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société, cadre de vie - Page 490

  • Industrie : indice des prix (janvier 2012) (08 03 2012)

    Note d’analyse (hors graphiques et tableaux) publiée le 27 février 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=25&date=20120227.html

    Renchérissement des prix sur l’ensemble des marchés

    Indices de prix de production de l’industrie française

    MARCHÉ FRANÇAIS : +0,6 % en janvier

    En janvier, les prix de production de l’industrie française croissent de 0,6 % sur le marché français, après une quasi-stabilité en décembre (-0,1 %), sur un rythme comparable aux mois d’octobre et novembre (respectivement +0,5 % et +0,4 %). L’augmentation des produits pétroliers est toujours la cause principale de ce renchérissement des prix.

    Les prix des produits du raffinage se redressent

    Le prix du pétrole de la mer du Nord (Brent) se redresse en janvier de 3,4 % en dollars et de 5,2 % en euros du fait de la dépréciation de la monnaie européenne. La progression des prix des produits pétroliers est vive : +9,5 % pour le super sans plomb, +4,2 % pour le gazole et +4,7 % pour le fioul domestique.

    Les prix des denrées alimentaires sont stables

    Les prix des denrées alimentaires sont stables pour le troisième mois consécutif. Les prix de l’industrie de la viande fléchissent dans la viande de boucherie (-2,8 %) et dans la viande de volaille (-1,5 %), tandis que les prix de la confiserie et du chocolat augmentent sensiblement (+4,9 %), tirés par le cours du cacao.

    La croissance des prix des « autres produits industriels » est modérée.

    L’augmentation des prix des « autres produits industriels » (+0,3 %) fait suite à deux mois de stabilité (-0,1 % et 0,0 % respectivement en novembre et décembre). Les prix des produits du verre (+1,1 %), du ciment et du plâtre (+3,3 %) et des ouvrages en béton (+2,1 %) ont été modifiés à la hausse en début d’année, après plusieurs mois de stabilité.

    MARCHÉS EXTÉRIEURS : +0,6 % en janvier

    Les prix des produits industriels destinés aux marchés extérieurs croissent de 0,6 %. Cette évolution rompt avec une quasi-stabilité depuis avril 2011. La vive progression des prix des produits du raffinage (+8,8 %) contribue plus à ce redressement, mais les prix de l’industrie textile (+1,6 %) et ceux des produits pharmaceutiques (+1,7 %) augmentent également.

    ENSEMBLE DES MARCHÉS : +0,6 % en janvier

    Pour l’ensemble des marchés, la hausse est de 0,6 % et de 3,5 % sur un an.

    Indices de prix d’importation des produits industriels : +1,2 % en janvier

    Les prix d’achat à l’importation des produits industriels se redressent nettement en janvier (+1,2 %), après une légère baisse en décembre (-0,2 %). Cette hausse, principalement imputable au renchérissement des achats de produits énergétiques, s’inscrit également dans un contexte de dépréciation de la monnaie européenne par rapport au dollar.

  • GPS et cartes routières (05 03 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 16 février 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du  Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2011/qSEQ111120800.html


    Modification des cartes routières contenues dans les GPS

    Question écrite n° 20800 de M. Gaëtan Gorce (Nièvre - SOC-EELVr) publiée dans le JO Sénat du 10/11/2011 - page 2846

    M. Gaëtan Gorce interroge M. le ministre chargé des transports sur les modalités d'établissement des cartes routières pour les GPS.

    M. Gorce aimerait savoir quel est l'organisme à l'origine des cartes routières enregistrées dans les appareils GPS : s'agit-il de l'Institut géographique national (IGN) ? Ou bien l'établissement de ces cartes est-il laissé à la responsabilité des fabricants de GPS ?

    Dans ce dernier cas, les cartes routières établies par les fabricants font-elles l'objet d'une vérification de la part des autorités administratives françaises ?

    Enfin, ayant constaté plusieurs erreurs préjudiciables dans les indications routières fournies par certains GPS, il aimerait connaître les modalités par lesquelles il serait possible de faire modifier les cartes GPS erronées.

    Réponse du Ministère chargé des transports publiée dans le JO Sénat du 16/02/2012 - page 448

    Les cartes routières enregistrées dans les systèmes de navigation (GPS) sont établies par des organismes ou entreprises publics comme privés. Elles ne font pas l'objet de vérification de la part des autorités administratives françaises.

    L'État a cependant le souci de veiller à l'amélioration de la qualité de l'information fournie par ces systèmes dans un objectif d'amélioration de la sécurité routière.

    C'est pourquoi la Délégation à la sécurité et à la circulation routières poursuit un dialogue avec les opérateurs de géonavigation et les cartographes, qui réalisent les fonds cartographiques et collectent sur le terrain les informations qui y figurent (vitesses, sens de circulation, interdictions de circulation, etc.).

  • Confiance des ménages (février 2012) (02 03 2012)

    Note d’analyse (hors tableaux et graphiques) publiée le 24 février 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=20&date=20120224.html

    En février 2012, la confiance des ménages est stable

    En février 2012, la confiance des ménages est stable : l’indicateur qui la synthétise gagne un point par rapport à janvier. Il reste nettement inférieur à sa moyenne de longue période.

    Situation personnelle

    Situation financière : des perspectives plus favorables

    En février, l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle passée recule de 2 points. En revanche, celle sur leur situation financière personnelle future progresse de 2 points, tout en demeurant inférieure à sa moyenne de longue période. Les ménages sont également plus nombreux qu’en janvier à considérer comme opportun de faire des achats importants (+5 points).

    Capacité d’épargne : en légère hausse

    L’opinion des ménages sur leur capacité d’épargne actuelle reste stable en février, leur opinion sur leur capacité à épargner dans les mois à venir augmente légèrement (+2 points).

    Les ménages sont plus nombreux qu’en janvier à estimer que le moment est favorable pour épargner : le solde correspondant gagne 3 points et dépasse ainsi sa moyenne de longue période.

    Contexte économique en France

    Niveau de vie en France : des anticipations moins pessimistes

    En février, l’opinion des ménages sur le niveau de vie passé en France repart à la baisse (–2 points). En revanche, les perspectives d’évolution du niveau de vie continuent de progresser : +4 points en février, soit +10 points depuis son plus bas niveau atteint en novembre. Ces soldes restent inférieurs à leur moyenne de longue période.

    Chômage : des anticipations quasi stables

    En février, les ménages sont quasiment aussi nombreux qu’en janvier à anticiper une augmentation du chômage. Le solde correspondant perd 1 point, demeurant nettement au-dessus de sa moyenne de long terme.

    Inflation perçue : en hausse

    En février, les ménages sont plus nombreux qu’en janvier à estimer que l’inflation passée a augmenté (+2 points). Leur opinion en matière d’inflation future est également en hausse (+2 points).

  • Tabac : mesures préventives (24 02 2012)

    Avis publié le 25 janvier 2012 sur le site du Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) (cliquer ici pour accéder au site du HCSP)

    http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?ae=avisrapportsdomaine&clefdomaine=5&clefr=253&ar=r&menu=09.html

    Avis relatif à l’augmentation des taxes sur le tabac en vue de réduire la prévalence du tabagisme en France

    Trois constatations conduisent aujourd’hui le Haut Conseil de la santé publique à émettre un avis relatif à la fiscalité des produits du tabac. La première est qu’aujourd’hui le tabagisme est reparti à la hausse aussi bien en population générale que chez les jeunes. La seconde est son coût lié à ses conséquences sur la santé des fumeurs estimé à plus de 47 milliards d’euros par an. La troisième est que l’outil de lutte contre le tabagisme le plus efficace, à savoir les augmentations des taxes sur les produits du tabac, n’a plus été mobilisé depuis 2004, dernière année de forte augmentation des taxes sur le tabac.

    Partant de ces constatations et considérant les contraintes que représentent l’impact de la consommation de tabac sur le revenu des populations les plus défavorisées ainsi que la contrebande et les achats transfrontaliers de tabac, le Haut Conseil de la santé publique recommande d’augmenter les taxes sur tous les produits du tabac en vue d’en augmenter le prix, de taxer à la même hauteur tous les produits du tabac (cigarettes, cigares, tabac à rouler, …) et, pour contenir la possible aggravation des inégalités de santé, de redéfinir les actions de prévention. Le Haut Conseil de la santé publique recommande en particulier d’adapter les messages et les actions de prévention aux différents groupes de populations de fumeurs, de développer des actions de recherche spécifiques, y compris des recherches interventionnelles pour diminuer le tabagisme des fumeurs appartenant aux catégories sociales les plus vulnérables de fumeurs et enfin d’augmenter le remboursement du sevrage tabagique.

    Afin d’éviter la dilution des responsabilités de la politique de lutte contre le tabac et pour mieux prendre en compte les aspects sanitaires, le HCSP préconise la création d’un pilotage unique du contrôle du tabac et de l’application de la Convention Cadre de Lutte contre le Tabac de l’OMS, dépendant directement du Premier ministre.

  • Croissance du PIB : 4e trimestre 2011 (21 02 2012)

    Note d'analyse publiée le 15 février 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=26&date=20120215.html

    Au quatrième trimestre 2011 le PIB progresse de 0,2 %, ce qui porte sa croissance annuelle à 1,7 %

    Comptes nationaux trimestriels - Premiers résultats du 4e trimestre 2011

    Au quatrième trimestre 2011, le PIB en volume* croît de 0,2 % après +0,3 % au troisième trimestre. En moyenne annuelle, la croissance est de 1,7 % en 2011, après +1,4 % en 2010.

    Les dépenses de consommation des ménages ralentissent légèrement en fin d’année (+0,2 % après +0,3 %), tandis que la formation brute de capital fixe (FBCF) accélère (+0,9 % après +0,2 %). Au total, la demande intérieure finale (hors stocks) contribue de nouveau positivement à la croissance du PIB : +0,3 point après +0,2 point. Les exportations augmentent au même rythme qu’à l’été (+1,2 %) alors que les importations reculent (-1,2 % après +0,7 %). Par conséquent, le solde du commerce extérieur contribue positivement à la croissance : +0,7 point après +0,1 point. Cet effet est plus que compensé par les variations de stocks qui contribuent pour -0,8 point à l’évolution de l’activité, après une contribution neutre.

    La production totale accélère légèrement

    La hausse de la production de biens et services est un peu plus marquée qu’au trimestre précédent (+0,4 % après +0,3 %). La production rebondit notamment dans la fabrication de matériels de transport (+4,6 % après –2,1 %), principalement aéronautiques, et en cokéfaction-raffinage (+3,9 % après –1,5 %). En revanche la production recule dans les autres branches manufacturières et dans l’énergie-eau-déchets. En moyenne sur l’année, la production totale progresse de 2,2 % (après +1,6 % en 2010).

    L’investissement accélère 

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  • SIDA : bilan, perspectives (18 02 2012)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 10 janvier 2012 sur le site de l’Assemblée nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-114248QE.htm

    Question n° 114248 de M. Jean-Claude Flory (député UMP de l’Ardèche)

    M. Jean-Claude Flory attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la prévention du sida dans notre pays. En effet, les progrès effectués depuis deux décennies quant à la recherche sur la maladie sont indéniables. Ceci dit, l'accès universel à la prévention et aux soins devient de plus en plus coûteux.

    Aussi, il lui demande quelles mesures il entend mettre en œuvre afin d'améliorer cette situation.

    Réponse du Ministère du Travail, de l’emploi et de la santé publiée au JO le 10/01/2012 p. 323

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