccination contre le papillomavirus (HPV) (20 02 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 19 décembre 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ19121087G.html

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 1087G de Mme Véronique Guillotin (sénatrice de Meurthe-et-Moselle)

     

    Mme Véronique Guillotin. Monsieur le secrétaire d'État, ce lundi 16 décembre, votre ministère a annoncé que le vaccin contre le papillomavirus (HPV) sera désormais recommandé pour les garçons de 11 ans à 14 ans, au même titre que pour les jeunes filles. C'est pour nous une excellente nouvelle.

    Les bénéfices de la vaccination généralisée des adolescents sur la réduction du nombre des cancers génitaux et oraux déclarés à l'âge adulte ne sont plus à démontrer.


    Plus de 6 000 nouveaux cas de cancers liés aux infections par le papillomavirus sont détectés chaque année en France, dont un quart chez les hommes. Oui, les hommes sont aussi concernés : ils peuvent être porteurs du virus et le transmettre et sont aussi susceptibles de déclarer un cancer de l'appareil génital ou de la sphère ORL.


    Chaque année, 3 000 femmes développent un cancer du col de l'utérus en France et 1 000 en meurent. Ces chiffres sont d'autant plus inacceptables qu'un vaccin efficace existe. Or notre couverture vaccinale est l'une des plus faibles d'Europe et peine à dépasser 20 %. Dans d'autres pays, le virus est sur le point d'être éradiqué. En Australie, par exemple, la campagne de vaccination gratuite des adolescents a produit des résultats spectaculaires : la proportion des jeunes femmes porteuses a chuté de 23 % à 1 % en à peine dix ans.


    Monsieur le secrétaire d'État, il faut à tout prix casser la chaîne de cette contamination. Une première étape a été franchie avec l'expérimentation, en Guyane et en Grand Est, de la vaccination des jeunes filles en milieu scolaire. Je salue cette initiative.


    Or, voilà peu de temps, une fédération de parents d'élèves a fait circuler dans ma région une lettre dénonçant « une décision politique autoritaire d'une extrême gravité » et a introduit ainsi le doute, et encore le doute.


    Monsieur le secrétaire d'État, comment allez-vous répondre aux inquiétudes de certains parents et faire face aux désinformations mortifères de certains groupuscules ? Pouvez-vous nous préciser si le vaccin contre le HPV sera remboursé pour les garçons ? Ne pensez-vous pas que son ajout à la liste des onze vaccins obligatoires est enfin nécessaire ?

     

    Réponse du Secrétariat d'État auprès de la ministre des solidarités et de la santé

    publiée dans le JO Sénat du 19/12/2019 p. 21960

     

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  • Rougeole : vaccination (20 février 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 13 février 2018 sur le site Santé publique (cliquer ici pour accéder au site Santé publique)

    http://www.santepubliquefrance.fr/Accueil-Presse/Tous-les-communiques/Recrudescence-des-cas-de-rougeole-la-vaccination-est-la-meilleure-protection.html

    Recrudescence des cas de rougeole : la vaccination est la meilleure protection

    Depuis le 1er novembre 2017, 387 cas de rougeole ayant entraîné 1 décès et 83 hospitalisations, dont 6 en services de réanimation, ont été déclarés en France. En effet, plusieurs foyers épidémiques ont été identifiés sur l’ensemble du territoire, principalement en Nouvelle-Aquitaine, chez des personnes non immunisées contre cette maladie. Afin de limiter le risque de propagation de l’épidémie, la Direction générale de la Santé et Santé publique France rappellent que la vaccination est le moyen le plus efficace de se protéger contre la rougeole.

    La rougeole est une maladie infectieuse très contagieuse. Une personne contaminée peut infecter 15 à 20 personnes en cas de couverture vaccinale insuffisante dans l’entourage. Or, cette maladie peut présenter des formes sévères (insuffisance respiratoire, complications neurologiques parfois irréversibles) nécessitant une hospitalisation et pouvant conduire au décès du patient dans les cas les plus graves. Entre 2008 et 2017, 33 cas d’encéphalite et 20 décès suite à une rougeole ont été recensés en France par Santé publique France.

    Lorsqu’un foyer épidémique de rougeole est identifié, les investigations épidémiologiques mettent en évidence une absence de vaccination, ou une vaccination incomplète, chez la grande majorité des personnes infectées.

    Tous les enfants et jeunes adultes devraient être vaccinés contre la rougeole. C’est une vaccination très efficace qui protège de la maladie dans près de 100% des cas après 2 doses de vaccin. C’est pourquoi, depuis le 1er janvier 2018, la vaccination contre la rougeole fait partie des 11 vaccinations obligatoires chez les enfants.

    La Direction générale de la Santé invite toutes les personnes non vaccinées ou qui auraient des doutes concernant leur statut vaccinal à consulter dès à présent leur médecin traitant pour une éventuelle mise à jour de leurs vaccinations.

    En milieu de soins, les professionnels de santé dont les antécédents de vaccination ou de rougeole sont incertains, sont également invités à mettre à jour leur vaccination pour éviter la propagation de cette maladie et protéger les patients les plus fragiles.

    La commission technique des vaccinations de la Haute Autorité de Santé recommande par ailleurs de vacciner les personnes de plus de 6 mois, ayant été en contact avec un malade atteint de la rougeole, dans les 72 heures qui suivent le contact afin de prévenir le risque de contagion.

    Plus d'information sur la vaccination et la maladie : http://www.vaccination-info-service.fr/

  • Vaccination : 8 vaccins supplémentaires bientôt obligatoires (28 09 2017)

    Nous proposons cette fiche pratique publiée sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11852.html

    Vaccination : 8 vaccins supplémentaires bientôt obligatoires

    Publié le 06 juillet 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    À partir de 2018, 8 vaccins supplémentaires devraient être rendus obligatoires pour les enfants de moins de 2 ans. Un texte de loi sera présenté en ce sens au Parlement. C'est ce qu'a annoncé le ministère des Solidarités et de la Santé mercredi 5 juillet 2017.

    Les vaccins qui deviendraient obligatoires (et qui sont, à ce jour, recommandés pour la petite enfance) seraient les 8 vaccins contre :

    • l'haemophilius influenzae B (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites),
    • la coqueluche ;
    • l'hépatite B ;
    • la rougeole ;
    • les oreillons ;
    • la rubéole ;
    • le méningocoque C (bactérie provoquant des méningites) ;
    • le pneumocoque (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites).

      Rappel :

    Actuellement, les seules vaccinations obligatoires sont celles contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP).

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de la santé

  • Grippe saisonnière : vaccination (22 10 2016)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 7 octobre 2016 sur le site de Santé Publique France (cliquer ici pour accéder au site Santé publique)

    http://www.santepubliquefrance.fr/Actualites/Lancement-de-la-campagne-de-vaccination-contre-la-grippe-saisonniere?html

    Chaque hiver, la grippe saisonnière touche en moyenne 2,5 millions de personnes en France. Afin d’inciter les personnes à risque à se faire vacciner contre la grippe, une nouvelle campagne de vaccination se déroule du 6 octobre 2016 au 31 janvier 2017.

    A cette occasion, 11 millions de personnes à risque reçoivent un bon de prise en charge de l’Assurance maladie afin de les inciter à se faire vacciner en retirant gratuitement le vaccin en pharmacie. Le vaccin grippal demeure le moyen le plus sûr et le plus efficace pour protéger les personnes les plus à risque. Moins d’une personne sur deux pour lesquelles la grippe représente un danger est vaccinée.

    Bilan de la saison 2015-2016

    La saison hivernale a été marquée en France métropolitaine par une épidémie de grippe tardive, longue mais d’ampleur et de gravité modérées.

    Près de 3 000 hospitalisations ont été rapportées par les services d’urgence. 48,3 % des personnes invitées à se faire vacciner ont eu recours au vaccin grippal, soit une hausse de 2,2 points en un an. Malgré ce taux qui remonte, la couverture vaccinale reste encore largement insuffisante.
    L’épidémie a duré 11 semaines au lieu des 9 observées en moyenne. Au total, 2,3 millions de personnes ont consulté pour syndrome grippal, dont 42 % étaient des enfants de moins de 15 ans. 1 109 cas graves de grippe ont été signalés à Santé publique France par les services de réanimation en France métropolitaine.

    Comment s’organise la surveillance de la grippe en France ?

    Santé publique France coordonne la surveillance de la grippe en France. L’agence analyse chaque semaine, tant au niveau national que régional, les données issues de son réseau de partenaires. Elle publie les indicateurs résultant de l’analyse de ces données dans un bulletin mis en ligne chaque semaine du mois d’octobre au mois d’avril. Le 1er bulletin sera publié semaine 41.

    « Grippe : pour éviter l’hospitalisation, passez à la vaccination »

    Cette année, l’Assurance maladie reconduit le slogan de l’an dernier car l’épidémie de grippe 2015-2016, pourtant plus modérée que la précédente, a entraîné un nombre d’hospitalisation élevé. 
    La campagne d’information grand public est à nouveau déployée en télévision afin de toucher le plus grand nombre. Elle sera diffusée du 7 au 28 octobre sur les chaînes du groupe France Télévisions. 
    Pour compléter les messages de prévention présents dans les spots tv, des articles complets et pédagogiques seront publiés dans la presse quotidienne régionale et ce, afin que chacun puisse prendre une décision éclairée en matière de vaccination antigrippale.

    Par ailleurs, chacun pourra soutenir la mobilisation en relayant sur twitter sa volonté de faire barrage au virus de la grippe par le biais du hashtag #lagrippejedisnon.

    En savoir plus :

    Rappels sur la grippe

    La grippe est une infection respiratoire qui peut entraîner chez les personnes à risque des complications graves, telles qu’une pneumonie ou l’aggravation d’une maladie chronique déjà existante (diabète, insuffisance cardiaque ou respiratoire, etc.). La campagne de vaccination antigrippale a pour objectif de protéger des populations pour lesquelles la grippe représente un risque pour leur santé.

    Le vaccin grippal est recommandé, par le Haut conseil de la santé publique, pour toutes les personnes de 65 ans et plus et pour certaines catégories de personnes considérées comme fragiles. C’est le cas des patients souffrant de certaines pathologies chroniques (affections respiratoires, cardiovasculaires, diabète, etc.), des femmes enceintes pour se protéger elles-mêmes mais aussi pour protéger leurs nourrissons, et des personnes en situation d’obésité morbide ainsi que l’entourage familial des nourrissons âgés de moins de 6 mois présentant des facteurs de risque graves.