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société, cadre de vie - Page 323

  • Couples : harcèlement psychologique (04 01 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 29 décembre 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160320512.html

     

     

    Question écrite n° 20512 de Mme Stéphanie Riocreux (sénatrice d’Indre-et-Loire)

    Mme Stéphanie Riocreux appelle l'attention de M. le garde des sceaux, ministre de la justice sur le rapport adopté le 11 février 2016 à l'unanimité par la délégation aux droits des femmes et à l'égalité des chances entre les hommes et les femmes du Sénat, intitulé : « 2006-2016, un combat inachevé contre les violences conjugales ».

     

    Ce rapport fait une évaluation des dispositifs de lutte contre les violences faites aux femmes et avance plusieurs recommandations. Il suggère notamment d'adresser une circulaire aux procureurs encourageant la caractérisation du délit de harcèlement psychologique au sein du couple, défini par l'article 222-33-2-1 du code pénal (« fait de harceler son conjoint, son partenaire lié par un pacte civil de solidarité ou son concubin par des propos ou comportements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de vie se traduisant par une altération de sa santé physique ou mentale », dont l'auteur peut aussi être un ancien conjoint, concubin ou partenaire), et d'initier une réflexion sur la possibilité de modifier la nomenclature d'enregistrement des dossiers, afin de pouvoir caractériser les dossiers relatifs aux violences faites aux femmes traités au sein des juridictions.

     

    Elle lui demande quelles suites il pourrait réserver à cette proposition.

     

    Réponse du Ministère de la justice publiée dans le JO Sénat du 29/12/2016 p. 5652

     

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  • CIAPA : actions de formation-conseils 64 (03 01 2017)

    « CALENDRIER MENSUEL DES ACTIONS DE LA GERONTOLOGIE ET DU   HANDICAP DANS LES PYRENEES ATLANTIQUES : JANVIER 2017 »

    Nous diffusons volontiers les actions relayées et coordonnées par nos amis du CIAPA (Comité départemental d'Intervention et d'Animation Pour l'Autonomie) sur notre département (cliquer ici pour accéder au site du CIAPA)

    http://ciapa.fr/index.html

     

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    Arthez-de-B.

       

     

     

             

     

       

     

         

     

     

     

     

     

     

    Barinque

       

     

     

             

     

               

     

     

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    Bayonne

       

     

     

             

     

               

     

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    Biarritz

       

     

     

             

     

               

     

     

     

     

     

     

    Cambo

       

     

     

             

     

     

     

           

     

     

     

     

     

     

    Claracq

       

     

     

             

     

               

     

     

     

     

     

     

    Gelos

       

     

     

             

     

               

     

     

     

     

     

     

    Lacq-Audejos

       

     

     

             

     

               

     

     

     

     

     

     

    Lescar

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    Oloron

       

     

     

           

     

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    Orthez

       

     

     

             

     

         

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    Rébénacq

       

     

     

             

     

               

     

     

     

     

     

     

    Sauveterre

       

     

     

             

     

         

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    Sévignacq

       

     

     

             

     

       

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    Thèze

       

     

     

             

     

               

     

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    Focus

    Toute l’équipe du CIAPA vous souhaite ses meilleurs vœux pour cette fin d’année 2016 et l’année à venir.

    Elle profite de l’occasion pour vous informer que vous retrouverez notamment le Rendez-vous APPI dès le mois de janvier 2017. Dates et détails ci-dessous :

     

    Mercredi 25 à BAYONNE

     

    Les rendez-vous  APPI, une  approche préventive, dans un lieu non institutionnel et  convivial en appui d’un  support ludique :

     

    Le rendez-vous APPI : Aidants ? Parcours Prévention Initiatique  est un temps offert au proche aidant d’une personne en perte d’autonomie vieillissante, en situation d’handicap et/ou atteinte d’une maladie invalidante.

    Cette rencontre a pour vocation de faire prendre conscience au proche aidant  de son statut, de son rôle, de ses limites et des différents dispositifs d’accompagnement existants sur le territoire des Pyrénées Atlantiques pour lui et la personne qu’il soutien.

    Encadré par deux professionnels, le rendez-vous APPI  va permettre au proche aidant de cheminer et choisir son parcours d’accompagnement auprès des professionnels ressources du département.

    Le rendez-vous APPI soutenu par la SMLH,  est gratuit  et au plus près de vous. Inscriptions auprès du CIAPA pour définir avec vous le lieu et l’heure de la rencontre. Contactez-nous au 05.59.80.16.37

     

    Prochaines rencontre APPI à venir :

     Le lundi 20 février 2017

     Le mercredi 08 mars 2017

     Le mercredi 19 avril 2017 

     Le Vendredi 19 mai 2017

     

    L’année 2017 est également, pour le CIAPA, l’occasion de vous présenter les deux nouvelles actions qu’il propose :

     

     

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  • Agences immobilières : pratiques abusives (30 12 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 8 décembre 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160722722.html

     

    Question écrite n° 22722 de M. Henri Cabanel (sénateur de l’Hérault)

    Henri Cabanel demande à Mme la ministre du logement et de l'habitat durable de renforcer la lutte contre les pratiques abusives et le manque de transparence de certaines agences immobilières qui ne respectent pas les dispositions de la loi n° 2014-366 du 24 mars 2014 pour l'accès au logement et un urbanisme rénové (loi ALUR), notamment en matière de plafonnement des honoraires et de fourniture d'informations obligatoires, sur le marché de la location.

     
    La loi ALUR a fixé des plafonds selon des zones définies pour le règlement de ces honoraires (zones très tendues, tendues et non tendues). Or, les annonces sur les sites de location, accessibles à tous, se trouvent souvent en entorse avec ces dispositions, sans que des sanctions soient prises contre ces pratiques illégales. La personne en quête d'un logement se voit ainsi condamnée à payer des honoraires fixés de manière arbitraire si elle veut obtenir la location. Cela est particulièrement préjudiciable dans les zones tendues et très tendues, où le marché de la location est très concurrentiel.

     
    L'association UFC Que choisir a publié une enquête, soulignant que dans 30 % des agences visitées, soit 392 agences enquêtées, des illégalités ont été constatées. Selon les chiffres de cette enquête, pas moins de 35 % des agences n'affichaient pas systématiquement (28 % en 2011) l'information sur le diagnostic de performance énergétique (DPE) alors même qu'en raison de la flambée des prix de l'énergie, cette information est particulièrement importante pour le locataire qui ne peut pas intervenir sur l'isolation du logement. 26 % des agences n'affichent toujours aucune information sur les honoraires en vitrine (21 % en 2011).

     
    Parce que le logement constitue un droit fondamental, il demande donc l'intensification des contrôles administratifs auprès des agences immobilières, afin que l'ensemble de ce secteur se conforme à ses obligations légales et réglementaires. 

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère de l'économie et des finances, chargé du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire publiée dans le JO Sénat du 08/12/2016 p. 5347

     

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  • Autocars : bilan annuel (29 12 2016)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 18 novembre 2016 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/autocars-mode-transport-expansion-depuis-loi-macron-20161118.html?xtor=EPR-56.html

    Autocars : un mode de transport en expansion depuis la loi Macron

    L’Autorité de régulation des activités ferroviaires (Arafer), chargée d’observer l’évolution du marché des transports par autocar, publie le 7 novembre 2016, son premier rapport annuel dédié à ce thème. Le rapport analyse, pour la période du 8 août 2015 au 30 juin 2016, le développement du marché du transport régulier de voyageurs par autocar autorisé par la loi du 6 août 2015, dite "loi Macron".

    Cinq opérateurs nationaux et un opérateur régional ont investi ce nouveau marché. Sur la période étudiée, ils ont mis en place 257 lignes régulières assurant la desserte de 193 villes et transporté 3,4 millions de passagers représentant 1,2 milliard de voyageurs-kilomètres (unité de mesure qui équivaut au transport d’un voyageur sur une distance d’un kilomètre). Les opérateurs ont pratiqué une tarification attractive pour le lancement de leur activité mais l’Arafer note une tendance à l’augmentation des tarifs depuis le début 2016.

    Près des deux tiers des voyageurs se concentrent sur des trajets entre Paris et la province avec trois liaisons plus particulièrement empruntées : Paris-Lille, Paris-Lyon et Paris-Rouen. 50% des liaisons commercialisées n’ont pas de concurrence en transports collectifs terrestres. Les autocars issus de la législation de 2015 opèrent surtout sur des liaisons de moyennes et de longues distances, distinctes de celles visées par l’offre régionale de transport routier. La longueur moyenne d’une liaison est de 238 km alors qu’elle est de 28 km pour les services conventionnés. Seule une quarantaine de liaisons fait l’objet d’une double desserte par des services libres et des services conventionnés. La nouvelle offre entre donc davantage en concurrence avec le transport ferroviaire. Néanmoins, cette offre de transport reste encore marginale si on la compare à d’autres modes de transport : les voitures particulières comptent 738 milliards de voyageurs-kilomètres sur la même période et le train 94,2 milliards de voyageurs-kilomètres.

    Pour ce qui est de l’emploi, le rapport indique que le nombre de salariés dans le secteur est passé de 650 à 2 000.

    S’agissant des gares routières, le rapport pointe la difficulté d’identifier les aménagements réalisés dans un certain nombre de régions par manque de données disponibles. Au 30 juin 2016, 77 des 171 communes desservies par les cinq premiers opérateurs ne disposaient pas de gare routière

  • Précarité énergétique (27 12 2016)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 5 décembre 2016 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/precarite-energetique-realite-pour-francais-cinq.html?xtor=EPR-56.html

    Précarité energétique : une réalité pour un Français sur cinq

    L’Observatoire national de la précarité énergétique (ONPE) a présenté, le 22 novembre 2016, la deuxième édition des chiffres clés de la précarité énergétique.

    La précarité énergétique a été définie par la loi du 10 juillet 2010 (dite loi Grenelle II). Une personne est considérée en situation de précarité énergétique lorsqu’elle éprouve des difficultés particulières à disposer de la fourniture d’énergie nécessaire à la satisfaction de ses besoins élémentaires en raison de l’inadaptation de ses ressources ou de ses conditions d’habitat. Selon cette définition, la précarité énergétique touche aujourd’hui en France une personne sur cinq, soit près de 12 millions de personnes.

    Pour mesurer la précarité énergétique, des indicateurs nationaux ont été construits :

    • le taux d’effort énergétique est le rapport entre les dépenses d’énergie et les revenus des ménages. 10,4% des ménages (soit 5,5 millions de personnes) consacrent 10% de leurs revenus à l’énergie. Il s’agit le plus souvent de locataires aux revenus modestes qui vivent dans des logements vieillissants (datant d’avant 1975) situés dans les grandes villes ou en zone rurale ;
    • les indicateurs Bas Revenu Dépenses Élevées (BRDE) permettent de repérer les ménages dont les dépenses d’énergie ne sont pas soutenables. Selon l’ONPE, 3,8 millions de ménages sont concernés ;
    • l’indicateur de froid est fondé sur le ressenti des ménages en matière de confort thermique. En 2013, 1,6 million de ménages ont déclaré avoir froid en raison de motifs relevant de la précarité énergétique (pannes d’installation, des coupures du fournisseur, mauvaise isolation, etc.).

    Une autre dimension de la précarité énergétique concerne les difficultés liées à la mobilité. Le coût du carburant pénalise les ménages précaires qui consacrent une part importante de leur budget à leurs dépenses de carburant ou qui se restreignent dans leurs déplacements.

    Face à ces constats, l’État et les collectivités ont mis en œuvre de nombreux dispositifs d’aide tels que les tarifs sociaux de l’énergie, le chèque énergie, les aides à la rénovation du bâti et des dispositifs d’information. Le suivi de ces dispositifs ne renseigne que partiellement sur l’évolution de la précarité énergétique car ils restent encore mal connus.

  • Personnes handicapées : épargne (26 12 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 12 octobre 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ16051441S.html

    Question orale n° 1441S de Mme Pascale Gruny (sénateur de l’Aisne)

    Mme Pascale Gruny attire l'attention de Mme la secrétaire d'État, auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes handicapées et de la lutte contre l'exclusion sur les moyens dont disposent les personnes handicapées pour se constituer une épargne. 

    Il existe actuellement deux formules d'assurance permettant aux personnes handicapées de se constituer un complément de ressources : la rente survie, souscrite par un parent, et l'épargne-handicap, souscrite par la personne handicapée.

     
    La rente survie permet à l'un des deux parents ou aux deux parents d'un enfant handicapé de souscrire auprès d'une compagnie d'assurances, soit individuellement, soit par contrat collectif, un contrat ayant pour objet le versement, à compter de leur décès, d'une rente viagère au profit de leur enfant handicapé. L'épargne-handicap est quant à elle souscrite par la personne handicapée elle-même et garantit à l'assuré le versement d'un capital ou d'une rente viagère à son terme (la durée effective devant être au moins égale à six ans).

     
    Seules les rentes versées au titre du contrat de rente survie peuvent être cumulées sans limitation avec l'allocation pour adultes handicapés (AAH), alors que le montant imposable des rentes issues d'un contrat épargne handicap ne doit pas excéder 1 830 euros annuels sous peine de voir l'AAH réduite à due concurrence (article D. 821-6 du code de la sécurité sociale).


    Dès lors, bien que présenté comme un des outils les plus performants dont disposent les personnes handicapées désireuses de se constituer un complément de ressources, le contrat épargne handicap reste un contrat accessoire dans la mesure où il ne permet de créer qu'une très faible rente.

     
    Une étude a démontré que, sur 6 000 contrats souscrits par les parents au bénéfice de leur enfant dans le cadre de contrats de rente survie, la moyenne des rentes annuelles servies s'élève à 2 875 euros. Dès lors, par parallélisme, un plafonnement annuel à 2 875 euros permettrait au contrat épargne handicap de jouer pleinement son rôle et d'offrir une alternative intéressante au contrat de rente survie.

     
    Bien que tant attendue par les personnes handicapées et leurs familles depuis de nombreuses années, cette disposition n'a fait l'objet d'aucun décret. Elle s'interroge sur les intentions et les moyens qui pourraient être mis en œuvre par le Gouvernement à ce sujet. 

     

    Réponse du Secrétariat d'État auprès du ministère des affaires sociales et de la santé, chargé des personnes âgées et de l'autonomie publiée dans le JO Sénat du 12/10/2016 p. 14728

     

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