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santé - Page 258

  • médicaments : dépenses (24 09 2009)

    Médicaments : pourquoi les dépenses vont rester sages

     

    Extraits d’un article de M. Vincent Collen publié le 18 septembre 2009 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

     

    http://www.lesechos.fr/info/france/020140489086.htm?xtor=EPR-1004-[RH]-20090918.html

     

    L'assurance-maladie prévoit une progression limitée à 3 % au cours des prochaines années. Quelque 9.300 médecins ont signé des contrats par lesquels ils s'engagent à limiter leurs prescriptions.

     

    La croissance des dépenses de médicaments a fortement ralenti ces dernières années et elle devrait rester sous contrôle à l'avenir. « La tendance pour les prochaines années, c'est environ 3 % de croissance annuelle en valeur, hors éventuels déremboursements », a annoncé hier Frédéric Van Roekeghem, le directeur général de l'assurance-maladie (CNAM). Les « innovations majeures » seront « limitées » en 2010-2011 et le développement des génériques se poursuivra. La CNAM attend pour l'an prochain des « copies » bon marché de l'anticoagulant Plavix de Sanofi-Aventis, premier produit par le chiffre d'affaires.

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  • plan psychiatrie (19 09 2009)

    Plan Psychiatrie : point

     

    Question d’un député et réponse ministérielle publiée sur le site de l’Assemblée Nationale le 25 août 2009 (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-44129QE.htm

     

    Question N° : 44129 de  M. Jacquat Denis( député UMP de la Moselle )

     

    M. Denis Jacquat attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur les recommandations exprimées dans le rapport portant sur les missions et l'organisation de la santé mentale et de la psychiatrie. Le rapporteur souligne que le nombre d'hospitalo-universitaires (professeur des universités-praticien hospitalier et chef de clinique en pédopsychiatrie et en psychiatrie) est nettement insuffisant en France et il préconise de prévoir un renforcement de ces effectifs enseignants dans une planification sur le moyen terme, cette situation déficitaire pouvant s'aggraver avec la mise en place progressive de la réforme des formations des paramédicaux. Il la remercie de bien vouloir lui faire connaître son avis à ce sujet.

     

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  • maladie de parkinson : prise en charge

    Maladie de Parkinson : prise en charge

    Question d’un député et réponse ministérielle publiée sur le site de l’Assemblée Nationale le 11 août 2009 (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-45744QE.html

     

    Question N° : 45744 de  M. Reynier Franck ( député UMP de la Drôme)

     

    M. Franck Reynier interroge Mme la ministre de la santé et des sports sur la prévention de la maladie de Parkinson. Il est établi que la prévalence de la maladie de Parkinson est d'environ 0,2 % dans la population générale, mais de 2 % chez les plus de 65 ans, soit un taux de prévalence dix fois supérieur. Il s'agit de la deuxième cause de handicap moteur d'origine neurologique chez le sujet âgé. On estime que 10 à 20 % des cas ne sont pas diagnostiqués, et ne peuvent donc pas être traités. Or seule une prise en charge adaptée permet d'espérer retarder la survenue d'incapacités sévères. D'ailleurs, la loi de santé publique de 2004 place cette prise en charge au coeur de ses objectifs.

     

    Toutefois, la prise en charge de la maladie de Parkinson demeure lourde et complexe. La compréhension de cet enjeu par le grand public reste freinée par plusieurs facteurs : cause mal identifiée, diagnostic difficile, absence de traitement curatif, impact majeur sur la qualité de vie de la personne atteinte et de son entourage familial.

     

    Il serait donc utile d'informer davantage la population sur la prise en charge de cette maladie chronique, notamment sur les questions du parcours de soins adapté et l'accompagnement des personnes. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui faire part des démarches d'information réalisés et à venir du Gouvernement à destination de la population, et en particulier des personnes âgées.

     

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  • diesel et pollution (13 09 2009)

    Véhicules diesel : émission de dioxyde d’azote

    Etude publiée le 1er septembre 2009 sur le site de l’Agence Française de Sécurité Sanitaire de l’Environnement et du Travail (cliquer ici pour accéder au site de l’AFSSET)

    http://www.afsset.fr/index.php?pageid=452&newsid=486&MDLCODE=news.html

     

    Les véhicules diesel sont responsables de niveaux de dioxyde d’azote (NO2) problématiques pour la santé en zone de trafic.

     
    L’Afsset attire l’attention sur le dioxyde d’azote (NO2) émis par les véhicules diesel. Cet irritant respiratoire, typique de la pollution due au trafic routier, n’a pas diminué depuis le milieu des années 90 en situation de proximité au trafic routier et continue de poser des problèmes sanitaires en agglomération (exacerbation de l’asthme, irritations respiratoires…).

    La réglementation européenne « EURO » sur les émissions des véhicules a pris du retard sur la maîtrise des émissions de NO2. Elle a fait une priorité de la lutte contre les polluants organiques et les particules. Elle fixe ainsi des contraintes sur les émissions de particules pour les véhicules diesel qui entraîneront une généralisation des filtres à particules dans les années à venir. En contrepartie, elle a négligé le NO2, qui n’est aujourd’hui comptabilisé qu’au sein d’un agrégat, les oxydes d’azote (NOx).

    Selon les scénarios étudiés par l’Afsset, si rien n’est fait, l’application des normes EURO successives sur les émissions des véhicules ne produira pas d’effet significatif sur ce polluant d’ici à 2014 (entrée en vigueur d’EURO VI et EURO 6). Il faudra maintenant attendre 2014 et la sixième génération de norme EURO avec de nouvelles réductions à l’émission sur plusieurs polluants (hydrocarbures et NOx notamment) pour envisager de premiers effets bénéfiques.

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  • drogue : lutte et prévention (12 09 2009)

    Drogue : lutte et prévention

     

    Question d’un député et réponse ministérielle publiée sur le site de l’Assemblée Nationale le 25 août 2009 (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-52028QE.html

     

     

    Question N° : 52028 de  M. Le Fur Marc (député UMP des Côtes d’Armor)

     

    M. Marc Le Fur attire l'attention de Mme la ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales sur la lutte contre la toxicomanie et plus particulièrement sur le dispositif de prévention des risques liés à la consommation de GBL. Le GBL est un solvant utilisé d'ordinaire en qualité de décapant, qui fait l'objet d'un usage détourné à des fins hallucinatoires.

     

    Le GBL est, en outre, l'élément premier du GHB, substance psychotrope interdite depuis 2001. Très fréquemment utilisé dans l'industrie, le GBL est en vente libre et est utilisé comme substitut du GBH dans certains milieux festifs. Le 7 avril 2009, à l'issue d'une fête techno, sept jeunes sont entrés dans un coma profond à la suite de l'ingestion de cette substance. Il lui demande si, dans une logique de prévention et de précaution, le Gouvernement entend prendre en compte cet usage détourné de ce produit chimique et en interdire la vente sur le territoire national.

     

     

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  • coût des soins : hausse possible (11 09 2009)

    Levée de boucliers contre la hausse du forfait hospitalier

     

    Extraits d’un article de M. Vincent Collen, publié le 8 septembre 2009 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/patrimoine/famille/300374449.htm?xtor=EPR-1003-[finances%20perso]-20090908.html

     

    La perspective d'une hausse du forfait hospitalier et d'une baisse du taux de remboursement de certains médicaments a déclenché un tir de barrage hier. Les frais d'hospitalisation restent largement pris en charge, mais certains patients sont pénalisés.        

    En reconnaissant qu'il envisage de relever le forfait hospitalier et de moins bien rembourser certains médicaments, le gouvernement vient de relancer un débat politiquement sensible : celui de l'évolution de la prise en charge des dépenses de santé. Le ministre du Budget a confirmé hier que le relèvement du forfait hospitalier était envisagé, sans que rien ne soit décidé sur son niveau. Les réactions ne se sont pas fait attendre : " Impôt sur les malades " pour le Parti communiste, mesure " profondément choquante " pour le PS, " inacceptable " pour la FNATH (accidentés de la vie). " A ce train de réductions annuelles, l'assurance-maladie ne couvrira pas plus de 50 % de nos dépenses de santé en 2025 ", a même calculé le CISS, qui regroupe une trentaine d'associations de patients. " L'augmentation du forfait journalier hospitalier ne figure absolument pas parmi les propositions qui avaient été remises au gouvernement en juillet dernier par les conseils des caisses d'assurance-maladie ", a ajouté Michel Régereau, président (CFDT) du conseil d'administration de la CNAM, furieux de voir plusieurs ministres (Roselyne Bachelot, Luc Chatel) se réfugier derrière une proposition des " partenaires sociaux ".

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