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évaluation - Page 5

  • Fibromyalgie : outils d’évaluation (07 01 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiée le 29 novembre 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120700264.html

     Question écrite n° 00264 de M. Michel Doublet (sénateur UMP de Charente-Maritime)

    M. Michel Doublet attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la publication d'un guide de procédure sur la fibromyalgie. Depuis de nombreuses années, les associations de malades demandent sa mise en œuvre. À défaut, elles souhaiteraient la mise en place d'un outil d'évaluation qui permettrait aux experts d'évaluer la sévérité de l'état du patient fibromyalgique de façon homogène sur tout le territoire en ce qui concerne la prise en charge sociale.

    En conséquence, il lui demande quelles suites elle entend donner aux attentes des malades confrontés à des appréciations disparates de leur pathologie selon les départements, et dont les conséquences sur la prise en charge sociale peuvent être lourdes de conséquences.

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 29/11/2012 - page 2732

     

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  • Plan cancer : évaluation à mi-parcours (4/4) (19 04 2012)

    Suite de la Synthèse publiée le 20 février 2012 sur le site de la Haute Autorité de santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS ou au texte pdf de la synthèse)

    http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?ae=avisrapportsdomaine&clefdomaine=6&clefr=259&ar=r&menu=09.html

     

    http://www.hcsp.fr/docspdf/avisrapports/hcsps20120220_plancancer0913mip.pdf

     

    Introduction

    Matériel et méthode

    Résultats : Pertinence du Plan,  Gouvernance du Plan, Inégalités sociales de santé, Inégalités territoriales de santé, Rôle du médecin traitant, Systèmes d’information, Cohérence externe du Plan.

    Conclusion

     

    Concernant la mise en œuvre d’un système d’information relatif à l’observation, la recherche et l’aide à la décision, outre les constats et recommandations effectués dans les autres axes d’évaluation, certaines avancées ont eu lieu pour améliorer l’accès aux sources de données (certification électronique des décès, expérimentation du système bi-sources de données de cancer, accès aux données du SNIIR-AM, données PMSI...). L’accès aux données de cancérologie à des fins épidémiologiques ou de santé publique reste toutefois complexe, les organisations productrices des données n’ayant à ce jour pas organisé les modalités visant à relier les différentes sources de production de données les unes aux autres. Il serait par conséquent nécessaire de renforcer la coordination nationale de gestion des données de santé entre les différents acteurs impliqués. Cette coordination aurait pour objectif de mieux répertorier les besoins de production selon les publics (professionnels de santé, usagers, acteurs et décideurs de santé publique notamment régionaux, le CNP-ARS, chercheurs...) et de favoriser l’interopérabilité entre les systèmes.

    Concernant la mise en œuvre d’un système d’information offrant des outils d’information de l’usager et des professionnels de santé, les travaux réalisés ou en cours, améliorent incontestablement l’accès pour un large public des informations relatives au cancer : publication annuelle de « La situation du cancer en France », portail de données, documents d’information en ligne sur le diagnostic précoce de certains cancers etc. Il serait néanmoins souhaitable d’envisager l’évaluation du profil des utilisateurs et l’utilisation faite des documents et données mis à disposition.

     

     

    Cohérence externe du Plan

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  • Plan cancer : évaluation à mi-parcours (3/4) (18 04 2012)

    Suite de la Synthèse publiée le 20 février 2012 sur le site de la Haute Autorité de santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS ou au texte pdf de la synthèse)

    http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?ae=avisrapportsdomaine&clefdomaine=6&clefr=259&ar=r&menu=09.html

     

    http://www.hcsp.fr/docspdf/avisrapports/hcsps20120220_plancancer0913mip.pdf

     

    Introduction

    Matériel et méthode

    Résultats : Pertinence du Plan,  Gouvernance du Plan, Inégalités sociales de santé, Inégalités territoriales de santé, Rôle du médecin traitant, Systèmes d’information, Cohérence externe du Plan.

    Conclusion

     

     

    Inégalités territoriales de santé

    De nombreuses actions engagées vont permettre de mieux connaître les inégalités territoriales en matière de cancer et de cancérologie, dans leur importance, leur évolution, leurs déterminants, et ainsi de pouvoir mieux agir contre ces inégalités. Toutefois, pour amplifier cette dynamique, il est indispensable de développer encore la connaissance des inégalités inter-régionales et infra-régionales, d’améliorer le suivi de leur évolution, et surtout de favoriser la mobilisation des ARS et des acteurs locaux, dont le rôle dans la lutte contre ces inégalités est essentiel.

    A cette fin, le HCSP souligne l’importance de systématiser la production, le partage et l’analyse de données territoriales sur le cancer et la cancérologie, à partir des bases de données disponibles (PMSI, assurance maladie...), des recueils de données de l’INCa, d’extensions régionales d’enquêtes, leur publication systématique dans les rapports annuels et sur le site e-cancer et la production d’un rapport spécifique sur l’évolution des disparités régionales ; de favoriser le développement de politiques de prévention de qualité dans les régions : monographies à produire sur les outils et méthodes efficaces et efficients en termes de prévention pour les grands facteurs de risque ou de protection des cancers, information précoce et systématique des acteurs régionaux sur les supports élaborés au plan national. Enfin, une attention particulière devra être portée au développement homogène dans toutes les régions du projet de dossier communicant de cancérologie.

     

    Rôle du médecin traitant

     

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  • Plan cancer : évaluation à mi-parcours (2/4) (17 04 2012)

    Suite de la Synthèse publiée le 20 février 2012 sur le site de la Haute Autorité de santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS ou au texte pdf de la synthèse)

    http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?ae=avisrapportsdomaine&clefdomaine=6&clefr=259&ar=r&menu=09.html

     

    http://www.hcsp.fr/docspdf/avisrapports/hcsps20120220_plancancer0913mip.pdf

     

    Introduction

    Matériel et méthode

    Résultats : Pertinence du Plan, Gouvernance du Plan, Inégalités sociales et territoriales de santé, Rôle du médecin traitant, Systèmes d’information, Cohérence externe du Plan.

    Conclusion

    …/…

    Résultats

    Pertinence du plan

    Principale cause de décès en France depuis 2003, la prévention, le dépistage et la prise en charge des cancers sont d’autant plus nécessaires que l’incidence des cancers est en hausse (environ 365 500 nouveaux cas estimés en 2011), ainsi que le nombre annuel de décès par cancer (en 2010, 90 600 hommes et 64 100 femmes). D’autre part, la France se caractérise relativement aux autres pays européens par une situation défavorable pour les taux de décès prématurés : par cancer toute localisation confondue chez les hommes (et pour les cancers liés au tabac et à l'alcool) et par cancer du sein chez les femmes. Enfin, les taux de survie à 5 ans varient selon les types de cancer et le stade de la maladie lors du diagnostic (taux de survie globale estimée à 50% en 2010 avec 38% de guérison), soulignant la pertinence de la problématique de l’après-cancer.

    Comme de nombreux pays européens, la France a choisi de créer un dispositif dédié au cancer, dans le cadre d’un plan thématique. Toutefois, ce choix se trouve aujourd’hui confronté à l’évolution de l’organisation sanitaire vers une gouvernance régionale des politiques de santé organisée selon une approche systémique transversale.

     

     

    Cohérence interne du Plan

    Neuf objectifs quantifiés nationaux ont été identifiés, mais figurent de façon dispersée au sein des 30 mesures et 118 actions du Plan. Aucun objectif quantifié n’a été défini au niveau régional.

    L’introduction de thématiques transversales, visant à « irriguer la stratégie du Plan » : inégalités de santé, facteurs individuels et environnementaux, rôle du médecin traitant, est ambitieuse et porteuse d’innovations.

     

    Gouvernance du Plan

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  • Plan cancer : évaluation à mi-parcours (1/4) (16 04 2012)

    Nous proposons ces 4 prochains jours la Synthèse publiée le 20 février 2012 sur le site de la Haute Autorité de santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS ou au texte pdf de la synthèse)

    http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?ae=avisrapportsdomaine&clefdomaine=6&clefr=259&ar=r&menu=09.html

     

    http://www.hcsp.fr/docspdf/avisrapports/hcsps20120220_plancancer0913mip.pdf

     

    Introduction

    Matériel et méthode

    Résultats : Pertinence du Plan,  Gouvernance du Plan, Inégalités sociales de santé, Inégalités territoriales de santé, Rôle du médecin traitant, Systèmes d’information, Cohérence externe du Plan.

    Conclusion

     

     

    Introduction

    Le plan cancer 2009-2013 s’inscrit dans la suite du Plan cancer 2003-2007. Ce nouveau plan s’oriente principalement vers des efforts de recherche et d’innovation intégrant leur « transfert » au système de santé, une meilleure prise en compte des inégalités de santé face au cancer, un renforcement de la coordination des soins, de nouvelles initiatives sanitaires et médico-sociales pour mieux accompagner les personnes dans la « vie pendant et après le cancer ».

    Le Plan est organisé selon 5 axes : recherche, observation, prévention et dépistage, soins, vivre pendant et après le cancer. Ces axes regroupent 30 mesures détaillées en 118 actions. Trois thèmes transversaux sont énoncés comme devant être « priorisés » au sein de chaque axe : les inégalités de santé, la prise en compte des facteurs individuels et environnementaux, le rôle du médecin traitant.

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  • Contraception d’urgence : cadrage (04 12 2014)

    Note publiée le 28 novembre 2011 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1121328/mise-a-disposition-a-lavance-de-la-contraception-durgence-note-de-cadrage.html

    Mise à disposition à l’avance de la contraception d’urgence - Note de cadrage pour une recommandation en santé publique (Evaluation des programmes et politiques de santé publique : 28/11/2011)

    Objectifs

    La note de cadrage précise les questions d’évaluation et définit la méthode et le plan de réalisation qui seront mis en œuvre pour évaluer la mise à disposition à l’avance de la contraception d’urgence (CU).

    Cette évaluation a pour objectif de rendre un avis sur la pertinence de la mise à disposition à l’avance de la contraception d’urgence hormonale et, le cas échéant, de proposer des stratégies de mise à disposition à l’avance, pouvant être différentes selon les populations cibles ou géographiquement. Cette évaluation s’inscrit dans le cadre d’un travail d’évaluation plus large des méthodes contraceptives et en constitue un des éléments.

    Résumé

    La contraception d’urgence (CU) a pour objectif d'éviter la survenue d'une grossesse après un rapport sexuel non protégé. La CU hormonale est disponible en France en pharmacie sans prescription médicale. Si elle est délivrée sans ordonnance, elle n’est pas remboursée. Si elle est prescrite, elle est remboursée à 65%. Pour les mineures, elle est délivrée gratuitement et anonymement. Elle peut également être administrée aux élèves mineures ou majeures de l'enseignement secondaire par les infirmiers(ères) scolaires.

    Si les efforts mis en place pour faciliter l’accès à la CU ont été suivis par une augmentation importante de son utilisation, celle-ci reste cependant trop faible pour avoir un impact visible en termes de diminution du nombre d’interruptions volontaires de grossesse (IVG). Le nombre de contraceptions d’urgence vendues en pharmacie a doublé entre 2000 (600 000) et 2010 (1,3 million). Par contre, au cours de cette même période, le nombre d’IVG n’a pas diminué : il a même légèrement augmenté (220 000 IVG recensées en 2009).

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