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société, cadre de vie - Page 506

  • Plan d’austérité et épargnants (03 09 2011)

    Extraits d’un article de Mme Diane Lacaze publié le 24 août 2011 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/vos-finances/impots/fiscalite/20110824trib000644483/plan-d-austerite-tout-ce-qui-va-changer-pour-les-epargnants.html

    Les propriétaires de résidences secondaires et de biens locatifs seront les plus touchés, l'assurance-vie est préservée…/…

    1)  Revenus de l'épargne : …/… Les prélèvements sociaux sur l'épargne (intérêts, dividendes, plus-values sur les actions et obligations et celles sur l'immobilier) augmentent, passant de 12,3 à 13,5 %.../… Concrètement, un livret bancaire offrant du 5 % brut ne rapportera plus que 3,38 % net, contre 3,44 % auparavant…./…

    2) Fiscalité des plus values immobilières : …/… le principal changement concerne la fiscalité des plus values, hors résidence principale (résidence secondaire, terrains non bâtis, bien locatifs...). Jusqu'ici, le principe était le suivant : au bout de 5 ans de détention, un abattement annuel de 10% était accordé, soit une exonération totale après 15 ans. La nouvelle règle est plus simple : le propriétaire pourra déduire des plus values, lors de la revente, le montant cumulé de l'inflation depuis l'achat du bien…/…

    3) Assurance santé : explosion des tarifs en vue ; …/…Une autre mesure touche indirectement les particuliers : la suppression de l'exonération partielle de taxe sur les complémentaires santé « solidaires et responsables ». « Le gouvernement décide de taxer plus lourdement les contrats santé (de 3,5% à 7%)…/… Un grand nombre de personnes ne peut déjà plus s'assurer avec une mutuelle santé car cela coûte trop cher et la Sécurité Sociale rembourse moins.../…

    4) Niches fiscales : Un nouveau coup de rabot sur 22 des 500 niches fiscales est à nouveau prévu. Il est de 10% alors que la Loi de Finances 2011 en avait déjà appliqué un de 10% également. Aucune, en revanche, ne semble supprimée contrairement à ce qui avait été entendu…/… la mesure entrera en vigueur en 2013, sur les revenus 2012…/…

  • Dépendance : report de la réforme (31 08 2011)

    Extraits d’un article de Mme Isabelle Moreau publié le 26 août 2011 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20110826trib000644783/la-reforme-de-la-dependance-encore-repoussee.html

    « Traiter ce dossier dans un contexte économique et financier que nous connaissons aujourd'hui, dans l'urgence, ne serait pas raisonnable », a estimé mercredi François Fillon, en présentant les mesures anti-déficit pour 2012…/…« il nous faudra trouver des ressources adaptées, nous devons y travailler encore d'ici le début de l'année 2012 »…/…

    L'Association de directeurs de maisons de retraite et de services à domicile juge « ce nouveau report extrêmement dommageable », car il risque d'entraîner des suppressions d'emplois dans les services à domicile en fragilité financière dans les établissements ». Une crainte partagée par Claudy Lebreton, président de l'Assemblée des départements de France, qui financent notamment l'Allocation personnalisée d'autonomie (APA).

  • Veuves et veufs : situation (30 08 2011)

    NDLR : voir aussi sur ce thème des veuves et veufs, la fiche "conjoint survivant : allocations et ressources", publiée hier 29 août 2011.

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 25 août 2011 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ110116918.html

    Question écrite n° 16918 de M. Marc Massion (sénateur soc. de Seine-Maritime)

    M. Marc Massion appelle l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État sur les vives inquiétudes des veuves et veufs de France. De fait, leurs associations représentatives dénoncent les mesures fiscales successives, prises par le Gouvernement, qui précarisent leur situation financière.

    La suppression de la demi-part fiscale supplémentaire, accordée au conjoint survivant dont les enfants ne sont plus à leur charge, a été le premier coup porté.

    En outre, l'augmentation de la pension de réversion ne concerne pas, contrairement à ce qui avait été annoncé en 2008, toutes les veuves et les veufs mais uniquement ceux disposant de faibles pensions, c'est-à-dire moins de 800 € par mois. L'augmentation de la pension de réversion ne concerne pas non plus toutes les veuves et les veufs disposant de faibles pensions mais uniquement ceux âgés d'au moins 65 ans.

    Enfin, il n'est plus question de passer le taux de réversion de 54 à 60 % comme cela a été annoncé également en 2008, mais uniquement d'accorder, aux veuves et aux veufs disposant de moins de 800 € par mois et âgés d'au moins 65 ans, une majoration de 11 %.

    La condition d'âge pour toucher la réversion qui avait été supprimée par la loi Fillon (n° 2003-775 du 21 août 2003 portant réforme des retraites) va être rétablie. Il faudra donc avoir au moins 55 ans pour toucher la réversion.

    À ces éléments s'ajoutent la suppression des 20 % d'abattement fiscal qui a modifié le revenu fiscal de référence et la prochaine disparition de l'allocation veuvage.

    Aussi, il lui demande les mesures urgentes qu'il entend prendre pour arrêter la perte continue du pouvoir d'achat des conjoints survivants, dont de nombreux se retrouvent en dessous du seuil de pauvreté.

    Réponse du Ministère du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État publiée dans le JO Sénat du 25/08/2011 - page 2191

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  • Dépendance : reflexion sur la prise en charge (26 08 2011)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 2 aout 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-111037QE.htm

    Question n° 111037 de M. Dominique Baert (député SRCDG du Nord)

    M. Dominique Baert attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les difficultés d'accès de personnes âgées dépendantes, mais ne disposant que de faibles ressources, aux maisons médicalisées de retraite.

    Malgré l'APA, bien des familles, aux ressources modestes, se trouvent en grandes difficultés financières, compte tenu du prix de journée qu'elles ont à acquitter, dès lors que l'un de ses membres doit être placé dans un établissement hospitalier ad hoc. Un de ses concitoyens lui citait ainsi un paradoxe dans la couverture sociale. Ainsi, dans un couple de retraités encore jeunes, mais où l'épouse est malheureusement durement touchée par une maladie d'Alzheimer à progression rapide, si cette dame est hospitalisée, que ce soit en hospitalisation privée ou publique, le couple n'a aucune dépense à prendre en charge, eu égard à sa couverture sociale.

    Mais qu'en revanche, cette dame rejoigne la « maison de retraite » médicalisée contiguë à l'établissement hospitalier, en dépit des prises en charge par l'APA le couple devra faire face à des dépenses très lourdes, incompatibles avec le niveau des retraites perçues par le ménage, et même avec les ressources, très modestes, de la seule fille du couple.

    Que faire alors ? Comment la solidarité nationale peut-elle faire en sorte que chacun, selon ses besoins d'accompagnement, puisse accéder aux mêmes prestations, humaines et de qualité, quelles que soient ses ressources ? Cette situation n'est pas que rare. Avec l'allongement de la durée de la vie, elle est appelée à se multiplier.

    Elle témoigne d'une problématique essentielle, à savoir la couverture des besoins nés de la dépendance, et la nécessité, dans la couverture de ce risque, de prendre en considération la capacité contributive des familles ; ce dont actuellement la méthodologie comptable des EHPAD ne tient pas compte, puisque la tarification ne se fait que par le prix de journée.

    Il demande donc instamment au Gouvernement de se saisir de ce douloureux problème, avant que dans notre pays ne se creuse une injustice majeure : l'inégalité d'accès à l'accompagnement de la dépendance.

    Réponse du Ministère des Solidarités et de la cohésion sociale publiée au JO le  02/08/2011 p. 8447

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  • Plan d’économies 2011-12 (25 08 2011)

    Extraits d’un article publié le 24 août 2011 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0201586711266-budget-fillon-annonce-11-milliards-d-euros-d-economies-en-2012-209891.php

    ...François Fillon a dévoilé…/…le plan de rigueur budgétaire…/... Objectif : trouver 1 milliard d'euros dès 2011 puis 11 milliards en 2012 d'économies afin de respecter les engagements de la France sur le déficit public (5,7 % de PIB cette année)…/…le gouvernement révise à la baisse sa prévision de croissance pour 2011 et 2012 à 1,75 %. 

    Une taxe exceptionnelle sur les très hauts revenus. : taxation de 3 % sur le revenu fiscal de référence à partir de 500.000 euros…/…qui doit rapporter environ 200 millions d'euros en 2012, …/…« Cette mesure sera complétée d'un relèvement de 12,3% à 13,5% des prélèvements sociaux sur les revenus du capital…/…

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  • Industrie : commandes de juin en hausse (24 08 2011)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note publiée le 19 août 2011 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=91&date=20110819.html

    En juin 2011, les commandes dans l'industrie augmentent légèrement (+0,6 %)

    N. B.  : dans le commentaire, les évolutions par sous-branche sont présentées par ordre décroissant de leur contribution. Les contributions prennent en compte non seulement l’ampleur de l’évolution d’une sous-branche, mais également son poids dans l’industrie.

    Au mois de juin 2011, les commandes sont en légère hausse (+0,6 %) dans l’industrie hors matériels de transport (mais y compris automobile1). Les commandes étaient également en hausse en mai (+1,5 %). Les commandes à l’exportation sont quasi stables (-0,1 %).

    Au cours du deuxième trimestre, les commandes ont diminué de 1,3 %

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