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santé - Page 255

  • grand froid : conseils (20 01 2010)

    Grand froid : quelques précautions à prendre 

    Note de synthèse publiée le 14 décembre 2009 sur le site de l’Institut de prévention et d’éducation pour la santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

     

    http://www.inpes.sante.fr/

     

    L’hiver est installé, les températures ont baissé… Ponctuellement, par vagues, dans certaines régions ou sur l’ensemble du territoire, le froid s’installe et atteint parfois des températures contre lesquelles les personnes vulnérables, telles que les personnes âgées ou les enfants, doivent se prémunir.

     

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  • grippe A (H1N1) : point (16 01 2010)

    GRIPPE A (H1N1) : point épidémiologique au 12 janvier 2010

    Note publiée le 12 janvier 2010 sur le site de l’Institut National de Veille Sanitaire (cliquer ci-dessous pour accéder au site de l’INVS)

    http://www.invs.sante.fr/display/?doc=surveillance/grippe_dossier/points_h1n1/grippe_A_h1n1_120110/index.html

    France métropolitaine

    Territoire français ultramarins

    International 

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  • services de chirurgie : risques de fermeture (10 01 2010)

    Suppression annoncée de 182 blocs opératoires

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 31 décembre 2009 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ09110715S&idtable=q221243&_nu=0715S&rch=qs&de=20070109&au=20100109&dp=3+ans&radio=dp&aff=sep&tri=da&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.html

     

    Question orale n° 0715S de M. Jacques Mézard (sénateur RDSE du Cantal)

    Ma question porte sur l'éventuelle suppression de services de chirurgie pratiquant moins de 1 500 actes par an, soit 182 blocs sur les 1 075 que compte notre pays. Cette mesure concernerait 25 % des établissements chirurgicaux du secteur public et seulement 9 %, semble-t-il, de ceux du secteur privé.


    Il s'agirait donc de supprimer les « petits » services de chirurgie qui ne seraient pas assez modernes, selon vos propos, madame la ministre, pour « assurer une filière de soins chirurgicaux extrêmement complète » et « assurer la sécurité et la qualité des soins » ; j'aimerais d'ailleurs savoir si des statistiques ou des audits ont été réalisés sur cette question de la sécurité et de la qualité des soins dans les blocs opératoires...

     
    Ainsi, le critère choisi pour évaluer la qualité d'un tel bloc serait de 1 500 actes par an et par établissement. Or les différents types d'interventions et le nombre des chirurgiens nécessaires pour les réaliser n'entreraient pas en ligne de compte.

     
    Cette approche nous semble purement technique ; elle ne prend pas en considération la dimension humaine des petites structures de proximité, ce qui nous pose problème. Il s'agit là d'une nouvelle menace, pouvant aller parfois jusqu'à la suppression pure et simple, qui pèse sur les « petits » établissements hospitaliers.

     
    J'entends bien la nécessité d'assurer la qualité des soins et la sécurité de l'usager ; nous partageons bien entendu votre souci, madame la ministre. J'ai d'ailleurs noté que le Conseil national de la chirurgie avait préconisé la fermeture des établissements réalisant moins de 2 000 actes par an mais que vous aviez choisi, dans le souci de maintenir une certaine proximité des soins, d'abaisser ce seuil à 1 500 actes.

     
    Il n'en reste pas moins que cette approche laisse de côté l'évaluation de la qualité dans les grands hôpitaux ou dans les établissements privés, qui prendront en charge les malades en cas de fermeture des petits blocs opératoires.

     
    L'accès aux soins d'urgence pose problème, selon nous : nous craignons que de telles fermetures n'obligent le patient à réaliser un plus long trajet avant de rejoindre un hôpital, ce qui n'est pas sans risque, notamment dans les territoires qui sont particulièrement enclavés et connaissent les difficultés de transport que l'on sait.

     
    Madame la ministre, nous souhaitons que vous preniez en considération les difficultés particulières de ces territoires et puissiez nous préciser les intentions exactes du Gouvernement en matière d'organisation territoriale des soins chirurgicaux, en tenant compte, je le répète, de la réalité de zones très enclavées, afin de garantir l'offre publique de soins de proximité.

     

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  • soins palliatifs : information (08 01 2010)

    Article paru dans la brochure Equilibres (n°56 janvier 2010) de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (cliquer ci dessous pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/CFESBases/equilibre/pdf/Lettre56.pdf#page3.html

     

    éditée par l’INPES dans le cadre du programme national de développement des soins palliatifs 2008-2012, la brochure soins palliatifs et accompagnement s’adresse aux personnes souffrant d’une maladie grave et à leurs proches. enrichie de témoignages et d’informations sur la législation, elle répond à leurs premières interrogations.

    Pour commande ou téléchargement :

    http://www.inpes.sante.fr/index.asp?page=CFESBases/catalogue/detaildoc.asp?numfiche=1255.html

     

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  • mutuelles : tarifs 2010 (07 01 2010)

    Entretien par Mme Mireille Weinberg publié le 6 janvier 2010 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder à l’article complet sur le site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/patrimoine/assurance/300401234-maurice-ronat-les-tarifs-des-mutuelles-vont-augmenter-de-3-a-6-.htm

     

    Pas de répit pour les détenteurs d'assurances complémentaires santé : en 2010, les tarifs devraient encore augmenter en moyenne de 3% à 6%, selon Maurice Ronat, président de la Fédération nationale des mutuelles interprofessionnelles. …/…

     

    Il s'attend aussi à de nouvelles mesures gouvernementales, peut-être plus brutales que celles mises en oeuvre cette année, pour résorber le déficit de la Sécurité sociale. Mais d'avance, il prévient : systématiser le transfert de la Sécu vers les assurances complémentaires santé ne réglera pas le problème. …/…

     

    Pourquoi de telles augmentations ?

    Plusieurs phénomènes expliquent ces hausses. D'abord, la dérive des dépenses de santé qui est en moyenne de 4%, voire de 5% ou 6% dans certaines régions, ensuite l'augmentation du forfait hospitalier (qui est passé de 16 euros à 18 euros par jour) et qui représente environ 1% de hausse, et enfin, la participation des assureurs complémentaires santé au financement du vaccin contre la grippe H1N1, qui représente lui aussi un peu moins de 1%. Nous arrivons donc au total à une hausse qui peut atteindre 6% à 8%. Sans compter les répercussions de l'augmentation de la taxe CMU (couverture maladie universelle), qui est passée de 2,50% à 5,90% du chiffre d'affaires des assureurs complémentaires santé l'an dernier et que tous n'ont pas encore totalement répercuté.

  • sclérose en plaques : places d'accueil (06 01 2010)

    Sclérose en plaques : places d’accueil spécialisées

    (NDLRB : Voir aussi notre fiche du 3 novembre 2009)

    Question sénatoriale et réponse ministérielle publiées le 31 décembre 2009 sur le site du Sénat (cliquer ci-dessous pour accéder au site du Sénat)

     

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ090609020&idtable=q216293&_nu=09020&rch=qs&de=20070105&au=20100105&dp=3+ans&radio=dp&aff=sep&tri=da&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.html

     

     

    Question écrite n° 09020 de Mme Patricia Schillinger (sénateur socialiste du Haut-Rhin)

    Mme Patricia Schillinger attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la prise en charge des personnes atteintes de sclérose en plaques et notamment sur la possibilité pour celles-ci de trouver un hébergement adéquat lorsque le maintien à domicile n'est plus possible.

     
    Il apparaît aujourd'hui indispensable de remédier au manque de places d'accueil temporaire et long séjour pour les personnes dépendantes atteintes de sclérose en plaques. Il n'existe que 500 places de ce type, réparties entre huit centres d'accueil, et ce pour l'ensemble du territoire. Cela est largement insuffisant et ne répond pas aux besoins de la population des personnes atteintes de sclérose en plaques ainsi que de leurs familles.

     
    En conséquence, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer quelles sont les mesures que le Gouvernement envisage de mettre en œuvre pour combler le manque de places d'accueil spécialisé pour les personnes atteintes de sclérose en plaques.

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