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santé - Page 256

  • sclérose en plaques : places d'accueil (06 01 2010)

    Sclérose en plaques : places d’accueil spécialisées

    (NDLRB : Voir aussi notre fiche du 3 novembre 2009)

    Question sénatoriale et réponse ministérielle publiées le 31 décembre 2009 sur le site du Sénat (cliquer ci-dessous pour accéder au site du Sénat)

     

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ090609020&idtable=q216293&_nu=09020&rch=qs&de=20070105&au=20100105&dp=3+ans&radio=dp&aff=sep&tri=da&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.html

     

     

    Question écrite n° 09020 de Mme Patricia Schillinger (sénateur socialiste du Haut-Rhin)

    Mme Patricia Schillinger attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la prise en charge des personnes atteintes de sclérose en plaques et notamment sur la possibilité pour celles-ci de trouver un hébergement adéquat lorsque le maintien à domicile n'est plus possible.

     
    Il apparaît aujourd'hui indispensable de remédier au manque de places d'accueil temporaire et long séjour pour les personnes dépendantes atteintes de sclérose en plaques. Il n'existe que 500 places de ce type, réparties entre huit centres d'accueil, et ce pour l'ensemble du territoire. Cela est largement insuffisant et ne répond pas aux besoins de la population des personnes atteintes de sclérose en plaques ainsi que de leurs familles.

     
    En conséquence, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer quelles sont les mesures que le Gouvernement envisage de mettre en œuvre pour combler le manque de places d'accueil spécialisé pour les personnes atteintes de sclérose en plaques.

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  • alcool + médicaments : interactions (4 01 2010)

    Alcool et médicaments : gare aux interactions

    Article oublié dans la brochure Alcool-Actualités de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (n° de juin 2009) (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/AA/pdf/AlcoolActu45.pdf

     

     résumé :

    EFFET MODIFIÉ, DIMINUÉ OU AMPLIFIÉ

    - Sous traitement antibiotique, la consommation d’alcool peut provoquer des nausées, des vomissements, une migraine, voire des convulsions, et diminue l’efficacité du médicament.

    - De fortes doses d’alcool potentialisent l’effet des anticoagulants et entraînent un risque important d’hémorragie alors qu’une consommation chronique diminue son effet avec risque

    de thrombose.

    - L’alcool peut amplifier l’effet sédatif des somnifères, des tranquillisants, des opiacés ou des neuroleptiques.

    - Les capsules à libération prolongée sont dissoutes plus rapidement, le principe actif se trouve donc libéré sans délai.

     

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  • adolescents : sommeil et dépression (3 janvier 2010)

    manque de sommeil et dépression chez les adolescents

     

    Extraits d’un Article Le Monde-AFP publié le 2 janvier 2010 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au site du Monde)

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/01/02/le-manque-de-sommeil-accroit-le-risque-de-depression-chez-les-adolescents_1286955_3224.html

     

    Le manque de sommeil accroît le risque de dépression et de pensées suicidaires chez les adolescents, selon une étude de l'Université Columbia publiée vendredi aux Etats-Unis dans la revue Sleep.

     

    Selon cette étude menée auprès de 15 659 collégiens et lycéens, le risque de dépression chez des adolescents qui vont se coucher habituellement après minuit est supérieur de 24 % à celui des enfants envoyés au lit avant 22 heures. Ceux qui dorment moins de cinq heures par nuit présentent un risque de dépression 71 % supérieur à ceux qui dorment sept heures. Les couche-tard sont en outre plus nombreux à avoir des idées suicidaires : 20 % de plus que chez les couche-tôt.

    …/…

  • tabac : images-choc (25 12 2009)

    Dans un an, des images choc sur les paquets de tabac !

    Extraits d’un article publié le 22 décembre 2010 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20091221trib000455194/dans-un-an-des-images-choc-sur-les-paquets-de-tabac-.html

     

     

    Des photos de bouches sévèrement édentées ou de patients en phase terminal de cancer... C'est par ces images choc que de nombreux pays -la Belgique et le Royaume Uni mais aussi le Brésil ou la Thaïlande - luttent contre la tabagie. Et la France a décidé il y a un an d'appliquer à son tour cette stratégie prophylactique. L'arrêté précisant les images retenues, leur taille et l'endroit où elles figureront doit être publié d'ici la fin de l'année.

    …/…

    Il prévoit que ces images choc ne figurent qu'au verso du paquet afin de ne pas être visibles sur le présentoir des buralistes et qu'elles couvrent 42% de la taille du paquet. …/… Le délai serait de 12 mois pour la mise en oeuvre de ces modifications.

  • médecine en milieu rural (22 12 2009)

    Situation inquiétante de la médecine en milieu rural

     

    Question sénatoriale et réponse ministérielle  publiées le 10 novembre 2009 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ090709800&idtable=q218257&_nu=09800&rch=qs&de=20061213&au=20091213&dp=3+ans&radio=dp&aff=sep&tri=da&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.html

     

    Question écrite n° 09800 de M. Alain Fauconnier (sénateur socialiste de l’Aveyron)

     

    M. Alain Fauconnier attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la situation inquiétante de la médecine générale en France, et plus particulièrement en milieu rural où les zones blanches tendent à se développer d'une manière alarmante. Or, non seulement la médecine générale n'attire plus guère les étudiants en médecine, mais encore les derniers à choisir cette voie s'installeront de préférence en ville et non à la campagne.

     

    Les efforts importants consentis par les collectivités locales et territoriales pour les accueillir ne servent à rien puisqu'il y a de moins en moins de médecins généralistes. Il résulte de cette situation que, d'ici peu d'années, après le départ en retraite des praticiens généralistes issus du « baby boom » de l'après guerre, on manquera immanquablement de médecins généralistes en zone rurale.

     

    C'est pourquoi il lui demande en conséquence de bien vouloir lui fait savoir ce que, à long terme, elle entend mettre en œuvre pour rendre plus attractive la profession de médecin généraliste en milieu rural et, à plus court terme, si elle compte, avec sa collègue ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, augmenter le nombre de professeurs de médecine générale qui sont actuellement en sous-effectif, ce qui ne contribue pas moins à l'étiolement d'une filière pourtant indispensable au système de santé.

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  • pollution air intérieur (18 12 2009)

    Pollution de l'air intérieur par certains produits ménagers

     

    Question sénatoriale et réponse ministérielle publiées le 10 décembre 2009 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ090910002&idtable=q218829&_nu=10002&rch=qs&de=20061213&au=20091213&dp=3+ans&radio=dp&aff=sep&tri=da&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn.html

     

    Question écrite n° 10002 de M. Roland Courteau (sénateur socialiste de l’Aude)

     

    M. Roland Courteau attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de la mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat sur une récente étude publiée par une association de consommateurs (UFC Que Choisir) qui révèle une longue liste de produits testés (déodorants d'intérieur, nettoyants ménagers, tapis, meubles, moquettes encollées…) dont les émissions de certains composés organiques volatils, induisent une pollution de l'air intérieur.

     

    Ainsi, selon cette même association, « l'air que nous respirons est 5 à 10 fois plus pollué à l'intérieur qu'à l'extérieur ». Il lui fait remarquer que des centaines de substances chimiques, dont le formaldéhyde feraient partie de notre quotidien. Certaines de ces substances pourraient même être particulièrement dangereuses, selon plusieurs études conduites par d'autres organismes, comme l'observatoire de la qualité de l'air.

     
    Il lui indique, qu'il est notamment réclamé l'interdiction des substances les plus dangereuses, ainsi qu'un étiquetage sur la composition et les substances émises par les produits, afin de permettre aux consommateurs de sélectionner les produits les moins nocifs…

    Il lui demande donc de bien vouloir lui faire connaître s'il est dans ses intentions de prendre en compte les inquiétudes, de plus en plus fortes, des consommateurs par le renforcement d'une réglementation considérée, justement, comme quelque peu lacunaire.

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