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aliments

  • Gaspillage alimentaire (13 06 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 6 juin 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190410089.html

    Question écrite n° 10089 de Mme Christine Herzog (sénateur de la Moselle)

     

    Mme Christine Herzog attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture et de l'alimentation sur la question du gaspillage alimentaire entraîné par les modalités de définition des dates de péremption. En effet, les consommateurs ne font pas toujours la différence entre les dates limite de consommation (DLC) et les dates de durabilité minimale (DDM).

     

    Ce manque de lisibilité, auquel s'ajoute des durées de consommation raccourcies sur de nombreux produits, a pour conséquence de favoriser le gaspillage alimentaire de produits pourtant consommables. Ainsi, selon le récent livre blanc publié par plusieurs associations, les Français jettent chaque année 20 kilos de nourriture dont 7 kg de produits jamais déballés, pour une valeur estimée à 16 milliards d'euros.

     

    Alors que certaines catégories de nos concitoyens rencontrent aujourd'hui de graves difficultés financières, elle lui demande quelles sont les dispositions que le Gouvernement peut prendre pour revoir la durée de ces dates limites écourtées, et pour rendre ces informations plus transparentes pour les consommateurs. 

    Réponse du Ministère de l'économie et des finances publiée dans le JO Sénat du 06/06/2019 p. 2958

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  • Publicité pour les aliments (04 04 2018)

    Publicité pour les aliments les plus gras, salés ou sucrés

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 22 février 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ171101985.html

    Question écrite n° 01985 de M. Roland Courteau (sénateur de l’Aude)

    Roland Courteau expose à Mme la ministre des solidarités et de la santé que, d'après les sondages, trois-quarts des enfants qui regardent la télévision après l'école avouent préférer les produits promus sur le petit écran. Quant aux parents, plus de 80 % disent acheter des produits vus à la télévision et réclamés par les enfants.

     
    Par conséquent, la publicité autour de produits trop gras, sucrés ou salés se fait de plus en plus soutenue, dès lors qu'il s'agit de s'adresser aux jeunes enfants. Le lien avec la progression de l'obésité infantile est évident.

     
    Il est donc suggéré que les messages publicitaires portant sur les boissons et les produits alimentaires les plus gras, salés ou sucrés, ne puissent être diffusés lors des programmes regardés par un nombre important d'enfants.

     
    Il lui demande quelles initiatives elle compte engager en ce sens. 

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 22/02/2018 p. 855

     

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  • Lait infantile : contamination (08 12 2017)

    Nous vous proposons cette fiche pratique publiée le 4 décembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12223?xtor=EPR-100.html

    Laits infantiles 1er âge contaminés : vérifier les boîtes que vous avez chez vous

    Publié le 04 décembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Suite à la contamination par des salmonelles de 20 bébés de moins de 6 mois dans 8 régions différentes, il a été procédé au retrait et au rappel de 12 lots de laits infantiles 1er âge.

    Il s'agit des lots suivants :

    Lait Picot SL sans lactose, 1er âge 350g :

    • lot 17C0012344 - DLUO 15/02/2019 ;
    • lot 17C0012877 - DLUO 01/06/2019 ;
    • lot 17C0013216 - DLUO 18/09/2019 ;
    • lot 17C0013549 - DLUO 29/09/2019.

    Lait Pepti Junior sans lactose, 1er âge 460g :

    • lot 17C0012512 - DLUO 14/09/2018 ;
    • lot 17C0012856 - DLUO 01/12/2018 ;
    • lot 17C0013179 - DLUO 01/02/2019.

    Lait Milumel, Bio 1er âge 900g, sans huile de palme :

    • lot 17C0012592 – Date de durabilité minimale : 03/04/2018 ;
    • lot 17C0012845 – Date de durabilité minimale : 22/05/2018 ;
    • lot 17C0012848 – Date de durabilité minimale : 26/08/2018 ;
    • lot 17C0012960 – Date de durabilité minimale : 12/09/2018 ;
    • lot 17C0013084 – Date de durabilité minimale : 13/10/2018.

      Attention :

    Il est demandé aux parents qui disposeraient encore de boîtes appartenant à ces lots de ne pas les utiliser, qu'elles soient neuves ou déjà entamées.

  • Lutte contre le gaspillage alimentaire (06 11 2016)

    Nous vous proposons cette fiche pratique publiée le 17 octobre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12109?xtor=EPR-100.html

    Lutte contre le gaspillage alimentaire : comment jeter moins ?

    Publié le 17 octobre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Date limite de consommation (DLC), date de durabilité minimale (DDM), rangement du réfrigérateur, conservation des légumes... Alors que la journée nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire s'est déroulée le 16 octobre 2017, le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation revient sur certaines bonnes pratiques à adopter afin d'essayer de jeter moins.

    Parmi ces bonnes pratiques destinées à éviter le gaspillage alimentaire, il est question notamment de :

    • vérifier avant d'acheter la date limite de consommation (DLC) des produits qui indique qu'au delà de cette date le produit est périmé et non consommable ;
    • ne pas confondre cette DLC avec la date de durabilité minimale (DDM) qui indique qu'au-delà de cette date, le produit n'est pas périmé même s'il peut avoir perdu certaines de ses qualités ;
    • acheter les produits réfrigérés en dernier ;
    • respecter la chaîne du froid  ;
    • ranger de façon optimale le réfrigérateur (0 à 4°C pour les viandes, les charcuteries, les poissons, 4 à 6°C pour les œufs, le beurre, les yaourts, les fromages, de 6 à 10°C pour les boissons, les fruits et les légumes) et penser à le nettoyer et le dégivrer de façon régulière ;
    • congeler pour mieux conserver les aliments en s'assurant que la température est réglée à -18°C pour le congélateur ;
    • cuisiner des quantités adaptées au nombre de personnes à table ;
    • accommoder les restes ;
    • réduire les gaspillages à la cantine.

      Rappel :

    Le gaspillage alimentaire représente environ 20 kg de déchet par an et par personne dont 7 kg de déchets alimentaires non consommés et encore emballés.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de l'agriculture

    Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe)

  • Aliments reconstitués : étiquetage (07 01 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 13 novembre 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140612231.html

    Question écrite n° 12231 de M. Jean-Claude Leroy (sénateur du Pas-de-Calais)

     

    M. Jean-Claude Leroy attire l'attention de Mme la secrétaire d'État, auprès du ministre de l'économie, du redressement productif et du numérique, chargée du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire sur l'étiquetage qui s'applique aux produits à base de viande et de poisson reconstitués et aux préparations à base de viande reconstituée. 

    En effet, certains produits sont composés de divers morceaux de viande ou de poisson, et reconstitués à l'aide d'autres ingrédients, comme des additifs ou des enzymes alimentaires. 
    La nouvelle législation sur l'étiquetage contribue à une plus grande transparence et permet au consommateur d'être mieux informé sur les produits qu'il achète.

    Pourtant, les fraudes récentes sur la fabrication de viandes de cheval et de bœuf suscitent une inquiétude légitime sur les conditions de fabrication des produits alimentaires « reconstitués ». Dans son avis intitulé « Favoriser l'accès pour tous à une alimentation de qualité, saine et équilibrée » rendu en janvier 2014, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) préconise d'avertir le consommateur par l'instauration d'une « mention explicite portée sur l'emballage d'autant que, suivant le pays d'origine des différents composants utilisés (viande ou poisson), les normes relatives aux conditions de production des animaux peuvent différer ». 

    Aussi, il lui demande de bien vouloir lui faire connaître la suite que le Gouvernement entend donner à cette recommandation. 

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère de l'économie, de l'industrie et du numérique, chargé du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire publiée dans le JO Sénat du 13/11/2014 - page 2545

     

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  • Aliments : qualité nutritionnelle (28 11 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 7 août 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140411231.html

    Question écrite n° 11231 de M. Aymeri de Montesquiou (sénateur du Gers)

     

    M. Aymeri de Montesquiou attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt, porte-parole du Gouvernement sur la nécessité de développer des signes officiels de qualité dédiés à la nutrition, dans l'esprit de l'association Bleu-Blanc-Cœur qui a été créée pour promouvoir une agriculture responsable à vocation santé. Selon elle, pour bien nourrir les hommes, il faut commencer par prendre soin des cultures et de la santé des animaux. Le résultat final est un meilleur équilibre nutritionnel de l'alimentation.

     

    Aujourd'hui, il existe de nombreuses associations qui défendent le bien-être animal et l'environnement mais peu défendent la qualité nutritionnelle des aliments et leurs bénéfices sur la santé du consommateur. On constate que la qualité nutritionnelle des produits n'est pas suffisamment prise en compte par le public. De plus, la réglementation européenne interdit depuis trois ans le terme « nutrition » ou « santé » à toutes les démarches de produits agricoles et alimentaires sauf s'ils contiennent des additifs pharmacologiques.

     

    Il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer si le Gouvernement compte soutenir la création des signes officiels de qualité, en soutien d'une production agricole orientée vers la mise en marché de produits dont la qualité nutritionnelle aura été améliorée en utilisant exclusivement des matières premières issues de l'agriculture.

     

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 07/08/2014 p. 1873

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