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société, cadre de vie - Page 426

  • Chômage en France : 3e trimestre 2013 (10 12 2013)

    Chômage en France : 3e trimestre 2013

    Note d’analyse publiée le 5 décembre 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=14&date=20131205.html

    Le taux de chômage augmente de 0,1 point au troisième trimestre 2013

    Avertissement : Au 1er trimestre 2013, le questionnaire de l’enquête Emploi a été rénové, en particulier pour faciliter le déroulement de l’enquête sur le terrain grâce à des questions aux formulations plus simples. Par ailleurs, l’Insee a mis en place au 1er janvier 2013 un nouveau cadre d’emploi de ses enquêteurs, ce qui a entraîné des difficultés d’organisation du réseau des enquêteurs, et pour l’instant une baisse du taux de réponse à l’enquête.

    Certaines reformulations du nouveau questionnaire ont pesé sur la teneur des réponses d’une petite proportion de la population enquêtée. Ceci a un impact sur la mesure en niveau des principaux indicateurs.

    Comme pour la publication du trimestre précédent, cette Informations Rapides présente les résultats de 2013 une fois neutralisé l’effet lié à la rénovation du questionnaire, pour qu’ils soient directement comparables aux résultats du quatrième trimestre 2012 et aux séries longues actuellement disponibles. Ce traitement assure que les évolutions des indicateurs sont pertinentes du point de vue de l’analyse conjoncturelle. L’impact détaillé des reformulations sur les résultats de l’enquête est présenté dans le document « Compléments méthodologiques », rubrique « Pour en savoir plus » de la publication du 5 septembre 2013.

    À partir des résultats du quatrième trimestre 2013 publiés en mars 2014, les statistiques trimestrielles d’emploi et de chômage au sens du BIT intégreront l’impact de la rénovation du questionnaire. De nouvelles séries longues rétro-polées, pour les principaux indicateurs fournis habituellement par l’enquête, accompagneront cette publication.

    Taux de chômage

    Le taux de chômage augmente de 0,1 point au troisième trimestre en France métropolitaine après une stabilisation au deuxième trimestre

    En moyenne sur le troisième trimestre 2013, le taux de chômage au sens du BIT, une fois neutralisé l’effet lié à la rénovation du questionnaire 2013, s’élève à 10,9 % de la population active en France. En France métropolitaine, le taux de chômage atteint 10,5 %, en hausse de 0,1 point par rapport au deuxième trimestre 2013. Sur un an, la hausse est de 0,6 point.

    Révisions

    Le taux de chômage du deuxième trimestre 2013 est révisé de 0,1 point à la baisse par rapport à l’estimation provisoire publiée le 5 septembre 2013 en raison de l’intégration des résultats de l’enquête sur les non-répondants.

    Emploi et activité au sens du BIT

    Le taux d’emploi des 15–64 ans est stable au troisième trimestre 2013 et sur un an, à 63,9 %. Le taux d’emploi des 50-64 ans augmente de 0,2 point au troisième trimestre et celui des 25-49 ans progresse de 0,1 point. Celui des jeunes de 15 à 24 ans recule de nouveau (-0,4 point).

    Le taux d’activité des 15–64 ans progresse de 0,1 point, à 71,4 %. Sur un an, il a augmenté de 0,5 point notamment du fait de la hausse du taux d’activité des seniors de 50 à 64 ans (+1,3 point).

    Rénovation de l’enquête Emploi et premiers résultats 2013

     

    Dans cette publication, les effets des modifications du questionnaire ont été neutralisés afin de fournir des séries longues cohérentes. Selon l’enquête Emploi rénovée, une fois intégrés les effets

    Note d’analyse publiée le 5 décembre 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=14&date=20131205.html

    Le taux de chômage augmente de 0,1 point au troisième trimestre 2013

    Avertissement : Au 1er trimestre 2013, le questionnaire de l’enquête Emploi a été rénové, en particulier pour faciliter le déroulement de l’enquête sur le terrain grâce à des questions aux formulations plus simples. Par ailleurs, l’Insee a mis en place au 1er janvier 2013 un nouveau cadre d’emploi de ses enquêteurs, ce qui a entraîné des difficultés d’organisation du réseau des enquêteurs, et pour l’instant une baisse du taux de réponse à l’enquête.

    Certaines reformulations du nouveau questionnaire ont pesé sur la teneur des réponses d’une petite proportion de la population enquêtée. Ceci a un impact sur la mesure en niveau des principaux indicateurs.

    Comme pour la publication du trimestre précédent, cette Informations Rapides présente les résultats de 2013 une fois neutralisé l’effet lié à la rénovation du questionnaire, pour qu’ils soient directement comparables aux résultats du quatrième trimestre 2012 et aux séries longues actuellement disponibles. Ce traitement assure que les évolutions des indicateurs sont pertinentes du point de vue de l’analyse conjoncturelle. L’impact détaillé des reformulations sur les résultats de l’enquête est présenté dans le document « Compléments méthodologiques », rubrique « Pour en savoir plus » de la publication du 5 septembre 2013.

    À partir des résultats du quatrième trimestre 2013 publiés en mars 2014, les statistiques trimestrielles d’emploi et de chômage au sens du BIT intégreront l’impact de la rénovation du questionnaire. De nouvelles séries longues rétro-polées, pour les principaux indicateurs fournis habituellement par l’enquête, accompagneront cette publication.

    Taux de chômage

    Le taux de chômage augmente de 0,1 point au troisième trimestre en France métropolitaine après une stabilisation au deuxième trimestre

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  • Boissons énergisantes : risques (09 12 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 5 décembre 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ130405829.html

    Question écrite n° 05829 de M. Dominique Bailly (sénateur socialiste du Nord)

    M. Dominique Bailly attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur les risques que présente la consommation de boissons énergisantes pour la santé. 

    Une étude sur la consommation des boissons énergisantes a été menée, pendant un an, par l'Institut régional de biologie du bien-être, de la médecine et du sport Santé Nord–Pas-de-Calais. Cette enquête a rassemblé 3 396 réponses, dont 1 721 provenant de sportifs de haut niveau, et montre qu'une consommation sans modération de boissons énergisantes entraîne des risques de troubles du rythme cardiaque et d'hypertension.

     
    Selon ces travaux, deux tiers des interrogés ont déjà pris des boissons énergisantes et, dans 14 % des cas, la consommation est au moins hebdomadaire. De plus, cette étude met en évidence une confusion, chez les personnes sondées, entre boissons énergisantes (contenant de la caféine, de la taurine, des vitamines B, etc.) et boissons énergétiques conçues pour la pratique sportive (à base de sucre et de sels minéraux).

     
    Il apparaît, en outre, que les boissons énergisantes sont considérées principalement comme des boissons festives, consommées en soirée pour prolonger l'état de veille. Par ailleurs, la consommation de ces boissons par les sportifs intervient dans un contexte spécifique de recherche d'amélioration de performance.

     
    En conséquence, cette étude préconise la mise en place d'une politique de prévention, visant à distinguer clairement les boissons énergisantes et énergétiques, la mise en place d'un programme d'information, en lien avec les antennes médicales de prévention du dopage (AMPD), au regard de la possibilité d'utilisation de ces boissons dans le cadre d'une conduite addictive, ainsi que la diffusion aux consommateurs d'un outil pédagogique adapté et la formation d'éducateurs médico-sportifs ou sociaux pour contrer la banalisation de la consommation de boissons énergisantes hors des activités sportives.

     
    Aussi, lui demande-t-il quelles sont les mesures envisagées par le ministère en matière de prévention et d'information des consommateurs et, notamment à destination des sportifs.
     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 05/12/2013 p.3495

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  • Journée solidarité : projets (07 12 2013)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 19 novembre 2013 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-28506QE.htm

    Question n° 28506 de M. Armand Jung (député Socialiste, républicain et citoyen du Bas-Rhin)

    M. Armand Jung attire l'attention de Mme la ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes âgées et de l'autonomie, sur la prise en charge de la dépendance. Il se réfère aux multiples témoignages de familles de personnes âgées dépendantes, mais aussi d'encadrants et de soignants, qui dénoncent le manque de moyens attribués aux structures d'accueil. Un projet de loi sur la dépendance sera prochainement présenté et débattu au Parlement. Un point important concerne la question du financement de la dépendance, qui est le problème majeur. La Journée de solidarité a été instaurée pour financer la dépendance.

    Or peu d'informations filtrent sur l'utilisation des fonds récoltés. En conséquence, il souhaite obtenir des éléments précis sur les sommes prélevées et sur la manière dont elles sont utilisées.

    Réponse du Ministère des Affaires Sociales et de la Santé publiée au JO le 19/11/2013 p. 12012

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  • Alcool : savoir dire non (06 12 2013)

    Note publiée sur la brochure mensuelle Equilibres (n°99 décembre 2013) de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/CFESBases/equilibre/numeros/99/alcool_une_campagne_pour_dire_non.asp

    Alcool : Une campagne pour dire non

    Synonyme de convivialité, l'alcool se boit entre amis, en famille, à l'occasion d'un repas, d'un apéritif, d'une fête... Refuser un verre n'est pas toujours facile. C'est pourquoi la nouvelle campagne de communication en promotion de la santé lancée le 18 novembre par l'Inpes ne pointe pas les dangers liés à la consommation d'alcool, mais valorise les moyens d'agir au quotidien pour refuser le verre de trop.

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  • Retraites agricoles : réforme (05 12 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 14 novembre 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ131008665.html

    Question écrite n° 08665 de M. Roland Courteau (sénateur socialiste de l’Aude)

    M. Roland Courteau attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt sur la forte attente des retraités agricoles quant à la réforme les concernant. 

    Il lui rappelle que les anciens exploitants agricoles demandent la mise en œuvre immédiate de la garantie minimale d'une retraite à 75 % du salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC) pour les exploitants ayant une carrière complète avec, dans un deuxième temps, un objectif portant à 85 % du SMIC la retraite minimale.


    Il insiste, par ailleurs, s'agissant des conjointes d'exploitants, pour le nécessaire relèvement du montant de leurs retraites et la mise en place d'un minimum forfaitaire, pour celles qui ont travaillé durant toute une carrière sur une exploitation.

     
    Il lui fait remarquer que les exploitants agricoles, au même titre que leurs salariés, sont soumis à des travaux pouvant entraîner, selon les productions ou les filières, des maladies liées à leur activité tandis qu'ils sont également soumis à de nombreux risques professionnels (produits sanitaires, port de charges lourdes…) ce qui devrait justifier, pour certains, la possibilité d'un départ anticipé pour pénibilité.

     
    Il lui indique, enfin, que les anciens exploitants agricoles souhaitent la mise en place, en urgence, des mesures permettant de prendre en charge la dépendance.

     
    En effet, le montant des pensions agricoles ne permet en aucun cas, aux anciens exploitants, d'accéder aux maisons de retraite.

     
    Il lui demande donc de bien vouloir lui faire connaître son sentiment sur ces propositions et la suite qu'il entend leur réserver.

     

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 14/11/2013 - page 3300

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  • Traitement du Cancer : techniques et tarification (03 12 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 30 octobre 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ13080538S.html

    Question orale sans débat n° 0538S de M. Hervé Marseille (sénateur UDI-UC des Hauts-de-Seine)

    M. Hervé Marseille attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur l'année 2014 qui sera l'année du troisième plan cancer. Économiquement, cette année sera particulièrement difficile pour les établissements de santé dédiés à la lutte contre le cancer.

    Malgré une bonne progression de l'activité dans les centres de lutte contre le cancer, on constate en 2012 un déficit de 0,5 % des recettes, le plus élevé depuis 2008. Aussi les perspectives ne permettent-elles pas d'envisager un comblement de ce déficit, comme cela a été le cas entre 2008 et 2011. Douze des dix-huit centres ont prévu un résultat en 2013 encore plus déficitaire, de près de 4 % pour deux d'entre eux.

    Il faut dire que le financement actuel à l'activité est extrêmement complexe : il se caractérise par une forte inertie et se révèle insusceptible d'accompagner les évolutions des pratiques.

    L'enveloppe destinée aux missions d'enseignement, de recherche, de référence et d'innovation, les MERRI, qui sert à financer la validation des innovations et des activités de recours mises en œuvre de façon pionnière par les établissements de santé, est ridiculement petite : 35 millions d'euros pour l'ensemble des établissements de santé sur un ONDAM T2A de 56,6 milliards en 2013, soit moins de 0,01 %...

    Les centres de lutte contre le cancer sont nombreux à mettre en œuvre des techniques ou des organisations nouvelles. Or, alors que ces innovations pourraient être source d'économies pour l'assurance maladie, elles accroissent paradoxalement aujourd'hui le déficit de ces établissements du fait de modalités de financement inadaptées.

    Ainsi, dans le domaine de la radiothérapie, de nouvelles générations d'équipements permettent une irradiation plus précise de la tumeur, avec moins de séances. Pour les femmes atteintes d'un cancer du sein, par exemple, on passe de trente à quinze, voire à dix séances. Cependant, la diffusion de cette innovation, qui va manifestement dans l'intérêt du patient, est freinée par le financement à la séance, ce qui n'incite pas à en réduire le nombre.

    Il en est de même dans le domaine de la radiologie interventionnelle, qui vise à délivrer un courant électrique de haute fréquence à travers la paroi thoracique et sous contrôle radiologique pour détruire des métastases, dans le poumon, par exemple, et à éviter des interventions chirurgicales. C'est donc un incontestable bénéfice pour le patient, qui ne subit pas une intervention lourde avec ouverture du thorax et évite ainsi les conséquences potentielles d'une telle opération, notamment la douleur. C'est également un bénéfice en termes budgétaires, puisque le coût d'un tel geste est estimé à 4 300 euros, contre 7 000 euros pour une thoracotomie.

    Madame la ministre, ces interventions ne sont pas remboursées par l'assurance maladie. Par conséquent, les huit centres qui mettent en œuvre ces techniques perdent de l'argent, alors qu'ils proposent un meilleur traitement au patient !

    Dernier exemple, dans le domaine de l'organisation des soins, des expérimentations d'infirmières de coordination financées par l'Institut national du cancer ont montré une amélioration du parcours de soins des malades et une moindre sensation de rupture entre l'hôpital et la ville. Les neuf centres concernés ont choisi de pérenniser ces postes d'infirmière sur leurs fonds propres, convaincus de leur utilité pour les malades. En revanche, pour ce qui est de leur budget, ils y ont perdu.

    Ainsi, l'évolution des techniques et des organisations permet aujourd'hui de réduire le coût de la prise en charge médicale. Madame la ministre, de quelle façon le Gouvernement entend-il procéder à une réforme profonde du financement de la cancérologie, avec une politique publique de financement de l'innovation efficace et réactive, qui soit le moteur, et non le frein, de la lutte contre le cancer ?

    Réponse du Ministère chargé de la décentralisation publiée dans le JO Sénat du 30/10/2013 p.10629

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