Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

autonomie / dépendance - Page 10

  • Domicile partagé pour personnes âgées (22 08 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 8 août 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190610697.html

    Question écrite n° 10697 de M. Olivier Cigolotti (sénateur de Haute-Loire)

    Olivier Cigolotti attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la notion de « domicile partagé » notamment pour les personnes âgées.

     
    Certaines maisons accueillent des colocataires qui partagent leur domicile et mutualisent les moyens. Chacun dispose de sa propre chambre, le reste de la maison est commun. Il n'y a pas de cuisine dans les chambres privatives, des espaces partagés permettent de cuisiner, de prendre des repas en commun, de créer du lien social et de la solidarité. Un bail de location meublé est signé par chaque colocataire.

     
    Ces structures ne sont ni des établissements, ni des résidences seniors, ni des foyers logements, mais bien des domiciles partagés.

     
    Des sociétés extérieures de service à la personne prennent en charge la vie quotidienne : la préparation des repas, la gestion du linge et des courses, le ménage et proposent une assistance administrative simple.

     
    Ce concept répond à un vrai enjeu sociétal en proposant une alternative positive à l'entrée en établissement. Ce modèle économique permet la création, notamment en milieu rural, de plusieurs emplois à temps plein ou partiel. Le coût pour les personnes âgées reste raisonnable, en prenant en compte la déduction fiscale qu'apporte le service à la personne.

     
    Ce prix serait considérablement augmenté si un agrément n'était pas fourni. Cependant, certaines structures ont des difficultés actuellement pour clarifier la notion de « domicile partagé » afin de correspondre aux attentes de leur direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (DIRECCTE) en ce qui concerne le service à la personne.

     
    En effet, l'agrément délivré par la DIRECCTE pour les prestations à domicile permet une réduction d'impôts de 50 % pour les personnes âgées, ce qui est important pour rester dans des gammes de prix accessibles aux petites retraites.

     
    L'intervention d'un service à la personne, défiscalisable à 50%, doit être réalisée au domicile de la personne. L'article 8.2 de la circulaire sur les services à la personne (SAP) du 11 avril 2019 met en garde sur les parties collectives des copropriétés, résidences services et résidences autonomie. Cependant, certaines structures ne correspondent pas à ce cadre.

     
    Il lui demande une clarification du terme « domicile partagé » afin que les structures qui le souhaitent puissent répondre au plus vite aux exigences requises.

     

    Réponse du Ministère de l'économie et des finances publiée dans le JO Sénat du 08/08/2019 p. 4228

    Lire la suite

  • Service CESU + (17 06 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 3 juin 2019 sur le site du Chèque Emploi Service Universel (cliquer ici pour accéder au site du CESU)

    https://www.cesu.urssaf.fr/info/accueil/question-du-moment/quels-sont-les-avantages-du-serv.html

    Quels sont les avantages du service Cesu + ?

    03/06/2019

    Plus simple, plus clair, plus rapide, à compter de la fin du mois de juin, le nouveau service Cesu+ vous permettra de confier au Cesu l’intégralité du processus de rémunération de votre salarié. Avec l’accord de celui-ci, vous pourrez activer cette option accessible depuis votre compte en ligne.

    Pour bénéficier des avantages du service Cesu+, en tant qu’employeur vous devez :

    Lire la suite

  • EHPAD : réduction d’impôt  (20 05 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 13 mai 2019 sur le site du ministère de l’économie (cliquer ici pour accéder au site du ministère de l’économie)

    https://www.economie.gouv.fr/particuliers/personnes-agees-reduction-impot-ehpad?xtor=ES-39-[BI_121_20190514]-20190514-[https://www.economie.gouv.fr/particuliers/personnes-agees-reduction-impot-ehpad]-472132.html 

    Personnes âgées : quelles réductions d'impôt en établissement d'hébergement ?

    Les personnes âgées hébergées en structure médicalisée, qui sont imposées fiscalement, peuvent bénéficier d’une réduction d’impôt.

    Quelles conditions pour bénéficier de la réduction d'impôt pour dépenses de dépendance ?

     

    Lire la suite

  • Espérance de vie en bonne santé (08 04 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 15 octobre 2018 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

     

    https://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/esperance-vie-bonne-sante-64-9-ans-pour-femmes-62-6-pour-hommes.html

     

    Espérance de vie en bonne santé : 64,9 ans pour les femmes 62,6 pour les hommes

    La Drees publie une étude sur l’espérance de vie en bonne santé en 2017. L’espérance de vie en bonne santé à la naissance désigne le nombre d’années que peut espérer vivre une personne sans limitations d’activités dans sa vie quotidienne et sans incapacités.

    Une évolution différenciée entre femmes et hommes

    En 2017, l’espérance de vie en bonne santé est de 64,9 ans pour les femmes. Entre 2016 et 2017, cet indicateur progresse de 0,8 an, tandis que l’espérance de vie à la naissance reste stable (85,3 ans).

    En revanche, pour les hommes, l’espérance de vie en bonne santé recule de 0,1 an pour atteindre 62,6 ans et, dans le même temps, leur espérance de vie à la naissance a progressé, passant de 79,3 ans à 79,5 ans.

    Chez les personnes de 65 ans, le constat est le même. Les femmes de 65 ans ont une espérance de vie en bonne santé de 10,8 ans, les hommes de 65 ans de 9,2 ans.

    Depuis 2012, l’espérance de vie en bonne santé est restée stable chez les hommes, elle a progressé chez les femmes.

    Une évolution dans la moyenne européenne

    Au sein de l’Union européenne à 28, l’espérance de vie à la naissance s’établit pour les hommes à 78,2 ans et à 83,6 ans pour les femmes.

    Pour l’espérance de vie en bonne santé, la moyenne européenne s’établit à 64,2 ans pour les femmes et 63,5 ans pour les hommes.

    Sur la toile publique

  • Handicapés et aidants (16 01 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette synthèse d’un rapport sur les Personnes Handicapées et les Aidants de Madame Dominique Gillot, remis en juin 2018 et publié sur le site de la Documentation Française sur le site du ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site de la Documentation Française)

    https://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/184000388-personnes-handicapees-securiser-les-parcours-cultiver-les-competences-tome-i?xtor=EPR-526.html

    Cliquer ci-dessous pour accéder au texte intégral du rapport (209 pages)

    https://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/184000388.pdf

    Faciliter l’accès et le maintien dans l’emploi des travailleurs handicapés en milieu ordinaire constitue une priorité du gouvernement rappelée lors du comité interministériel du handicap (CIH) du 20 septembre 2017. Cet objectif n’est pas nouveau mais reste d’actualité au regard de la situation des personnes handicapées sur le marché du travail.

    Des moyens significatifs sont mis en œuvre pour faciliter l’accès et le maintien en emploi des personnes handicapées. Sur le plan juridique, l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés (OETH) s’impose aux entreprises et aux administrations publiques d’au moins 20 salariés à hauteur de 6% de leurs effectifs. Au principe général de non-discrimination, s’ajoute pour les employeurs une obligation, sous certaines conditions, « d’aménagement raisonnable » du poste de travail. Par ailleurs, de multiples réseaux d’acteurs institutionnels sont mobilisés dans les champs de l’accès et du maintien en emploi, qui représentent des enjeux financiers conséquents. Aux acteurs de droit commun des politiques de l’emploi et de la formation professionnelle s’ajoutent des acteurs spécifiques qui interviennent notamment dans le champ médico-social, (Etablissement et service d’aide par le travail ou ESAT, établissements du secteur de la réadaptation professionnelle - Centres de pré-orientation (CPO) et centres de rééducation professionnelle (CRP) et Unités d’Evaluation, de réentrainement et d’Orientation Sociale et/ou Professionnelle (UEROS)). Deux fonds dédiés, l’Agefiph et le FIPHFP (Fond pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique), interviennent spécifiquement pour faciliter l’insertion professionnelle des personnes handicapées avec des offres de services mobilisant un grand nombre d’opérateurs et de prestataires externes.

    Pour autant, les personnes handicapées connaissent toujours des difficultés majeures à accéder à l’emploi durable. Leur taux d’inactivité (57%) comme leur taux de chômage (19%) sont presque deux fois plus élevés que ceux de la population dans son ensemble. Les demandeurs d’emploi handicapés, nettement plus âgés et moins qualifiés que l’ensemble des demandeurs d’emploi, restent plus longtemps au chômage - près d’un quart d’entre eux sont inscrits à Pôle emploi depuis plus de trois ans. Les personnes handicapées, lorsqu’elles sont en activité, sont plus souvent en sous-emploi et sont vraisemblablement surreprésentées dans les licenciements pour inaptitude.

    Ces constats interrogent d’une part sur la manière dont les moyens et les offres de services de droit commun ou spécifiques sont mobilisés et dont leurs interventions s’articulent dans le parcours professionnel concret des personnes. Ils interrogent d’autre part sur l’adéquation même des réponses apportées par les offres de services actuelles aux besoins réels des personnes, y compris les plus éloignées de l’emploi, dans l’objectif d’une plus forte inclusion dans le « milieu ordinaire » de travail.

    S’agissant du premier point, les parcours professionnels des personnes handicapées restent ainsi marqués par une grande complexité.

     

    Lire la suite

  • EHPAD : situation (09 10 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 27 septembre 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180404189.html

    Question écrite n° 04189 de M. Jean-François Rapin (sénateur du Pas-de-Calais)

    Jean-François Rapin attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur les conditions de travail du personnel soignant exerçant au sein des établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD).

     
    Ces dernières semaines, le personnel soignant s'est mobilisé pour faire entendre son malaise. Infirmiers et aides-soignants investis dans leur travail mais surchargés, difficultés des directions à recruter, multiplication des glissements de tâches, stress quasi-permanent… Le constat est clair : les EHPAD manquent de professionnels pour s'occuper au mieux de leurs résidents, pour qu'ils soient traités avec respect et dignité, par des professionnels de santé encadrés et dont les tâches sont sécurisées et valorisées.

     
    Aussi, alors que la dépendance est un défi majeur pour les décennies à venir, il lui demande ce que compte entreprendre le Gouvernement, dans l'intérêt des professionnels de santé mais également des patients et de leur famille, pour améliorer le taux d'encadrement des personnes âgées, mais aussi pour valoriser les carrières et développer la formation du personnel soignant exerçant en EHPAD.

     
    Sur ce même volet, il l'interroge sur ses intentions, notamment dans les territoires sous-dotés en professionnels de santé, concernant l'évolution des missions du médecin coordonnateur qui agit en lien constant avec les médecins généralistes libéraux qui continuent, quand cela est possible, de veiller à la santé de leurs patients devenus résidents au sein d'un EHPAD.

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 27/09/2018 p. 4932

     

    Lire la suite