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société, cadre de vie - Page 323

  • Baccalauréat : résultats juin 2017 (26 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 31 juillet 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/baccalaureat-87-9-admis-session-juin-2017.html?xtor=EPR-56.html

    Baccalauréat : 87,9% d’admis à la session de juin 2017

    Le ministère de l’Éducation nationale a publié les chiffres du baccalauréat 2017 (session de juin). Avec 87,9% d’admis, le taux de réussite global de la session de juin 2017 est en légère baisse par rapport à celui de la session de juin 2016 (88,5%).

    729 600 candidats se sont présentés aux épreuves du baccalauréat en juin 2017, 641 700 ont été reçus.

    Dans les séries générales, le taux de réussite global est en baisse par rapport à 2016 et s’établit à 90,7%. La baisse la plus marquée est celle de la série ES qui passe sous la barre des 90% (89% de réussite).

    Dans les séries technologiques, le taux de réussite atteint 90,5% soit un niveau quasi identique à 2016 (-0,2 point). Le taux de réussite est de 91,2% dans le secteur de la production (STI2D, STL, STAV), de 89,9% dans le secteur des services (ST2S, STMG, Hôtellerie) et de 96,7% dans le secteur "disciplinaire" (STD2A et TMD).

    Dans les séries professionnelles, le taux de réussite global baisse légèrement (-0,7 point) rapport à 2016 pour s’établir à 81,5%. Le taux de réussite est de 79,4% dans le secteur de la production et de 83,4% dans le secteur des services.

    A l’issue de la session de juin 2017, 47,5% des candidats ont obtenu une mention. Au baccalauréat général, 53,4% des candidats sont admis avec mention (13% mention très bien, 16,9% mention bien, 23,5% mention assez bien).

    En 2017, la part des bacheliers dans une génération atteint 78,9% (+0,1 point par rapport à 2016).

    Mots clés : Enseignement

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    Sur la toile publique

  • Déserts médicaux : propositions du Sénat (24 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 8 août 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/sante-propositions-du-senat-pour-reduire-deserts-medicaux.html

    Santé : les propositions du Sénat pour réduire les déserts médicaux

    le 8 08 2017

    La question des inégalités territoriales dans l’accès aux soins est le thème du rapport d’information présenté, le 26 juillet 2017, par les sénateurs Jean-Noël Cardoux et Yves Daudigny. Ces derniers préconisent différentes mesures pour lutter plus efficacement contre les déserts médicaux.

    L’état des lieux

    Les effectifs des professionnels de santé ont augmenté à un rythme plus élevé que celui de la population lors des 40 dernières années. Pourtant, l’accès aux soins peut être difficile car les médecins sont répartis de façon très inégale sur le territoire. D’un département à l’autre, la densité des médecins généralistes varie du simple au double. Les écarts de densité pour les infirmiers vont de 1 à 7. Ces écarts sont encore plus importants à un échelon territorial plus fin.

    Ces disparités sanitaires vont encore s’accroître dans les années à venir en raison de plusieurs phénomènes : crise démographique des médecins, façon de travailler des jeunes praticiens qui impacte sur le temps médical disponible (il faut parfois aujourd’hui 1,5 médecin pour remplacer un départ en retraite), vieillissement de la population française.

    Depuis plus de dix ans, l’État, l’assurance maladie et les collectivités territoriales ont mis en place de nombreux dispositifs pour améliorer l’offre sanitaire dans les zones sous-dotées (aides à l’installation, bourses d’étude, mesures fiscales, etc.). Toutefois, selon le rapport, ces dispositifs se sont superposés et manquent d’une stratégie globale.

    Une diversité d’outils à mobiliser pour améliorer l’accès géographique aux soins

    Les sénateurs formulent 19 propositions. Ils préconisent notamment de :

    • généraliser les guichets uniques auprès des agences régionales de santé pour informer les médecins des aides financières à l’installation ;
    • favoriser des modes d’exercice plus souples et diversifiés du métier susceptibles d’inciter les jeunes médecins à s’installer (par exemple en valorisant des statuts intermédiaires comme celui d’adjoint ou de collaborateur) ;
    • soutenir la création des maisons de santé et la structuration de nouveaux réseaux entre praticiens ;
    • déployer la télémédecine, en adaptant son cadre de financement ;
    • créer l’ancrage géographique des praticiens dès le stade de la formation initiale, notamment en développant les stages en ambulatoire pour les futurs médecins dans les zones désertées.

    Dans sa déclaration de politique générale du 4 juillet 2017, le Premier ministre a précisé que la ministre en charge de la santé, Agnès Buzyn, préparait un plan de lutte contre les déserts médicaux pour septembre 2017.

    Sur la toile publique

    Qu’est-ce qu’un désert médical ? - Découverte des institutions, Vie-publique.fr 

  • Jour de dépassement de la Terre (23 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note de synthèse publiée le 7 août 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11921?xtor=EPR-100.html

    Qu'est-ce que le jour de dépassement de la Terre ?

    Publié le 07 août 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Le jour de dépassement de la Terre est déterminé par l’organisation non gouvernementale de recherche Global Footprint Network et correspond à la date à laquelle la demande annuelle de l'humanité sur la nature dépasse la capacité de la Terre à régénérer des ressources naturelles sur l'année entière. En 2017, Global Footprint Network a fixé le jour du dépassement mondial au 2 août.

    À cette occasion, le ministre de la transition écologique et solidaire a rappelé les initiatives de la France en faveur d'une transition écologique : le plan climat, les États généraux de l'alimentation et la loi pour la reconquête de la biodiversité.

    La détermination du jour de dépassement de la Terre est une initiative de l'organisme international de recherche Global Footprint Network. Cet organisme met à disposition des indicateurs simples, pertinents et adaptables à diverses échelles et des informations utiles sur la consommation et la disponibilité des ressources naturelles à partir de données collectées (comptes de ressources) pour plus de 200 pays et régions de 1961 à nos jours. Ces comptes de ressources s'appuient principalement sur les données des Nations Unies. Ils sont disponibles en ligne sur la plate-forme ouverte de données Ecological Footprint Explorer .

    L’organisation propose en ligne un calculateur d'empreinte permettant aux utilisateurs de mesurer leur propre demande sur la nature (empreinte écologique). Il leur permet également d'évaluer la date de leur jour du dépassement mondial personnalisé. Ce calculateur, encore en version bêta, n'est pour l'instant disponible qu'en anglais. Les futures versions seront multilingues et plus spécifiques pays par pays.

    Nous utilisons actuellement l'équivalent de 1,7 Terres par an. Global Footprint Network consacre une rubrique de son site (#movethedate) sur des solutions et des promesses individuelles susceptibles de faire reculer la date du dépassement mondial. L'organisation estime que si nous retardons le jour du dépassement mondial de 4,5 jours chaque année, nous vivrons d'ici 2050 en harmonie avec les ressources écologiques terrestres.

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de l'environnement

    Global FootprintNetwork

  • Prix agricoles : point mensuel et annuel (21 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui (hors tableaux et graphiques) cette note d’analyse publiée le 27 juillet 2017 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2908281.html

     

    En juin 2017, hausse des prix des produits agricoles de 3,2 % sur un an

    En juin 2017, les prix des produits agricoles (Indices des prix agricoles IPPAP, IPAMPA) continuent de ralentir sur un an (+3,2 % après +5,3 % en mai et +6,6 % en avril). Hors fruits et légumes, ils diminuent de 0,2 % sur un mois et croissent de 4,0 % sur un an.

    Sommaire

    1. Les prix des céréales se redressent tandis que ceux des oléagineux continuent de diminuer
    2. Les prix des fruits frais chutent ; ceux des légumes frais augmentent légèrement
    3. Prix des animaux en baisse, prix du lait en hausse
    4. Baisse des prix d'achat des moyens de production
    5. Révision

     

    En juin 2017, les prix des produits agricoles continuent de ralentir sur un an (+3,2 % après +5,3 % en mai et +6,6 % en avril). Hors fruits et légumes, ils diminuent de 0,2 % sur un mois et croissent de 4,0 % sur un an.

    1.Les prix des céréales se redressent tandis que ceux des oléagineux continuent de diminuer

    En juin 2017, les prix des céréales rebondissent (+2,8 %). Les canicules en Europe de l'Ouest et aux États-Unis ont suscité des craintes de baisse de rendement pour le blé et le maïs. Les prix des oléagineux décroissent de nouveau (−11,5 % sur trois mois) : la baisse du prix du pétrole limite l'attrait des agro-carburants tandis que le marché des huiles est saturé en raison d'une demande atone de l'industrie agro-alimentaire.

    2.Les prix des fruits frais chutent ; ceux des légumes frais augmentent légèrement

    En juin 2017, les prix des fruits frais se replient nettement sur un an (−12,4 %). Le prix de l'abricot plonge d'un tiers sous l'effet d'une offre abondante. Les températures élevées en juin ont accéléré les récoltes en France ; celles-ci sont de plus concurrencées par les arrivages espagnols saisonniers. Le prix de la cerise chute aussi, de près de 20 %. Sa production est revenue à la normale par rapport aux faibles volumes de l'an dernier. À l'inverse, les prix des légumes frais se redressent un peu (+1,1 %). Celui de la tomate est en hausse, le temps précocement estival ayant précipité la demande. Les prix des vins diminuent globalement de 0,5 % sur un an : ceux des vins d'appellation augmentent de 1,9 % tandis que les prix des vins sans appellation, concurrencés par les vins espagnols, baissent de 10,8 %.

    3.Prix des animaux en baisse, prix du lait en hausse

    En juin, les prix des animaux continuent de baisser dans l'ensemble (−1,3 % après −0,6 %). Le prix du porc recule depuis deux mois (−5,9 % en juin après −2,7 %) avec le repli de la demande chinoise. Le prix des ovins augmente franchement (+6,2 %) avec, côté demande, la fin du ramadan et, côté offre, un recul des exportations néo-zélandaises.

    4.Baisse des prix d'achat des moyens de production

    En juin 2017, les prix des consommations intermédiaires diminuent de nouveau (−0,7 %, comme en mai) du fait de la baisse des prix des engrais (−4,3 %) et de l'énergie (−2,3 %). Sur un an, ils se replient de 0,3 %, freinés notamment par la baisse du prix des engrais (−4,9 %). Les prix des biens d'investissement sont stables sur le mois et en hausse de 1,7 % sur un an.

    5.Révision

    L'évolution sur un an de l'IPPAP a été abaissée de 0,1 point en mai ; celle de l'IPAMPA est inchangée.

  • Canicule : bilan, prévention (18 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 28 juillet 2017 sur le site Santé Publique France (cliquer ici pour accéder au site Santé Publique France)

    http://www.santepubliquefrance.fr/Accueil-Presse/Tous-les-communiques/Bilan-sanitaire-national-de-l-episode-de-canicule-du-mois-de-juin-restons-vigilants.html

    Bilan sanitaire national de l’épisode de canicule du mois de juin : restons vigilants

    Une vague de chaleur déclenchant les niveaux de vigilance jaune et orange du Plan National Canicule est survenue sur le territoire métropolitain entre les 17 et 25 juin 2017.
    Cet épisode de canicule a été précoce et étendu géographiquement puisqu’il a concerné, au plus fort de l’épisode, près de 87 % de la population métropolitaine, soit plus de 56 millions de personnes.

    Les données épidémiologiques recueillies par Santé Publique France montrent un impact sanitaire s’étant traduit par :

    • de nombreux recours aux soins pour pathologies liées à la chaleur : 3 062 passages aux urgences et 1 460 consultations à SOS Médecins.
    • une hausse des indicateurs de mortalité au niveau national : sur la période de la vague de chaleur (semaine 25), une hausse tous âges de 6% a été observée, soit un excès estimé de 580 décès qui touche plus particulièrement les 15-64 ans (13%, soit un excès estimé de 215 décès) et plusieurs décès – avec un lien suspecté avec la chaleur - ont été signalés sur le lieu de travail des personnes. Il faut noter qu’il n’y a pas eu d’excès significatif de mortalité chez les 65 ans et plus.

    Au-delà des actions de prévention menées chez les personnes âgées et les personnes vulnérables, les particularités soulignées ci-dessus et relatives aux impacts sur la santé constatés lors de cet épisode précoce de canicule soulignent l’importance de renforcer la prévention en milieu professionnel.

    La Direction générale de la santé, la Direction générale du travail et Santé publique France souhaitent rappeler les recommandations applicables pour toute la population et pour les travailleurs.

    En particulier, il convient d’insister sur la nécessité d’éviter les efforts physiques pendant les vagues de chaleur, aux heures les plus chaudes de la journée, pour toutes les classes d’âge.

    Pour les mesures concernant les travailleurs, il est rappelé que les employeurs sont tenus de prendre des mesures visant à assurer la sécurité et à protéger la santé des travailleurs de leurs établissements (aménagements d’horaires, limitation ou report des activités susceptibles d’avoir un effet délétère sur la santé de leurs travailleurs : port de charge, exposition au soleil aux heures les plus chaudes, etc.).

    Les Directions régionales de l’économie, de la concurrence et de la consommation, du travail et de l’emploi (DIRECCTE) invitent les entreprises à adapter l’organisation du travail en prévision de fortes chaleurs et, dans ce cadre,

    • elles informent et sensibilisent les organisations professionnelles et les entreprises sur les risques et les mesures de prévention ;
    • elles mobilisent les services de santé au travail et l’inspection du travail qui peuvent intervenir au plus près des situations de travail.
    PLUS D'INFORMATIONS :

    Les conseils de prévention :

    http://solidarites-sante.gouv.fr/sante-et-environnement/risques-climatiques/canicule
    http://inpes.santepubliquefrance.fr/10000/themes/evenement_climatique/canicule/canicule-agir.asp
    http://travail-emploi.gouv.fr/sante-au-travail/autres-plans-gouvernementaux/article/plan-canicule-2017

    Le bilan national de l’impact sur la santé :

    http://invs.santepubliquefrance.fr/Dossiers-thematiques/Environnement-et-sante/Climat-et-sante/Chaleur-et-sante/Actualites/Canicule-du-17-au-25-juin-2017.-Bilan-national-au-26-juillet-2017

  • Consommation des ménages : juin (16 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui (hors tableaux et graphiques) cette note d’analyse publiée le 28 juillet 2017 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2908290.html

    La consommation des ménages en biens se replie en juin 2017 (−0,8 %) mais rebondit sur l'ensemble du 2e trimestre (+0,4 %).

    En juin 2017, les dépenses de consommation des ménages en biens diminuent de 0,8 % en volume*, après deux mois consécutifs de hausse. Cependant, elles rebondissent sur l'ensemble du 2e trimestre (+0,4 % après −0,4 %).

    (*Les volumes sont mesurés aux prix de l'année précédente chaînés (en milliards d'euros 2010) et corrigés des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables (CVS-CJO).

     

    Sommaire

    1.Biens fabriqués : net repli en juin, légère hausse sur le trimestre

    2.Biens durables : repli en juin, accélération sur le trimestre

    3.Habillement-textile : baisse en juin et sur le trimestre

    4.Autres biens fabriqués : légère hausse en juin, repli sur le trimestre

    5.Alimentaire : nouvelle baisse en juin, légère accélération sur le trimestre

    6.Énergie : légère baisse en juin, léger rebond sur le trimestre

    7.L'évolution de mai 2017 est légèrement abaissée

     

    1.Biens fabriqués : net repli en juin, légère hausse sur le trimestre.

    En juin 2017, les achats de biens fabriqués se contractent (−1,0 % après +1,2 %). Sur l'ensemble du trimestre, ils augmentent très légèrement (+0,2 %) : le recul des dépenses en textile-habillement atténue le rebond des achats de véhicules et le dynamisme des achats de biens d'équipement du logement.

    2.Biens durables : repli en juin, accélération sur le trimestre

    En juin, la consommation en biens d'équipement du logement, notamment en produits électroniques grand public, baisse pour le troisième mois consécutif. Elle ralentit sur l'ensemble du trimestre (+0,9 % après +1,8 %).

    Les achats d'automobiles sont quasi stables en juin : le repli en véhicules neufs est compensé par une accélération des achats de véhicules d'occasion et de deux-roues. Sur l'ensemble du trimestre, les achats d'automobiles rebondissent (+1,0 % après −0,9 %).

    3.Habillement-textile : baisse en juin et sur le trimestre

    En juin, les dépenses en habillement-textile se replient fortement (−4,7 %). La baisse est moins marquée sur l'ensemble du trimestre (−0,4 %).

    4.Autres biens fabriqués : légère hausse en juin, repli sur le trimestre

    En juin, les achats en « autres biens fabriqués » se redressent légèrement (+0,3 % après −0,1 %), principalement grâce au rebond des dépenses en quincaillerie-bricolage. Sur l'ensemble du trimestre, ces achats se replient (−0,4 % après une stabilité au premier trimestre).

    5.Alimentaire : nouvelle baisse en juin, légère accélération sur le trimestre

    En juin 2017, la consommation totale de produits alimentaires diminue nettement (−0,8 % après −0,1 % en mai). Toutefois, la consommation de tabac est en hausse. Sur l'ensemble du deuxième trimestre, les dépenses alimentaires accélèrent légèrement (+0,6 % après +0,4 %).

    6.Énergie : légère baisse en juin, léger rebond sur le trimestre

    En juin 2017, la consommation d'énergie se replie légèrement (−0,2 %), après deux mois de hausse soutenue. Les dépenses en gaz et électricité diminuent ; celles en produits raffinés augmentent (+0,7 %) du fait de la très forte hausse des achats de fioul tandis que la consommation de tous les autres carburants recule. Sur l'ensemble du trimestre, les dépenses d'énergie rebondissent légèrement (+0,5 %), après une forte baisse au premier trimestre (−3,2 %).

    7.L'évolution de mai 2017 est légèrement abaissée

    Par rapport à l'estimation précédente, l'évolution des dépenses de consommation des ménages en biens en mai 2017 est abaissée de 0,1 point, à +0,9 %. Depuis la précédente publication, de nouvelles informations ont été intégrées et les coefficients de correction des variations saisonnières ont été actualisés.