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retraiteshospitaliers64 - Page 305

  • Produits alimentaires : dates limites (14 10 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 18 septembre 2019 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13581?xtor=EPR-100.html

    Date limite de consommation des produits alimentaires : peut-on les dépasser ?

    Publié le 18 septembre 2019 - Direction de l'information légale et administrative (1er ministre)

    Sur les produits alimentaires préemballés que vous achetez, vous pouvez lire une date limite de consommation (DLC) ou une date de durabilité minimale (DDM). Mais, pour éviter tout risque d'intoxication, quelles sont les différences à connaître entre DLC et DDM ?

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  • Grand Prix du Maire de Champignac (23/54) (13 10 2019)

    Après les séries précédentes (2005 à 2012), nous reprenons avec humilité et gourmandise, la publication d’extraits (4 par dimanche, pour ne pas dépasser la dose prescrite) d’articles ou de déclarations en politique, sports, loisirs ou société dont l’humour involontaire fleurit grâce à l’académie suisse du Grand Prix de Champignac dans son palmarès de 2013 à 2018 (cliquer ici pour accéder au site du Grand Prix de Champignac)

    http://www.distinction.ch/LD.Champignac/LD.Champignac.html

     

    Grand prix du maire de Champignac (2015)

    .../...

     

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  • Rappel de produits (mise à jour du 11 10 2019) (12 10 2019)

     

    Comme chaque samedi, nous proposons ici la liste des avis publiés dernièrement (semaines n et n-1) sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site de la DGCCRF)

    https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/securite/avis-rappels-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

     

    • Avis de rappel de Gants de bricolage et manutention de marque DEXTER 10 octobre 2019
    • Nom du produit :Gants de bricolage et manutention en cuir jaune - Tailles 8 et 10
    • Marque : DEXTER
    • Référence : 930529 (taille 8) 930528 (taille 10)
    • Code barres :3276009965122 (taille 8) – 3276009965115 (taille 10)
    • Risque : Lésion / corrosion cutanée
    • Commentaire :merci de ne pas utiliser ces gants et de les ramener en magasin

     

    • Avis de rappel de Boisson Chupa Chups Fraise 10 octobre 2019
    • Nom du produit : Boisson Chupa Chups Fraise
    • Marque : Chupa Chups
    • Risque : Boisson en canette contenant du lait non mentionné sur l'étiquetage. Les personnes allergiques ne doivent pas consommer cette boisson et doivent la rapporter au point de vente.

     

    Nom du produit : Banku mix

    Marque : Praise

    Référence : Banku-Mix  1 kg

    Lots :   B180222 (DDM : 02/2020)      B180326 (DDM : 03/2020)

    Risque : Présence de mycotoxines à des teneurs supérieurs aux limites règlementaires.

    Commentaire : Les détenteurs de ces produits sont priés de ne pas les consommer et de les ramener dans leur magasin d’achat.

     

     

    • Avis de rappel de Sweet pups surprise de marque SPLASH TOYS 09 octobre 2019
    • Nom du produit : Sweet pups surprise – peluche chien transformable , réversible sous forme de viennoiserie
    • Marque : SPLASH TOYS Référence : 30837     Lot : PT82811296
    • Code barres : 3700514308377
    • Risque :Suffocation (accès au rembourrage fibreux).
    • Commentaire : Merci de ne plus utiliser ce jouet et de le ramener en magasin.

     

    • Avis de rappel de 5 ustensiles de cuisine de marque URBAN LIVING 09 octobre 2019
    • Nom du produit : Ustensils de cuisine 5 pcs
    • Marque : URBAN LIVING Code à barres : 5 414 883 005659
    • Risque :Migration spécifique en amines aromatiques primaires dans les aliments supérieure  à la limite règlementaire.
    • Commentaire : Les détenteurs de ces produits sont priés de cesser de les utiliser et de les ramener dans leur magasin d’achat

     

    • Avis de rappel des assiettes de diamètre 24 cm « AGADIR » 09 octobre 2019
    • Nom du produit :assiettes de diamètre 24 cm « AGADIR »
    • Marque :Vendu dans les enseignes TATI
    • Référence :assiette  plate D 24 cm     Code-barre :  3534548921567
    • Risque :Présence de cobalt à un taux supérieur à la limite règlementaire. Présente un risque pour la santé.
    • Commentaire :Les détenteurs de ce produit sont priés de ne plus les utiliser et de les rapporter dans leur magasin d’achat

     

    Nom du produit : POP CORN

    Marques :

    • Toy Story 4 Sweet & Salt Popcorn
    • LOL Surprise Sweet & Salted Popcorn

    Paquets de 25g vendus en magasins Primark

    Lot : Toutes les DDM entre le 23/08/2019 et le 23/02/2020

    Risque : Ces produits font l'objet d'un rappel en raison de la présence de protéines de lait (allergènes) non mentionnées sur l’étiquetage. Ces produits représentent un risque possible pour la santé de toute personne allergique au lait.

     

    Liste des Rappels de la semaine précédente

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  • Diabète (11 10 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 19 septembre 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190510348.html

    Question écrite n° 10348 de M. Maurice Antiste (sénateur de la Martinique)

    Maurice Antiste appelle l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la progression de la maladie du diabète, notamment en France et dans ses territoires d'Outre-mer.


    Quatrième cause de mortalité en Europe, le diabète touche 415 millions de personnes dans le monde d'après la fédération internationale du diabète. Celle-ci qualifie le phénomène de véritable pandémie et la lutte contre cette pathologie constitue un véritable enjeu de société et de santé publique. Car sa progression est considérable, et l'OMS prévoit 622 millions de diabétiques d'ici 2040.


    Le diabète est également à l'origine du décès d'1,5 million de personnes dans le monde, dont 34 000 en France. Ce nombre ne cesse d'ailleurs d'augmenter chaque année : la progression de cette pathologie était de l'ordre de 2,8 % entre 2014 et 2015. Aujourd'hui, près de quatre millions de personnes en France sont touchées : si 5,4 % de la population sont traités pharmacologiquement pour un diabète, (ce qui équivaut à 3,7 millions de personnes), 500 000 à 800 000 diabétiques s'ignorent.

    À la Martinique le nombre de diabétiques est d'environ 40 000, et chaque année les services de santé enregistrent 1 200 nouveaux cas. La prévalence du diabète traité, de l'ordre de 7,4 % en population générale, est deux fois plus élevée que la moyenne nationale. La Martinique est par conséquent, avec la Guadeloupe, le département français où le problème du surpoids et de l'obésité est le plus aigu. Ils ne sont pas à considérer seulement sur le plan esthétique, mais ils peuvent aussi être source de sérieuses répercussions sur la santé et sur l'avenir des personnes.


    Ainsi, Santé publique France, agence nationale de santé publique, a démontré dans « un bulletin épidémiologique hebdomadaire, consacré principalement au diabète de type 1 de l'enfant », que dans les Antilles françaises, les enfants sont particulièrement atteints. C'est notamment le cas de la Réunion et de la Martinique. Même si ces deux régions ne dépassent pas le taux national (de 18 % pour 100 000 habitants), elles s'en rapprochent dangereusement. Ainsi, la Martinique compte 17,8 % d'enfants diabétiques pour 100 000 habitants et La Réunion 14 % pour 100 000 habitants. En Guadeloupe et en Guyane, les chiffres sont moins élevés (respectivement 12,2 et 3,6 %) mais la situation n'en demeure pas moins préoccupante, Santé Publique France jugeant que le nombre de cas de diabètes (aussi bien nouveau qu'ancien) est « toujours plus élevé ».


    Enfin, le diabète entraîne bien souvent de graves complications : en France, 11 737 diabétiques ont été hospitalisés pour un infarctus du myocarde (soit 2,2 fois plus que chez les non-diabétiques), plus de 20 493 personnes ont été hospitalisées pour une plaie du pied (soit cinq fois plus que chez les non-diabétiques), dont 9 000 pour une amputation d'un membre inférieur (neuf fois plus que chez les non-diabétiques). D'ailleurs, l'agence régionale de santé relève que les complications (liées à cette pathologie) sont particulièrement graves et fréquentes en Martinique (insuffisance rénale, amputation des membres inférieurs, cécité, etc.) et la mortalité prématurée par diabète touche plus souvent les hommes. Le diabète constitue à ce titre la première cause d'amputation. En outre, le risque d'accident vasculaire cérébral imposant une hospitalisation est 1,6 fois plus élevé pour les diabétiques que pour les non-diabétiques.


    Aussi, il lui demande de bien vouloir lui préciser les mesures envisagées par le Gouvernement afin de lutter efficacement contre le diabète, et plus spécifiquement les actions qui seront menées pour endiguer ce fléau en outre-mer.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 19/09/2019 p. 4805

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  • Agriculture française (10 10 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 24 juillet 2019 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

     

    https://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/agriculture-francaise-indicateurs-alarmants.html#xtor=EPR-56.html

    Agriculture française : des indicateurs alarmants ?

    le 24 juillet 2019

    Stagnation de la production, réduction du nombre d’agriculteurs et des terres agricoles, perte de parts de marchés, la France, puissance agricole, serait-elle sur le point de perdre son rang au niveau mondial ?

    Un rapport du Sénat, publié fin mai 2019, s’interroge sur l’évolution de l’agriculture française et s’inquiète de la part croissante des produits agricoles importés.

    Un excédent commercial agricole divisé par deux entre 2011 et 2017

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  • Aide à domicile : revalorisation (09 10 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 19 septembre 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190912168.html 

    Question écrite n° 12168 de M. Cyril Pellevat (sénateur de Haute-Savoie)

    Cyril Pellevat attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la profession d'aide à domicile.


    Avec le vieillissement de la population, le maintien à domicile constitue une des solutions inévitables pour les personnes dépendantes les plus âgées, mais en France, il est difficile de trouver du personnel qualifié pour s'occuper des personnes en perte d'autonomie.


    La profession d'aide à domicile est une activité professionnelle actuellement peu valorisée que ce soit financièrement et moralement. Il s'agit d'un métier lié aux soins et pour lequel, l'aide aux plus fragiles est une vocation qui permet notamment de surmonter les difficultés d'une telle profession. S'occuper de personnes dépendantes, c'est ″être leurs bras, leurs jambes et leurs têtes″ confiait récemment une aide à domicile du département de Haute-Savoie.


    Le soutien moral est primordial et il faut tout mettre en œuvre pour que ces personnes qui exercent ce métier difficile soient soutenues et écoutées tout au long de leur parcours professionnel.


    Il faut également mesurer la difficulté financière dans laquelle se trouvent ces professionnels. En effet, avec des salaires bas, les aides à domicile sont à peine indemnisées pour les déplacements, qui leur prennent beaucoup de temps sur leur amplitude horaire de travail, les contraignant parfois à travailler six jours sur sept.


    De plus, leur qualification professionnelle d'aide à domicile peut prêter aujourd'hui à confusion. Bien qu'ayant reçu un diplôme d'État, elles ne sont ni aides-soignantes, dont les services sont pris en charge par la Sécurité sociale et dont la formation comprend des connaissances médicales, ni aides-ménagères. Et pourtant de nombreuses personnes les emploient pour ces services.


    Il lui demande ce qu'elle entend faire pour clarifier et revaloriser le métier d'aide à domicile afin qu'il soit ainsi mieux connu et reconnu.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 19/09/2019 p. 4808

     

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