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société, cadre de vie - Page 502

  • Plan maladie de Parkinson (14 10 2011)

    Question de sénateur  et réponse ministérielle publiées sur le site du Sénat le 22 septembre 2011 (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ101015568.html

    Question écrite n° 15568 de M. Dominique de Legge (Ille-et-Vilaine - UMP)

    M. Dominique de Legge attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la nécessité de mettre en œuvre un plan Parkinson, à l'instar de celui consacré à la maladie d'Alzheimer.

    En effet, les malades, les aidants et les professionnels de santé concernés par cette affection de longue durée se retrouvent souvent démunis pour lui faire face. Le livre blanc issu de premiers états généraux des personnes touchées par la maladie de Parkinson propose des mesures destinées à améliorer l'information, l'accès aux soins, la prise en charge des malades, et à renforcer la recherche.

    Il la remercie de bien vouloir lui indiquer si elle envisage la mise en œuvre d'un tel plan Parkinson.

    Réponse du Secrétariat d'État chargé de la santé publiée dans le JO Sénat du 22/09/2011 p. 2458

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  • Journée mondiale de la vue (13 10 2011)

    Extrait d’une fiche publiée sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

     

    http://www.inpes.fr

    La Journée mondiale de la vue, mise en place par l’OMS le deuxième jeudi d’octobre est célébrée tous les ans pour sensibiliser l’ensemble du monde aux problèmes de la cécité, des déficiences visuelles et de la réadaptation des personnes malvoyantes. En 2011, l’accent est mis sur la santé des yeux et l’égalité d’accès aux soins. Tous les partenaires participant à la prévention des déficiences visuelles et aux soins permettant de recouvrer la vue participent à cette Journée. Elle constitue aussi la principale action de plaidoyer en faveur de la prévention de la cécité et de l’élimination de la cécité évitable de « Vision 2020 : le droit à la vue », initiative mondiale de l’OMS et de l'Organisation mondiale contre la cécité qui durera jusqu’en 2020 dans l’objectif de donner accès à tous au « droit à la vue ».

    Les maladies de la vision affectent la perception visuelle, dans l’un ou plusieurs de ses paramètres : acuité, champ visuel, perception des couleurs et des contrastes. On distingue les maladies 

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  • semaine bleue 2011 en 64 (11 10 2011)

    NDLR du Blog : nous relayons volontiers, notamment auprès de nos lecteurs de Béarn et de Soule, une invitation à une des actions de la prochaine SEMAINE BLEUE 2011 (le jeudi 20 octobre à Mourenx) organisée par le CODERPA 64 et facilitée par nos amis du CIAPA (comité départemental d'Information et d'Action en faveur des Personnes Agées) (cliquer ici pour accéder au site du CIAPA) 

    http://www.ciapa.com/

    SEMAINE BLEUE 2011

    organisée par le Comité départemental de la Semaine bleue et le CODERPA

    RENCONTRE FESTIVE OUVERTE A TOUS

    JEUDI 20 OCTOBRE 2011 de 9h à 17h

    Salle Louis Blazy, av. Paul Delcourt à MOURENX

     

    PROGRAMME

    MATIN

    _ 9h00 : Accueil et café de bienvenue !!!.

    _ JOUONS ! : Accueil, jeux et ateliers entre Jeunes et Vieux : intergénération avec des Lycéens de seconde du Lycée Notre Dame de Sauveterre, des Collégiens de la Section Enseignement Général et Professionnel Adapté de Mourenx et des Lycéens de section «Services en milieu rural» du Lycée Agricole de Montardon :

    - Jeux en bois grandeur nature, par la Ludothèque de Nay.

    - Expositions de Jouets rustiques et Ateliers intergénérationnels de création d’objets à partir de la nature, par M. DESCOMPS,

    - Jeux informatiques, par l’Agence Départementale du Numérique et la Cyberbase de la Communauté de Communes de Lacq :

    . Jeux informatiques intergénérationnels autour du développement durable,

    . Astuces et trucs des Anciens pour économiser la nature.

    - AMAP de Mourenx (Association pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne) : informations.

    - CPIE (Centre Permanent d’Initiatives sur l’Environnement) :

    . Informations, et Atelier du goût par une passionnée herboriste Mme GRANGE.

    _ 12h : Mots des Elus et du Comité départemental.

     

    REPAS sur inscription obligatoire.

     

    APRES-MIDI

    _ 14h00 : JOUONS ! Continuité des animations du matin.

    _ 15h00 : Interventions et témoignages :

    - « Le Bassin de Lacq, la transmission industrielle, passé et avenir… », par M. André PETREIGNE.

    - « Enrichir les liens entre l’homme et la nature », par Mme Véronique BRODARD, du CPIE.

    - « L’évolution des jardins, expérience d’un jardin Partagé », par Mme Véronique BERAT, de l’association Potager du Futur.

    - « Intergénération dans les jardins familiaux » par Mmes Anne KLOUY et Sophie DESSINET du Centre social Lo Solan de Mourenx.

    _ 16h : Spectacle : Démonstrations de Salsa par l’Association IROKO sous la direction de M. POMPA de Cuba, puis tous en piste !!!.

    _ 16h30 : Goûter pour tous.

    COUPON (ci-dessous) A RETOURNER IMPERATIVEMENT AVANT LE VENDREDI 14 OCTOBRE 2011

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  • Transports et développement durable : brèves n°15 (10 10 2011)

    (Relevé publié dans ce blog, le 9 ou le 10 de chaque mois depuis août 2010)

    Panorama inédit n° 46 (8 juillet 2011) réalisé par Mme Christine Raynard, chargée de mission au Département Développement Durable (DDD) du Centre d’Analyse Stratégique (cliquer ici pour accéder au site du CAS)

    http://www.strategie.gouv.fr/content/panorama-des-transports-n%C2%B0-46.html

    1) Infrabel, gestionnaire d’infrastructure belge a mis en service un train fonctionnant grâce à l’énergie solaire. Plus de 16 000 panneaux solaires, soit 50 000 m2 ont été installés sur le toit d’un tunnel ferroviaire de 3,4 kilomètres situé sur la ligne à grande vitesse reliant Anvers à Amsterdam.

    Ce projet, pionnier en Europe, est basé sur un partenariat entre Infrabel, l’entreprise de production d’énergie renouvelable Enfinity, les communes de Brasschat et Schoten, ainsi que Solar Power Systems, spécialiste de l’énergie photovoltaïque. Le coût total du projet est estimé à 15,7 millions d’euros.

    Selon Infrabel, chaque année près de 4 000 trains pourraient circuler intégralement grâce à l’énergie solaire générée par cette installation. La production annuelle totale d’électricité issue de ces panneaux solaire est estimée à 3,5 mégawatts, ce qui correspond à une économie annuelle de 2 400 tonnes d’émission de CO2.

     

    2) En France, la SNCF expérimente depuis 2010 un train express régional (TER) équipé de panneaux solaires dans la région Poitou-Charentes. Mais l'énergie collectée sert à alimenter l'éclairage des rames ainsi que la climatisation, et non à tracter le train.

     

    3) En Espagne, l’opérateur ferroviaire régional FEVE (Ferrocarriles de Vía Estrecha), exploitant dans le nord de l’Espagne un réseau d’environ 1 200 kilomètres, s’intéresse également à ce sujet. FEVE a signé un accord de coopération avec l’université de León (Communauté autonome de Castille et León), pour la conception d’un prototype de véhicule ferroviaire électrique, alimenté par de l’énergie photovoltaïque.

    Celle-ci sera fournie par des batteries intégrées à des panneaux solaires qui seront posés en partie supérieure du train. Parallèlement, ce moteur récupèrera l’énergie de la décélération et du freinage pour recharger les batteries. Ce projet de R&D, baptisé « RoblaSolar » est un projet pionnier d’ingénierie et d’intégration des dernières technologies dans le domaine de l’énergie photovoltaïque et de l’utilisation des méthodes de propulsion optimisant la consommation.

    L’investissement prévu de 350 000 euros permettra la mise en service d’un prototype qui circulera sur le tronçon León-Matallana en 2013. Il s’agira d’un véhicule léger (15 tonnes) pouvant transporter jusqu’à 8 personnes.

     

    4) Afin de développer ses ventes sans augmenter le nombre de ses magasins, Tesco, deuxième chaîne coréenne de supermarchés, a installé des présentoirs virtuels dans les stations de métro. Ainsi, sous réserve que les stations de métro soient connectées à Internet, les murs sont tapissés d’affiches reproduisant à l’identique les présentoirs des supermarchés. A chaque produit est associé un QR-code. Lorsque le passager, en attente de son métro, scanne un code, il ouvre une page de commande sur son « smartphone », choisit la quantité, paie en ligne et les produits seront directement livrés à son domicile. Cette initiative simple et économique, a permis à Tesco d’améliorer ses ventes en ligne de 130 % et de prendre ainsi la première place en commerce mobile.

  • Maladie d’Alzheimer et médecine générale (2/2) (07 10 2011)

    Extraits (synthèse, introduction, recommandations HAS, discussions) d’une étude publiée le 23 juin 2011 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES ou au rapport complet pdf)

     

    http://www.inpes.fr/

    http://www.inpes.fr/Barometres/Barometre-sante-medecins-generalistes-2009/pdf/accompagnement-alzheimer.pdf

     

    Prise en charge de la maladie d’Alzheimer et maladies apparentées (recommandations HAS)

     

    En mars 2008, la Haute Autorité de santé (HAS) a édité des recommandations afin d’homogénéiser les pratiques en matière de diagnostic et de prise en charge des patients ayant une maladie d’Alzheimer ou une maladie apparentée. Ces recommandations abordent entre autres : le diagnostic de la maladie d’Alzheimer et des autres démences les plus fréquentes, le diagnostic précoce et l’annonce du diagnostic, les traitements des symptômes comportementaux et psychologiques des démences, les interventions non médicamenteuses.

    Quelques extraits :

    «  Il est recommandé de poser le diagnostic de la maladie d’Alzheimer dès les premiers symptômes. Ce diagnostic nécessite une évaluation cognitive approfondie, réalisée de préférence dans le cadre d’une consultation mémoire spécialisée. » 

    «  Il est recommandé d’annoncer le diagnostic au patient. […] Si la personne en est d’accord, le diagnostic est communiqué à sa famille ou à la personne de son choix. […] L’annonce du diagnostic est faite en prenant en compte l’histoire de vie du patient, sa représentation de la maladie et ses craintes, ce qui peut nécessiter un travail préalable avec le médecin traitant et la famille. Le médecin qui a établi le diagnostic est responsable de son annonce. L’annonce se fait en coordination entre le spécialiste et le médecin traitant en charge de remplir le protocole de soins au titre d’affection longue durée (ALD). » 

    «  Le diagnostic ne se conçoit que dans le cadre d’un plan de soins et d’aides, qui comprend en fonction du stade de la maladie :

    une prise en charge thérapeutique médicamenteuse et non médicamenteuse ;

    une prise en charge médico-socio-psychologique coordonnée du patient et de son entourage ;

    d’éventuelles mesures juridiques. »

    «  Le suivi recommandé est pluridisciplinaire, piloté par le médecin traitant en collaboration avec un neurologue, un gériatre ou un psychiatre. Sa structuration dépend du contexte local et des ressources disponibles, mais tous les patients devraient bénéficier des dispositions proposées. »

    «  Un suivi rapproché par le médecin traitant est nécessaire, au minimum tous les trois mois, et davantage en fonction du contexte, éventuellement assisté d’un coordinateur paramédical.

    À chaque contact, il est recommandé :

    de s’enquérir du poids, de l’état nutritionnel et des constantes (pouls, tension) ;

    de surveiller attentivement toutes les comorbidités ;

    d’évaluer l’observance, la tolérance et l’efficacité des traitements pharmacologiques et des interventions non médicamenteuses ».

     

    DISCUSSION

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  • Maladie d’Alzheimer et médecine générale (1/2) (06 10 2011)

    Extraits (synthèse, introduction, recommandations HAS, discussions) d’une étude publiée le 23 juin 2011 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES ou au rapport complet pdf)

     

    http://www.inpes.fr/

     

    http://www.inpes.fr/Barometres/Barometre-sante-medecins-generalistes-2009/pdf/accompagnement-alzheimer.pdf

     

    SYNTHESE

    L’accompagnement de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer en médecine générale en 2009.

    En 2009, 92 % des médecins généralistes interrogés déclarent avoir suivi au cours des douze derniers mois au moins un patient atteint de la maladie d’Alzheimer, et 31 % déclarent en avoir accompagné plus de dix. Les médecins hommes, les  plus âgés, les médecins exerçant en secteur 1, déclarant vingt actes médicaux ou plus par jour, passant  de cinq à sept jours à leur cabinet, ne pratiquant qu’occasionnellement ou jamais un mode d’exercice particulier, mettant en œuvre systématiquement ou souvent des activités éducatives sont plus susceptibles d’avoir suivi au moins un patient atteint de la maladie d’Alzheimer au cours de la dernière année.

    Parmi les médecins comptant dans  leur patientèle des malades d’Alzheimer, quatre médecins sur cinq (81 %)  s’estiment suffisamment formés à la  communication avec les familles,  67 % à la communication avec les  patients, 60 % à l’annonce du diagnostic  et 51 % aux traitements non  médicamenteux de la maladie. L’âge, le sexe et le nombre de patients  Alzheimer suivis par an influencent  significativement la perception des médecins concernant leur niveau  de formation. Enfin, 41 % des médecins  déclarent connaître les recommandations  de la Haute Autorité de  santé (HAS) concernant le diagnostic et la prise en charge des patients  atteints de la maladie d’Alzheimer. Le niveau de formation perçu ainsi que la connaissance des recommandations influencent significativement les pratiques des médecins à  l’égard de l’annonce du diagnostic, de l’orientation des patients vers les spécialistes ou les services paramédicaux ou médico-sociaux.

    Parmi ces praticiens, 71 % estiment qu’ils annoncent systématiquement le diagnostic à la famille de  leurs patients, 8 % à leurs patients ;  32 % déclarent ne jamais annoncer le diagnostic à leurs patients. Les  médecins les plus jeunes et ceux qui  s’estiment suffisamment formés à  différents aspects de l’accompagnement  de la maladie d’Alzheimer sont  plus susceptibles d’annoncer le diagnostic  à leurs patients.

    Quatre médecins généralistes sur cinq (81 %) déclarent orienter systématiquement leurs patients atteints  de la maladie d’Alzheimer vers un  spécialiste, 36 % vers un service d’aide et de soins à domicile et 18 % vers un centre local d’information  et de coordination gérontologique (Clic). Ces deux derniers types de pratiques sont significativement corrélés entre eux.

    Un médecin sur cinq (22 %) ayant  suivi au cours de la dernière année des malades d’Alzheimer s’estime mal à l’aise avec ces patients. Près  de sept généralistes sur dix (68 %)  déclarent qu’il est facile de prendre en charge les comorbidités, 55 %  qu’il est facile de donner des informations sur les aides sociales disponibles,  52 % qu’il est facile de  coordonner les soins et les aides, et  26 % qu’il est facile de prendre en charge les troubles comportementaux.

    INTRODUCTION

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