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santé - Page 258

  • convention AERAS : point '22 11 2009)

    Convention  AERAS (S'assurer et emprunter avec un risque aggravé de santé) : point

     

    Question sénatoriale et réponse ministérielle publiées le 19 novembre 2009 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ090709637&idtable=q217697|q217867|q218174|q218311|q218642|q218762|q218784|q218849|q218860|q219052&ct=3_7_10_14_15_16_23_24_25_26_30_31_32&rch=qb&de=20091114&au=20091120&dp=1+an&radio=deau&date=dateJORep&aff=ar&tri=da&off=30&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.html

     

     

    Question écrite n° 09637 de M. Louis Nègre (sénateur UMP des Alpes-Maritimes)

     

    M. Louis Nègre attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi sur l'application de la convention « S'assurer et emprunter avec un risque aggravé de santé » (AERAS).

    Il lui rappelle que cette convention a pour objet de proposer un grand nombre de solutions pour élargir l'accès à l'assurance et à l'emprunt des personnes ayant, ou ayant eu un problème grave de santé. Cet accord signé par les pouvoirs publics, les professionnels de la banque, de la mutualité, de l'assurance et les associations de malades et de consommateurs a permis de d'améliorer sensiblement l'accès de ces personnes aux assurances et aux emprunts.

     

    Cependant, au-delà de ces progrès, il arrive encore que des personnes, qui ont réussi, malgré la maladie ou le handicap, à s'insérer dans la société et qui décident d'emprunter pour mener à bien un projet de vie, se voient opposer un refus non motivé. En effet, l'application de la convention révèle une prise en compte insuffisante du risque d'invalidité, raison pour laquelle une quinzaine d'associations de malades ont refusé de signer la convention. Si cette dernière prévoit, lorsque l'assurance invalidité s'avère nécessaire à l'aboutissement d'une demande de prêt, que les assureurs doivent proposer une assurance couvrant au minimum le risque de perte totale et irréversible d'autonomie, en pratique les associations dénoncent la non-application de ces dispositions.

    Il lui demande ce qu'il compte faire pour améliorer le régime d'assurance et d'emprunt en cas de risque aggravé de santé, pour éviter toute discrimination envers ces personnes.

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  • tabac et sclérose en plaques (20 11 2009)

    Le tabac accélère l’évolution de la sclérose en plaques

    Article publié dans le n° 101 (octobre 2009) de la revue Tabac Actualités de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au texte pdf de la revue de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/TA/pdf/Tabactu101.pdf

     

    Site del’INPES : www.inpes.sante.fr

     

    Sclérose en plaques

    – maladie neurologique inflammatoire chronique évoluant le plus souvent par poussées, concernant 70 000 à 90 000 personnes en France ;

    – constitue la première cause de handicap acquis de l’adulte jeune non lié à un accident ;

    – dans 85 % des cas, la SEP débute par une forme à poussées (forme rémittente). En moyenne, les poussées se succèdent à un rythme d’environ une par an ; pour la moitié des patients, après 10 ans d’évolution, la phase de poussées se transforme en phase chronique progressive.

     

    Plusieurs études ont mis en relation une augmentation du risque de déclenchement d’une sclérose en plaques (SEP) avec la consommation de tabac et/ou le tabagisme passif. En revanche, on connaît peu l’impact du tabagisme sur la progression de la maladie une fois celle-ci installée, en particulier sur la sévérité des lésions cérébrales observées par imagerie par résonance magnétique (IRM). Un essai clinique longitudinal sur le sujet vient d’être publié, associant évaluation clinique et radiologique.

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  • Bouger plus : marcher (18 11 2009)

    Bouger plus c’est possible !

    Article lu le 16 novembre 2009 sur le site Manger-Bouger (cliquer ici pour accéder au site Manger-Bouger)

    http://www.mangerbouger.fr/menu-secondaire/bouger-plus-c-est-possible/.html

     

                      Le repère essentiel

    Le repère à garder en tête en matière d’activité physique : l’équivalent d’ au moins 30 minutes de marche rapide chaque jour pour les adultes et 60 minutes pour les enfants !

    Découvrez dans cette rubrique pourquoi faire 30 minutes d’activité physique par jour. Vous verrez également que l’activité physique, ce n’est pas faire du sport, c’est aussi et surtout des petits réflexes simples au quotidien

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  • tabac : sevrage et gomme à mâcher (13 11 2009)

    SEVRAGE TABAGIQUE : les gommes à mâcher à la nicotine  une aide remise en cause ?

    Article publié dans le n° 101 (octobre 2009) de la revue Tabac Actualités de l’Institut National de Prévention et d’éducation pour la Santé (cliquer ici pour accéder au texte pdf de la revue de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/TA/pdf/Tabactu101.pdf

     

    Site del’INPES : www.inpes.sante.fr

     

    L’arrêt du tabac est une entreprise difficile. Le traitement par substitution nicotinique a pour objectif de remplacer la nicotine contenue dans les cigarettes.

     

    Parmi les formes galéniques disponibles, les gommes à mâcher sont largement utilisées, notamment par de nombreux fumeurs qui ne sont pas prêts à arrêter leur tabagisme et qui préfèrent réduire le nombre de cigarettes quotidiennes en s’aidant de ces substituts nicotiniques. Une équipe suisse a cherché à savoir si ce mode de sevrage (réduction + substituts) était efficace lorsque le fumeur avait recours aux gommes à mâcher. Cette approche (dite « cut down to quit » : diminuer pour arrêter) est en effet peu documentée.

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  • vaccins : produits dangereux (11 11 2009)

    Vaccins : produits dangereux (mercure, aluminium)

     

    Question d’un député et réponse ministérielle publiées le 3 novembre 2009 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour acccéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-56241QE.htm

     

    Question n° : 56241 de Mme Robin-Rodrigo Chantal (député socialiste, radical, citoyen et divers gauche des Hautes-Pyrénées)

     

    Mme Chantal Robin-Rodrigo appelle l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur le marché des vaccins destinés à l'homme. En effet, la possible dangerosité de l'emploi du mercure et de l'aluminium dans le cadre de la fabrication de la plupart des vaccins destinés à l'homme, conduit une part toujours plus importante de Français à solliciter des vaccins exempts de ces deux substances auprès de leur officine pharmaceutique de ville. Or constat est dressé que certains géants de l'industrie pharmaceutique privilégient désormais la commercialisation de nouvelles formes de vaccins au détriment de ceux communément connus jusqu'alors. Pour exemple, parmi tant d'autres, constat est dressé que Sanofi-Pasteur a délibérément stoppé depuis 2008 la production des fameux vaccins TP-Pasteur et DTP-Pasteur (produits de santé conçus sans aluminium notamment) afin d'assurer avec succès le lancement sur le marché de son vaccin Repevax (vaccin adsorbé sur sels d'aluminium).

     

    De fait, et de façon délibérée, les Français n'ont d'autres choix que d'accepter une vaccination avec un produit présentant un danger potentiel de par la présence de mercure et d'aluminium, ou bien de renoncer tout simplement à la vaccination s'ils refusaient de prendre un quelconque risque sur ce point. Cette situation « de prise en otage » des Français et de la santé publique est clairement inacceptable. Elle appelle une réaction rapide et forte de la part de l'État envers l'industrie pharmaceutique qui, en matière vaccinale, doit pleinement se plier au principe de « libre choix » qu'a un patient de pouvoir opter pour un produit contenant ou non des substances dont la dangerosité fait débat (avec toute l'information en amont nécessaire à ce sujet).

     

    Aussi, elle lui demande de lui indiquer si elle entend intervenir rapidement dans ce sens pour que soit relancée et/ou développée sur le marché, et ceci sans délai, une gamme élargie de vaccins clairement garantis sans mercure et sans aluminium.

     

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  • grippe A/H1N1 : point (08 11 2009)

    Grippe A/H1N1

    Question sénatoriale et réponse ministérielle publiées sur le site du Sénat le 5 novembre 2009 (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

     

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ090709819&idtable=q209535|q218284|q209536|q213787|q217381&_c=mermaz&rch=qs&de=20081107&au=20091107&dp=1+an&radio=dp&aff=sep&tri=p&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.html

     

    Question écrite n° 09819 de M. Louis Mermaz (sénateur socialiste de l’Isère)

     

    M. Louis Mermaz attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur l'extrême urgence qu'il y a à mettre en œuvre les mesures de gestion prévues par le Gouvernement le 15 juillet 2009 pour faire face à la grippe A/H1N1.

     

    Pour protéger la population d'une pandémie de grippe A/H1N1 « presque inévitable » selon les termes du Gouvernement, 94 millions de doses de vaccins ont été commandées auprès de trois laboratoires pour un milliard d'euros. Des commandes « optionnelles » pour 44 millions de doses supplémentaires ont également été passées. Les vaccins devraient être disponibles à partir d'octobre 2009, mais leur distribution serait étalée jusqu'en janvier 2010.

     

    La vaccination ne serait pas obligatoire, mais fortement recommandée, indique le Gouvernement. En cas de pandémie avérée, les généralistes seront mobilisés pour suppléer les urgences. Cet élargissement de la prise en charge médicale par la médecine libérale est effective depuis le 23 juillet 2009 pour tous les patients, sauf pour ceux présentant des formes graves et les enfants de moins d'un an dont il est prévu qu'ils soient pris en charge en milieu hospitalier.

     

    Devant les risques avérés de propagation de l'épidémie, il lui demande si la vaccination demeurera seulement facultative. La cohérence voudrait plutôt qu'on la rende obligatoire. Alors que le pic de l'épidémie se situerait au mois d'octobre, pourquoi étaler la distribution des vaccins jusqu'au mois de janvier 2010 ? Ne sera-ce pas trop tard ?

     

    D'autre part, quels seront les moyens mis à la disposition des médecins libéraux pour les aider en la matière ? Le Gouvernement semble vouloir placer en effet les généralistes au cœur du dispositif, alors qu'ils n'auront pas toujours les moyens de rendre un diagnostic viral précis, ni de fournir à l'entourage des patients atteints de réels moyens de protection.

     

    Enfin, il souhaite savoir quels moyens de financement le Gouvernement a prévu pour faire face à une situation sanitaire exceptionnelle qui pourrait rapidement devenir grave.

     

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