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société, cadre de vie - Page 526

  • Travail et Famille (2/2) (13 02 2011)

    Travail et Famille (2/2) (suite de la note publiée sur ce blog le 12/02/2011)

    Etude de Mmes  Ariane Pailhé, Anne Solaz et M. Michel Bozon publié en mars 2010 sur le site de l’Institut National d’Etudes Démographiques (cliquer ici pour accéder au site de l’INED ou au texte complet de l’étude)

     

    http://www.ined.fr/fr/tout_savoir_population/fiches_actualite/travail_famille/.html

     

    http://www.ined.fr/fichier/t_telechargement/30989/telechargement_fichier_fr_fiche_actualit.11.pdf

     

    LE TRAVAIL EMPIÈTE POUR TOUS, LA FAMILLE DÉBORDE POUR LES FEMMES

     

    Sommaire

    -       Editorial

    -       Le travail empiète autant pour les hommes et pour les femmes…

    -       Nouveaux moyens de communication et extension du domaine du travail

    -       Le travail, en parler à la maison, y penser : normal ou pesant ?

    -       Fatigue après le travail : autant les femmes que les hommes

    -       Une emprise plus forte pour les femmes des préoccupations domestiques dans l’univers professionnel

    -       Trois types d’arrangement entre travail et sphère privée

    -       La France est-elle particulière en Europe ?

     

    Le travail, en parler à la maison, y penser : normal ou pesant ?

     

    La majorité des salariés ont des discussions avec leur conjoint sur leur travail : 72 % des personnes parlent du contenu du travail avec leur partenaire et 80 % discutent des rapports avec leurs collègues ou leurs supérieurs. Ce type de discussion s’est banalisé dans les générations nouvelles. Les femmes, en particulier les plus jeunes, abordent encore plus fréquemment ces sujets avec leur conjoint que les hommes, ce qui peut refléter l’importance prise par le travail dans cette génération.

     

    Le travail accompagne aussi les individus dans l’espace privé en tant que préoccupation. Plus des deux tiers des actifs occupés, hommes et femmes, disent penser souvent ou de temps en temps au travail une fois celui-ci terminé. Un sur dix trouve cela pesant et plus d’un tiers préfèrerait faire le vide, sans y arriver, surtout les femmes. Moins d’un quart des actifs occupés trouve normal de penser au travail, les hommes plus que les femmes.

     

    Au fil du cycle de vie, cette présence mentale ou réelle du travail dans la vie familiale s’amplifie pour les hommes. Après 35 ans, ils sont plus préoccupés par leurs problèmes professionnels et travaillent plus souvent à la maison.

     

    Fatigue après le travail : autant les femmes que les hommes

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  • Travail et Famille (1/2) (12 02 2011)

    Travail et Famille (1/2)

    (voir 2e partie sur ce blog demain 13 février 2011)

    Etude de Mmes  Ariane Pailhé, Anne Solaz et M. Michel Bozon publié en mars 2010 sur le site de l’Institut National d’Etudes Démographiques (cliquer ici pour accéder au site de l’INED ou au texte complet de l’étude)

     

    http://www.ined.fr/fr/tout_savoir_population/fiches_actualite/travail_famille/.html

     

    http://www.ined.fr/fichier/t_telechargement/30989/telechargement_fichier_fr_fiche_actualit.11.pdf

     

    LE TRAVAIL EMPIÈTE POUR TOUS, LA FAMILLE DÉBORDE POUR LES FEMMES

     

    Sommaire

    -       Editorial

    -       Le travail empiète autant pour les hommes et pour les femmes…

    -       Nouveaux moyens de communication et extension du domaine du travail

    -       Le travail, en parler à la maison, y penser : normal ou pesant ?

    -       Fatigue après le travail : autant les femmes que les hommes

    -       Une emprise plus forte pour les femmes des préoccupations domestiques dans l’univers professionnel

    -       Trois types d’arrangement entre travail et sphère privée

    -       La France est-elle particulière en Europe ?

    LE TRAVAIL EMPIÈTE POUR TOUS, LA FAMILLE DÉBORDE POUR LES FEMMES

    Editorial 

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  • Obèses : 10% de la population mondiale (10 02 2011)

    Extraits d’un article publié le 4 février 2011 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20110204trib000598916/les-obeses-pesent-10-de-la-population-mondiale.html

    Selon une étude mondiale publiée par le très sérieux magazine Lancet,…/… Plus d'un demi-milliard de personnes, soit un adulte sur dix dans le monde, sont obèses, ce qui représente plus du double du nombre enregistré en 1980, et l'épidémie d'obésité, partie des pays riches, est en train de s'étendre aux pays en développement,…./…

    Alors même que les pays riches enregistrent des succès dans la lutte contre les problèmes liés au cholestérol et à l'hypertension, le nombre de personnes souffrant d'hypertension dans le monde est passé de 600 millions en 1980 à près d'un milliard en 2008. "Le surpoids et l'obésité, l'hypertension et l'excès de cholestérol ne sont plus des problèmes occidentaux ou des problèmes de pays riches"…./…

  • Transports et développement durable n°7 (09 02 2011)

    Transports et développement durable n°7

    (Relevé publié dans ce blog, le 9 de chaque mois depuis septembre 2010)

    Panorama inédit n° 38 (3 décembre 2010) réalisé par Mme Christine Raynard, chargée de mission au Département Développement Durable (DDD) du Centre d’Analyse Stratégique (cliquer ici pour accéder au site du CAS)

    http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/N_38-031210.pdf

    1) Dans le cadre des économies budgétaires, le gouvernement autrichien envisage l’instauration d’une taxe sur les billets d’avion.

     

    Créée sur le modèle allemand, cette taxe sera de l’ordre de 8 euros par ticket pour les vols intra-européens et jusqu’à 40 euros pour les vols extra-européens. Le gouvernement estime que cette taxe

    rapportera 60 millions d’euros en 2011, puis 90 millions d’euros par an jusqu’en 2014.

     

    Les compagnies aériennes opérant à Vienne, notamment Lufthansa, Austrian Airlines et Fly Niky ont vivement protesté. Elles craignent un report des passagers sur l’aéroport de Bratislava, d’autant que les vols en transit ne seraient pas affectés par cette taxe.

     

     

    2) La crise économique a entraîné d’importantes pertes de revenus pour les aéroports, du fait de la baisse importante du nombre de vols. Outre les outils technologiques mis en place (sites Web dynamiques, agence de voyages en ligne, informations relatives aux vols, estimation du temps de trajet jusqu’à l’aéroport en fonction de la congestion routière, enregistrement à partir d’un téléphone

    portable…), les aéroports ont innové dans d’autres secteurs :

     

    -       Ainsi, l’aéroport de Singapour propose de se baigner dans la piscine située sur le toit de l’hôtel de l’aéroport, de visionner un nouveau film ou de visiter l’un des jardins thématiques de l’aéroport.

    -       Celui de Séoul offre à ses visiteurs de jouer au golf ou de s’entraîner à frapper des balles.

    -       Montréal présente l’Aérogalerie, hall avec des expositions.

    -       A Amsterdam, l’aéroport dispose d’une bibliothèque de 1 200 livres écrits dans une vingtaine de langues.

    -       Munich propose un minigolf, une salle de cinéma et des activités thématiques d’une heure portant sur l’aviation pour les enfants.

    -       Quant à Paris, une centaine de bornes PlayStation offrant 16 jeux accessibles gratuitement ont été installées.

  • crise (07 02 2011)

    Après la crise... la guerre ?

    Extraits d’un éditorial de M. Philippe Mabille publié le 4 février 2011 sur le site de la Tribune (cliquer ici pour accéder au site de la Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20110204trib000599136/apres-la-crise-la-guerre-.html

    Bienvenue dans le troisième tour, social et géopolitique, d'une crise qui, comme l'écrit Martin Wolf dans le "Financial Time" du 2 février, a pour principale conséquence "d'accélérer l'arrivée de notre futur". Accélération du basculement du monde, de l'Occident en déclin vers l'Asie en devenir ; accélération de la montée en puissance de la Chine, au détriment de l'Amérique ; mais aussi, en plus positif, accélération de la réaction politique de l'Europe face au risque d'éclatement de l'euro et de marginalisation économique... Les exemples ne manquent pas.

    Les récents événements de Tunisie et d'Égypte, pour très imprévisibles qu'ils soient encore, participent de la démonstration : pour le meilleur - l'émancipation démocratique des populations des pays arabes - comme pour le pire : l'apparition d'un risque géopolitique majeur dont l'ombre risque de planer longtemps sur le monde qui vient…./…

    Deux déclarations récentes, de deux hauts responsables français et socialistes d'institutions internationales, éclairent cette nouvelle menace…./…

    "La hausse du prix des aliments provoque une inflation mondiale, sans compter des troubles politiques que nous aurions pu difficilement imaginer",…/…

    "Alors que les tensions entre les pays s'accroissent, nous pourrions assister à une montée du protectionnisme, sur le plan commercial et financier [...], voire une instabilité sociale et politique croître entre les nations, et même la guerre"…/…

    Déséquilibres entre les pays : la faible croissance aux États-Unis et en Europe, la surchauffe en Chine et dans certains pays émergents font réapparaître les déficits extérieurs à l'origine de la crise de 2008. Donc, pour le FMI, on sort de la crise à reculons. Mais déséquilibres croissants aussi à l'intérieur des pays : …/… les niveaux du chômage et des inégalités de revenus ne permettent pas d'assurer une croissance soutenable à long terme…./…

  • Euro et Europe (28 01 2011)

    Extraits d’une analyse de M. Philippe Ricard publiée le 25 janvier 2011 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au site du Monde)

    http://www.lemonde.fr/.html

    L’Europe, dit-on souvent, ne s'est jamais construite qu'en surmontant les crises. S'il devait à nouveau se confirmer, l'adage pourrait donner des raisons d'espérer à ceux qui doutent de la dynamique européenne en ces temps de crise existentielle : vu l'ampleur du séisme au sein de la zone euro, l'intégration, ou du moins la gestion collective de nos interdépendances, devrait bientôt faire des bonds…/…

    Or, …/… la zone euro serait sur le point d'imploser, sous la double pression des marchés et de ses divergences internes…./…

    L'euro est-il viable, alors que le jeune édifice est déséquilibré faute de gouvernement économique, et budgétaire digne de ce nom ? "Non", répondent de nombreux experts,…/…

    Ces mêmes Etats n'hésitent pas au besoin à rabrouer sans ménagement les institutions qui sont censées être à l'avant-garde du projet européen…./…

    Bref, l'Europe fonctionne sur un mode intergouvernemental : personne ne s'en plaindrait si l'exercice se révélait efficace, mais les déboires du tandem franco-allemand démontrent que le pilotage à vue par des dirigeants dépourvus de vision n'est pas toujours la panacée…./…

    Les dix-sept membres de la zone, et leurs voisins qui s'inquiètent du sort de la monnaie européenne, l'ont compris. Tous tentent de trouver une parade durable en musclant les mécanismes de discipline budgétaire et de concertation économique…./…