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santé - Page 255

  • vaccins : produits dangereux (11 11 2009)

    Vaccins : produits dangereux (mercure, aluminium)

     

    Question d’un député et réponse ministérielle publiées le 3 novembre 2009 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour acccéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-56241QE.htm

     

    Question n° : 56241 de Mme Robin-Rodrigo Chantal (député socialiste, radical, citoyen et divers gauche des Hautes-Pyrénées)

     

    Mme Chantal Robin-Rodrigo appelle l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur le marché des vaccins destinés à l'homme. En effet, la possible dangerosité de l'emploi du mercure et de l'aluminium dans le cadre de la fabrication de la plupart des vaccins destinés à l'homme, conduit une part toujours plus importante de Français à solliciter des vaccins exempts de ces deux substances auprès de leur officine pharmaceutique de ville. Or constat est dressé que certains géants de l'industrie pharmaceutique privilégient désormais la commercialisation de nouvelles formes de vaccins au détriment de ceux communément connus jusqu'alors. Pour exemple, parmi tant d'autres, constat est dressé que Sanofi-Pasteur a délibérément stoppé depuis 2008 la production des fameux vaccins TP-Pasteur et DTP-Pasteur (produits de santé conçus sans aluminium notamment) afin d'assurer avec succès le lancement sur le marché de son vaccin Repevax (vaccin adsorbé sur sels d'aluminium).

     

    De fait, et de façon délibérée, les Français n'ont d'autres choix que d'accepter une vaccination avec un produit présentant un danger potentiel de par la présence de mercure et d'aluminium, ou bien de renoncer tout simplement à la vaccination s'ils refusaient de prendre un quelconque risque sur ce point. Cette situation « de prise en otage » des Français et de la santé publique est clairement inacceptable. Elle appelle une réaction rapide et forte de la part de l'État envers l'industrie pharmaceutique qui, en matière vaccinale, doit pleinement se plier au principe de « libre choix » qu'a un patient de pouvoir opter pour un produit contenant ou non des substances dont la dangerosité fait débat (avec toute l'information en amont nécessaire à ce sujet).

     

    Aussi, elle lui demande de lui indiquer si elle entend intervenir rapidement dans ce sens pour que soit relancée et/ou développée sur le marché, et ceci sans délai, une gamme élargie de vaccins clairement garantis sans mercure et sans aluminium.

     

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  • grippe A/H1N1 : point (08 11 2009)

    Grippe A/H1N1

    Question sénatoriale et réponse ministérielle publiées sur le site du Sénat le 5 novembre 2009 (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

     

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ090709819&idtable=q209535|q218284|q209536|q213787|q217381&_c=mermaz&rch=qs&de=20081107&au=20091107&dp=1+an&radio=dp&aff=sep&tri=p&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.html

     

    Question écrite n° 09819 de M. Louis Mermaz (sénateur socialiste de l’Isère)

     

    M. Louis Mermaz attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur l'extrême urgence qu'il y a à mettre en œuvre les mesures de gestion prévues par le Gouvernement le 15 juillet 2009 pour faire face à la grippe A/H1N1.

     

    Pour protéger la population d'une pandémie de grippe A/H1N1 « presque inévitable » selon les termes du Gouvernement, 94 millions de doses de vaccins ont été commandées auprès de trois laboratoires pour un milliard d'euros. Des commandes « optionnelles » pour 44 millions de doses supplémentaires ont également été passées. Les vaccins devraient être disponibles à partir d'octobre 2009, mais leur distribution serait étalée jusqu'en janvier 2010.

     

    La vaccination ne serait pas obligatoire, mais fortement recommandée, indique le Gouvernement. En cas de pandémie avérée, les généralistes seront mobilisés pour suppléer les urgences. Cet élargissement de la prise en charge médicale par la médecine libérale est effective depuis le 23 juillet 2009 pour tous les patients, sauf pour ceux présentant des formes graves et les enfants de moins d'un an dont il est prévu qu'ils soient pris en charge en milieu hospitalier.

     

    Devant les risques avérés de propagation de l'épidémie, il lui demande si la vaccination demeurera seulement facultative. La cohérence voudrait plutôt qu'on la rende obligatoire. Alors que le pic de l'épidémie se situerait au mois d'octobre, pourquoi étaler la distribution des vaccins jusqu'au mois de janvier 2010 ? Ne sera-ce pas trop tard ?

     

    D'autre part, quels seront les moyens mis à la disposition des médecins libéraux pour les aider en la matière ? Le Gouvernement semble vouloir placer en effet les généralistes au cœur du dispositif, alors qu'ils n'auront pas toujours les moyens de rendre un diagnostic viral précis, ni de fournir à l'entourage des patients atteints de réels moyens de protection.

     

    Enfin, il souhaite savoir quels moyens de financement le Gouvernement a prévu pour faire face à une situation sanitaire exceptionnelle qui pourrait rapidement devenir grave.

     

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  • résidents en EHPA (06 11 2009)

    Les résidents des établissements d’hébergement pour personnes âgées (EHPA) en 2007

     

    Résumé d’un rapport de Mme Julie Prévot publié en août 2009 dans la revue Etudes et Résultats n°699 de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (cliquer ici pour accéder au site de la DREES)

    http://www.travail-solidarite.gouv.fr/etudes-recherche-statistiques-drees/publications/etudes-resultats/no-699-residents-etablissements-hebergement-pour-personnes-agees-2007-.html

     

    Fin 2007, 657 000 personnes vivent dans des établissements d’hébergement pour personnes âgées (EHPA). Les trois quarts de ces résidents sont accueillis dans des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Les personnes qui séjournent en EHPA sont un peu plus âgées qu’en 2003 (84 ans et 2 mois en moyenne). Au total, trois quarts sont des femmes. Au-delà de 69 ans, celles-ci sont majoritaires et l’écart s’accentue avec l’âge.

    En 2007, 230 000 personnes sont entrées en EHPA, dont 38 000 sur des places d’hébergement temporaire. On enregistre également près de 230 000 sorties définitives. Les décès représentent 60 % des sorties de l’année, les trois quarts étant survenus en établissement et les autres au cours d’une hospitalisation.

    En 2007, la durée moyenne de séjour (2 ans et 6 mois) est légèrement inférieure à celle de 2003. C’est dans les logements-foyers non-EHPAD que les personnes âgées restent le plus longtemps et dans les unités de soins de longue durée (USLD) et dans les établissements privés à but lucratif qu’elles restent le moins longtemps.

    La clientèle des EHPA est de plus en plus dépendante : 84 % des résidents sont considérés comme dépendants (GIR 1 à 4) fin 2007 et la moitié comme très dépendants (GIR 1 et 2).

     N° 699 - Les résidents des établissements d’hébergement pour personnes âgées en 2007

  • mutuelles (aides à l'adhésion) (05 11 2009)

    Retraités, protection sociale, revendications

    Question d’un député et réponse ministérielle publiées le 27 octobre 2009 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’assemblée nationale)

     

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-56378QE.htm

     

    Question n° 56378 de M. Bataille Christian (député socialiste, radical, citoyen et divers gauche du Nord)

    M. Christian Bataille attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur les préoccupations des membres de la Caisse nationale mutualiste (ex-FNACA). Réunis en assemblée générale, les 83 délégués départementaux, représentant 109 456 adhérents, ont réaffirmé leur attachement au principe fondateur de l'assurance maladie qui repose sur la solidarité.

     

    Opposés au projet gouvernemental de bouclier sanitaire, ils ont dénoncé cette mesure qui mettra à contribution, une nouvelle fois, les mutuelles et aura pour conséquence une augmentation des cotisations des adhérents sans apporter de solution au déficit chronique de l'assurance maladie.

     

    Ils demandent avec insistance, comme le préconise la Fédération nationale de la mutualité française, la création d'un crédit d'impôt garantissant l'équité des aides fiscales et sociales entre les contrats collectifs et individuels, entre les actifs et les inactifs (retraités, chômeurs). Il lui demande de l'informer des mesures que compte prendre le Gouvernement pour répondre à l'attente des adhérents de la Caisse nationale mutualiste prévoyance santé.

     

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  • sclérose en plaques : point (03 11 2009)

    Sclérose en plaques : point de la prise en charge

     

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 27 octobre 2009 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://www.assemblee-nationale.fr/.html

    Texte original de la question

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-46778QE.htm

     

    Question écrite de M.   Ménard Michel (député socialiste, radical, citoyen et divers gauche  de Loire-Atlantique) n° 46778 du 14/04/2009

     

    M. Michel Ménard interroge Mme la ministre de la santé et des sports sur le plan stratégique qualité de vie des maladies chroniques dont la mise en oeuvre est prévue jusqu'en 2011 et plus précisément sur la recherche sur la sclérose en plaques. Cette maladie, qui touche 80 000 personnes en France et est ainsi la première cause de handicap neurologique acquis chez le jeune adulte, a été reconnue comme une des priorités de santé publique par la loi du 9 août 2004.

     

    C'est d'ailleurs cette même loi qui a prévu la mise en oeuvre du plan qualité de vie des maladies chroniques, et qui fait des maladies neuro-dégénératives, dont la sclérose en plaques, l'une de ses priorités. L'un des principaux axes de ce plan vise à promouvoir la recherche tant fondamentale que clinique sur ces maladies afin de développer de nouveaux traitements. Il souhaiterait connaître le bilan dressé à ce jour de la mise en oeuvre de ce plan en matière de recherche ainsi que les engagements de l'État dans le domaine précis de la recherche sur la sclérose en plaques.

     

    Par ailleurs, l'évolution de cette maladie, le handicap qui en résulte et le vieillissement des personnes qui en sont atteintes nécessiteraient la mise en oeuvre d'un dispositif de prise en charge national à l'image des plans nationaux relatifs au cancer ou encore à la maladie d'Alzheimer.

     

    Aussi, il souhaiterait savoir si le Gouvernement entend prendre des mesures en ce sens.

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  • maltraitance en maison de retraite (01 11 2009)

    Maltraitance dans les maisons de retraite

    Question sénatoriale et réponse ministérielle publiées sur le site du Sénat le 23 octobre 2009 (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

     

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ09100389G&idtable=q220573|q220575|q220576|q220721|q220722|q220723|q220724|q220725|q220727|q220728&&rch=qs&de=20091001&au=20091031&dp=3+ans&radio=deau&aff=ar&tri=da&off=40&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.html

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0389G de M. Antoine Lefèvre (sénateur UMP de l’Aisne)

    Ma question s'adresse à Mme Nora Berra, secrétaire d'État chargée des aînés.
    De graves cas de maltraitance ont été découverts récemment dans une maison de retraite de Bayonne : une infirmière amenée à effectuer des soins dans l'établissement a donné l'alerte, en écartant le secret professionnel, comme la loi le prévoit.

     
    Coups, contention permanente des personnes âgées, sous-alimentation : les faits sont d'autant plus honteux que ce cas de maltraitance ou de violence institutionnelle sur des personnes âgées n'est pas le premier, d'autres exemples ayant fait la « une » de la presse ces derniers temps.

    Chaque année, des milliers de cas de maltraitance rythment encore la vie des maisons de retraite françaises. Officiellement, 5% seulement des 10 500 établissements feraient l'objet de signalements. Cela concernerait tout de même plus de 32 000 pensionnaires…

     
    Des efforts ont certes été réalisés pour mettre un terme à ce phénomène de maltraitance des personnes âgées dans les maisons de retraite.

     
    Le Gouvernement a créé, le 13 mars 2007, un comité national de vigilance et de lutte contre la maltraitance des personnes âgées et des adultes handicapés. Un numéro d'appel national unique, le 3977, a été mis en place et la loi du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale envisage désormais la maltraitance dans les institutions, et non plus uniquement dans le cadre familial.

    La notion de « bientraitance » s'est également développée. En juin 2008, elle a fait l'objet d'un guide de bonnes pratiques publié par l'Agence nationale de l'évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux.

     
    Néanmoins, des problèmes demeurent.

     
    D'un point de vue pénal, la qualification juridique reste incomplète. Si la maltraitance active est sanctionnée, comme les violences physiques qui laissent des marques, tel n'est pas le cas de la maltraitance dite passive, psychologique ou morale. De plus, les autorités de tutelle – conseils généraux et services des directions départementales des affaires sanitaires et sociales, responsables de la prise en charge des personnes âgées – sont dans une situation délicate : où reloger les résidents si l'on ferme une maison de retraite ?

     
    Cette situation est également délicate pour les familles, souvent conscientes de l'existence de traitements parfois brusques ou de maltraitances, mais qui n'ont pas d'autre solution que de laisser la personne âgée dans la maison de retraite où elle se trouve, faute de moyens ou de places dans un autre établissement.

     
    Pouvez-vous donc nous préciser, madame la secrétaire d'État, les modalités de contrôle de ces établissements, et nous dire si des qualifications juridiques comme celle de « maltraitance passive » peuvent être envisagées, sachant que la multiplicité des formes d'hébergement des personnes âgées rend la tâche difficile, comme nous en sommes tous bien conscients ?

     

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