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santé mentale, l’affaire de tous
http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/CP_171109.pdf
Site du C.A.S. : http://www.strategie.gouv.fr/article.php3?id_article=1080.html
Sommaire :
( Qu’entend-on par santé mentale ? ) blog le 1er décembre 2009
( « 3 à 4% du PIB » )
( Quel est l’état des lieux de la santé mentale en France ? ) blog le 2 décembre 2009
( Quelles recommandations ? )
Convention AERAS (S'assurer et emprunter avec un risque aggravé de santé) : point
Question écrite n° 09637 de M. Louis Nègre (sénateur UMP des Alpes-Maritimes)
M. Louis Nègre attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi sur l'application de la convention « S'assurer et emprunter avec un risque aggravé de santé » (AERAS).
Il lui rappelle que cette convention a pour objet de proposer un grand nombre de solutions pour élargir l'accès à l'assurance et à l'emprunt des personnes ayant, ou ayant eu un problème grave de santé. Cet accord signé par les pouvoirs publics, les professionnels de la banque, de la mutualité, de l'assurance et les associations de malades et de consommateurs a permis de d'améliorer sensiblement l'accès de ces personnes aux assurances et aux emprunts.
Cependant, au-delà de ces progrès, il arrive encore que des personnes, qui ont réussi, malgré la maladie ou le handicap, à s'insérer dans la société et qui décident d'emprunter pour mener à bien un projet de vie, se voient opposer un refus non motivé. En effet, l'application de la convention révèle une prise en compte insuffisante du risque d'invalidité, raison pour laquelle une quinzaine d'associations de malades ont refusé de signer la convention. Si cette dernière prévoit, lorsque l'assurance invalidité s'avère nécessaire à l'aboutissement d'une demande de prêt, que les assureurs doivent proposer une assurance couvrant au minimum le risque de perte totale et irréversible d'autonomie, en pratique les associations dénoncent la non-application de ces dispositions.
Il lui demande ce qu'il compte faire pour améliorer le régime d'assurance et d'emprunt en cas de risque aggravé de santé, pour éviter toute discrimination envers ces personnes.
Le tabac accélère l’évolution de la sclérose en plaques
http://www.inpes.sante.fr/TA/pdf/Tabactu101.pdf
Site del’INPES : www.inpes.sante.fr
Sclérose en plaques
– maladie neurologique inflammatoire chronique évoluant le plus souvent par poussées, concernant 70 000 à 90 000 personnes en France ;
– constitue la première cause de handicap acquis de l’adulte jeune non lié à un accident ;
– dans 85 % des cas, la SEP débute par une forme à poussées (forme rémittente). En moyenne, les poussées se succèdent à un rythme d’environ une par an ; pour la moitié des patients, après 10 ans d’évolution, la phase de poussées se transforme en phase chronique progressive.
Plusieurs études ont mis en relation une augmentation du risque de déclenchement d’une sclérose en plaques (SEP) avec la consommation de tabac et/ou le tabagisme passif. En revanche, on connaît peu l’impact du tabagisme sur la progression de la maladie une fois celle-ci installée, en particulier sur la sévérité des lésions cérébrales observées par imagerie par résonance magnétique (IRM). Un essai clinique longitudinal sur le sujet vient d’être publié, associant évaluation clinique et radiologique.
Bouger plus c’est possible !
http://www.mangerbouger.fr/menu-secondaire/bouger-plus-c-est-possible/.html
Le repère essentiel
Le repère à garder en tête en matière d’activité physique : l’équivalent d’ au moins 30 minutes de marche rapide chaque jour pour les adultes et 60 minutes pour les enfants !
Découvrez dans cette rubrique pourquoi faire 30 minutes d’activité physique par jour. Vous verrez également que l’activité physique, ce n’est pas faire du sport, c’est aussi et surtout des petits réflexes simples au quotidien
SEVRAGE TABAGIQUE : les gommes à mâcher à la nicotine une aide remise en cause ?
http://www.inpes.sante.fr/TA/pdf/Tabactu101.pdf
Site del’INPES : www.inpes.sante.fr
L’arrêt du tabac est une entreprise difficile. Le traitement par substitution nicotinique a pour objectif de remplacer la nicotine contenue dans les cigarettes.
Parmi les formes galéniques disponibles, les gommes à mâcher sont largement utilisées, notamment par de nombreux fumeurs qui ne sont pas prêts à arrêter leur tabagisme et qui préfèrent réduire le nombre de cigarettes quotidiennes en s’aidant de ces substituts nicotiniques. Une équipe suisse a cherché à savoir si ce mode de sevrage (réduction + substituts) était efficace lorsque le fumeur avait recours aux gommes à mâcher. Cette approche (dite « cut down to quit » : diminuer pour arrêter) est en effet peu documentée.