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alimentation - Page 12

  • Obésité infantile : dépistage (07 04 2012)

    Note publiée le 13 février 2012 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/30000/actus2012/008-obesite-infantile.asp.html

    Parce qu’à ses débuts, l’obésité infantile ne se voit pas, il faut la dépister le plus tôt possible

    L’obésité et le surpoids concernent respectivement 3,5 % et 4,5 % des enfants, le double par rapport à une dizaine d’année, même si ce chiffre semble se stabiliser. Pour aider les professionnels concernés dans leur pratique de dépistage et en complémentarité avec la recommandation professionnelle de la HAS sur la prise en charge, l’Inpes édite plusieurs documents.

    La prévalence de l’obésité et du surpoids chez les enfants et les adolescents a fortement augmenté entre les années 1980 et 2000 en France comme dans la majorité des pays industrialisés (Afssa, 2008). Ainsi, en 2006, 18 % des enfants âgés de 3 à 17 ans (16 % des garçons et 19 % des filles) sont en surpoids ou obèses, dont 3 % des garçons et 4 % des filles classés comme obèses (InVS, 2006). Cependant, une stabilisation de cette prévalence a été récemment observée chez les enfants de 5-6 ans entre 2000 et 2005 (Drees, 2010). Les données traduisent aussi de fortes inégalités sociales et une plus forte prévalence de l’obésité dans les familles modestes.

    L’obésité est multifactorielle : son développement repose sur des facteurs biologiques, comportementaux et environnementaux (offres alimentaire et en activité physique, marketing alimentaire, etc.). On considère aujourd’hui que c’est plus l’interaction entre ces facteurs et non un seul d’entre eux, qui va entraîner l’apparition de l’obésité.

    Une prévention pertinente

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  • pesticides et alimentation

    Les pesticides omniprésents dans l'alimentation, en France

     

     

    Article de M. Paul Benkimoun lu le 7 mai 2008 sur le site du Monde

     

    http://www.lemonde.fr/sciences-et-environnement/article/2008/05/07/les-pesticides-omnipresents-dans-l-alimentation-en-france_1041995_3244.html#ens_id=628865

     

     

    L'importance de l'exposition aux pesticides, notamment par voie alimentaire, est mise en évidence par deux études. La première, réalisée par la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) et publiée fin avril, montre que 6 % des fruits et légumes testés présentaient des teneurs en pesticides dépassant la limite maximale de résidus (LMR). La seconde, présentée mercredi 7 mai par l'Institut national de l'environnement industriel et des risques (Ineris), conclut que "les enfants franciliens sont exposés à des pesticides variés, dont certains interdits depuis plusieurs années, alors que leurs parents ne sont pas professionnellement exposés".

     

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  • bien ranger pour bien conserver (23 03 2008)

    Bien ranger pour bien conserver

     

     

    Article de Mme Florence Amalou lu le 21 mars 2008 sur le site du Monde

     

    http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2008/03/20/bien-ranger-pour-bien-conserver_1025521_3238.html#ens_id=628868

     

     

     

    D

     

    es fraises mal lavées, des rillettes restées au soleil sur la table du jardin ou une mousse au chocolat conservée dans le mauvais compartiment du réfrigérateur peuvent se révéler problématiques. Entre 50 000 à 80 000 cas d'infections intestinales sont dues, chaque année, à des bactéries qui ont proliféré dans des aliments mal préparés et mal stockés à la maison. Pour améliorer l'hygiène alimentaire, certaines habitudes méritent d'être changées.

     

     

    Chaque Français consomme en moyenne 320 kg d'aliments réfrigérés et 30 kg de produits congelés par an. Une large majorité d'aliments périssables, donc. Or "les gens connaissent encore mal les gestes qui permettent de respecter la chaîne du froid", explique-t-on au ministère de l'agriculture. Consciente de la nécessité de mieux informer le public, la direction générale de l'alimentation (DGAL) a réalisé une campagne, en partenariat avec l'Institut national de la consommation (INC), récompensée le 15 mars par Meglena Kuneva, la commissaire européenne chargée de la protection des consommateurs.

     

    L'idée ? Rappeler les bons gestes au moment de remplir son chariot dans le supermarché - où les surgelés et produits frais doivent être achetés en dernier et placés dans un sac isotherme -, mais aussi, une fois arrivé à la maison, lorsqu'il faut ranger et organiser la conservation des aliments les plus sensibles.

     

     

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