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santé - Page 261

  • toxicodépendance (2) (08 07 2009)

    La toxicodépendance : législation (1e partie) et dangers (2e partie)

     

    2e partie d’une Fiche technique lue le 6 juillet 2009 sur le site du Ministère de la Justice (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de la Justice)

    http://www.vos-droits.justice.gouv.fr/index.php?rubrique=10062&ssrubrique=10192&article=11143

     

    La toxicodépendance est le fait de ne plus pouvoir se passer d'une substance psychoactive, c'est-à-dire d'une substance ou d'un produit qui agit sur le cerveau et donc sur le comportement de l'individu.

    Si le terme de "drogue" est le plus souvent utilisé pour désigner les produits stupéfiants, il n'en demeure pas moins que peut être qualifié de "drogue", tout produit susceptible de provoquer un état de dépendance psychique, ce qui inclut donc le tabac et l'alcool.

    Quelle que soit la dénomination de ces produits, le législateur, conscient des dangers qu'ils représentent pour le consommateur lui-même et la société en général, a entendu strictement interdire leur usage (stupéfiants) ou en réglementer la consommation (tabac, alcool).

     

    2 ème partie : les dangers (voir 1ere partie publiée le 7 juillet 2009)

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  • toxicodépendance (1) : législation (07 07 2009)

    La toxicodépendance : législation (1e partie) et dangers (2e partie)

    Fiche technique lue le 6 juillet 2009 sur le site du Ministère de la Justice (cliquer ci-dessous pour accéder au site du Ministère de la Justice)

    http://www.vos-droits.justice.gouv.fr/index.php?rubrique=10062&ssrubrique=10192&article=11143

     

    La toxicodépendance est le fait de ne plus pouvoir se passer d'une substance psychoactive, c'est-à-dire d'une substance ou d'un produit qui agit sur le cerveau et donc sur le comportement de l'individu.

    Si le terme de "drogue" est le plus souvent utilisé pour désigner les produits stupéfiants, il n'en demeure pas moins que peut être qualifié de "drogue", tout produit susceptible de provoquer un état de dépendance psychique, ce qui inclut donc le tabac et l'alcool.

    Quelle que soit la dénomination de ces produits, le législateur, conscient des dangers qu'ils représentent pour le consommateur lui-même et la société en général, a entendu strictement interdire leur usage (stupéfiants) ou en réglementer la consommation (tabac, alcool).

    1 ère Partie : La législation en vigueur

     

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  • défibrillateurs (installation) (06 07 2009)

    Défibrillateurs

    Question sénatoriale et réponse ministérielle publiée sur le site du Sénat le 26 juin 2009 (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ09060340G&idtable=q217212|q217213|q217214|q217215|q217216|q217217|q217218|q217219|q217220|q217221&&rch=qs&de=20090615&au=20090703&dp=3+ans&radio=deau&aff=ar&tri=da&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0340G de M. Alex Türk (sénateur non-inscrit du Nord)

    Depuis trois ans, avec ma collègue Sylvie Desmarescaux, nous avons pris l'initiative de développer, dans le département du Nord, un projet d'installation de défibrillateurs cardiaques dans les communes. Nous menons ce projet en liaison avec les maires, et nous fêterons, dans quelques jours, l'installation du millième appareil, dans un territoire qui compte un peu moins de 400 communes.

     
    Vous connaissez cette initiative, madame la ministre, puisque vous êtes venue dans notre département, voilà un an et demi environ, pour lancer le plan de développement de ces appareils dans le milieu sportif.

     
    Si tout se passe bien dans l'ensemble, nous rencontrons cependant deux difficultés.

    Tout d'abord, l'article 1er du décret du 4 mai 2007, qui libéralise l'usage du défibrillateur, n'est pas encore totalement appliqué, notamment s'agissant de deux dispositions très importantes.

    La première concerne la localisation en amont des appareils, qui permet aux pompiers et aux services de secours du SAMU, dans les situations d'urgence, de gagner un temps précieux en se rendant directement sur les lieux.

     
    La seconde mesure concerne la collecte des informations sur la survenance de ce type d'accidents et l'usage de l'appareil, ce qui doit permettre aux chercheurs de développer des recherches épidémiologiques afin de mieux comprendre les causes de cette affection, la défibrillation cardiaque, et favoriser la mise en place d'une véritable politique de prévention.

    Aujourd'hui, comme vous le savez, nous nous heurtons à une vraie difficulté puisque le dispositif n'est pas encore en place. Ce sont à la fois la bonne volonté du SAMU et de nos permanences parlementaires, celle de Sylvie Desmarescaux et la mienne, qui permettent d'assurer la centralisation de manière artisanale. Il est donc urgent de mettre en application ce dispositif.

    Se pose ensuite le problème de la signalisation. Alors que, dans une situation d'urgence, chacun peut facilement reconnaître un extincteur, car cet appareil bénéficie d'une signalétique uniforme, ce n'est pas le cas pour les défibrillateurs cardiaques qui, dans notre département, arborent des couleurs – rouge, vert, jaune, etc – et des symboles divers.

     
    Il faut donc absolument uniformiser cette signalétique, probablement sur le plan européen, afin de faire naître des réflexes civiques. Je vous rappelle que, grâce à ce dispositif, nous avons déjà sauvé plusieurs personnes dans le Nord. Il serait intéressant de réfléchir à une généralisation de ce système.

     

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  • risques solaires (29 06 2009)

    Risques solaires : profiter du soleil en toute sécurité

    Note publiée le 22 juin 2009 sur le site de l’I NPES (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/

    Si le soleil est indispensable à la vie et à la santé, il peut aussi entraîner des dommages graves voire irréversibles. À la plage, à la montagne ou même en ville, nous sommes tous exposés au rayonnement solaire : certains gestes de prévention, très simples à mettre en œuvre, permettent de profiter des beaux jours en toute sécurité.

    Pour présenter les risques solaires et les moyens de s’en protéger, l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) met en place un nouveau dispositif d’information, qui comprend notamment une nouvelle brochure intitulée « Risques solaires, ce qu’il faut savoir pour que le soleil reste un plaisir » et un site internet.

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  • di-antalvic : retrait (28 06 2009)

    Dextropropoxyphène + paracétamol (Di-Antalvic° ou autre ) : retrait enfin annoncé en France

     

    Article publié le 26 juin 2009 sur le site de la revue Prescrire (cliquer ici pour accéder au site de Prescrire)

    http://prescrire.org/aLaUne/dossierDextropropoxypheneEMEA.php

     

    L’agence européenne du médicament (EMEA) se résout enfin à recommander le retrait du marché de l'association dextropropoxyphène + paracétamol (Di-Antalvic° ou autre). La France a attendu cette recommandation pour décider ce retrait (NDLR : progressif sur 1 an), contrairement à d’autres pays européens qui l’avaient déjà effectué. Il reste aux soignants à informer les patients qu'en réalité cette association est trop dangereuse par rapport à ses bénéfices, et qu’elle peut être remplacée utilement par d'autres antalgiques, à commencer par le paracétamol, seul, ou, si besoin, associé à la codéine.

     

    Les risques mortels liés à l'association antalgique dextropropoxyphène + paracétamol (Di-Antalvic° ou autre) sont connus depuis longtemps, et son absence d'intérêt thérapeutique par rapport au paracétamol seul, aussi.     ../..

     

    Avis aux lecteurs du blog :

    Depuis le mois de mai 2009, conformément à la nouvelle loi sur la propriété intellectuelle sur Internet, nous poursuivrons notre travail de détection et d’information pour les retraités et personnes âgées en publiant  désormais :

    -          des extraits d’articles intéressants tirés de journaux et revues (extraits avec renvoi par lien au texte intégral sur les sites originels) ; à noter que ces articles deviennent parfois archives payantes en quelques jours) ;

    -  des textes complets de notes, documents émanant d’organismes publics (ministères, administrations, sénat, assurance maladie, assurance vieillesse,…) ou associatifs.

    Lien permanent Catégories : santé
  • les antennes-relais (27 06 2009)

    Les Antennes-relais

     

    Question sénatoriale et réponse ministérielle lues le 23 juin 2009 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ09060328G&idtable=q216694|q216695|q216696|q216697|q216698|q216699|q216700&&rch=qs&de=20090601&au=20090620&dp=3+ans&radio=deau&aff=ar&tri=da&off=10&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0328G de M. Louis Nègre (sénateur UMP des Alpes-Maritimes)

     

    Madame la secrétaire d'État, vous n'ignorez pas les inquiétudes exprimées par la population concernant les effets sur la santé des installations de téléphonie mobile, qu'il s'agisse des antennes ou des téléphones portables.

      
    Pour débloquer la situation, un premier pas très important a été franchi par le Gouvernement avec la réunion d'une table ronde intitulée « radiofréquences, santé et environnement ».


    Parmi les dix orientations retenues à la suite de cette table ronde figure un « suivi raisonné » des seuils d'exposition.

     
    À cet égard, vous avez indiqué que le Gouvernement était prêt à procéder à des modélisations et, le cas échéant, à des « expérimentations des conséquences d'une modification des différents référentiels de seuils […] afin d'en évaluer l'impact sur la couverture du territoire, la qualité du service et le nombre d'antennes ». C'est une première avancée, qui fait bouger les lignes.
     
    Toutefois, je souhaiterais que vous alliez bien au-delà de ces modélisations, en vous engageant fermement à conduire des expérimentations de référentiels de seuils à l'échelon national, en grandeur réelle, sur le terrain. La ville de Cagnes-sur-Mer, dont je suis le maire, se porte volontaire.

    Cette démarche aurait un double objectif : maintenir une excellente qualité de service et de couverture sur l'ensemble du territoire et mettre en application le principe « as low as reasonnably achievable », dit principe Alara, expression que l'on peut traduire en français par « aussi faible que raisonnablement possible ». Cela confirmerait la volonté du Gouvernement de s'inscrire dans une perspective d'efficacité, sans doute, mais également de précaution.

     

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