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santé - Page 261

  • adolescents : sommeil et dépression (3 janvier 2010)

    manque de sommeil et dépression chez les adolescents

     

    Extraits d’un Article Le Monde-AFP publié le 2 janvier 2010 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au site du Monde)

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/01/02/le-manque-de-sommeil-accroit-le-risque-de-depression-chez-les-adolescents_1286955_3224.html

     

    Le manque de sommeil accroît le risque de dépression et de pensées suicidaires chez les adolescents, selon une étude de l'Université Columbia publiée vendredi aux Etats-Unis dans la revue Sleep.

     

    Selon cette étude menée auprès de 15 659 collégiens et lycéens, le risque de dépression chez des adolescents qui vont se coucher habituellement après minuit est supérieur de 24 % à celui des enfants envoyés au lit avant 22 heures. Ceux qui dorment moins de cinq heures par nuit présentent un risque de dépression 71 % supérieur à ceux qui dorment sept heures. Les couche-tard sont en outre plus nombreux à avoir des idées suicidaires : 20 % de plus que chez les couche-tôt.

    …/…

  • tabac : images-choc (25 12 2009)

    Dans un an, des images choc sur les paquets de tabac !

    Extraits d’un article publié le 22 décembre 2010 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20091221trib000455194/dans-un-an-des-images-choc-sur-les-paquets-de-tabac-.html

     

     

    Des photos de bouches sévèrement édentées ou de patients en phase terminal de cancer... C'est par ces images choc que de nombreux pays -la Belgique et le Royaume Uni mais aussi le Brésil ou la Thaïlande - luttent contre la tabagie. Et la France a décidé il y a un an d'appliquer à son tour cette stratégie prophylactique. L'arrêté précisant les images retenues, leur taille et l'endroit où elles figureront doit être publié d'ici la fin de l'année.

    …/…

    Il prévoit que ces images choc ne figurent qu'au verso du paquet afin de ne pas être visibles sur le présentoir des buralistes et qu'elles couvrent 42% de la taille du paquet. …/… Le délai serait de 12 mois pour la mise en oeuvre de ces modifications.

  • médecine en milieu rural (22 12 2009)

    Situation inquiétante de la médecine en milieu rural

     

    Question sénatoriale et réponse ministérielle  publiées le 10 novembre 2009 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ090709800&idtable=q218257&_nu=09800&rch=qs&de=20061213&au=20091213&dp=3+ans&radio=dp&aff=sep&tri=da&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.html

     

    Question écrite n° 09800 de M. Alain Fauconnier (sénateur socialiste de l’Aveyron)

     

    M. Alain Fauconnier attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la situation inquiétante de la médecine générale en France, et plus particulièrement en milieu rural où les zones blanches tendent à se développer d'une manière alarmante. Or, non seulement la médecine générale n'attire plus guère les étudiants en médecine, mais encore les derniers à choisir cette voie s'installeront de préférence en ville et non à la campagne.

     

    Les efforts importants consentis par les collectivités locales et territoriales pour les accueillir ne servent à rien puisqu'il y a de moins en moins de médecins généralistes. Il résulte de cette situation que, d'ici peu d'années, après le départ en retraite des praticiens généralistes issus du « baby boom » de l'après guerre, on manquera immanquablement de médecins généralistes en zone rurale.

     

    C'est pourquoi il lui demande en conséquence de bien vouloir lui fait savoir ce que, à long terme, elle entend mettre en œuvre pour rendre plus attractive la profession de médecin généraliste en milieu rural et, à plus court terme, si elle compte, avec sa collègue ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, augmenter le nombre de professeurs de médecine générale qui sont actuellement en sous-effectif, ce qui ne contribue pas moins à l'étiolement d'une filière pourtant indispensable au système de santé.

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  • pollution air intérieur (18 12 2009)

    Pollution de l'air intérieur par certains produits ménagers

     

    Question sénatoriale et réponse ministérielle publiées le 10 décembre 2009 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ090910002&idtable=q218829&_nu=10002&rch=qs&de=20061213&au=20091213&dp=3+ans&radio=dp&aff=sep&tri=da&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.html

     

    Question écrite n° 10002 de M. Roland Courteau (sénateur socialiste de l’Aude)

     

    M. Roland Courteau attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de la mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat sur une récente étude publiée par une association de consommateurs (UFC Que Choisir) qui révèle une longue liste de produits testés (déodorants d'intérieur, nettoyants ménagers, tapis, meubles, moquettes encollées…) dont les émissions de certains composés organiques volatils, induisent une pollution de l'air intérieur.

     

    Ainsi, selon cette même association, « l'air que nous respirons est 5 à 10 fois plus pollué à l'intérieur qu'à l'extérieur ». Il lui fait remarquer que des centaines de substances chimiques, dont le formaldéhyde feraient partie de notre quotidien. Certaines de ces substances pourraient même être particulièrement dangereuses, selon plusieurs études conduites par d'autres organismes, comme l'observatoire de la qualité de l'air.

     
    Il lui indique, qu'il est notamment réclamé l'interdiction des substances les plus dangereuses, ainsi qu'un étiquetage sur la composition et les substances émises par les produits, afin de permettre aux consommateurs de sélectionner les produits les moins nocifs…

    Il lui demande donc de bien vouloir lui faire connaître s'il est dans ses intentions de prendre en compte les inquiétudes, de plus en plus fortes, des consommateurs par le renforcement d'une réglementation considérée, justement, comme quelque peu lacunaire.

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  • grippe H1N1 : vaccination (13 12 2009)

    Vaccination contre le virus H1N1

     

    Question sénatoriale et réponse ministérielle publiées sur le site du Sénat le 27 novembre 2009 (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ09110410G&idtable=q221922|q221844&&rch=qs&de=20091115&au=20091210&dp=3+ans&radio=deau&aff=ar&tri=da&off=20&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.html

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0410G de M. Jean-Claude Etienne (sénateur UMP de la Marne)

     

    Nos concitoyens se posent beaucoup de questions à propos de la grippe A/H1N1. Faut-il ou non se faire vacciner ? À mon avis, il n'y a pas à hésiter. Quoi qu'il en soit, les cas de grippe amenant à consulter un médecin généraliste viennent d'augmenter de 50 % en quatre jours.

    Nous assistons à une hausse exponentielle de l'affluence dans les centres de vaccination que vous avez fort heureusement mis en place, madame la ministre. La fréquentation dans les douze centres parisiens est ainsi passée de 1 000 à 3 000 personnes par jour depuis vendredi dernier.

    On peut, dès maintenant, s'interroger sur l'encombrement qui pourrait se produire dans quinze jours si l'afflux – comme on le souhaite d'ailleurs – des candidats à la vaccination continue d'augmenter. Déjà, des files d'attente commencent à apparaître et les personnels tant administratifs que soignants risquent d'être débordés. Nous allons notamment manquer de médecins. Les internes et les externes des services hospitaliers, relayant religieusement votre message « lavez-vous les mains souvent », qu'ils complètent, en facétieux carabins qu'ils sont, par « embrassez-vous seulement si vous ne pouvez pas faire autrement » se sont tous portés volontaires dans ma région, en Champagne-Ardenne, à l'incitation du conseil de gestion de la faculté, pour venir étoffer l'équipe médicale présente dans les centres de vaccination.

    Ils forment ainsi un renfort considérable de 496 soignants prêts à accueillir la vague de nouveaux candidats à la vaccination. Toutefois, les personnels administratifs n'ont, quant à eux, pas encore été renforcés.

     

    En pratique, que comptez-vous faire, madame la ministre, pour éviter que les centres de vaccination ne soient dépassés par l'importance de la demande ?

     

    Comment rassurer nos concitoyens à propos de la mutation virale, qui n'est pas automatiquement suivie d'une aggravation des symptômes, mais peut donner à l'adjuvant une place singulière justifiant la mise en place de deux types de vaccins : l'un avec adjuvant, l'autre sans, au choix du médecin ?

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  • démographie médicale 2030 (08 12 2009)

    La démographie médicale à l’horizon 2030 : de nouvelles projections nationales et régionales détaillées

     

    Extraits (introduction et conclusion) de l’étude de Mmes Ketty ATTAL-TOUBERT et Mélanie VANDERSCHELDEN

    (Dossiers Solidarité et Santé n° 12 2009) lue le 7 décembre 2009 sur le site de la Direction de la Recherche et des Etudes Economiques et Statistiques (cliquer ici pour accéder au site de la DREES)

    http://www.sante.gouv.fr/drees/dossier-solsa/pdf/article200912.pdf

     

    Introduction

    Anticiper longtemps à l’avance les évolutions de la démographie médicale et les mettre en regard des évolutions prévisibles de la population est nécessaire pour favoriser une gestion sans à-coups

    de l’adaptation des effectifs de médecins aux besoins. Cette anticipation est particulièrement nécessaire compte tenu de la longueur des études médicales. Les projections des effectifs de

    médecins à l’horizon de 2030 permettent de dessiner les évolutions futures de la population médicale sous diverses hypothèses.

     

    Selon le scénario tendanciel de référence, à comportements constants, le nombre de médecins actifs se réduirait jusque vers 2020 et la densité médicale serait durablement inférieure à son niveau actuel. La profession rajeunirait et se féminiserait progressivement. Les évolutions des effectifs des différentes spécialités et de médecins dans les régions seraient très contrastées.

     

    Selon les différentes variantes simulées, une unique mesure de régulation ne suffirait pas à répondre aux enjeux à venir. Une augmentation du numerus clausus par exemple, ou un report de deux ans de l’âge de départ à la retraite, permettrait certes de limiter la baisse des effectifs, voire d’accroître transitoirement le nombre de médecins actifs, mais n’aurait pas d’impact sur les déséquilibres entre spécialités ou sur les inégalités régionales.

     

    .../…

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