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alimentation - Page 11

  • Temps de l’alimentation (France 2009-2010) (2/2)(31 10 2012)

    Nous publions sur 2 jours des extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse de M. Thibaut de Saint Pol, Laboratoire de sociologie quantitative, du Crest et Mme Layla Ricroch, division Conditions de vie des ménages, de l’Insee, publiée le  12 octobre 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ci-dessous pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1417.html

    Résumé

    Sommaire

    ·         Au fil des décennies, les Français préservent leur temps de repas

    ·         L’attachement aux trois repas traditionnels demeure

    ·         29 % des jeunes grignotent très souvent entre les repas

    ·         Déstructuration des repas et risque d’obésité

    ·         On prend un peu plus souvent ses repas devant la télévision

    ·         Les repas partagés restent les plus agréables

    Encadré

    Des repas plus courts à la Réunion

    …/…

    29 % des jeunes grignotent très souvent entre les repas

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  • Temps de l’alimentation (France 2009-2010) (1/2) (30 10 2012)

    Nous publions sur 2 jours des extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse de M. Thibaut de Saint Pol, Laboratoire de sociologie quantitative, du Crest et Mme Layla Ricroch, division Conditions de vie des ménages, de l’Insee, publiée le 12 octobre 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ci-dessous pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1417.html

    Sommaire

    ·         Au fil des décennies, les Français préservent leur temps de repas

    ·         L’attachement aux trois repas traditionnels demeure

    ·         29 % des jeunes grignotent très souvent entre les repas

    ·         Déstructuration des repas et risque d’obésité

    ·         On prend un peu plus souvent ses repas devant la télévision

    ·         Les repas partagés restent les plus agréables

    Encadré

    ·         Des repas plus courts à la Réunion

     

    Résumé

    En France, l’alimentation occupe chaque jour 2 h 22 en moyenne en 2010 dans nos emplois du temps. Malgré les facilités croissantes pour manger à toute heure, le temps consacré à l’alimentation reste très concentré au moment des trois repas traditionnels. À 13 heures, la moitié des Français est en train de déjeuner. Entre les repas, 15 % des personnes déclarent grignoter très souvent ; c’est le cas de 29 % des jeunes. Un cinquième du temps passé à manger l’est devant la télévision, en très légère augmentation sur 24 ans. En moyenne, les repas sont considérés comme des moments aussi agréables que lire ou écouter de la musique. Les personnes les plus âgées les apprécient le plus et y consacrent le plus de temps. Les plus jeunes les apprécient moins, prennent moins souvent de petit déjeuner et mangent beaucoup plus fréquemment à l’extérieur de chez eux.

    Publication

    Au fil des décennies, les Français préservent leur temps de repas

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  • Prix agroalimentaires et pétroliers : point été 2012 (29 09 2012)

     

    Extraits (hors graphiques et tableaux d’une note d’analyse publiée le 28 septembre 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=25&date=20120928.html

    Hausse des prix des produits pétroliers et agro-alimentaires cet été

    Indices de prix de production de l’industrie française

    MARCHÉ FRANÇAIS : +1,2 % en août après +0,4 % en juillet

    En août, les prix de production de l’industrie française pour le marché français progressent vivement (+1,2 %), après une hausse plus modérée en juillet (+0,4 %). Les prix des produits du raffinage et des denrées alimentaires augmentent les deux mois, tandis que ceux des « autres produits industriels » se redressent en août (+0,4 %), après un net repli en juillet (-0,6 %).

    Les prix des produits du raffinage augmentent en août comme en juillet…

    Les prix des produits du raffinage croissent en août (+7,8 %), comme en juillet (+5,8 %). En effet, le prix du pétrole de la mer du Nord (Brent) continue d’augmenter en dollars (+9,9 % après +6,6 %) comme en euros (+8,8 % après +8,2 %).

    … ainsi que les prix des denrées alimentaires

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  • Farines animales (07 09 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiée le 9 aout 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120623835.html


    Question écrite n° 23835 de M. Roland Courteau (sénateur socialiste de l’Aude)

    M. Roland Courteau expose à M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt que la Commission européenne a lancé l'idée de lever l'interdiction d'utiliser des farines animales pour nourrir les animaux destinés à l'alimentation : porcs, poissons et volailles.

    Or il lui indique, qu'en France, le Conseil national de l'alimentation (CNA) et l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES) ont délivré deux avis opposés.

    Ainsi, si l'ANSES s'y est montrée défavorable, par contre, le CNA s'est déclaré en faveur de la réautorisation partielle.

    Il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer quelle analyse il fait de l'avis du CNA dès lors qu'il n'existe, à ce jour, aucune garantie d'innocuité de ces farines animales, désormais appelées « protéines animales transformées », et quelle est la position de son ministère sur ce sujet.

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 09/08/2012 - page 1829

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  • Gaspillage alimentaire (21 07 2012)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 24 avril 2012 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-130760QE.htm

    Question n° 130760 de M. Bernard Perrut (député UMP du Rhône)

    M. Bernard Perrut appelle l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la cohésion sociale sur le développement du gaspillage alimentaire dont les conséquences se manifestent tant sur le plan humain qu'économique et écologique.

    Il lui demande quelles mesures peuvent être envisagées pour aider à découvrir les domaines les plus en vue de ce gaspillage et trouver les moyens les plus efficaces pour sa limitation et progressivement sa disparition.

    Réponse du Ministère de l’Agriculture, de l’alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l’aménagement du territoire publiée au JO le 24/04/2012 p. 3161

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  • Alimentation : qualité et sécurité sanitaire (24 05 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 10 mai 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2011/qSEQ111020421.html

     

    Programme relatif à la sécurité et la qualité sanitaires de l'alimentation dans le budget pour 2012

    Question écrite n° 20421 de M. René Beaumont (sénateur UMP de Saône-et-Loire)

    M. René Beaumont attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire, au moment de la préparation du budget pour 2012, sur le programme 206 relatif à la “sécurité et la qualité sanitaires de l'alimentation”, et sur les missions sanitaires de ce programme qui ont toujours été considérées comme une priorité de l'État. Elles sont souvent d'ailleurs fortement médiatisées lors des crises et font l'objet d'une attente unanime de la part de nos concitoyens. Les emplois de ce programme 206 sont consacrés notamment :

    À la surveillance et à la lutte contre les maladies animales, notamment celles transmissibles à l'homme ; ainsi près de 75 % des maladies infectieuses humaines sont d'origine animale ;

    Aux contrôles sanitaires sur l'ensemble de la chaîne alimentaire, du producteur au consommateur, notamment l'inspection sanitaire des animaux et de leur viande dans les abattoirs ;

    À veiller au bon usage du médicament vétérinaire, afin de limiter les risques pour la santé du consommateur, notamment ceux de l'anti-biorésistance ;

    À la gestion des risques phytosanitaires et au contrôle de l'utilisation des pesticides ;

    Au contrôle du respect des règles relatives à la protection animale et à la protection de l'environnement (installations classées pour la protection de l'environnement et faune sauvage détenue en captivité).

    Il semblerait aujourd'hui que certaines de ces missions ne sont plus assurées, ou de manière très incomplète. Cette situation est confirmée par de nombreux rapports de l'Office alimentaire et vétérinaire (OAV) de l'Union européenne, qui mettent régulièrement en évidence l'insuffisance des contrôles et le non respect de ses engagements communautaires par notre pays. La Cour des comptes a par ailleurs repris les observations sévères de l'OAV à la suite d'une mission effectuée en novembre 2008 sur les abattoirs de volailles français.

    Déjà interrogé sur ce sujet, le ministère a mis en avant le développement de la délégation de la mission de contrôle des agents publics vers des opérateurs privés pour pallier la diminution des effectifs. De telles délégations doivent faire l'objet d'une supervision de l'État afin de garantir la sécurité des contrôles.

    Dans son rapport provisoire, la Cour des comptes met précisément l'accent sur la faiblesse de cette supervision et elle recommande au ministère de porter une attention particulière aux projections relatives à leur recrutement.

    Entre 2007 et 2012, ce sont plus de 600 emplois (inspecteurs de la santé publique vétérinaire, ingénieurs, techniciens supérieurs, contrôleurs sanitaires…) qui auront été supprimés, soit 13 % de ces emplois consacrés aux missions sanitaires, et il semblerait, à la lecture du projet de budget pour 2012, que les suppressions d'emplois du programme 206 sont, pour la sixième année consécutive, du même niveau que celui des départs à la retraite prévus dans ce programme, c'est-à-dire non pas un pour deux comme c'est la règle dans la révision générale des politiques publiques, mais un pour un.

    Se pose dès lors la question de savoir quel est le coût de la délégation de service public d'inspection chaque année et quel est le montant des économies réalisées par les suppressions d'emplois sur le programme 206 ? Ce dernier coût devant être comparé à l'impact de crises sanitaires graves mal maîtrisées, qui peut atteindre plusieurs dizaines de milliards d'euros (20 à 30 milliards d'euros pour les crises de l'encéphalopathie spongiforme bovine et de la fièvre aphteuse au Royaume-Uni).

    Il est aujourd'hui désormais établi, dans ce domaine comme dans d'autres, que le coût de la prévention en « temps de paix » est dérisoire comparé à celui de la gestion de crises sanitaires graves.

    La dernière interrogation porte sur les solutions qu'il entend mettre en place pour assurer une véritable sécurité alimentaire vétérinaire et phytosanitaire dans notre pays.

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire publiée dans le JO Sénat du 10/05/2012 - page 1146

     

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