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société, cadre de vie - Page 423

  • Conjoncture : confiance des ménages (déc. 2013) (11 01 2014)

    Extraits (hors graphiques et tableaux) d’une note d’analyse publiée le 7 janvier 2014 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=20&date=20140107.html

    En décembre 2013, la confiance des ménages augmente légèrement (+1 point)

    En décembre 2013, la confiance des ménages augmente légèrement. L’indicateur qui la synthétise gagne un point par rapport à son niveau de novembre.

    Situation personnelle

    Situation financière : quasi-stabilité

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  • Loi de Santé : Conférence-Débat à Pau (09 01 2014)

    Loi de Santé : Conférence-Débat à Pau

    Nous reproduisons ici volontiers, au moins pour nos lecteurs du Béarn et de Soule, cette information publiée ces jours derniers dans la presse locale (in La République des Pyrénées du 08 01 2014), relative à une très prochaine réunion sur le projet de Loi sur la Santé.

     

     

    LA LOI SUR LA SANTE SERA DISCUTEE A PAU

    L’Ecole d’Infirmières (IFSI) de l’Hôpital de Pau accueillera vendredi, de 14h30 à 17h30, un grand débat public. Animés par le directeur de l’agence régionale de santé (ARS)  Michel Laforcade, les échanges ont vocation à nourrir la future loi de santé que prépare notre gouvernement.
    Sera normalement évoquée la coordination entre médecine de ville et hôpital.

  • Médecins généralistes : risques de pénurie (aggl. de Pau) (08 01 2014)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 5 décembre 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ130305541.html


    Question écrite n° 05541 de Mme Frédérique Espagnac (sénateur socialiste des Pyrénées-Atlantiques)

    Mme Frédérique Espagnac attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le risque de pénurie de médecins généralistes dans certaines zones de notre pays. 
    Avec 84 médecins généralistes, l'agglomération paloise est, pour le moment, le secteur du Béarn le mieux pourvu en médecins généralistes. Or, cela ne devrait pas durer. En effet, alors que la population de l'agglomération ne cesse d'augmenter, le nombre de médecins ne cesse, lui, de diminuer. 
    Depuis 2006, alors que douze médecins ont pris leur retraite, seuls quatre nouveaux médecins se sont installés dans l'agglomération paloise. Compte tenu des informations disponibles, cette situation ne devrait pas s'inverser dans les cinq années qui viennent sauf intervention de l'État. 
    Les cabinets de médecins généralistes de l'agglomération paloise commencent à saturer, notamment, dans les zones les plus urbanisées.

     
    Dès lors, elle souhaiterait savoir quelles solutions le Gouvernement entend mettre en œuvre pour pérenniser l'offre de soins de proximité aux habitants de l'agglomération paloise.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 05/12/2013 - page 3487

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  • Stations-services : normes (06 01 2014)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 5 décembre 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ130908086.html

    Question écrite n° 08086 de M. Roland Courteau (sénateur socialiste de l’Aude)

     

    M. Roland Courteau attire l'attention de M. le ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie sur les conséquences, pour de nombreuses stations-services, des travaux de mise aux normes qui leur sont imposés par l'Union européenne.

     
    Il lui indique que, compte tenu de coûts importants générés par ces travaux, il est à craindre, que de nombreuses stations-services ne ferment leurs portes dans les prochains mois.

     
    Il lui précise que le nombre de stations-services est passé de 47 500, dans les années 1970, à 12 300 en 2012.

     
    Il lui fait également remarquer que 250 enseignes disparaissent chaque année et qu'actuellement, environ quatre millions de Français ne disposeraient pas de tels services de proximité, auxquels pourraient s'ajouter 3,6 millions de personnes supplémentaires, si la station la plus proche de leur domicile venait à fermer.

     
    Il lui indique également que nombre de stations-services qui, remplissent, en quelque sorte, des missions d'intérêt public, sont des petites stations qui vendent moins de 500 000 litres, de carburant par an et sont donc, économiquement, les plus fragiles.

     
    Il lui demande de bien vouloir lui faire connaître son sentiment par rapport à cette situation et les initiatives qu'il envisage de prendre en direction des instances de l'Union européenne afin de modérer leurs exigences. 

     

    Réponse du Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie publiée dans le JO Sénat du 05/12/2013 p. 3510

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  • Pesticides dans les aliments (04 01 2014)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 28 novembre 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ120901738.html

    Question écrite n° 01738 de M. Roland Courteau (sénateur socialiste de l’Aude)

    M. Roland Courteau expose à Mme la ministre des affaires sociales et de la santé que, selon les chercheurs de l'université britannique d'Aston, l'addition de certains pesticides, lorsqu'il en subsiste des traces dans les aliments, peut être dangereuse.

     
    L'étude qu'ils viennent de remettre montre que des substances classées inoffensives peuvent endommager certaines cellules du système nerveux lorsqu'elles sont combinées.

     
    C'est le cas du pyriméthanil, du cyprodinil et du fludioxonil que l'on retrouve sur certains fruits, notamment. 

    Ainsi les chercheurs considèrent que les réactions des cellules face à ces pesticides attestent d'un risque de vulnérabilité accrue à certaines maladies, notamment les maladies d'Alzheimer, de Parkinson ou la sclérose en plaques.

     
    Par ailleurs, des risques cancérigènes sont aussi évoqués.

     
    Or, il lui fait remarquer que cet effet cocktail n'est pas pris en compte par les textes communautaires. Ainsi le règlement REACH analyse les effets des substances chimiques seulement produit par produit.

     
    Il semblerait par ailleurs que la Commission européenne ait refusé de se pencher sur cette question de l'effet cocktail.

     
    Il lui demande de bien vouloir lui faire connaître son sentiment sur cette question. Il lui demande également si des recherches ont été engagées par l'Agence nationale de sécurité sanitaire, de l'alimentation, de l'environnement et du travail et avec quels résultats, et enfin quelles initiatives elle entend prendre en direction de l'Union européenne sur ce sujet. 

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 28/11/2013 p. 3428

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  • Stationnement en ville : procès-verbaux en 2014 (03 01 2014)

     

    Courts extraits d’un article publié le 13 décembre 2013 sur le site de LA TRIBUNE (cliquer ici pour accéder au site de LA TRIBUNE)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20131213trib000800861/la-depenalisation-des-pv-de-stationnement-votee.html

    Aujourd'hui un automobiliste en défaut de ticket de stationnement a l'obligation de payer une amende de 17 euros. …/… quel que soit son département ou sa ville. Mais cela pourrait bien changer avec l'adoption de cette proposition de loi. .../…, les maires auront à choisir le montant du PV, à la condition qu'il ne soit pas supérieur au montant total d'une journée de stationnement. Exemple : à Paris, l'heure coûte 3,60 €, l'amende pourrait ainsi passer à 36 €…/…

    "Il s'agit de donner à la ville la possibilité de gérer son stationnement qui doit devenir un outil d'organisation dans sa politique de transport et de circulation. Pour l'instant, ces amendes ne sont pas dissuasives" (sénateur J. Filleul)…/…

    Outre l'intérêt financier pour les villes, celles-ci devront remettre une part de la somme à l'État mais également en récupérer une partie…/… Après sa promulgation, la mise en application de la réforme devrait durer deux ans.