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vie pratique - Page 358

  • Canicule : prévention des risques (1/2) (16 07 2013)

     

    Notes publiées le 22 juin 2013 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/10000/themes/evenement_climatique/canicule/canicule-agir.asp.html

    1 Comprendre les risques Canicule

    2 Ressources en cas de Canicule

     

    1 comprendre les risques

    La santé de chacun peut être en danger quand ces 3 conditions sont réunies :

    ·         il fait très chaud ;

    ·         la nuit, la température ne descend pas, ou très peu ;

    ·         cela dure plusieurs jours.

    Quels sont les risques liés aux fortes chaleurs ?

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  • Produits grande consommation : prix juin 2012 (13 07 2013)

     

    Extraits (hors graphiques et tableaux) d’une note d’analyse publiée le 11 juillet 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=103&date=20130711.html

    En juin 2013, les prix des produits de grande consommation augmentent de 0,1 % dans la grande distribution

    Indice des prix dans la grande distribution – Juin 2013

    Dans la grande distribution, les prix des produits de grande consommation augmentent de 0,1 % en juin après une baisse de 0,1 % en mai.

    Sur un an, les prix augmentent de 0,5 % dans la grande distribution

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  • Electricité : hausse des tarifs (11 07 2013)

    Extraits d’un article publié le 9 juillet 2013 sur le site des ECHOS (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0202883983771-electricite-deux-hausses-de-5-cette-annee-et-en-2014-584201.php?xtor=EPR-100-[NL_8h]-20130709-[s=461370_n=2_c=201_]-1285713@2.html

    Le gouvernement a décidé d'une hausse de 5% des tarifs de l'électricité pour les particuliers le mois prochain et en août 2014,../…

    La hausse de 5% des tarifs au 1er août correspond elle à une augmentation moyenne de la facture annuelle d'un ménage d'environ 35 euros, et de 50 euros s'il se chauffe à l'électricité…./…

    Depuis 2006, après deux années de prix inchangés en 2004 et 2005, le tarif réglementé de l'électricité a certes augmenté chaque année, mais dans des proportions comprises entre 1,1% et 3%. Au total, en sept ans, le tarif de l'électricité a augmenté de 14,1%,…/….

    Les hausses de deux fois 5% annoncées lundi ne seront toutefois pas suffisantes. La Commission de Régulation de l'Energie (CRE) a à de nombreuses reprises averti d'une hausse prévisible de 30% des prix de l'électricité entre 2012 et 2017…/..

     

    De telles hausses, d'après le régulateur, sont nécessaires pour couvrir la progression nettement supérieure à l'inflation des charges d'EDF, et notamment ses dépenses croissantes pour entretenir et renforcer la sûreté du parc nucléaire hexagonal, mis en service entre 1975 et 1995.

  • Logements : rénovation thermique (08 07 2013)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 13 juin 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130305160.html

    Question écrite n° 05160 de M. Michel Doublet (sénateur UMP de Charente-Maritime)

    M. Michel Doublet attire l'attention de Mme la ministre de l'égalité des territoires et du logement sur la rénovation thermique, au milieu du gué, en raison de procédures complexes, d'aides insuffisantes et de sources d'informations diffuses (ANAH, ADEME, ANRU etc…). D'aucuns proposent la création de guichets uniques et le développement de contrats de performance énergétique et des systèmes de tiers investisseurs, quant aux professionnels du bâtiment ils demandent un taux de TVA réduit pour les travaux de rénovation. Lors de la Conférence environnementale, le Gouvernement s'est fixé un objectif extrêmement ambitieux avec la rénovation d'un million de logements par an. Dans un contexte budgétaire contraint les marges budgétaires sont certes réduites pour permettre le financement de ce plan de rénovation thermique des bâtiments qui permettrait de redynamiser la filière bâtiment et préserver les emplois, toutefois, il lui demande quelles sont les intentions du Gouvernement en la matière.

    Réponse du Ministère de l'égalité des territoires et du logement publiée dans le JO Sénat du 13/06/2013 – p. 1798

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  • Ordures ménagères : tri et collecte (06 07 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 22 mai 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13020337S.html

    Question orale n° 0337S de M. Jean Boyer (sénateur UDI-UC de la Haute-Loire)

    Dans le prolongement de nos préoccupations liées aux territoires et à la mise en place d'une véritable cohérence en matière d'aménagement, je me permets d'attirer l'attention du Gouvernement sur la situation très paradoxale du tri et de la collecte des ordures ménagères.

    En effet, les nombreuses consignes existant en la matière sont loin d'être uniformisées sur l'ensemble du territoire. La France est, certes, un pays décentralisé, mais elle n'a pas su, pour l'instant, adopter un régime cohérent quant à la collecte et au tri des ordures ménagères.

    Comme vous le savez, madame la ministre, les déchets n'ont pas de frontières. Leur tri sélectif ne devrait donc pas en avoir non plus ! Pourquoi édicter presque autant de normes qu'il y a de syndicats intercommunaux ou de collecte et de traitement des ordures ménagères ? Nos concitoyens ne s'y retrouvent plus, surtout lorsqu'ils déménagent dans une autre zone ou, simplement, partent en vacances...

    Aménageons avec cohérence notre territoire, sans recourir à des normes toujours plus draconiennes et parfois sans fondements précis.

    Il est nécessaire de clarifier cette démarche de tri sélectif et de lui donner plus de transparence par une initiative de simplification ; après tout, ce n'est qu'affaire de logique !

    Ne faudrait-il pas mettre en place des filières de tri innovantes, qui encourageraient ces opérations de tri et, par là même, engendreraient une diminution des coûts d'exploitation ?

    De la même manière, comment communiquer et apporter une juste information si, d'un syndicat à l'autre, d'une communauté de communes à l'autre, d'un département à l'autre, d'une région à l'autre, les règles sont différentes, voire contradictoires ?

    Nous parlons souvent de simplification des normes. Dans cette affaire de tri, la simplification ne serait-elle pas précisément source d'économies et de bonne gestion des deniers publics ? Certes, il n'est pas aisé de faire prendre conscience à nos concitoyens de l'importance du tri, alors même que l'assiette de la contribution pour ce service croît chaque année.

    Je sais qu'il s'agit là d'un sujet délicat, pour lequel les gouvernements précédents n'ont pas trouvé de solution idéale. Et puis, reconnaissons-le, le dossier des ordures ménagères n'est pas celui qui apparaît comme le plus noble !

    Quoi qu'il en soit, de quelle manière le Gouvernement entend-il améliorer et optimiser les règles en matière de tri, car cela devient indispensable ?

    Réponse du Ministère chargé des petites et moyennes entreprises, de l'innovation et de l'économie numérique publiée dans le JO Sénat du 22/05/2013 p. 4307

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  • Débroussaillement : obligations (04 07 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 9 mai 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

     http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130204798.html

    Question écrite n° 04798 de M. Roland Povinelli (sénateur socialiste des Bouches-du-Rhône)

    M. Roland Povinelli attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt sur la mise en œuvre des obligations légales de débroussaillement le long des voies appartenant à une communauté urbaine. La commune d'Allauch (Bouches-du-Rhône), membre de la communauté urbaine Marseille Provence Métropole (MPM), soucieuse de la préservation de son patrimoine naturel, attache une grande importance aux obligations légales de débroussaillement applicables sur son territoire. Par une délibération du 6 mars 2002, son domaine public routier a été transféré à la communauté urbaine. Ainsi, conformément à l'article L. 5215-20 du code général des collectivités territoriales, la communauté urbaine est compétente en matière de « création ou aménagement et entretien de voirie ». En conséquence, l'article L. 134-10 du nouveau code forestier précise que « l'État et les collectivités territoriales ou leurs groupements propriétaires de voies ouvertes à la circulation publique (...) procèdent à leurs frais au débroussaillement et au maintien en l'état débroussaillé, sur une bande dont la largeur est fixée par l'autorité administrative compétente de l'État et qui ne peut excéder 20 mètres de part et d'autre de l'emprise de ces voies (...).

    Les propriétaires des fonds ne peuvent s'opposer à ce débroussaillement dans la limite d'une bande de terrain d'une largeur maximale de 20 mètres de part et d'autre de l'emprise des voies. » (10 mètres pour MPM selon l'arrêté préfectoral du 29 janvier 2007).

     
    L'article R. 131-15 précise que « les personnes morales habilitées à débroussailler (...) avisent les propriétaires intéressés par tout moyen permettant d'établir date certaine, dix jours au moins avant le commencement des travaux ». Dès lors, la commune d'Allauch considère que la procédure à mettre en œuvre le long des voies appartenant à la communauté urbaine est la suivante : obligation faite à la communauté urbaine de débroussailler ou de maintenir en état de débroussaillement le long des voies lui appartenant sur une largeur de 10 m de part et d'autre de l'emprise des voies (arrêté préfectoral du 29 janvier 2007) ; demande de la communauté urbaine aux propriétaires des parcelles situées à proximité des voies de circulation de la possibilité de pénétrer sur leurs propriétés afin d'effectuer ses obligations légales de débroussaillement le long des voies lui appartenant ; en cas de refus des propriétaires, la communauté urbaine en informe le maire de la commune d'Allauch ; le maire de la commune d'Allauch, au titre de ses pouvoirs de police, fera établir un constat de l'état débroussaillé/non débroussaillé par un agent assermenté ; la mairie d'Allauch adressera un courrier aux propriétaires accompagné du constat, avec demande de formaliser leurs engagements à accepter l'exécution des travaux sur leurs propriétés par la communauté urbaine ; exécution des obligations de débroussaillement par la communauté urbaine, à défaut, en cas de refus des propriétaires, une procédure administrative pourra être engagée devant le tribunal administratif.

     
    Il lui demande validation de la procédure applicable pour la mise en œuvre des obligations légales de débroussaillement le long des voies appartenant à une communauté urbaine, mais également si le maire est compétent pour mettre en demeure une communauté urbaine d'effectuer ses obligations légales de débroussaillement ou si cette procédure relève du préfet. 

     

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt  publiée dans le JO Sénat du 09/05/2013 – p. 1489

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